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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 14:48

 

 

 

 

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Bangui 4 sept (CAP)- Des informations de sources militaires et émanant des familles des victimes ces derniers jours à Bangui font état de la mort des suites soi-disant d’inqualifiables brimades au centre de formation de Bouar, de onze (11) jeunes recrues, admis au test d’entrée dans les rangs des forces armées centrafricaines. Les corps des victimes ont été transférés le samedi 1er septembre 2012 à la morgue de l’hôpital général à Bangui.


Ces jeunes auraient trouvé la mort dans d’atroces conditions alors que leurs tortionnaires parleraient de brimades. Ce n’est pas la première fois que ce genre de situation survient. Il n’y a pas longtemps, un des admis au test de l’ENAM dans la formation des magistrats avait trouvé la mort après seulement quelques jours de début de la formation.


Toujours selon nos informations, des parents des victimes qui ont voulu demander des comptes au ministère de la défense auraient également été porté disparu tôt dans la matinée de lundi dernier. On parle notamment d’une vendeuse au croisement de Miskine et d’un homme d’une quarantaine d’années qui qui serait porté disparu à la suite d’une visite qu’il aurait reçue de trois hommes venus à son domicile à bord d’une voiture grise.


Cette personne aurait adressé une lettre au ministère de la défense pour réclamer des explications sur les circonstances au cours desquelles les onze recrues ont trouvé la mort à Bouar. Les responsabilités de Jean Francis Bozizé et son père sont clairement engagées dans cette tragédie. Ils doivent s’en expliquer et faire la lumière sur ce drame. Tous les corps des victimes doivent également être restitués à leurs familles. 

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 14:38

 

 

 

 

babaladdé

 

 

COMMUNIQUE  DE  PRESSE  du CNRC

 

 N° 04 du 04 Septembre 2012

 

Relatif à L’accueil à Bangui du criminel de guerre BABA LADDE par le Président Centrafricain

 

 

Le 03 septembre 2012, nous avons appris avec stupéfaction sur les antennes de Radio France Internationale que le Président François BOZIZE aurait reçu avec tous les honneurs digne d'un chef d’État le bandit de grand chemin, le ZARGUINA Tchadien BABA LADDE.


C'est lieu de rappeler que ce criminel de guerre est responsable, avec son homologue Joseph KONY, de multiples exactions et massacres des populations centrafricaines sans défense; ces deux bandits ont laissé sur leur passage des régions entières de la République Centrafricaine dans la désolation et la panique, avec toutes les conséquences que l'on sait : famine, épidémie, taux élevé de mortalité et déplacement massif de populations.


En dépit de cette situation dramatique dont BABA LADDE est à l'origine, et des engagements pris par les Chefs d’État de la sous-région de poursuivre la lutte contre le terrorisme et contre les atteintes à la sécurité publique qui empoisonnent notre vie et celle de nos compatriotes dans l'arrière-pays, le Président BOZIZE daigne le recevoir utilisant le palais de la renaissance comme un paillasson. C'est là une merveille de confusion et d'obscurité qui matérialise une certaine complicité au sommet de l’État.


Dans un Etat normal, un tel individu serait immédiatement arrêté, jugé et condamné pour les souffrances qu'il inflige aux femmes, enfants et vieillards centrafricains. Mêmes les pardons ne suffiront pas. Et rien ne peut justifier un tel affront à notre pays ! Sans doute faut-il y voir là un éloge de la barbarie.


Le CNRC désapprouve publiquement et condamne avec fermeté cette sortie hasardeuse du chef de l’État centrafricain, car elle n'apporte pas une solution pérenne à la hauteur des situations vécues par les familles éprouvées du fait de BABA LADDE. Aussi le CNRC reste déterminé à faire entendre sa voix et faire aboutir les revendications légitimes des centrafricains, à savoir :

 

-     Éradiquer les groupes armés qui écument à l'Est, au nord et à l'ouest de la République Centrafricaine afin de créer un environnement propice à la paix chez nous et entre voisins.

-         
Créer des zones militaires dans les régions sensibles assurant une présence humaine au quotidien.

 

-          Le  CNRC s’engage devant le peuple Centrafricain à inscrire ce type de comportement criminel comme crime imprescriptible dans les futures lois pénales.
Réactiver les accords et conventions de défense signés avec nos partenaires.

-         
Créer des zones d'activités économiques dans les régions sinistrées.


C'est dans cette dynamique de mobilisation des centrafricains conscients des dangers qui nous guettent que le CNRC a décidé d'organiser une rencontre avec la communauté centrafricaine de France courant octobre 2012. Le lieu et la date seront communiqués ultérieurement.


