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  • : informations générales sur la république centrafricaine et l'Afrique centrale
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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 10:57

 

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

 

Alors que tout le peuple centrafricain est en train de crouler sous le poids des souffrances et de la misère, conséquences de sa gestion calamiteuse du pouvoir de 2003 à 2013, l’ex-dictateur et criminel François BOZIZE se pavane en France, pays des Droits de l’Homme, en toute quiétude en dépit du mandat d’arrêt international lancé contre lui par le gouvernement centrafricain.

Les faits reprochés par la justice centrafricaine au putschiste récidiviste François BOZIZE sont d’une telle gravité que l’on ne saurait comprendre la complaisance dont il jouit en France, terre du Droit et du respect de la personne humaine : assassinats, génocide, crimes de sang et crimes économiques, incitation à la haine, etc.

 

Ces faits non exhaustifs suffisent à eux seuls pour que la justice française l’arrête et le remette aux autorités judiciaires centrafricaines afin qu’il réponde de ses actes devant le peuple centrafricain, en application des accords de coopération en matière de justice entre la République Française et la République Centrafricaine.

 

De ce qui précède la Fédération Europe-Amériques-Asie-Moyen Orient-Océanie du MLPC :

 

  • Condamne énergiquement la présence du criminel François BOZIZE en France ;
  • Demande aux autorités judiciaires françaises compétentes de procéder à son arrestation aux fins de le remettre à la justice centrafricaine ;
  • Demande au gouvernement centrafricain de prendre les mesures nécessaires afin d’obtenir son extradition ;
  • Exprime une fois de plus sa compassion aux victimes d’hier et d’aujourd’hui de tous les crimes commis ou générés du fait de sieur François BOZIZE ;
  • Appelle tous les démocrates centrafricains et amis de la RCA à se mobiliser pour que justice soit rendue au peuple centrafricain.

 

Comme toujours le MLPC sera du côté de la population centrafricaine pour défendre son intégrité physique et morale.

 

Fait à Paris, le 12 août 2013

 

Antoine Jérémie NAM-OUARA

Membre du bureau politique, Chargé de la communication extérieure

Bozizé en France : Communiqué de presse de la Fédération Europe, Amérique , Asie-Océanie
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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 10:51

Situation en République centrafricaine (MICOPAX) et MISCA

Communiqué de presse du Secrétariat Général de la CEEAC
Communiqué de presse du Secrétariat Général de la CEEAC
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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 10:49

 

 

 

 

Yaoundé 14 août (CAP) - A Yaoundé la capitale camerounaise depuis une dizaine de jours, un recrutement des combattants se fait au niveau du carrefour de la Vallée, menant à l’ambassade de la République centrafricaine au Cameroun. Ce recrutement est opéré, d’après des sources dignes de foi, par des officiers de la garde prétorienne de Bozizé avec en tête, un lieutenant de l’ancienne garde prétorienne de Bozizé.

 

Les mêmes sources précisent que le but de ce recrutement est d’amener les nouvelles recrues à aller combattre le pouvoir en Centrafrique qui a  fait tomber Bozizé le 24 mars dernier.

 

Le recrutement se fait sur une promesse directe d’une cinquantaine de milliers de F CFA. Peuvent être recrutés des gens qui disposent d’une carte consulaire. Une partie de ces hommes ont regagné la ville de Bertoua, « attendant des instructions du patron » (ndlr : François Bozizé),

 

Ce sont donc ces nombreux jeunes centrafricains désœuvrés qui se trouvent au Cameroun dans l’espoir de bénéficier d’une prise en charge par le Haut commissariat aux Nations unies pour les réfugiés qui sont ciblés par cette campagne de recrutement.

 

Le recrutement s’était momentanément arrêté avec l’arrivée des autorités centrafricaines au Cameroun dans le but de négocier le retour volontaire des ex-FACA. La première liste a été remise à Levi Yakété qui s’est rendu à Douala puis à Yaoundé.

