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18 décembre 2019 3 18 /12 /décembre /2019 00:45
République centrafricaine: le nouveau chef de la mission EUAM nommé

 

République centrafricaine: le nouveau chef de la mission EUAM nommé

 

Aujourd'hui, Paulo Soares a été nommé chef de mission de la nouvelle mission consultative de l'Union européenne en République centrafricaine (EUAM RCA). Cette mission a été établie par le Conseil le 9 décembre 2019 et devrait être lancée au printemps 2020.

 

Paulo Soares, un ressortissant portugais, est actuellement chef de la cellule d'interopérabilité de la mission militaire de formation de l'UE en République centrafricaine (EUTM RCA). Son expérience comprend plus de 25 ans dans la gendarmerie portugaise, 2 ans au ministère portugais de l'Intérieur, un dans une mission civile et un dans une mission militaire. Son mandat de chef de mission pour l'EUAM RCA durera jusqu'au 8 décembre 2020.

 

L'EUAM RCA a pour objectif de soutenir la réforme des forces de sécurité intérieure afin de permettre aux autorités de la République centrafricaine (RCA) d'atténuer les problèmes de sécurité actuels dans le pays. Des experts de l'UE fourniront des conseils au niveau stratégique au ministère de l'Intérieur et aux forces de sécurité intérieure, à la police et à la gendarmerie, dans le but d'aider à leur déploiement dans tout le pays.

 

La mission se coordonnera étroitement avec la mission militaire de formation de l'UE (EUTM RCA), la mission de la MINUSCA des Nations Unies et la communauté internationale.

 

Contacts presse

Veronica Huertas-Cerdeira +32 2 281 45 48 / +32 470 88 21 99

Maria Daniela Lenzu +32 2 281 21 46 / +32 470 88 04 02

 

 

M. Paulo Soares a pris ses fonctions de chef de cellule d'interopérabilité à EUTM CAR, à Bangui, République centrafricaine, le 11 mars 2019. Avant cette nouvelle fonction de chef de la cellule d'interopérabilité à EUTM CAR, il a été commandant du district de Braga à Guarda Nacional Republicana (GNR), gendarmerie portugaise, du 1er février 2017 au 22 février Février 2019.

M. Paulo Soares a fait sa première expérience internationale en octobre 2006, en tant que Officier de liaison pour la sécurité, détachement auprès du ministère des Affaires étrangères (MoFA)

Ambassade du Portugal au Mozambique jusqu'en juillet 2010. Pendant cette période, il a été Représentant portugais auprès du ministère de l’intérieur du Mozambique, du ministère Service de la Direction de l'immigration et Service national du salut public du Mozambique et a représenté l'Institut portugais pour le développement (IPAD) au Mozambique Délégation de l'Union européenne (EU DEL).

Il a servi, en outre, a l'officier de liaison portugais GNR pour les autorités du Timor orient forces de sécurité et organisations internationales présentes sur le territoire en 2006.

M. Paulo Soares apporte 32 ans d'expérience dans les services de police et d'application de la loi au niveau national et international. M. Paulo Soares, membre senior du GNR, portugais Gendarmerie, a également exercé des fonctions de chef de la direction des ressources humaines du GNR et Commandant du centre de formation GNR Figueira da Foz. En tant que responsable du service externe Relations et coopération, il était chef de bureau au ministère portugais de l'Intérieur (MoI) et chef du Cabinet des relations internationales de GNR.