Avec cette initiative publique, il s'agit de donner davantage de force à notre action de rassembler largement les compatriotes pour qu'enfin le droit à la tranquillité dans notre pays soit respecté.




Le Bureau Provisoire du CNRC

                                                                                  Roger Andjalandji, Coordonnateur National

 

 

 

Ampliation :

 

-          la Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en Centrafrique, Mme Margaret Vogt.

 

-          le Représentant de l'Union Européenne en poste à Bangui, son Excellence l'
Ambassadeur Guy Samsung.

 

-          Le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine (UA). 

 

-          Le Représentant du FARE 2011 à Paris 

 

-          Centrafrique-Presse 

 

        -   Réseau de journalistes centrafricains des droits de l'homme 

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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 22:54

 

 

 

 

L’évasion répétée des prisonniers à Bocaranga inquiète la population

 

Radio Ndéké Luka Lundi, 03 Septembre 2012 14:13


Les populations de la ville de Bocaranga (nord) s’inquiètent de plus en pour leur sécurité. Une inquiétude liée aux fréquents cas d’évasion des prisonniers de la maison carcérale de cette région. La principale raison de ce disfonctionnement est l’insuffisance des gardiens de prison : 2 seulement y travaillent depuis plus de 2 ans.


« Parmi les fuyards figurent des criminels, voleurs de bétail à mains armées, et bien d’autres bandits de grand chemin », a raconté le correspondant de Radio Ndeke Luka qui a effectué un déplacement sur les lieux.


« A titre d’illustration, il y a 2 semaines toujours dans cette prison, 3 criminels se sont évaporés dans la nature et un autre aussi a pris la poudre d’escampettes de la maison carcérale de Bozoum (nord) », a-t-il indiqué.


Signalons que les autorités locales de Bozoum ont affirmé avoir déjà lancé des enquêtes pour traquer les évadés et les ramener en prison.


Par ailleurs, 5 vieilles prisonnières de la maison d’arrêt de Kaga Bandoro vivent dans de conditions précaires. D’après les constats des parents rapportés au correspondant de cette localité, « ces femmes dorment à même le sol, sans moustiquaires, sur des nattes déchirées ».


« Elles sont logées dans un vieux local en état de délabrement avancé transformé en prison. Il s’agit d’un local sans porte laissant libre cours au fréquents cas d’inondation. Pire encorne s’il pleut, ces prisonnières sont obligées de rester débout dans les couloirs jusqu’à ce la pluie cesse et que le sol redevienne un peu sec. Conséquences : elles souffrent des maladies du ventre et du paludisme », a indiqué le correspondant.


Toutefois, plusieurs rapports de circonstance établis par le Projet de Renforcement de l’Etat de Droit (PRED) sont restés lettres mortes, a-t-il conclut.

 


 

François Bozizé accueille Baba Ladé à Bangui

 

 

 

babaladdé

 

 

Radio Ndéké Luka Lundi, 03 Septembre 2012 14:08


Le leader de la rébellion tchadienne du Front Populaire pour le Redressement (FPR) le Général Baba Laddé Abdel Kadder, vient de descendre à l’aéroport Bangui M’Poko accompagné de son fils junior.

Le chef rebelle, qui s’est rendu lui-même aux autorités centrafricaines à Bambari où il a passé sa dernière nuit, se trouve bel te bien dans la capitale centrafricaine en résidence surveillée.


Le Président François Bozizé et deux de ses enfants, le ministre délégué à la défense Francis Bozizé et François Joseph Bozizé dit Jojo, se sont mobilisés pour accueillir Baba Laddé à l’aéroport. Paulin Pomodimo, médiateur de la République et  Claude-Richard Gouandjia, ministre de la sécurité publique étaient aussi à l’aéroport Bangui M’Poko.


Selon des sources dignes de foi, Baba Laddé serait gardé à la base MICOPAX où il sera logé en attendant que les autorités centrafricaines et tchadiennes décident de sa reddition.


Tôt dans la matinée, le Directeur de cabinet du Médiateur de la République a confirmé depuis Bambari, l’embarquement de Baba-Laddé à destination de Bangui ce 3 août. Il a également fait savoir qu’une réunion est prévue pour convenir des garanties de sécurité du leader du FPR par les Autorités tchadiennes avant que Bangui ne mette à leur disposition le Général Baba Laddé.


