"For the success of the National Inclusive Dialogue on
Central African Republic crises, Bonuca and its Representative, political elites, civil society members should emphasise on the fact that : It is compulsory to set this political forum
abroad. And Libreville is well-indicated to welcome this forum ; regarding the output of the recent global political agreement between Mr Zacharie Damane of UFDR, Mr Jean-Jacques Demafouth of
APRD and the governement."
When crises turned to be toxic, it means that solutions have to
taken. To get solutions, the better way is to reach talking. A real talking, a substantive talking, a very true one by which ideas, proposals, assertives could bring gain of
settlement. Dealing with talking is a peaceful method adapted to the case of Central African Republic. This country is a nest of crises. Belonging to the global world policy
by the effect of globalisation, this country through its elites must give end to these elusive crises. For that, elites are invited to be true in the process of talking. What does mean
being true? It is easy to put hand on the obvious causes of the crises which blocked Central African Republic in stagnation : greed to take the Power of State ; so by all
means. Thus, democracy is plunged iin the trap of this greed : rebellions appeared ; security and peace are wiped out ; law and order are collapsed ; establishment members use
oppression to cast away opposition. That means dictatorship. Right Central African Republic is in dictatorship.
Poverty is rampant. By the way the country is set on crises.
Back to the question asked above about how to be true on that situation ? It is simple to reply : being true in talking means that Mr Ange Felix Patassé should participate to the
Inclusive National Dialogue. Mr André Kolingba has to take part in this talking. Mr François Bozizé must get talking. This is being true. This is
being relevant. The representative of Bonuca is obliged to manage the participation of Mr Ange Felix Patassé in this talk. Being true, this Inclusive National
Dialogue deserves to be organised abroad. Bonuca must be sensitive on this truth. That is why, Libreville is well-indicated. As the Secretary General of United Nations, Mr Ban
Ki-Moon applauded the recent global political agreement, this is a brilliant sign which could serve all parties in this process of Dialogue to opt for
Libreville.
Authorities of African Union and Economic and Monetary
Community of Central African (Cemac) then the Department of United States have given support to this agreement. The regime of Bozizé should act on the
way success and not of failure. And the way of success resides in organising this Inclusive National Dialogue in Libreville. Bonuca in Central African Republic could
finance the trip. for those who must attend in this Dialogue. Central African Republic should be true. Talking is wise. But getting the wise of this talking is more better. Being
true requires Libreville as suitable for the Inclusive National Dialogue. This is being true.
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Le monde traverse une crise économique très grave ; signifiée par l'énergie, l'inflation et la crise financière. De l'Europe
aux Etats-Unis, de l'Afrique à l'Asie c'est la montée du mal être parce que le pouvoir d'achat baisse, devient insignifiant face à la flambée des prix. Voilà l'état du monde. Mais, la
Centrafrique connaît une situation plus pire en plus de celle qui est créée par l'environnement international. Double crise, ou triple crise. Qu'importe, la Centrafrique est enserrée
par des crises.
Mais, celles qui emportent réflexion, c'est celles dont les causes sont endogènes. Pour les éradiquer un dialogue
vrai s'impose. Il est plus facile d'invoquer le dialogue. Il est plus rusé d'évoquer le dialogue. A l'instant les raisons pour lesquelles le dialogue est souhaité sont
fondamentales. Donc, l'intérêt de la Centrafrique. Cela dit, il est important que le dialogue soit constructif et pertinent. Pour parler de la Centrafrique ; il faut la présence
des Messieurs Ange Félix Patassé, André Kolingba, François Bozizé et d'autres élites. Inclusif s'oppose à exclusif. L'inclusif exclut l'exclusif. C'est dire l'importance
des concepts est à souligner à plus d'un titre.
Comprendre qui pourra. Et c'est une démonstration de la volonté d'asseoir la paix et la cohésion sociale que celle dire
"dialoguons ensemble" dans la diversité des idées. Ce qui est raisonnable ; c'est de ne pas exclure ; c'est de ne pas avoir peur ; c'est accepter l'autre tel qu'il
est. Le but est de mettre en valeur des idées de la démocratie de la liberté et du respect des Droits de l'Homme. Ainsi, le gouvernement de Bozizé, le Bonuca et les politiciens doivent se
résoudre d'organiser le Dialogue Inclusif National à l'extérieur de la Centrafrique.
C'est un gage de l'inclusion de tout le gratin politique au débat national. C'est aussi faire preuve de maturité politique. L'Onu, le
Département d'Etat américain, l'Union Africaine et la Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale ont applaudi les récents accords politiques entre le
gouvernement et les rebelles. C'est dire que Bonuca, Bozizé et son gouvernement doivent accepter d'organiser ce dialogue à Libreville. C'est la voie de la réconciliation et de la
dynamique politique. Bonuca dispose de fonds alloués au bénéfice des processus de dialogue.
Et les participants à celui-ci peuvent user de ce fonds. A dire vrai la Centrafrique n'est pa en mesure d'accueillir ce forum
politique. Bozizé tient trop au Pouvoir de l'Etat, il y voit sa propriété. Centrafrique est synonyme d'exclusion au sens du dialogue. Centrafrique est synonyme de répression, et
d'arrestation au sens du dialogue. C'est une dictature la Centrafrique. Donc, la Centrafrique doit se parler à Libreville. C'est mieux et politiquement raisonnable pour parler vrai et utile.
Et la Centrafrique exige l'utile : la liberté.