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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 02:14

 

 

 

Hayatou-copie-1.jpg

 

 

APA-Marrakech (Maroc)2013-03-10 15:41:21 - Le Camerounais Issa Hayatou, seul candidat à sa propre succession, a été élu au poste de président de la Confédération africaine de Football (CAF), ont révélé diverses sources au Maroc.


Lors du congrès de la CAF qui se poursuit dans la ville marocaine de Marrakech, M. Hayatou, actuellement âgé de 66 ans, a été élu pour un autre mandat de quatre ans qui, a-t-il déclaré, sera son dernier à la tête du football continental.


Issa Hayatou a été vivement ovationné par les délégués de la CAF suite à sa confirmation au poste de président de l'institution et a reçu un certificat spécial de la FIFA pour son jubilé d'argent en qualité de membre du Comité exécutif de l'organe dirigeant du football mondial.

La réélection de M. Hayatou, dont le premier mandat pour diriger le football africain remonte à 1988, a été brièvement contestée par Jacques Anouma de la Côte d'Ivoire lors du second tour du congrès, mais cette tentative a été gâchée par une modification de règles du jeu qui stipule que les personnes non membres du Comité exécutif de la CAF sont automatiquement éliminées de la course à la présidence.


Les arguments de M. Anouma ont été rejetés par le Tribunal arbitral du sport (TAS), qui venait ainsi de baliser le chemin pour un huitième mandat à Hayatou, faisant de lui l'inamovible président de la CAF depuis sa création en 1957.


Durant sa jeunesse, Hayatou qui vient de rempiler à la tête de la CAF, a pratiqué des disciplines sportives tels que l'athlétisme et le basketball.


Par ailleurs, le congrès de Marrakech doit également procéder à l'élection de quatre membres du Comité exécutif de la Confédération, mettant en compétition plusieurs candidats dont le principal organisateur de la Coupe du Monde de football de 2010 en Afrique du Sud, Danny Jordaan, qui va se battre pour le siège réservé à l'Afrique australe.


Danny Jordaan avait échoué dans sa première tentative d'intégrer le Comité exécutif de la CAF, lors du congrès de l'organisation en 2011 au Soudan.

 

 

 

NDLR : La seule question qui vient à l'esprit est : ce monsieur, quelles que soient ses qualités, est-il si indispensable pour le développement et l'épanouissement du football africain? Le moins que l'on puisse dire est qu'il a envoyé un très mauvais signal à tous les chefs d'état africains qui font tout pour mourir au pouvoir, quitte à voler les élections  ou modifier les constitutions comme veut faire BOZIZE en Centrafrique

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 03:05

 

 

 

yanga-mbiwa-mapou-22747.jpg

 

 


MONTPELLIER   AFP / 22 janvier 2013 16h17 - Le défenseur international et capitaine de Montpellier (Ligue 1), Mapou Yanga-Mbiwa, s'est (....) engagé avec le club anglais de Newcastle sous réserve de la traditionnelle visite médicale, annonce mardi le club héraultais de football.



Natif de Bangui (Centrafrique), Yanga-Mbiwa, 23 ans, avait prolongé cet automne son contrat de deux ans, le liant jusqu'en 2015, en contrepartie d'un bon de sortie. Sollicité cet été par Arsenal et le Milan AC, il s'était vu opposer le veto du président Louis Nicollin.


(©)

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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 01:30

 

 

ACCRA 2012

 

Après Foxi Kéthévoama et Hilaire Momi qui avait été nommés pour le titre de " joueur africain de l'année" au mois d'octobre, cette fois c'est une nomination collective qui vient rendre hommage au football centrafricain.

En effet, les fauves du Bas-Oubangui sont nommés pour les Glo-CAF awards dans la catégorie "équipe nationale de l'année" en compagnie de la Zambie (champion d'Afrique), la Côte d'Ivoire (Vice-champion d'Afrique) et du Cap-vert.

Les fauves doivent leur nomination à leur bon début d'éliminatoires de la coupe du monde 2014 et aussi à leur très bon parcours lors des éliminatoires de la CAN 2013 avec notamment l'élimination de l'Egypte et la magnifique victoire en Egypte (3-2). Les fauves ont fait un bond énorme au classement FIFA en étant en ce moment 8e pays africain.