Selon les membres de la mission, le chef rebelle est moralement et physiquement préparé pour son transfert sur Ndjamena. Baba Laddé est accompagné dans cette reddition d’un de ses fils juniors.


De son gré, le chef rebelle, Baba Laddé a pris la décision de se rendre aux éléments de la Force multinationale pour la consolidation de la paix en Afrique Centrale (FOMAC). Ces éléments ont, a leur tour, remis le chef du FPR aux Forces Armées centrafricaines ce 1er septembre à Bambari dans la Ouaka.


Pour mener cette opération de reddition, il a fallu une grande mobilisation de la part des forces de sécurités dont le CNM, la FOMUC, le BINUCA, les Autorités militaires centrafricaines et d’autres partenaires internationaux en Centrafrique.


En dehors de son Chef d’Etat-major malade, transféré à l’hôpital d’Ippy où il bénéficie depuis le 2 septembre des soins conséquents, les autres éléments, une centaine environ, sont restés au campement en attendant les mesures qui seront décidées à leur endroit.


Pour de nombreux observateurs de la vie politique centrafricaine, cette reddition était prévisible. Il y a quelques jours, Baba Laddé a, dans un courrier adressé aux autorités de la ville d’Ippy, exprimé son désir de sortir de la brousse et, occuper un site des missionnaires situé à 30 kms sur l’axe Bambari-Ippy, après des négociations avec les autorités de ce pays.


Le général rebelle a aussi affirmé qu’il a beaucoup souffert en brousse et que l’heure est venue pour lui de faire la paix avec la population centrafricaine ainsi que ses autorités.


Dans une autre correspondance toujours adressée aux autorités de Ippy, le chef du Front Populaire pour le Redressement (FPR) a annoncé se rendre à Bangui pour explorer un canevas des pourparlers de paix avec le régime de Ndjaména. Le Général Baba Laddé entend de ce fait, rencontrer le médiateur centrafricain, le Bureau des Nations Unies en Centrafrique (BUNICA) et les partenaires internationaux.


Mais ces raisons sont loin de convaincre les autorités de ce pays. Selon le régime de Bangui, Baba Laddé se retrouve dans une impasse depuis l’opération araignée de mars 2012 qui l’a délogé de ses bases de Ouandago et Gondava (nord). Une traque menée conjointement par les Forces Armées Centrafricaines et Tchadiennes.


A titre de rappel, Baba Ladé a annoncé sur sa page Facebook son retour en République Centrafricaine il y a quelques jours. Il a déclaré qu’il est revenu pour combattre un certain Ahidjo, un de ses lieutenants dissidents qui sévit à Boali (95 kilomètres de Bangui).


 

 

Des inconnus armés agissent en prédateurs dans le Mbomou


Lundi, 03 Septembre 2012 14:11

 

La situation sécuritaire dans la préfecture du Mbomou et ses environs demeure encore précaire. C’est ce qu’a constaté le correspondant de Radio Ndeke Luka dans la Région ce 2 septembre.


Des hommes armés non identifiés ont fait irruption ce 1er septembre 2012 dans la circonscription de Bangassou II, notamment dans les villages de Nandigbi, Galifondo et Zodembari situés à 55 kilomètres de la ville Bangassou sur l’ancienne route nationale numéro 19 reliant Bangassou de Bakouma.


Ils ont pris en otages des enfants, des femmes et des hommes dont on ignore encore le nombre. En outre, une seule personne à réussi à s’échapper. Les assaillants ont également pillé les greniers des paysans.  Certains habitants de ces villages qui ont rapportés les faits, ont assimilé ces éléments aux rebelles de Joseph Kony qui avaient semé la panique dans la région.


Alertés, les éléments coalisés de la gendarmerie et des militaires de la région sont descendus sur les lieux pour traquer ces bandits armés. La population prise de panique et ignorant tout des intentions de ces malfrats se réfugient dans la brousse. Cet évènement malheureux vient une fois de plus ressusciter la crainte de l’insécurité dans la région.


Pourtant, l’Agence Hirondelle dans une correspondance à Radio Ndeke Luka ce 1er septembre a confirmé que l’armée ougandaise a détruit en août dernier la base du n°III de la LRA sur le sol centrafricain.


Pour rappel, les soldats centrafricains, ougandais et américains installés à Obo dans le Haut Mbomou, traquent depuis plusieurs mois les chefs de la LRA parmi lesquels Joseph Kony et le numéro III, Dominic Ongwen dont la base à récemment été détruite.

