Being policymakers, practising politics, enacting rules requires more wisdom in order to set order in State and trust among citizens on security, economy and growth issues. Yet, the purpose of politicians is to guarantee the national interests by implementing policy which should reduce poverty, enhance Human Rights respect, and then get the country's economy at the international row the global economy. Regarding the state of Central African Republic, such thinking is not making part of political lines of Bozizé regime. Regarding how it acts to organise the National Inclusive Dialogue and subjects which must be discussed, it appears that the now regime on Power of State in Central African Republic rejects fundamental question in base of this National Dialogue : Does Bozizé get legitimacy to govern this country? This is the legal question which should be challenged during the Dialogue.
Avoiding this, means that there is no National Inclusive Dialogue. The consequence is that insecurity wiil still be rampant. Political crises will continue. Instability will be accentuated. Finally, this Dialogue is void. It is a failure for Central African Republic. The question is not to assert on the next national consultation having to take place in 2010. The question is not that of transparency in 2010 election. It is a severe blow to democracy to behave like Bozizé has decided to wipe out the question of its legitimacy. Democrats have to be prudent. They know deeply that the reason of national forum is Bozizé illegitimacy. He took Power of State by coup d'Etat. Having National Dialogue, or participating into without treating this question casts a serious doubt on the real will of Bozizé to put end to the country's crises.
The opposition must require Bozizé illegitimacy. Doing so gives sense to this forum. Here, it is a duty to the opposition members to impose this issue. By the way, inviting Bozizé to stepdown This is the meaning of "Prudence". He could not abide on the Power of State. He is a cause of severe damages to Central African Republic. If this country faces bottleneck today : it is because of its greed. No one could trust Bozizé. When he qualifies its National Inclusive Dialogue as hope ; to be true its a despair for citizens of Central African Republic. Because he scathed this dialogue by quashing the sense of this National Forum. Pain is not to end soon in Central African Republic. For that citizens, opposition members elites and civil society have to keep "Prudence."
La sagesse est une vertu très précieuse en politique. Ceux des politiques qui usent de dialogue pour aplanir des divergences d'opinion ou des crises de leur société sont sages. C'est aussi une vertu de la démocratie que de dialoguer sur des sujets importants dont dépend la survie de l'Etat. Bozizé a-t-il compris cet axiome? L'on ne croit pas. Parce que lui, Bozizé n'a pas cette culture de dialogue. L'on dispose de la preuve. Celle-ci se trouve dans sa volonté manifeste d'exclure la question fondamentale portant sur sa légitimité. La sécurité, la transparence dans les consultations nationales de 2010 sont les sujets à discuter. L'on occulte la vraie question qui sous-tend la sécurité : Bozizé, est-il légitime?
En écartant cette interrogation, il a vidé le Dialogue Inclusif National. de sa substance. Il ignore que c'est son coup d'Etat qui est à la base de l'insécurité. Il ignore qu'il n'a pas de légitimité. Il sait une chose : c'est la peur de lui même. Bozizé a peur de lui-même. Ainsi de facto il esquive la question de la légalité constitutionnelle. Il croit bien faire ; faux parce que son Dialogue National Inclusif n'aura servi à rien. Et la Centrafrique : retour à la case départ, c'est-à-dire l'insécurité, l'instabilité et l'immobilisme économique délétère qui décime les citoyens, pas lui Bozizé. C'est pourquoi, l'opposition politique doit être" Prudent". Bozizé est vide dans son cahier de Dialogue National Inclusif.. Il est aride. Ainsi, ce n'est plus un dialogue mais une entrevue avec aucun résultat probant pour la résolution de la crise de la Centrafrique. L'on dit vrai aussi parce qu'en évitant la question de sa légitimité, son Dialogue National Inclusif a perdu toute pertinence utile à la société. Mais, ce qui est sûr, l'opposition politique doit mettre en question Bozizé et sa légitimité. C'est un devoir, un devoir pour la bonne cause : celle de la démocratie. L'opposition politique dont le rôle est de participer à la vie politique et de conquérir le Pouvoir de l'Etat doit exiger cette question de légitimité.
Elle est fondamentale. Elle est au coeur de la dérive actuelle de la Centrafrique. C'est le but des démocrates. Aussi, il est de leur devoir de dire à Bozizé qu'il est l'objet du dialogue. Sans son coup d'Etat la Centrafrique serait parmi les démocraties les plus raisonnables. L'on ne trouve pas d'intérêt dans l'échec de ce dialogue. Mais déjà l'échec est là.. Et la guigne s'acharne sur la Centrafrique. La "Prudence" doit gouverner l'opposition, la société civile et les élites dans ce dialogue. Il faut demander le départ de Bozizé. C'est cela la "Prudence." C'est la sagesse.