M. Paulo Soares est marié et père de deux filles.

M. Paulo Soares a étudié avec succès à l'Université autonome de Lisbonne, Portugal, et a obtenu un diplôme en relations internationales et un diplôme de troisième cycle en Guerre et Paix. A étudié avec succès à la Gendarmerie Française MoD, France, et a terminé le War College Diploma et a étudié avec succès à European Security & Defence College, Bruxelles, Belgique, et a terminé les études sur les aspects civils de la gestion de crise

 

 

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18 décembre 2019 3 18 /12 /décembre /2019 00:11
vers la prise en compte du ramadan et de la tabaski dans les fêtes légales nationales
vers la prise en compte du ramadan et de la tabaski dans les fêtes légales nationales

 

 

Centrafrique : vers la prise en compte du ramadan et de la tabaski dans les fêtes légales nationales

 

French.china.org.cn | Mis à jour le 18-12-2019

 

L'Assemblée nationale de la République centrafricaine (RCA) a adopté ce mardi à l'unanimité un projet de loi faisant les deux fêtes musulmanes du ramadan et de la tabaski les fêtes légales nationales, a constaté sur place un correspondant de Xinhua.

Les députés favorisant à la proposition estiment qu'elle traduit dans les faits l'une des recommandations du Forum national de Bangui, une conférence de réconciliation nationale tenue en mai 2015, mais aussi va renforcer la cohésion sociale de la RCA.

Ce projet de loi, qui attend désormais la promulgation par le président de la République, a été proposé par un vice-président du Parlement, et soutenu par le ministre centrafricain du Travail, de l'Emploi, de la Protection sociale et de la Formation professionnelle, Hugues-Alain Tcheuméni.

La reconnaissance de la fête du ramadan et de la tabaski avait fait l'objet d'une des revendications des rebelles de la Séléka avant leur conquête du pouvoir en mars 2013. F

 

Source: Agence de presse Xinhua

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17 décembre 2019 2 17 /12 /décembre /2019 23:18
L’énigmatique retour de François Bozizé en Centrafrique
L’énigmatique retour de François Bozizé en Centrafrique

 

Lu pour vous

 

L’énigmatique retour de François Bozizé en Centrafrique

 

https://www.sidwaya.info/…/16/le-retour-strategique-de-boz…/ Publié le 17/12/2019 - 16:51

 

Est-il revenu ? À pied, en voiture ou en avion ? Ses proches assurent que l’ancien chef de l’État est de retour dans son pays, après six ans d’exil. Une présence qui changerait la donne à un an de la présidentielle.6

“Comment Bozizé est-il rentré au pays ?”, se questionne Sidwaya. Cet éventuel retour “stratégique”, comme le qualifie le quotidien burkinabé, de celui qui fut président de Centrafrique de 2003 à 2013, fait jaser. Après six années d’exil en Ouganda, est-il vraiment à Bangui, la capitale centrafricaine, depuis mardi 16 décembre ? C’est ce que ses proches affirment, sans aucune confirmation du principal intéressé ou des autorités du pays.

 

Un mystère total règne autour de cette affaire. “Il aurait fait la route ‘en partie à pied’ et en partie ‘dans un véhicule’ et cela, sans être accompagné”, rapporte Le Pays. François Bozizé est en effet sous le coup de sanctions des Nations unies, pour avoir attenté à la “paix, la stabilité et la sécurité” de son pays, qui interdisent à toutes les compagnies aériennes de l’acheminer à Bangui.

“Il se pose tout de même des questions. François Bozizé a-t-il pris le soin d’informer les autorités ougandaises, qui lui avaient offert gîte et couvert, qu’il allait regagner son pays ? Ou alors a-t-il décidé d’en faire qu’à sa tête en quittant son pays hôte sans crier gare ?”, s’interroge le journal du Burkina Faso.

Si ce retour présumé fait autant de bruit, c’est qu’il change la donne dans ce pays d’Afrique centrale, encore en proie aux conflits communautaires. Arrivé au pouvoir grâce à un coup d’État, il en avait été chassé, dix ans plus tard, tout aussi brutalement, en 2013, par la rébellion Séléka. Michel Djotodia avait alors pris le pouvoir.