 

Notons que depuis la chute du régime dictatorial de Bozizé, nombreux éléments des FACA et de la garde prétorienne de Bozizé se sont réfugiés au Cameroun, vivant dans des conditions précaires. Certains sont obligés de se livrer à des activités peu orthodoxes pour la survie.

Recrutement des combattants du FROCCA de Bozizé au domicile d’un de ses lieutenants à Yaoundé
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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 10:48

 

 

 

 

PARIS, France, 13 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Extrait du point de presse – 13 août 2013

 

Q : Le président déchu de République centrafricaine François Bozizé se trouve en France et demande que la France joue un rôle actif dans la résolution de la crise dans son pays. Quelles initiatives a-t-elle pris et peut-elle encore prendre pour contribuer au retour à l’ordre constitutionnel en Centrafrique ?

 

R : La France soutient l’action de la Communauté économique des Etats d’Afrique centrale et de l’Union africaine en faveur de la stabilisation de la RCA et d’une sortie de crise durable. Elle salue le déploiement de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA). Elle s’est fortement engagée en ce sens au Conseil de sécurité des Nations unies et au sein de l’Union européenne, pour renforcer la mobilisation internationale.

 

Face à la dégradation de la situation humanitaire, la France a également débloqué une aide d’urgence ainsi qu’une aide alimentaire de 2 millions d’euros. Cette assistance s’ajoute à la contribution humanitaire de l’Union européenne, qui s’élève à 20 millions d’euros.

 

Signature : APO

 

Situation en République centrafricaine – Extrait du point de presse – 13 août 2013
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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 10:46

 

 

 

RFI   mardi 13 août 2013 à 11:15

 

Le président déchu centrafricain François Bozizé était samedi dernier notre invité. Il a affirmé vouloir reprendre le pouvoir dans son pays « si l'occasion se présente ». L'ancien président a aussi annoncé la création d'un Front pour le retour de l'ordre constitutionnel en Centrafrique (Frocca), qui aura pour mandat de « suivre de près et dénoncer tout ce qui se passe au pays ». Réaction à Bangui : Maurice Yondo, porte-parole de la présidence de la République affirme que le pouvoir actuellement en place à Bangui n'a aucune leçon à recevoir de l'ancien président.

 

Maurice Yondo   Porte-parole de la présidence de la République

 

« Bozizé a pris le pouvoir par les armes pour ensuite légitimer ça par les urnes. On connaît la technique en Afrique. (…) Et quand on perd le pouvoir on est plus d’accord, on dit qu’on cherche le retour à l’ordre constitutionnel. Je pense que ce n’est pas honnête. Il n’a pas respecté la Constitution pendant qu’il gérait la chose publique. Il n’a de leçons à donner à personne. »

Bozizé «n'a de leçons à donner à personne», estime le porte-parole de la présidence
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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 10:44

 

 

 

 

 

BBC 13 août, 2013 - 16:34 GMT

 

Le gouvernement tchadien a suspendu toutes les activités de la filiale tchadienne de la compagnie pétrolière publique chinoise CNPC pour "violation flagrantes des normes environnementales" dans ses forages d'exploration dans le sud du pays.

 

Le ministre du Pétrole, Djérassem Le Bémadjiel, qui a annoncé la suspension, n’a pas précisé la durée de cette mesure.

 

Le ministre a dénoncé le comportement de la China National Petroleum Corporation International Chad à Koudalwa dans le sud du pays.

 

"Non seulement ils n'ont pas d'équipements pour le nettoyage de brut qui était déversé, mais c'est en plus un déversement intentionnel dans le souci de réduire les coûts", a accusé le ministre.

“Toute la chaîne hiérarchique de cette société va répondre de ses actes", a-t-il assuré.

La CNPCIC mène depuis 2009 des campagnes d'exploration dans cette partie du pays. Elle exploite également une raffinerie au Tchad.

 

Le pays a commencé à exploiter ses gisements pétroliers en 2003.

Les revenus pétroliers lui ont permis de moderniser son armée, de se doter d'un meilleur réseau routier et de construire de nombreux bâtiments publics.

 

Mais certains membres de la société civile demandent au régime d'employer davantage cette manne pour l'amélioration des conditions de vie de la population.