 

 

 

 

Pluie diluvienne à Bangui: 3 personnes tuées et plusieurs maisons écroulées


Radio Ndéké Luka Lundi, 03 Septembre 2012 14:12


Au moins 3 personnes ont été tuées et plusieurs maisons détruites dans la nuit du dimanche à lundi 3 septembre 2012 à Bangui. Une pluie diluvienne abattue sur la capitale centrafricaine a été à l’origine de ces dégâts humains et matériels.


La même pluie a été aussi la cause de plusieurs cas d’accident de circulation. C’est le cas de 2 musiciens de l’orchestre Tropical Fiesta en fin de concert. Ils ont été heurtés sur une moto par un véhicule et l’un d’entre eux a succombé.


Selon le constat des reporters de Radio Ndeke Luka, les dégâts n’ont épargné aucun quartier. Un véhicule de marque Toyota s’est retrouvé au fond d’un pont en réfection au niveau de l’Eglise Saint Sauveur de Bangui.


L’autre plus grande désolation a été celle des habitants des 2ème et 6ème arrondissement de Bangui. Ils sont désormais séparés à cause de l’affaissement du pont de fortune de Sapéké, construit il y a moins de 6 mois.

Interrogées par Radio Ndeke Luka, les victimes ont dénoncé « le mutisme des autorités de Bangui face à cette situation. Nous n’avons pas bénéficié d’une quelconque assistance, même de la part de la Croix Rouge Centrafricaine. Ce cas de sinistre a été prévisible : la capitale n’a plus de route ni de pont ».


Soulignons que les autorités centrafricaines n’ont pas encore réagit à ces cas d’inondation survenu dans leur capitale.

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2 septembre 2012 7 02 /09 /septembre /2012 22:27

 

 

 

 

Serge Magna

 

 

http://globevisionnaire.6mablog.com/post/Serge-Venant-Magna-serait-mort%E2%80%A6tortur%C3%A9-%21

 

 


Le Visionnaire vendredi, août 31 2012

Il y a quelques semaines, Serge Magnan, secrétaire général du Conseil National de la Jeunesse de Centrafrique, ancien président de l’Association Nationale des Etudiants Centrafricains (ANECA, et chef de secrétariat commun au ministère des finances et du budget, a été victime d’un enlèvement spectaculaire à son lieu de travail très tôt le matin.


L’opération serait commanditée par la garde présidentielle puisque les soldats qui l’ont enlevé sont tous des bérets verts. Il a été conduit à une destination inconnue. D’aucuns disaient qu’il serait déporté à la prison garnison de Bossembele. Cette tristement célèbre prison est connue pour les traitements inhumains, dégradants et humiliants infligés aux personnes embastillées en attente de leur procès. Depuis son arrestation, ses parents, amis et connaissances ne l’ont pas revu jusqu’à la nouvelle de son décès.


Disparition confirmée par sa famille qui, jusqu’à présent, ignore les raisons pour lesquelles, il a été kidnappé et assassiné comme s’il n’appartenait pas à la famille politique de KNK au pouvoir.


A ce rythme, il ne fait pas de doute que les rats vont quitter en masse la barque du KNK, craignant pour leur vie. Donc, adhérer à un parti politique, il faut réfléchir par deux fois. Pour l’instant, la rédaction ne dispose pas assez d’éléments d’appréciation pour confirmer les circonstances dans lesquelles il est décédé.

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2 septembre 2012 7 02 /09 /septembre /2012 14:01

 

 

 

 

 

 

La CPJP se transforme en parti politique

 

logo cpjp

 

Radio Ndéké Luka Dimanche, 02 Septembre 2012 09:56

Un grand pas vers un retour à la normale dans le Nord de la RCA. Après la signature de l’accord de paix intervenue le 24 aout 2012, à Bangui, entre le gouvernement et la CPJP (Convention des Patriotes pour la Justice et la Paix), l’ex-rébellion a décidé de se transformer en parti politique.

L’acte a été posé avec la tenue d’une assemblée générale constitutive tenue samedi 1ersept à Ndélé (Nord de la RCA) dans la concession même du maire de la ville. Selon le correspondant de Radio Ndeke Luka, un bureau composé de 15 membres dont 5 femmes a été mis en place. Abdoulaye Hissène, responsable de la CPJP, n’a pas pris part personnellement à l’assemblée mais avait délégué ses pouvoirs, selon notre correspondant à un de ses lieutenants du nom de Idriss Ndar.