Depuis, croit savoir Sidwaya, “François Bozizé a multiplié les rencontres avec les chefs d’État influents dans la crise centrafricaine, notamment le Congolais Denis Sassou-Nguesso ou le Burundais Pierre Buyoya. Une manœuvre qui pourrait se révéler payante, puisque la France se serait montrée ‘plus ouverte’ à son retour au pays, depuis quelques mois.”

Ce retour permettrait à l’ancien chef d’État de se porter candidat à la présidentielle de décembre 2020. Le code électoral exige en effet une présence d’au moins un mois sur le sol centrafricain.

 

 

Après six ans d'exil, l'ex-président Bozizé de retour en Centrafrique, selon ses proches

 

https://www.france24.com/ 16/12/2019 - 19:59

 

En exil après avoir été chassé du pouvoir en 2013, François Bozizé est rentré à Bangui, selon son parti et ses proches. L’ancien président centrafricain n'a jamais caché son intention de reprendre le pouvoir par les urnes, alors que se profile la présidentielle de décembre 2020.

À un an de la présidentielle prévue fin 2020, son retour pourrait redessiner le paysage politique en Centrafrique. Après le coup d'État qui l'a renversé en 2013 et six années d'exil, l'ex-président François Bozizé est revenu au pays, ont annoncé lundi 16 décembre son parti et ses proches.

"Depuis hier, je peux vous le dire de la manière la plus solennelle : François Bozizé se trouve bel et bien dans la capitale centrafricaine", a lancé devant la presse Bertin Béa, le secrétaire général du Kwa na Kwa (KNK), la formation politique de l'ancien chef de l'État. Une information confirmée par nos confrères de RFI.

"Dans les jours à venir, François Bozizé prendra la parole pour s'adresser à ses compatriotes", assure Bertin Béa. "En attendant, ne me demandez pas comment il est arrivé, ni où il se trouve", lâche-t-il. Question de "sécurité".

"Cette annonce ne me semble pas crédible", a toutefois réagi le porte-parole du gouvernement, Maxime-Ange Kazagui.

Le président déchu n'a jamais caché son intention de chercher à reprendre le pouvoir par les urnes. Son retour semble être dicté par sa volonté de respecter le code électoral, qui stipule que les candidats à la présidentielle de décembre 2020 doivent se trouver sur le territoire national au moins un an avant le scrutin.

François Bozizé jouit toujours d'une grande influence dans un pays qu'il a dirigé de 2003, à l'issue d'un coup d'État, à 2013. Une période marquée par deux guerres civiles.

La seconde, en 2013, provoque finalement sa chute. Après des années d'instabilité et de mauvaise gouvernance, la Séléka, une coalition de groupes armés rebelles venus du nord et de l'est, met en débandade l'armée régulière et fond sur Bangui.

Sa garde armée sud-africaine vole en éclats et François Bozizé doit fuir la capitale. Le chef de file de la Séléka, Michel Djotodia, le remplace.

Spirale de violences intercommunautaires

Après son départ, la Centrafrique sombre vite dans une spirale de violences intercommunautaires, déclenchant l'opération Sangaris de l'armée française en décembre 2013.

Et, depuis le Cameroun voisin où il est accueilli par le président Paul Biya, François Bozizé continue d'user de son influence pour tenter de rétablir son régime.

En 2013, la Centrafrique lance un mandat d'arrêt international contre lui pour "crimes contre l'humanité et incitation au génocide". Accusé d'avoir soutenu, depuis le Cameroun, les milices chrétiennes anti-balakas, au départ formées pour contrer les exactions de la Séléka à dominante musulmane, Bozizé est également sous le coup de sanctions des Nations unies. Ses déplacements en avion sont interdits et ses avoirs gelés.

Après un régime de transition dirigé par Catherine Samba Panza, il ne peut donc se présenter à la présidentielle de janvier 2016 que remporte Faustin Archange Touadera.

Depuis 2016, une circulaire du ministère centrafricain des Transports interdit également à toute compagnie aérienne desservant ce pays d'y amener François Bozizé. Depuis lors, ses avocats et ses fidèles, encore nombreux dans le pays, militent pour que le gouvernement autorise son retour.