 

Pétrole : le Tchad se fâche
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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 10:42

 

 

 

 

BANGUI, 13 août 2013 (AFP) - Une épidémie de rougeole affecte toute l'étendue du territoire centrafricain, a annoncé mardi à la radio nationale le ministre de la Santé, Dr Aguid Sounouk.

 

"J'en appelle au gouvernement national de la transition et tous les partenaires de la santé, de se mobiliser pour des actions urgente (...) afin de minimiser l'impact de cette épidémie (...)", a déclaré le ministre.

 

A l'origine de cette situation, selon M. Sounouk, "des flambées de rougeole dans plusieurs sous-préfectures du pays contre lesquelles aucune action de riposte n'a été organisée pour circonscrire l'épidémie" dès décembre 2012.

 

Le ministre a alerté sur les risques pour les plus jeunes, du fait de "la forte contagiosité de la rougeole" et que les "enfants atteints sont pour la plupart non vaccinés contre cette maladie".

 

En mai, une campagne de vaccination contre la rougeole a concerné seulement 122.000 enfants à Bangui et ses environs, mais rien n'a pu être mis sur pied pour les 1,5 million d'enfants vivant en province.

 

L'ONG Médecins sans frontières (MSF) avait affirmé début juillet que le pays était au bord d'une catastrophe sanitaire, trois mois après la prise du pouvoir à Bangui par la coalition rebelle Séléka, accompagnée d'un pillage systématique des infrastructures de santé.

 

Cette situation laisse présager "une aggravation des taux de mortalité dans les prochains mois", y compris pour des pathologies "courantes et soignables" telle que la rougeole, selon MSF.

La Centrafrique touchée par une épidémie de rougeole
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12 août 2013 1 12 /08 /août /2013 11:21

 

 

 

 

RFI  dimanche 11 août 2013 à 01:09

 

Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, dénonce une situation « inacceptable » en République centrafricaine, où des rebelles de la Seleka continuent de « rançonner la population et de semer le chaos », particulièrement en dehors de Bangui. Ban Ki-moon dresse ce constat accablant dans un rapport adressé au Conseil de sécurité, auquel il demande d’agir. 

 

Avec notre correspondant à New York, Karim Lebhour

 

Le rapport de Ban Ki-moon décrit un « effondrement de l’Etat de droit » en RCA. Le secrétaire général de l’ONU dénonce l’impunité d’éléments « incontrôlés » de la Seleka qui se livrent à des exactions contre les civils : viols, pillages, meurtres... En dehors de Bangui, dit l’ONU, l’autorité judiciaire a disparu.

 

Ce rapport sera examiné mercredi 14 août par le Conseil de sécurité. Ban Ki-moon demande au Conseil de prendre des sanctions. Un moyen de mettre la pression sur le gouvernement de Michel Djotodia et Nicolas Tiangaye pour les pousser à travailler ensemble. Ban Ki-moon veut aussi un comité d’experts chargé de surveiller la situation en Centrafrique et des moyens supplémentaires pour la mission de l’ONU sur place, dont les locaux ont été pris pour cible.

 

En résumé, le secrétaire général de l’ONU veut que le Conseil de sécurité se saisisse sérieusement de la crise en Centrafrique, qui n’a pour l’instant fait l’objet que d’une attention distante de la diplomatie internationale.

 

 

NDLR : L’état de droit avait déjà disparu sous le règne de Bozizé sur vers la fin et ce avec une certaine complicité des Nations Unies dont les différents représentants en Centrafrique n’avaient point osé lever le petit doit devant les intolérables agissements de Bozizé, particulièrement la distribution à grande échelle d’armes et de machettes à ses partisans et autres miliciens qu’il organisait au vu et aux yeux de tout le monde. Les Nations Unies ont laissé Bozizé organisé et réussir tranquillement et scandaleusement son hold-up électoral en janvier 2011. On connaît la suite…. A présent il annonce ouvertement son intention de revenir au pouvoir pour se venger. Que pensent les Nations Unies de ses projets de recourir une fois de plus à la force et la violence armée pour reconquérir le fauteuil présidentiel après avoir dix ans durant été champion de la mal gouvernance, d’un pouvoir familial, népotiste, clanique et de prédation ?