Le nom du vainqueur sera annoncé le jeudi 20 décembre à l'occasion de la traditionnelle cérémonie de remise des prix qui aura lieu cette année au Banquet Hall, State House, à Accra au Ghana.


Centrafrique Football.

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27 novembre 2012 2 27 /11 /novembre /2012 03:14

 

 

 

Serge Bok

 

 

 

Bangui, 26 nov (CAP) - Après son élimination de la CAN de football par le Burkina-Faso, la RCA devait prendre part aux phases éliminatoires du Championnat d'Afrique des Nations de football (CHAN) en recevant les Diables Rouges du Congo en match aller à Bangui ce 30 Novembre.


Malheureusement, le ministre des sports le sulfureux Jean Serge Bokassa a fait déclarer forfait la sélection nationale alors que le président de la Fédération centrafricaine de football, Edouard Patrice Ngaïssona s'était préalablement engagé à financer cette participation mais il a dû abandonner son projet en raison de la décision du ministre Bokassa.


La CAF a rendu ce lundi son verdict en infligeant à la Fédération centrafricaine de football le paiement d’une amende de 1000 $ US ! En apprenant la nouvelle, Bozizé serait entré dans une fureur et aurait ordonné ce jour que l'amende soit prélevée sur le salaire ministériel de Jean Serge Bokassa.


Comme nous l'écrivions dans notre récente parution, le prochain départ du gouvernement de Serge Bokassa serait quasiment acquis puisque Cécile Digo Kolingba serait déjà dans les starting-blocks pour lui succéder au portefeuille de la jeunesse et des sports.

 

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 22:22

 

 

 

Djodjo Bozizé casque aux oreilles

 

 

FEDERATION CENTRAFRICAINE DE BASKETBALL



Alors que nombres d’entreprises privées peinent à se faire payer des factures des travaux réalisés avant, pendant et après les éliminatoires Afrobasket 2013, la FCBB auréolée par le succès de la réhabilitation de l’Omnisport et la qualification de la RCA à la CAN prochaine fait dans la danse du ventre et oublie d’honorer les ardoises laissées sur son dos. Mais combien de temps durera le temps de gloire ?


APPELS PATRIOTIQUE ET NATIONALISTE ABUSES.

 

Elles sont nombreuses les entreprises locales enrôlées pour la fourniture des équipements et des matériaux de réhabilitation du palais omnisport, pour l’organisation des compétitions AFROBASKET 2013. Elles, se sont : complexes hôteliers, agence d’accueil, agence de communication, sécurité privée, manœuvres et autres services retenus pour réhabiliter Omnisport et soutenir la messe sportive internationale. A différentes dimensions et besoins exprimés par la FCBB, l’ensemble des parties énoncées ont, à leur tour,  soit sous-traité avec leurs fournisseurs, soit enrôlé d’autres entreprises-sœurs  pour des meilleurs résultats. Y a-t-il eu  signature de contrat de marché, de bons de commande à la base ?


Un éditorialiste d’une radio privée a tenté la question de savoir si le traitement de « dossier Omnisport » était-il légal mais s’est très vite résolu en ces termes : « Le mystère entoure la réhabilitation de l’Omnisport. Le pari en vaut un mais sa réalisation mérite que les autorités en charge du dossier apportent beaucoup de clarification sur les conditions d’acquisition du marché et la provenance du financement. » Chacun y va de sa préoccupation, qui n’est pas exempte de calculs.

 

« Aucune cérémonie de lancement de travaux ni de remise de celui-ci à qui on ne sait. Jusqu’alors l’on ne sait si Omnisport est une propriété de la famille Bozizé et ou un bien de l’état centrafricain après sa rénovation. » Lance de son côté un cadre au Ministère de l’Urbanisme. « Le président de la fédération disposerait même d’une chambre à couché haut standing et même d’un cachot privée à l’intérieur. Ce qui sous-entendu, pour le président de la FCBB, Omnisport est son patrimoine» Conclut un étudiant de 3e année de Droits à l’Université de Bangui.