Ces dernières semaines, plusieurs figures de l'opposition s'étaient exprimées en faveur d'un retour de l'ancien président, dont Anicet Georges Dologuélé, candidat malheureux au second tour de la présidentielle de 2016.

Avec AFP

 

Lu pour vous

 

RETOUR DE FRANÇOIS BOZIZE AU BERCAIL

 

Rien n’est gagné d’avance

 

 

http://lepays.bf/ 17 décembre 2019

 

C’est en toute discrétion que l’ancien président centrafricain, François Bozizé, a signé son retour à Bangui, le 15 décembre dernier. Par quel moyen a-t-il pu regagner son pays natal ? Difficile de répondre à cette question dans la mesure où les autorités centrafricaines, elles-mêmes, se disent surprises par ce retour. En effet, François Bozizé est non seulement sous le coup de sanctions onusiennes, mais aussi les compagnies aériennes desservant Bangui, conformément à une circulaire du ministère centrafricain des Transports, ont l’interdiction de le transporter par avion vers l’ex-Oubangui Chari. Mais si l’on en croit le porte-parole du parti de Bozizé, le Kwa Na kwa (KNK), l’ex-chef de l’Etat aurait fait la route « en partie à pied » et en partie « dans un véhicule » et cela, sans être accompagné. Dès lors, il se pose tout de même des questions. François Bozizé a-t-il pris le soin d’informer les autorités ougandaises qui lui avaient offert gîte et couvert, qu’il allait regagner son pays ? Ou alors a-t-il décidé d’en faire à sa tête en quittant son pays hôte sans crier gare ? La deuxième hypothèse paraît plus plausible. Car on imagine bien que s’il était informé, le pouvoir ougandais aurait pu, pour faire dans le diplomatiquement correct, en informer les autorités centrafricaines. A moins que Kampala n’ait voulu, par cette occasion, se débarrasser   d’un colis encombrant.

 

Tout se passe comme si Bozizé avait fait le choix de   mettre les autorités devant le fait accompli

 

Cela dit, maintenant que François Bozizé est de retour au bercail, que va-t-il se passer ? Sera-t-il, comme le souhaitent ses proches, « traité comme tous les autres acteurs de la crise avec respect et avec les égards dus à son rang », par les autorités ? On attend de voir. Pour le moins, on sait que l’accord de paix signé le 6 février 2019, prévoyait une loi sur le statut des anciens chefs d’Etat.  Mais le texte, sauf erreur ou omission, n’a pas encore atterri sur le bureau de l’Assemblée nationale. En tout cas, s’il y a une chose dont on peut être sûr, c’est que les autorités de Bangui ne verront pas d’un bon œil le retour de l’ex-président. Car, tout se passe comme si ce dernier avait fait le choix de les mettre devant le fait accompli en décidant de rentrer en catimini. Mais en le faisant, Bozizé joue gros. En effet, s’il est vrai que pour  pouvoir se présenter à la prochaine présidentielle, le successeur de Michel Djotodia devait être de retour au pays avant fin décembre, il ne faut cependant pas oublier que le pouvoir de Bangui, s’il le souhaite, peut lui chercher des noises. Et en pareille occurrence, il suffit de saisir la Justice qui ne manquera pas de motifs pour engager des poursuites contre celui-là dont la gouvernance, on le sait, a été caractérisée par la corruption, le clientélisme et la gabegie. C’est dire donc que rien n’est gagné d’avance. Car, même de retour au pays natal, rien ne garantit pour l’instant l’éligibilité de François Bozizé.