Ainsi donc la hache de guerre semble définitivement enterrée. C’est en tout cas ce qu’inspire cette mutation à la population de Ndélé. Elle a exprimé sa satisfaction de voir que la sécurité sera désormais totale sur le territoire du Bamingui Bangoran.

 

NDLR : Si la CPJP devient un parti politique, on se demande pourquoi ses prétendus dirigeants ayant signé l’accord de paix avec le pouvoir de Bozizé, notamment Joachim Kokaté, Abdoulaye Hissène et Mahamat Zakarie Mahamat, sont encore cloîtrés au camp M’poko de la Micopax au lieu de sortir de là pour exercer librement leur activités politiques.

 

Destruction de la base d’un chef de la LRA

Kony en brousse avec ses hommes

 

 

Radio Ndéké Luka Dimanche, 02 Septembre 2012 05:22

Agence Hirondelle. L’armée ougandaise a détruit sur le territoire centrafricain la base de Dominic Ongwen, un des quatre rebelles ougandais recherchés par la Cour pénale internationale (CPI), rapporte Ndeke Luka, une radio centrafricaine.

L’attaque a eu lieu le 24 août dans la préfecture du Haut Mbomou, dans le sud-est de la République centrafricaine, a précisé la radio, citant le Colonel Milton Katarinyebwa, commandant du contingent ougandais en RCA.

L’officier a par ailleurs démenti les informations selon lesquelles ce membre du commandement de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) aurait été tué dans l’attaque.

Sous le coup d’un mandat d’arrêt délivré par la CPI en 2005, Dominic Ongwen est poursuivi pour trois chefs de crimes contre l’humanité (meurtre, réduction en esclavage, actes inhumains causant de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique) et quatre chefs de crimes de guerre (meurtre, traitements cruels à l’encontre de civils, attaque intentionnelle contre une population civile, pillage).

Les soldats centrafricains, ougandais et américains installés à Obo, dans le Haut Mbomou, traquent depuis plusieurs mois les chefs de la LRA parmi lesquels Ongwen et le leader charismatique du mouvement Joseph Kony, également recherché par la justice internationale.

Les troupes ougandaises sont arrivées dans la région en 2009, rejointes par les Américains en décembre 2011.

Formée en 1986 dans le nord de l’Ouganda, pour s’opposer à la prise du pouvoir par Yoweri Museveni, la LRA s’est rendue coupable des pires exactions, dont l’enlèvement de milliers d’enfants contraints à combattre.

Suite aux mandats émis par la Cour, les chefs de la LRA avaient accepté de négocier et annoncé la cessation des combats en août 2006. Mais faute d’accord, les exactions reprenaient en décembre 2008, cette fois en République démocratique du Congo, en Centrafrique et au Sud Soudan.

 

Encore une pénurie d'eau à Berbérati

Radio Ndéké Luka Dimanche, 02 Septembre 2012 08:50

Berbérati (sud-ouest de la RCA) a renoué avec les graves pénuries d’eau. Une nouvelle panne de la pompe de la SODECA (Société des Eaux de Centrafrique) et le spectacle des femmes, bassine vide en équilibre sur la tête, arpentant les artères de la ville à la recherche du précieux liquide a repris depuis plusieurs jours. Le correspondant de Radio Ndeke Luka confirme l’information et donne des détails.

Il explique que les populations n’ont d’autre ressource que de s’approvisionner en eau au marigot qui arrose la ville. C’est donc en file indienne que les pousse–pousse et les véhicules, se dirigent, remplis de jerrycans, vers le marigot.

Les risques de maladie sont réels et les autorités sanitaires ont conseillé aux populations de faire bouillir d’abord l’eau avant de la boire ou faire la cuisine.

Selon notre correspondant, l’abondance des pluies dans la région est à l’origine de cette nouvelle interruption de l’approvisionnement en eau par la SODECA. Les eaux de ruissellement ont drainé du sable vers l’usine et ont bloqué la motopompe.

On ignore encore dans quels délais interviendra la réparation, une équipe de maintenance devant partir de Bangui. Il y a quelques semaines, c’est l’absence d’une pièce de rechange qui avait poussé les populations vers le marigot. Cette situation devenue récurrente à Berbérati fait dire à ces mêmes populations que « la SODECA n’existe que de nom ».

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1 septembre 2012 6 01 /09 /septembre /2012 21:51

 

 

 

 

Francis Bozizé

 

 


Radio Ndéké Luka Samedi, 01 Septembre 2012 14:47  

 

La paix semble fuir la ville de Boali. Certaines sources ont laissé entendre ce 31 août 2012 qu’, « un jeune du village voisin a aperçu les hommes armés de kalachnikovs près d’un campement des éleveurs ».