La question posée restera centrale : secret des dieux.  Sinon rien n’est moins sure car des personnes ressources concernées ne ménagent d’efforts pour exprimer de sérieux regrets de s’être aventurés à soutenir le projet d’une personne (ou d’une famille au pouvoir) aux doublures imprévisibles et comportement infréquentable. « Lorsque la FCBB a frappé à notre porte, elle avait tout le verbe nécessaire pour nous convaincre de soutenir les efforts de la réhabilitation de l’Omnisport et soutenir les Fauves de Basketball. Les agents appelaient au Patriotisme et Nationalisme. Ils étaient prêts à se plier en quatre pour nous faire faire leur volonté même sans un franc payé d’avance. » Se souvient encore un homme d’affaires rencontré au Km5.


Plus d’un mois passé, jour après jour, que les rideaux sont tombés sur les Éliminatoires AFROBASKET 2013, aucune communication n’est donnée pour fixer l’opinion nationale sur le stade Omnisport, sa source de financement, ses conditions d’utilisation, encore moins le payement des soldes et autres factures émises à la FCBB. Ceci dit rien n’est pour demain.  Aussi en parler en public ou revendiquer un quelconque payement de solde constitue une récrimination à l’égard de la FCBB.


Pour se désolidariser des clients, devenus gênants, qui attendent d’elle le règlement total de ses obligations, l’institution nationale en charge du basketball,  va afficher mépris, multiplier des défenses contradictoires, donner des rendez-vous erronés, ne plus décrocher d’appels téléphoniques, renvoyer rencontrer le président de la FCBB et pour se coller la paix va faire responsable de tout payement de factures le président de la république, chef de l’état.


BIS REPETITA. La fédération centrafricaine de basketball s’était vue confiée l’organisation de l’Afrobasket 2013 par la fédération internationale de Basket Association (FIBA) avec condition de normaliser le stade qui devrait accueillir la compétition aux règles internationales. La FCBB, avec à la présidence Joseph François Bozizé, Djodjo pour son premier cercle, va pousser l’ambition extrême pour réhabiliter le palais omnisport, jadis construit par des yougoslaves à la demande du défunt empereur Jean-Bedel BOKASSA sur fond de contribuables centrafricains.

 

Pour Djodjo, se sera le début d’un pari à gagner s’il venait à le réaliser, à quitte ou double. Tombé en ruine au lendemain de la chute de l’empire en 1979, malgré son coût estimé à de milliards de Fcfa, ce joyau sportif centrafricain, lequel avait abrité le couronnement du feu père constructeur de la RCA, n’a pu être rénové par différents régimes politiques qui se sont succédé. Limites ou mauvaises volontés politiques ? Personne n’a de réponse à donner mais les faits étant têtus, l’histoire répétée en République centrafricaine va enclencher un nouveau départ, avec Joseph François Bozizé en acteur principal.


Le discours d’ouverture de l’Afrobasket 2012 tenu ce jour, 29 septembre par le président de la FCBB, devant la nation centrafricaine, les sportifs de la CEMAC et la communauté internationale réunis dans l’enceinte du palais sportif ajusté, a dénoncé la mauvaise gouvernance ménagée par différentes personnes qui ont succédé à la tête de la fédération nationale du Basketball et le département du Sport. Joseph François Bozizé, en restaurateur de vestige, va marquer 1000% de notes additionnelles et se voit redorer son blason jadis débridé. Le peuple centrafricain a salué l’effort de la FCBB et a oublié le passé méphistophélique de « DJODJO » mais attend Joseph François Bozizé au tournant. Personne n’a eu tort.


AU NOM DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ET AVEC SON ARGENT, TU REALISERAIS….


Depuis juin 2012, le nom et l’argent du président centrafricain restent toujours présents à la FCBB. Même une banale confusion de patronyme ne le permettra pas. Il s’agit bel et bien de M. François Bozizé YANGOUVONDA, président de la République, Chef de l’Etat Centrafricain dont le nom revenait régulièrement dans les causettes des proches de Djodjo au lendemain de l’annonce de la réhabilitation de l’Omnisport. Pour ces niais compagnons, selon le fils-président, le fonds de réhabilitation proviendrait de la « bourse » personnelle de Bozizé-père qui se doit soutenir l’ambition de Bozizé-fils.