 B.O

 

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17 décembre 2019 2 17 /12 /décembre /2019 23:13
Centrafrique : affrontements entre les deux groupes armés rivaux
Centrafrique : affrontements entre les deux groupes armés rivaux

 

Centrafrique : recrudescence d'affrontements entre groupes armés rivaux dans le nord-est

 

BANGUI, 16 décembre (Xinhua) -- Les éléments du Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) et ceux du Mouvement des libérateurs centrafricains pour la justice (MLCJ) ont repris ce lundi des combats d'envergure dans la ville centrafricaine d'Am Dafock (nord-est) frontalière avec le Soudan, a-t-on appris de sources locales concordantes.

Selon celles-ci, les éléments du FPRC, naguère repoussés par leurs ennemis du MLCJ, ont préparé leur attaque puis sont revenus tôt ce lundi vers 5 heures avant de passer à l'assaut pour reprendre le contrôle de la localité.

En raison de l'intensité des affrontements, il est difficile d'établir un bilan pour l'instant, d'après les mêmes sources qui ont constaté par ailleurs des mouvements de population fuyant les combats.

Les habitants d'Am Dafock attendent le déploiement des militaires des Forces armées centrafricaines (FACA) et des casques bleus dans la région afin d'assurer leur protection, ont ajouté les sources.

 

 

Centrafrique : affrontements entre les deux groupes armés rivaux 

 

http://sahel-intelligence.com/ 17 décembre 2019

 

La ville centrafricaine d’Am Dafock (nord-est), frontalière avec le Soudan, est le théâtre d’affrontement entre  les milices armées du Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) et du Mouvement des libérateurs centrafricains pour la justice (MLCJ).

Le bilan provisoire fait état d’une dizaine de morts et plusieurs blessés. Les forces armées centrafricaines (FACA) et des casques bleus sont appelées à protéger les habitants de la ville.

Pour faire face à ces situations et la stabilisation du pays, le gouvernement a décidé le recrutement et la formation de 1.000 nouveaux jeunes policiers et gendarmes.

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15 décembre 2019 7 15 /12 /décembre /2019 21:39
Martin ZIGUELE à Jeune Afrique

Le Président du MLPC s'exprime sur Jeune Afrique

Martin ZIGUELE à Jeune Afrique
Martin ZIGUELE à Jeune Afrique
Martin ZIGUELE à Jeune Afrique
Martin ZIGUELE à Jeune Afrique
Martin ZIGUELE à Jeune Afrique
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15 décembre 2019 7 15 /12 /décembre /2019 01:30
Tchad: les évêques critiques envers le pouvoir en place dans leur lettre de Noël

 

 

Tchad: les évêques critiques envers le pouvoir en place dans leur lettre de Noël

 

Par RFI Publié le 14-12-2019 Modifié le 14-12-2019 à 11:37

 

Au Tchad, la conférence des évêques a présenté le 13 décembre sa lettre de Noël, un texte publié habituellement à la veille des fêtes de fin d’année dans lequel les hommes d’Église évoquent l’état de la nation. Cette année, la gouvernance du pays a été particulièrement critiquée.

Dans leur lettre de Noël publiée le 13 décembre, les évêques ont passé au crible l’état de la nation tchadienne et constaté qu’en l’état actuel des choses, le projet politique du pouvoir en place ne correspondait pas à la réalité.

Ils prennent l’exemple de l’éducation, comme le constate l’abbé Yves Alladoumngué, secrétaire général de la conférence épiscopale du Tchad. « Est-ce que chaque famille prend le temps de s’assoir pour évaluer ce que son enfant a appris à l’école ? demande-t-il. En période de grève, nous préparons un avenir très dangereux pour cette génération qui sera la citoyenne future de notre pays ».

Serment confessionnel

Avec l’avènement de la Quatrième République, un serment confessionnel a aussi été imposé à toutes personnes nommées aux charges publiques. Mais à l’évidence, le serment n’a servi à rien. « Tous ceux qui ont prêté ce serment, il y en a qui sont déjà dans des affaires, déplore monseigneur Joachim Kouraleyo Tarounga, un des membres de la conférence épiscopale du Tchad. Mais ma conviction à moi : un serment professionnel n’a pas sa place dans un pays qui se dit laïque ».