D’après le correspondant de Radio Ndeke Luka, dès son retour, le jeune homme a informé le chef du village qui a, à son tour, porté l’information à la connaissance des autorités de Boali.


Celles-ci, informées, ont fait descendre sur les lieux indiqués des éléments du détachement militaire actuellement dans la région. Arrivés à l’endroit qui a été indiqué, les militaires n’ont pu retrouver les traces des assaillants.


Selon le jeune homme, ils seraient au nombre de 4 hommes munis de kalachnikovs, mais d’autres sources estiment qu’ils seraient beaucoup plus nombreux.


Le chef du village où la présence des assaillants a été signalée est interpelé et garder à vue à la Gendarmerie de Boali pour nécessité d’enquêtes, a signalé le correspondant.


Cette nouvelle présence des inconnus armés signalée à Boali, soulève une fois de plus des inquiétudes au sein des populations de la ville et de ses alentours. Le Sous-préfet de la ville a pourtant confirmé un retour au calme dans la localité la veille.


Il tient aussi de rappeler que depuis le mois de juillet 2012, la ville de Boali a été le théâtre de nombreuses exactions des différentes bandes armées non identifiées. Le mois d’Août dernier, le ministère centrafricain de la défense a déployé un effectif important d’éléments des Forces Armées Centrafricaines dans cette région pour la sécurité des biens et des personnes.

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1 septembre 2012 6 01 /09 /septembre /2012 21:03

 

 

 

 

 

 

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Radio Ndéké Luka Samedi, 01 Septembre 2012 07:12


Après deux jours de mission dans le nord du pays, le coordonnateur du système des Nations Unies en RCA lance un SOS : « il y a une véritable crise humanitaire…il faut accorder la priorité à ce pays »


Dans un communiqué publié vendredi 31 août 2012, les services du Coordonnateur Résident et Humanitaire des agences du système des Nations Unies expliquent que M. Modibo Ibrahim Touré s’est rendu à Ndélé dans la préfecture du Bamingui-Bangoran et à Manou dans la préfecture de la Vakaga au Nord-Est de la République Centrafricaine et a fait un constat accablant : « il y a aujourd’hui une véritable crise humanitaire silencieuse en Centrafrique ».


L’officiel onusien fonde son affirmation sur les informations recueillies auprès des autorités administratives locales, des acteurs humanitaires opérant dans ces localités, des communautés locales et sur la réalité observée sur le terrain. Il insiste : « La Centrafrique n’a pas la chance de faire partie de la liste des pays prioritaires et bénéficiaires de l’aide humanitaire ».

 

Le communiqué rappelle qu’en juin dernier, le Bureau de Coordination des Affaires Humanitaires (OCHA) avait déjà tiré la sonnette d’alarme sur la situation de la Vakaga et d’autres localités du Nord-Est de la RCA dont l’accès avait longtemps été entravé par des conflits armés récurrents, cause de déplacement de près de 10.000 personnes. Une évaluation rapide conduite par des organisations non-gouvernementales nationales et internationales avait révélé que près de 45.000 personnes étaient confrontées à une crise alimentaire aigüe qui nécessitait une assistance immédiate notamment dans les localités de Gordil, Mélé, Ndiffa, Sikikédé et Tiringoulou situées dans l’ouest de la Vakaga.

 

Par ailleurs, un dépistage réalisé en mai 2012 par International Medical Corps (IMC) sur 1.332 enfants à Sikikédé (30% des enfants du village) avait fait ressortir que 21% d’entre eux souffraient de malnutrition aigüe globale. 7% d’entre eux souffraient de malnutrition aigüe sévère, ce qui représente trois fois le seuil d’urgence standard estimé à 2%. Pour ne rien arranger, une épidémie de rougeole s’est déclarée parmi les jeunes enfants.

 

A la faveur de cet appel, près de 2 millions de dollars américains avaient pu être mobilisés en juillet pour porter assistance à près de 32.000 personnes affectées par les conflits et la malnutrition. Ce montant devait couvrir, sur une période de trois mois environ, des besoins dans les secteurs de la santé, de l’assistance alimentaire et de la nutrition. Dans ce cadre, le Programme Alimentaire Mondial (PAM) met en œuvre depuis le 21 août dernier, en partenariat avec l’ONG internationale Triangle Génération Humanitaire et l’ONG nationale NDA, un projet d’Assistance alimentaire d’urgence aux populations vulnérables dans l’Ouest de la préfecture de la Vakaga qui devrait toucher 11.000 déplacés internes et habitants de cette localité. Pourtant, au regard de la réalité constatée sur le terrain, Modibo Ibrahim Touré reste catégorique : « Les moyens disponibles sont largement en deçà des besoins des 35 à 40.000 personnes nécessiteuses ».