Le budget prévu, près de 400 millions de Fcfa devraient provenir du Trésor Public mais n’étaient pas disponible au moment d’engager les travaux. Pour ce fait, selon des sources anonymes provenant de la FCBB, en fin juin début juillet,  le Président de la République aurait ouvert un chapitre dans son « propre » budget en guise d’avance sur les frais de réhabilitation et se serait fait rembourser par le trésor public en plein septembre.  En même temps, la télévision nationale et une certaine presse écrite banguissoise font l’éloge, tous les week-ends des mois de juillet et août 2012 d’une campagne de contribution nationale à la tête une dame Kolingba dont les missions consistent à organiser matchs de basketball, sensibiliser l’opinion publique et collecter de fonds inter arrondissements et inter entreprises pour soutenir la réhabilitation de l’Omnisport.


Cependant, les travaux de réhabilitation avançaient, certainement et sans nul doute sur fonds-Bozizé, dans la plus grande discrétion absolue. Certaines entreprises spécialisées en bâtiments et revêtements d’aire de jeux ont été mises en contribution sur un principe de marché gré à gré violant de manière métallique et bien carrée les lois nationales d’attribution de marché public. Ici, cela ne devrait pas être le cas, dira-t-on.


LE MELANGE FONDS PRIVE – FONDS PUBLIC NE FAIT PAS BON MENAGE. « L’argent confié à Djodjo nécessaire pour réhabiliter l’Omnisport et organiser l’Afrobasket dépasse le montant prévu et suffirait à honorer les ardoises laissées actuellement sur le dos de son père. » A affirmé, avec consternation, un membre anonyme de la FCBB, mais déclaration qui corrobore les témoignages du personnel  du Cabinet des Finances, de la Direction des dépenses et Budgets, du Trésor Public centrafricain qui se souviennent des multiples et insistants appels téléphoniques effectués au nom du Président de la République enjoignant Ministre des Finances, Directeur de cabinet de ce dernier et du Directeur du Trésor de lui servir l’argent liquide commandé par Bozizé-père. Ainsi, les passages de Djodjo à la caisse du Trésor pour décharger des espèces ne sont pas à compter. Si l’affirmation du proche collaborateur s’avère probant comment considérer Djodjo lorsqu’il traitait ses prédécesseurs et chefs hiérarchiques des démons de finances publiques dans son discours d’ouverture d’Afrobasket ? 

 

FRANÇOIS BOZIZE PAYERA LES ARDOISES DE LA FCBB.

 

Reconnu père protecteur de ses fils, François Bozizé est dans le collimateur de nombreux centrafricains et entreprises mécontents qui ont apporté leurs concours à la réhabilitation de l’Omnisport et à l’organisation de l’Afrobasket 2013. Car depuis qu’il est dit qu’il revient à Bozizé-père de régler les soldes des prestataires de services de la FCBB, tous les regards sont tournés vers la présidence de la République d’où viendra l’argent nécessaire à l’épurement des soldes restants. Pour illustrer son impatience, un commercial d’hôtel, désabusé, assure des craintes possibles du non-paiement du solde d’hôtel qui monte à plusieurs milliers de FCFA.

 

« Nous n’avons aucune garantie pour nos reliquats. Nous savons que la FCBB est autonome dans la gestion de ses actifs. Mais que le payement se ferait par un certain François BOZIZE, président de la République est insensé. Comme si c’était ce dernier qui était faire des réservations dans nos locaux… Nous avons affaire, dans ce cas de figure,  à une fin de non-recevoir. Comprenez que nos espérances s’amincissent.»