Centrafrique : Ban Ki-moon épingle la Seleka et demande des sanctions
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12 août 2013 1 12 /08 /août /2013 10:32

 

 

 



Le CENTRAFRIQUE et son peuple vivent depuis le 24 mars 2013, des périodes de leur histoire, aussi douloureuses parfois plus douloureuses que les affres de la colonisation et les dérives de gouvernance de certains fils non soucieux du bien-être de leurs propres frères et sœurs. 


La raison de cet enfer immérité vient de ce que Bozize, en dénudant les forces armées centrafricaines, a exposé le CENTRAFRIQUE et son peuple à la merci des envahisseurs étrangers. Il avait déjà montré le chemin en allant chercher de l'aide auprès de son mentor devenu finalement son bourreau, à qui il a demandé du renfort armé pour s'emparer du pouvoir de Bangui. 


Quand on fait une telle démarche, on ne fait rien de moins que trahir son pays, son peuple, même si l'intention était de sortir ce peuple d'une certaine difficulté. C'est dire qu'un tel problème aurait dû se régler exclusivement avec la participation, uniquement que, des centrafricains. Aujourd'hui, Bozize, après avoir plongé le pays et son peuple dans une situation honteusement pitoyable et douloureuse, se permet de dire qu'il est prêt à retourner à BANGUI, pour reconquérir le pouvoir qu'il a perdu. Personne ne peut se fier à de tels propos si ce n'est que croire que celui qui les tient doit avoir des fourmis dans la tête. Prendre une telle position n'est pas non plus donner un quitus au chef de la SELEKA qui a décidément mis les pas dans ceux de BOZIZE. 

La réalité est que comme BOZIZE, il s'est entouré de troupes étrangères pour conquérir le pouvoir de BANGUI, et comme BOZIZE qui n'écoutait personne, il est décidé à mourir s'il le faut, pour conserver ce pouvoir car dit-il «  je n'ai pas peur de mourir ». Pendant ce temps, ses hommes tuent les centrafricains dont il est chargé de la protection, sans qu'il parvienne à les en empêcher. Bref, faudrait-il qu'il soit encore vrai centrafricain pour ne pas laisser toutes les dérives caractérisées par les tueries, les enlèvements, les viols, les saccages, les pillages et les réquisitions arbitraires des logements des pauvres centrafricains illustrer le nouveau mode de gouvernance qui est celui de la SELEKA. 


Gouverner un pays, ce n'est pas faire des nominations à longueur de journée. Gouverner un pays, ce n'est pas badigeonner les murs des vieux bâtiments pour leur donner une apparence nouvelle. Gouverner un pays ce n'est pas changer les dénominations des institutions majeures, pour faire croire à une rénovation. C'est une méthode qui rappelle étrangement les gouvernements d'Afrique des années soixante-dix, où il suffisait de changer le nom d'un pays, le nom de sa capitale, le drapeau parfois, le nom d'un aéroport ou d'un stade pour faire la une des journaux nationaux et internationaux. 


Nous ne sommes plus à cette époque-là. Aujourd'hui, on parle de grands chantiers et d'avenir. Débattre de la question des FACA qui doivent devenir un ARC est un non-sens, alors, ce sujet ne mérite même pas un débat car on voit bien que c'est du divertissement, mais un divertissement dangereux. Car, après cela, il suffira de penser à changer le nom de BANGUI, de CENTRAFRIQUE, de refaire une autre devise, de changer les noms de toutes les institutions pour que la boucle soit bouclée et que vive l'islamisation camouflée, qu'on ne veut pas brandir aujourd'hui. La tombe de BOGANDA n'avait-elle pas été déjà saccagée ? Un signe qui ne trompe pas ?

Le chef de la SELEKA ignore ou fait semblant d'ignorer que le pays est dans une période de transition et que le travail d'une transition n'est pas celle qu'il est en train de conduire. A quoi sert la feuille de route de la transition ? Faut-il attendre de passer un voire deux ans avant de penser à la mise en place réelle de cette feuille de route ?