 

Seuls signes encourageants relevés par Modibo Ibrahim Touré dans cette situation, « la dignité, le calme et l’esprit d’organisation » dont font montre les populations affectées en dépit du dénuement, « l’engagement méritoire » de tous des acteurs humanitaires qui œuvrent dans des conditions difficiles et le manque de moyens pour atténuer la souffrance des populations et contribuer à sauver des vies, et enfin la « franche collaboration et la volonté » du gouvernement centrafricain dans la facilitation du travail des humanitaires. « Nous exhortons les donateurs à faire plus et à accorder la priorité à ce pays dont les besoins sont immenses », a-t-il conclu.

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1 septembre 2012 6 01 /09 /septembre /2012 21:00

 

 

 

 

 

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RFI samedi 01 septembre 2012

 

La paix en Centrafrique deviendrait-elle une réalité ? Les ministres de la Défense des pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) réunis à Libreville ont décidé, après évaluation, de retirer progressivement les soldats de la région, stationnés dans ce pays depuis quatre ans. Placée sous commandement gabonais, la Mission de consolidation de la paix en Centrafrique (Micopax) qui est la force de la CEEAC, n’aura plus que des formateurs qui quitteront le pays en décembre 2013.


La Micopax est la première expérience militaire de la CEEAC et regroupe dix Etats d’Afrique centrale, ce qui représente actuellement près de 800 soldats venus des deux Congo, du Cameroun, du Gabon, du Tchad, de la Guinée équatoriale et du Burundi. L’Angola, principale puissance militaire de la région, n’a pas de soldats dans cette mission.


Depuis quatre ans, la Micopax, financée par l’Union européenne et équipée par la France, veille au rétablissement de la paix en Centrafrique, un pays balkanisé par de nombreux mouvements rebelles.


Le retrait progressif de la force est la preuve du retour à la normale : « Nous sommes arrivés dans une phase où nous estimons que les élections ont eu lieu, les élections présidentielles, législatives, en 2010 en RCA et maintenant nous sommes dans la phase de la consolidation de la paix, explique Abel Yambaye Massira, chef d’état-major des armées tchadiennes.Il nous reste à accompagner le gouvernement centrafricain à finaliser cette phase-là ».


Les forces combattantes vont donc rapidement se retirer. Il restera néanmoins 300 hommes chargés de former les militaires et les policiers centrafricains qui prendront la relève dès décembre 2013. La CEEAC songe déjà à envoyer une autre mission de paix en République démocratique du Congo, mais rien n’est encore décidé.

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1 septembre 2012 6 01 /09 /septembre /2012 02:56

 

 

 

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Radio Ndéké Luka Vendredi, 31 Août 2012 14:13

 

Le sous-préfet de Boali confirme ce 31 août le retour du calme dans la ville et ses alentours.


Dans une interview qu’il a accordée à Radio Ndeke Luka, le Sous-préfet Maturin Maringo, demande à la population de vaquer dans la quiétude à ses occupations habituelles.


La réaction du sous-préfet de Boali intervient après une de calme sans que l’on ait signalé la présence d’une bande armée dans la sous-Préfecture.

 

Selon certaines informations, sur l’axe des crocodiles ou ces bandes armées non identifiées ont dépouillé et terrorisé la population, les activités ont repris et même les habitants du village Kouzindoro se livrent depuis peu à leurs activités champêtres.

 

Selon les habitants de la région, cette sérénité retrouvée est à mettre à l’actif des forces armées centrafricaines déployées dans la localité et les éléments d’auto défenses de la ville de Boali, qui n’ont pas hésité à pourchasser ces semeurs de terreur jusque dans leurs remparts.

 

C’est depuis le mois de juillet que ces hommes armés non identifiés sévissent dans la sous-préfecture de Boali. Ils ont, dans leurs opérations, tué au moins 4 personnes civiles contre 1 mort de leur côté.

 

Or, d’autres sources révèlent ce 31 août que d’autres bruits de bottes se sont fait entendre ce 30 août sur l’axe des crocodiles à Boali. Les habitants de ce secteur sont obligés de se réfugier dans la forêt pour leur sécurité.