 

Un des nombreux ouvriers qui a travaillé, à la tâche, à la réhabilitation du complexe sportif pense « Qu’il est ridicule de considérer cet argument. Personne ne saura jamais que l’argent lui a été déjà donné au en liquide ou pas. C’est de la diversion. D’ailleurs, je l’ai vu jeter, à l’air libre, plusieurs liasses de cinq (5000) Fcfa à l’ouverture et à la clôture de l’Afrobasket aux danseuses et à ses valets. Sans dire aussi qu’il a faroté au Night-club LE ZODIAC cette même nuit de clôture de la manifestation. »


GROS BRAS. Ni lui-même Djodjo, ni le secrétaire général, ni le trésorier général  de la fédé n’a daigné revenir vers les clients tenir un langage d’apaisement. « Ils ne le feront jamais. C’est mal connaître ces gens.» Dit un passant qui s’intéresse au dossier et poursuit en ces termes « Tout ce monde qui constitue la sphère du président de la FCBB fait confiance à la réputation de DJODJO pour envoyer balader qui ose demander ses dus. La fédé sait que Djodjo est infréquentable et insupportable, un mauvais client et donc plus facile pour elle (FCBB) de se couvrir en brandissant son nom pour justifier un laxisme connu d’avance. C’est un Gros bras, Djodjo. »


LE GANGSTERISME ERIGE DE LA FCBB EXPLIQUE L’IMPUISSANCE DU MINISTERE EN CHARGE DE SPORTS.

 

La recherche d’intermédiaire favorable au payement des factures ne pronostique pas les ayants-droits pris dans les encolures  de la FCBB. Le ministère en charge des sports qui a l’autorité directe sur la FCBB est en mal de considération par la nouvelle présidence du Basketball. Pour dire que le chef du département des Sports ne digère pas l’extrême insubordination du président de la FCBB. Un fonctionnaire dudit ministère soutient son chef de département avec cette assertion, pas grand confortable : « Tout est parti d’un manque d’humilité de la part du président de la FCBB qui arrive à ce poste avec une antipathie monstrueuse contre le ministre actuel. Ce dernier est dans le collimateur du président de la FCBB avant même de briguer la présidence de la FCBB. On ne sait pour quelle raison. Ils ont une collaboration givrée depuis toujours que nulle n’ose les raisonner. »


Dans les débits de boissons à Bangui, l’animosité entre le ministre de la jeunesse, des sports, des arts et de la culture et le président de la fédé de basketball se raconte comme un presque vécu zimbabwéen avec cette fois Djodjo dans la peau du vieux Mugagbé et le ministre dans celle de Tsvangiraï.  Ni l’un ni l’autre ne supporte l’initiative de l’autre et vice versa. Dans le cercle du président de la fédé, le ministre est un tout sauf un supérieur hiérarchique qui ne pense qu’à se faire pleine la poche et qui a couvert l’ancienne équipe dirigeante de la FCBB.


Cette ambiance qui règne entre les deux autorités citées ci-haut connue du centrafricain ne profite pas au règlement de conflit comme c’est le cas. Ni l’un ni l’autre ne peut apporter une solution aux nombreuses personnes qui attendent justice de leur part. La question restera latente dans la gorge du centrafricain mais peut exploser, d’une façon ou d’une autre, avec ce temps qui court.


Une situation à laquelle le président François Bozizé doit aussi trancher avec intelligence et sans bruits de bottes et de lacrymogènes. En Centrafrique,   l’exemple a toujours donné que pour le franc cfa le centrafricain est prêt à la poussée de fièvre mais aussi à avaler les éruptions du volcan s’il est payé.

Arthur Gonitoua

 

 

 


Pour un piquet de déviation renversé, Joseph Bozizé frappe


Radio Ndéké Luka Vendredi, 16 Novembre 2012 13:31

 

Sur instruction du président de la Fédération centrafricaine du Basketball, Joseph Bozizé, un conducteur de taxi et un sapeur-pompier ont été passé à tabac dans la nuit du 14 au 15 novembre. Le taximan aurait imprudemment renversé un piquet de déviation devant l’Omnisports de Bangui et s’est fait torturer avec son client.


Selon les témoignages des parents des victimes interrogés par Radio Ndeke Luka, « le taximan et le militaire ont été arrêtés par les éléments de Joseph Bozizé, alias Jojo pour avoir renversé un petit panneau de déviation devant le complexe sportif Omnisport ».