Un autre évêque demande également si on peut utiliser la religion pour contraindre dans une République. Le vrai problème est que le pouvoir préfère promouvoir des personnalités militantes, une option qui renforce la politique mais pas la bonne gouvernance.

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15 décembre 2019 7 15 /12 /décembre /2019 00:37
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15 décembre 2019 7 15 /12 /décembre /2019 00:07
[CONFIDENTIEL]:Voici comment et pourquoi une boucherie humaine en préparation au Cameroun
[CONFIDENTIEL]:Voici comment et pourquoi une boucherie humaine en préparation au Cameroun

 

 

Lu pour vous

 

[CONFIDENTIEL] - Voici comment et pourquoi une boucherie humaine en préparation au Cameroun

 

By CAMEROON NEWS ONLINE 13 décembre 2019

 

 « Il se prépare un plan de déstabilisation de deux Etats de la sous-région à savoir : le Cameroun et la République Centrafricaine », a appris ce jeudi, de source de l´Ong« Asus-Reluc », l´Agence Digitale d´Informations Africaines(Les Scoops d´Afrique).

 

ASUS-RELUC est une Unité Spéciale Républicaine de lutte contre la corruption, de détournement des derniers publics et la déstabilisation des Etats, l’inertie, l’assistance des personnes vulnérables et des droits de l’homme ; dotée depuis 2018 d’un statut spécial consultatif auprès de l’ECOSOC (Nations Unies).

“Des preuves très graves que nous avons eu au cours de nos investigations démontrent qu’il se préparent contre les deux pays de la Cemac ,une boucherie humaine et que si rien n’est fait de sitôt, le Cameroun et la Centrafrique vont devenir des boucheries humaines» ; a déclaré ce jeudi, en début d’après-midi, Stéphane Geordan II Nga; Président de l’Ong ASUS-Reluc; au cours d’une conférence de presse tenue dans la capitale politique camerounaise sur le thème :« La dénonciation sur la déstabilisation de l’Etat du Cameroun».

Stéphane Geordane II Nga, Président Exécutif de l’Unité Spéciale Républicaine a martelé que : « Ce qui se passe dans les régions anglophones du Cameroun risque de contaminer le pays de Paul Biya ». Il a interpelé la communauté internationale à prendre ses responsabilités.

Soulignant au passage qu’il ne sait pas si le gouvernement du Cameroun et celui de la Centrafrique prennent au sérieux ce qui se trame contre les populations. Pour Nga Stéphane Geordane II : « La majorité silencieuse est en danger. Le politique ne sait plus qu’il y a les morts à ses côtés. Les armes sortent de ces détourneurs de fonds publics aujourd’hui incarcérés».

Le président exécutif pointe un doigt accusateur sur les prisonniers de l’« opération épervier ».Il condamne le mutisme de la communauté internationale . « Ils ont acheté les armes. Les armes sont là . Nous avons les preuves » ; martèle le président de l’Ong ASUS-RELUC ; avant de s’interroger sur le rôle de la presse dans un contexte aussi grave, aussi sensible.

Stéphane Geordane II Nga explique que : « Dans le plan de déstabilisation que nous avons eu, il est dit que la cible c’est le Président Paul Biya ».

ASUS-RELUC interpelle la communauté internationale à une mobilisation. Car,pour Stéphane Geordane II Nga : « Paul Biya risque subir le même sort que Kaddafi ».

« A l’heure actuelle », a indiqué le Président Exécutif de l’ONG ASUS-RELUC : « en Rca et au Cameroun, deux rebellions sont en brousse pour déstabiliser les deux pays de la sous-région Afrique Centrale ».

La conférence de presse de ce jeudi faisait suite aux résultats des investigations minutieusement menées par l’ONG ASUS-RELUC.