 
L'aboutissement final de cette feuille n'est-elle pas la sécurisation du pays et l'organisation d'élections libres et transparentes ? L'armée centrafricaine, les FACA doivent rester entièrement une armée centrafricaine, qui ne doit compter que des nationaux centrafricains en son sein. Le seul soudanais ou tchadien qui serait admis dans cette institution serait une grave atteinte à la sûreté de l’État et les centrafricains ne devraient pas accepter une telle entorse à leur sécurité. Et même les tchadiens qui occupent des postes ministériels aujourd'hui dans le gouvernement constituent une honte pour le pays tout entier et nous renvoient à l'époque de l'empire, où nous étions une curiosité mondiale.


Les mêmes erreurs qu'a commises BOZIZE en son temps sont en train de se répéter, aggravées de «  l'acceptation des hommes étrangers dans l'administration centrafricaine ». Seuls les centrafricains peuvent dire non à cette humiliation et refuser de collaborer avec un tel système. Cela passe par la manifestation d'être centrafricain, d'être fier de l'être et par l'honneur d'être un homme comme tout autre et de refuser de se soumettre à un pouvoir dans lequel on ne se reconnaîtrait pas. 

La FRANCE a souffert du nazisme à une époque donnée de son histoire, elle a su tirer les leçons de cette période pour retrouver son statut de pays libre et fort. La délation et la collaboration avaient favorisé cet état de soumission, la solidarité et le patriotisme ont permis à la FRANCE de relever la tête. Tirons une bonne leçon de cette grande histoire.



Adolphe PAKOUA

CENTRAFRIQUE : CENTRAFRICAINS, N'AIDONS PAS A TUER LE PAYS DE BOGANDA par Adolphe Pakoua
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12 août 2013 1 12 /08 /août /2013 10:31

 

 

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...Tu recevrais, en échange, le prompt accomplissement de cette promesse faite au 8ème siècle par la bouche du prophète Ésaïe à Juda qui, 230 ans plus tard, partira en exil à Babylone (586 avant Jésus-Christ) et en reviendra, effectivement, 70 ans plus tard :

* ÉSAÏE 49 : 13 - 17

"13 O cieux, poussez des cris de joie ! Ô terre, réjouis–toi ! Criez de joie, montagnes, parce que l’Eternel a consolé son peuple et qu’il a compassion des affligés. 14 Cependant, Sion dit : L’Eternel m’a abandonnée, oui, le Seigneur m’a oubliée. 15 Une femme oublie–t–elle l’enfant qu’elle nourrit ? Cesse–t–elle d’aimer l’enfant qu’elle a conçu ? Et même si les mères oubliaient leurs enfants, je ne t’oublierai pas ! 16 Voici : je t’ai gravée dans le creux de mes mains, je pense constamment à tes remparts. 17 Déjà tes fils accourent, ceux qui te détruisaient et qui te ravageaient s’en iront loin de toi."

Dieu est le même, hier, aujourd'hui, et éternellement. Ce que Sa bouche a dit, Sa main l'accomplira, tôt ou tard.

Que ceux qui connaissent l'Éternel des cieux et qui L'invoquent d'un coeur pur persévèrent dans leurs supplications en faveur du Centrafrique ! De notre vivant, ou pas, Il délivrera le Centrafrique de sa tragique souffrance, conséquence légitime de tous ses péchés, petits ou grands.

Un soupir de profonde souffrance et de désespoir : si seulement nos dirigeants, actuels et à venir, pouvaient cesser de rendre culte à des puissances obscures par diverses alliances sataniques et pourtant, celles-ci sont formellement et irrémédiablement vaincues, pour l'éternité, à la croix de Golgotha, par le Seigneur Jésus !

Continuons de crier notre impuissance humaine face à ces esprits démoniaques au pied du Trône de la Grâce ! La délivrance est proche.

C'est l'Éternel des cieux qui l'opèrera, avec puissance, à la seule gloire de Son Nom Tout-Puissant !

CMM

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