D’autres témoins ont expliqué que « c’est par inattention que le conducteur de taxi aurait fait tomber le piquet. Jugeant l’acte d’un fait exprès, le fils du Président Joseph Bozizé a ordonné à ses hommes de passer à tabac le taximan. Le client à bord, le sapeur-pompier, a tenté de donner des explications en brandissant sa carte de sapeur-pompier. Hélas ! Jojo lui a retiré la carte puis la déchiré », ont poursuivi les témoins.


Ainsi, le taximan et son client se sont faits emprisonner dans la geôle construite par le président de la fédération du basketball dans les locaux même de l’Omnisports à Bangui.


Informé du comportement de son conseiller en matière de la jeunesse, le président de la République, François Bozizé, « a demandé de rencontrer les victimes».


En dépit de tout, les victimes sont gardés à vue à la Section des Recherches et d’Investigations (SRI) à Bangui tandis que le taxi est maintenu à la présidence.


Radio Ndeke Luka a essayé  vainement de joindre Joseph Bozizé pour sa version des faits. Toutefois RNL reste dans l’attente de sa réaction.

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 15:01

 

 

 

 Ngaissona.jpg


http://www.sport365.fr  22/10/2012 à 13h27

 

La Fédération centrafricaine de football a saisi la CAF à propos de l'arbitrage de la rencontre entre le Burkina Faso et la Centrafrique, le dimanche 14 octobre dernier à Ouagadougou, conclue par la défaite (3-1) et l'élimination des Fauves. Explications.

 

Comme nous vous l’annoncions la semaine passée, la Fédération centrafricaine de football a saisi la CAF à propos de l’arbitrage de la rencontre entre le Burkina Faso et la Centrafrique, le dimanche 14 octobre dernier à Ouagadougou, conclue par la défaite (3-1) et l’élimination des Fauves. Outre le penalty sifflé en première période, la FCF conteste la gestion des temps additionnels par l’arbitre marocain du match, Bouchaib Al Ahrach.

 

« Le plus grotesque jugement consiste en la prolongation du temps réglementaire sous prétexte de récupération du temps perdu. Nous avons totalisé 112 minutes 27 secondes en considérant déjà une première prolongation de 5 minutes en première mi-temps sans aucun motif valable, étant donné que le match n’a connu aucune interruption importante », écrit la Fédération centrafricaine dans ce courrier adressé à la CAF et dont Footafrica365.fr s’est procuré une copie.

 

Autre argument de l’instance dirigeante, l’arrêt du chronomètre du stade, sept minutes durant alors qu’on disputait la 40eme minute de la seconde période. Et ce n’est pas tout. « Deux minutes après la reprise du chronomètre du stade, l’officiel a indiqué un temps additionnel de quatre minutes qui sera joué au-delà de toute attente plus de cinq minutes avant que l’adversaire puisse inscrire son troisième but. Cette manœuvre astucieuse, selon nous illégale, n’a eu pour but que de disqualifier notre pays. »

 

Et la Fédération centrafricaine, sous la signature de son président Patrice-Edouard Ngaissona (photo), de demander l’invalidation du troisième but marqué selon elle hors-délais. Le tirage au sort de la phase finale étant programmé mercredi, une réponse de la CAF est à souhaiter sous peu.


Patrick Juillard (Rédaction Football365/FootSud)

 

 

 

 

Lettre-de-Ngaissona-ala-CAF.JPGLettre-de-Ngaissona-ala-CAF-2-.JPG

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 21:44

 

 

 

 

Fauves du Bas-Oubangui

 

 

 

Il y a eu beaucoup de commentaires sur le match de football perdu et l'elimination des Fauves du Centrafrique à la derniere minute du match contre le Burkina.


Pour l'information par l'image, de comment cela c'est passé, un resumé et les 5 cinq dernieres minutes du match sont disponible sur TéléMLPC pour les amoureux du football.