Les responsables de cet organisme consultatif des Nations Unies ont tenu à dénoncer au travers de cette conférence de presse, les graves menaces qui pèsent sur les deux pays de la sous-région Afrique Centrale.

Stéphane Geordane II Nga s’est dit très préoccuper par des menaces de déstabilisation du Cameroun et de la République Centrafricaine. Il a dénoncé le trafic d’armement dans les pays du tiers monde en général et particulièrement dans la sous-région de l’Afrique Centrale. Le Président Exécutif de l’ONG ASUS-RELUC interpelle la communauté internationale et les Nations Unies pour réagir énergiquement face à la violation des droits des personnes vulnérables.

L’Unité Spéciale Républicaine, par la voix de son Président Exécutif, plaide pour l’amélioration des conditions de vie des populations auprès des gouvernants et des politiques.

La conférence de presse de ce jeudi, 12 décembre 2019 visait par ailleurs à attirer l’attention des populations sur les dangers que peuvent représenter certains politiques sur le terrain pendant les périodes électorales : tribalisme, mensonges, fausses promesses, rivalité, haine…

Présents à la conférence de presse au siège de l’Ong ASUS-RELUC au quartier Bastos à Yaoundé: les membres du corps diplomatique, les représentants des partis politiques, les représentants des organisations de la société civile, les autorités civiles et militaires ainsi que les journalistes de la presse nationale et internationale./

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Source: camerounlink.com

 

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12 décembre 2019 4 12 /12 /décembre /2019 18:22
Alerte:”Une boucherie humaine”en préparation au Cameroun et en Rca
Alerte:”Une boucherie humaine”en préparation au Cameroun et en Rca
Alerte:”Une boucherie humaine”en préparation au Cameroun et en Rca

 

Lu pour vous

 

http://www.lescoopsdafrique.com/ By Nestor Nga Etoga  -12 décembre 2019

 

« Il se prépare un plan de déstabilisation de deux Etats de la sous-région à savoir : le Cameroun et la République Centrafricaine »; a appris ce jeudi, de source de l'Ong «Asus-Reluc», l'Agence Digitale d'Informations Africaines (Les Scoops d'Afrique). ASUS-RELUC est une Unité Spéciale Républicaine de lutte contre la corruption, le détournement des derniers publics et la déstabilisation des Etats, l’inertie, l’assistance des personnes vulnérables et des droits de l’homme ; dotée depuis 2018 d’un statut spécial consultatif auprès de l’ECOSOC (Nations Unies).

“Des preuves très graves que nous avons eues au cours de nos investigations démontrent qu’il se prépare contre les deux pays de la Cemac, une boucherie humaine et que si rien n’est fait de sitôt, le Cameroun et la Centrafrique vont devenir des boucheries humaines» ; a déclaré ce jeudi, en début d’après-midi, Stéphane Geordan II Nga; Président de l’Ong ASUS-Reluc; au cours d’une conférence de presse tenue dans la capitale politique camerounaise sur le thème :« La dénonciation sur la déstabilisation de l’Etat du Cameroun».

Stéphane Geordane II Nga, Président Exécutif de l’Unité Spéciale Républicaine a martelé que : « Ce qui se passe dans les régions anglophones du Cameroun risque de contaminer le pays de Paul Biya ». Il a interpelé la communauté internationale à  prendre ses responsabilités. Soulignant au passage qu’il ne sait pas si le gouvernement du Cameroun et celui de la Centrafrique prennent au sérieux ce qui se trame contre les populations. Pour Nga Stéphane Geordane II : «  La majorité silencieuse est en danger. Le politique ne sait plus qu’il y a les morts à  ses côtés. Les armes sortent de ces détourneurs de fonds publics  aujourd’hui incarcérés».

Le président exécutif pointe un doigt accusateur sur les prisonniers de l’« opération épervier ». Il condamne le mutisme de la communauté internationale. « Ils ont acheté les armes. Les armes sont là. Nous avons les preuves » ; martèle le président de l’Ong ASUS-RELUC ; avant de s’interroger sur le rôle de la presse dans un contexte aussi grave, aussi sensible.