 

 

www.lemlpc.net 

 

TVMLPC-logo.JPG

 

 

www.lemlpc.net 

 

 

L’élimination du onze (11) national centrafricain à Ouagadougou a été préméditée, orchestrée et exécutée par l’arbitre marocain


Source : Centrafricmatin octobre 19, 2012

 

Dans ce monde de péché, la manigance, la fraude, la malhonnêteté, en un mot, le mal se pratique à tous les niveaux, que ça soit en politique, en économie, en affaires, en sport, etc. et par chaque couche sociale, des plus nantis au plus démunis. C’est ce qui s’est passé dans la nuit du dimanche 14 octobre 2012 à Ouagadougou capitale du pays des hommes dits « intègres », le Burkina-Faso lors du match-retour comptant pour les phases éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui se jouera en janvier 2013 en Afrique du Sud.


Pour la petite histoire, le match-aller a  eu lieu presque un (1) mois plus tôt ici à Bangui, où les « Etalons » du Burkina-Faso ont été battus par les « Fauves de Bas-Oubangui » par un score très étriqué d’un (1) but à zéro (0). Avec un tel score, tout laissait présager une catastrophe pour les « Fauves de Bas-Oubangui », car leurs challengers devaient jouer à domicile et devant leur public. Beaucoup de supputations, de spéculations et de paris ont été faits au sujet de ce match-retour. Ce sera donc le dimanche 14 octobre 2012 que le déroulement de ce match allait connaître son dénouement. En tout état de cause, les « Fauves de Bas-Oubangui » ont pu relever le défi, d’abord par le fait qu’ils ont été les premiers à ouvrir le score à la 8ème minute de jeu, ensuite par leurs prestations nettement appréciables jusqu’à la fin du match. N’eût-été la haute magouille de l’arbitre marocain qui a reçu certainement un pot de vin de la part des dirigeants de l’équipe adverse qui a commencé par lui accorder un pénalty imaginaire et dépasser expressément par la suite le temps réglementaire, les « Fauves de Bas-Oubangui »  arracheraient absolument la qualification pour la « CAN 2013 » prévue en janvier prochain en Afrique du Sud. En principe, ce cas flagrant de magouille mérite sanction, mais apparemment, aucune alternative ne semble être envisagée, et la victoire semble être définitivement acquise pour les « Etalons » du pays des hommes « intègres » qui est le Burkina-Faso.


Il convient de souligner que cette défaite des « Fauves de Bas-Oubangui » face à leurs adversaires, les « Etalons » du Burkina-Faso, qui a été une véritable douche froide pour les fans du football centrafricain a suscité une réelle consternation au sein de la population en générale et particulièrement au sein de la jouvence. Interrogé par notre confrère José-Richard Pouambi de radio Ndéké-Luka, un fanatique a éclaté en sanglots et pleuré à chaudes larmes pendant qu’il livrait ses impressions sur la défaite inattendue du « onze (11) national » centrafricain, comme s’il s’agissait d’un véritable deuil national.


A cet effet, nous demandons aux fans de ce genre de faire preuve d’un peu de retenue, de tempérance, de moins de chauvinisme à l’avenir, de faire preuve également de stoïcisme afin d’éviter des conséquences préjudiciables pour leur propre santé mentale et physique. « La RCA a perdu une bataille, mais pas la guerre », comme disait le Général De Gaulle.


Pazza Gbatakoro

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 12:01

 

 

 

 

romain-sato.jpg


 

 

http://basketactu.com 18 octobre 2012 à 18:47 par Vincent Ricard


L’ailier de Fenerbahçe posséderait un faux passeport.


Selon nos confrères de Talkbasket, Romain Sato s’est vu refuser l’entrée sur le territoire slovène, à la sortie de l’avion qui acheminait les joueurs du Fenerbahçe à destination de Ljubljana. La police aux frontières aurait décelé plusieurs irrégularités sur le passeport de l’ancien swingman de Montepaschi Siena et du Panathinaikos, dont la présence de timbres de pays dans lesquels le néo-Stambouliote n’aurait en fait jamais mis les pieds.

 

Décrite comme étant une mauvaise imitation, la pièce a immédiatement été confisquée et l’extradition du Centrafricain en direction de son pays d’origine serait actuellement discutée.