Stéphane Geordane II Nga explique que : « Dans le plan de déstabilisation que nous avons eu, il est dit que la cible c’est le Président Paul Biya ».

ASUS-RELUC interpelle la communauté internationale à  une mobilisation. Car pour Stéphane Geordane II Nga : « Paul Biya risque de subir le même sort que Kaddafi ».

« A l’heure actuelle », a indiqué le Président Exécutif de l’ONG ASUS-RELUC : «  en Rca et au Cameroun, deux rebellions sont en brousse pour déstabiliser les deux pays de la sous-région Afrique Centrale ».

La conférence de presse de ce jeudi faisait suite aux résultats des investigations minutieusement menées par l’ONG ASUS-RELUC.

Les responsables de cet organisme consultatif des Nations Unies ont tenu à  dénoncer au travers de cette conférence de presse, les graves menaces qui pèsent sur les deux pays de la sous-région Afrique Centrale.

Stéphane Geordane II Nga s’est dit très préoccuper par des menaces de déstabilisation du Cameroun et de la République Centrafricaine. Il a dénoncé le trafic d’armement dans les pays du tiers monde en général et particulièrement dans la sous-région de l’Afrique Centrale. Le Président Exécutif de l’ONG ASUS-RELUC interpelle la communauté internationale et les Nations Unies pour réagir énergiquement face à  la violation des droits des personnes vulnérables.

L’Unité Spéciale Républicaine, par la voix de son Président Exécutif, plaide pour l’amélioration des conditions de vie des populations auprès des gouvernants et des politiques.

La conférence de presse de ce jeudi12 décembre 2019 visait par ailleurs à  attirer l’attention des populations sur les dangers que peuvent représenter certains politiques sur le terrain pendant les périodes électorales : tribalisme, mensonges, fausses promesses, rivalité, haine…

Présents à la conférence de presse au siège de l’Ong ASUS-RELUC au quartier Bastos à Yaoundé: les membres du corps diplomatique, les représentants des partis politiques, les représentants des organisations de la société civile, les autorités civiles et militaires ainsi que les journalistes de la presse nationale et internationale./.

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12 décembre 2019 4 12 /12 /décembre /2019 14:23
Gabon : Un Etat en zones troubles
Gabon : Un Etat en zones troubles

 

Par Corbeaunews 11 décembre 2019

 

Libreville (Gabon) – CNC – La chute de Brice Laccruche Alihanga fait couler beaucoup d’encres au Gabon. Hormis ce limogeage, il est annoncé d’autres départs dans l’entourage d’Ali Bongo. Pendant ce temps, l’opposant Jean Ping annonce un combat dans les tout prochains jours.

 Dans l’entourage du président Ali Bongo, le courant ne passe pas bien. Des proches d’Ali Bongo se regardent en chiens de faïence. En nommant son fils comme chargé des affaires présidentielles, Ali Bongo a créé la colère de ses partisans au sein même de son entourage. Selon nos sources émanant des proches d’Ali Bongo, d’autres départs sont prévus dans son entourage.

Jean Ping hausse le ton

L’opposant Gabonais Jean Ping sort de sa réserve pour dire ses quatre vérités à Ali Bongo. « Nous ne sommes pas dupes de ce qui se trame derrière cette nomination anticonstitutionnelle. Elle confirme une fois de plus, la monarchisation de la République » dit-il.

 « Le temps est venu »

L’ancien président de la commission de l’Union africaine (UA), va plus loin pour lancer un grand appel. « Après avoir longtemps fait barrage contre toute tentation de jeter qui que ce soit en pâture ou à la vindicte populaire, je dis au peuple gabonais que, si nécessaire, le temps est venu de désigner l’ennemi, de se lever et de marcher » poursuit-il.

Arfang Sagna

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