 

Il est à noter que Sato, qui était censé participer à la rencontre d’Euroleague entre l’Union Olimpija et Fenerbahçe Ulker demain, a joué pendant plusieurs années sur le Continent européen sans que la moindre anomalie n’ait été détectée.

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 23:45

 

 

 

 

 

Fauves-du-Bas-Oubangui.jpg

 


Eliminés in extremis par le Burkina Faso, les Fauves de Centrafrique ne comprennent toujours pas comment leur match a pu donner lieu à un temps additionnel aussi long. La CAF va être saisie à ce sujet. Footafrica365.fr ouvre le dossier.

 

Cela fait presque trois jours que, dans la nuit de Ouagadougou, Alain Traoré a surgi pour ruiner leurs espoirs de se qualifier pour la première phase finale de Coupe d’Afrique de leur histoire. Tombés les armes à la main, les Fauves de Centrafrique sont retournés dans leurs clubs, en Europe, ou sur le continent africain. Et pourtant, cette défaite (3-1), synonyme d’élimination, ne passe toujours pas. Partout à Bangui, dans le pays et dans la diaspora, une seule question : par quel mystère l’arbitre marocain de la rencontre a-t-il pu laisser le temps additionnel de la seconde période durer neuf longues minutes ?

 

Quand on sait que le but de la qualification est intervenu alors que le chrono de la rencontre affichait la 96eme minute, cela n’a rien de fortuit. C’est même capital. Au point de susciter l’incrédulité. Lundi, les rues de Bangui se sont mises à bruisser d’une folle rumeur : le dernier but de la rencontre n’avait pas été validé, les Fauves étaient qualifiés.


Il n’en était évidemment rien, et c’est bien le Burkina Faso qui devrait disputer la CAN 2013 en Afrique du Sud. Actuellement sans club, le milieu de terrain et vice-capitaine des Fauves, Romaric Lignanzi, n’arrive pas à se résoudre à ce résultat. « Ce n’est pas juste. Il ne peut pas y avoir autant d’arrêts de jeu sur un match comme ça. Il y a quelque chose qui ne va pas », nous disait l’ancien joueur de l’US Bitam, incapable de trouver le sommeil, dans la nuit de dimanche à lundi. Désireuse de ne pas en rester là, la Fédération centrafricaine entend déposer une requête auprès de la CAF au sujet de l’arbitrage de la rencontre.

 

Epinglé par le passé dans une affaire de paris truqués dans son pays, Paul Put, le sélectionneur belge des Etalons, n’est pas sans attiser les soupçons. Déjà poursuivi sur tapis vert par la Namibie avant l’édition 2012, pour un litige à propos du binational Hervé Zengué, le Burkina Faso se prépare peut-être de nouvelles sueurs froides.


Patrick Juillard (Rédaction Football365/FootSud 17/10/2012 à 10h10)

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 23:40

 

 

 

 

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Bangui 15 oct (CAP) - Malgré la pluie de ce jour, les banguissois se sont laissés embarquer par une rumeur selon laquelle la CAF aurait invalidé le 3ème but burkinabé ce qui signifie une qualification de la RCA. 


Alors les rues de Bangui furent envahies et même à Bambari et Bangassou et sans doute d’autres villes de provinces aussi, étaient en fête avec les jeunes dans les rues. On n'ose même pas imaginer l'ambiance à travers le pays si la RCA avait obtenu son ticket à la fin des 90 minutes+ 13 (5' en 1ère mi-temps et 8' en 2nde période).


Cet espoir, ce rêve auquel les Centrafricains ont cru, croient encore malgré l'évidence de la non qualification est la preuve que ce peuple avait besoin de ce moment pour rêver et communier ensemble. Gageons que les leçons de cette aventure soient retenues et que l'équipe se remobilise rapidement pour préparer les éliminatoires de la coupe du monde 2014 où la RCA est en bonne position car livrant toutes ses rencontres retour à domicile et n'est distancée en ce moment que d'un point par l’Éthiopie.


Ethiopie :                4 points

 

RCA:                      3 points

 

Afrique du Sud:       2 points

 

Botswana:               1 point


Il est aussi à espérer que les fauves basket seront au rendez-vous à Abidjan. 

 

 

 

 

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