 

Aussi, une équipe des éléments des Forces Armées Centrafricaines est descendue à leur trousse ce 31 août. Pour le moment, l’on ignore encore les actions menées contre ces hommes armés hier sur l’Axe des Crocodiles.

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31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 02:13

 

 

 

 

 

Près de 4 tonnes de vivres pour 400 personnes dans le Nord-est de la RCA


 

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Radio Ndéké Luka Jeudi, 30 Août 2012 14:58

 

L’une des nombreuses ONG humanitaires intervenant actuellement en République Centrafricaine dénommée PRSI  (Conseil Danois pour les Réfugiés) a procédé à la distribution de vivres à Ndélé (nord) ce 30 août 2012.

 

Plus de 400 personnes ont bénéficié chacune de 6 kilogrammes de riz et 4 kilogrammes de haricots. Soit au total, 2 tonnes 400 kilogrammes de riz et 1 tonne 400 kilogrammes de haricot distribués.


Distribuer des vivres aux personnes vulnérables fait partie intégrante du programme d’appui aux personnes vulnérables initié par cette ONG.  Le partage se  fait à la Maison de la Femme de Ndélé et les bénéficiaires sont les personnes du 3ème âge, les veuves et orphelins de la ville touchés par la famine.


Selon le Responsable de la Distribution des Vivres du PRSI, « ces personnes ont été identifiées depuis plus d’un an après une enquête. C’est la première phase de distribution et deux autres phases sont en cours ».


Pour rappel, la région du Bamingui-Bangoran et celle de la Vakaga (nord) ont été pendant plus de 6 mois en proie à une famine sans précédent. De nombreux appels d’assistances humanitaires ont été lancés par la Coordination des Acteurs Humanitaires en République Centrafricaine OCHA, mais selon cette coordination, « les réponses à ces appels sont encore timides ».


Par ailleurs, cette distribution coïncide avec le largage d’autres tonnes de vivres dans une partie du Bamingui-Bangoran avec la Vakaga.

 

 

 

 

Le Baskeball Centrafricain désormais entre les mains de Frédéric Goporo

 

 

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Radio Ndéké Luka Jeudi, 30 Août 2012 14:53

 

Nouveau changement dans la direction des Fauves du basketball centrafricain ! Le Directeur Technique National Fréderic Goporo entend désormais constituer l’équipe Nationale à partir de Bangui et non l’inverse.


Cette initiative a été prise le 29 août 2012 par l’ancienne gloire des fauves du pays en provenance des Etats Unis d’Amérique via la France. Une manière de changer la vision d’encadrement de ce sport « roi » en Centrafrique.


Il vient ainsi dans le but de préparer ses poulains en prélude au Tournoi régional de la Zone IV, qualificatif pour l’Afrobasket 2013 qui aura lieu à Abidjan en Côte d’Ivoire.


Selon Fréderic Goporo interrogé à sa descente d’avion par Radio Ndele Luka, « les Fauves poursuivent à ce jour 2 objectifs : se qualifier d’abord pour la CAN 2013 et penser à construire une équipe à partir bien sûr de Bangui qui prend en compte les fauves locaux et internationaux ».


Car, d’après lui, « depuis 5 ans, la sélection a été toujours faite au niveau international avec une dominance des joueurs de la diaspora. L’idée de ce changement de direction est de donner espoir aux joueurs locaux, afin qu’ils puissent penser que même à Bangui, la défense des couleurs nationales est possible. De ce fait, les joueurs de la diaspora et ceux de Bangui doivent mouiller les maillots pour faire partie de mon équipe ».


A peine arrivée, Frédéric Goporo a fait un tour au Centre de Basket-ball Martin N’Goko pour saluer les Fauves qui sont en préparation. Il a ensuite visité le Palais des sports en réfection.


Ce dernier a été impressionné par la réhabilitation sur fonds locaux de cet édifice détruit lors de la chute du défunt Empereur de Centrafrique Jean-Bedel Bokassa en  1979.


Fréderic Goporo remplace à ce poste de Directeur Technique National Guy Ngaïssio, instructeur national de FIBA-Afrique. Pour mémoire, l’actuel directeur des Fauves avait gagné la Coupe d’Afrique des Nations de cette discipline en 1987 à Tunis en Tunisie.


 

 

La rage sévit en RCA, 31 cas sur 36 testés sont positifs


 

chien enrage

 

 

Radio Ndéké Luka Jeudi, 30 Août 2012 14:52


Plusieurs cas de morsures de chiens enragés sont enregistrés ces derniers temps en République Centrafricaine. Toutefois, du point de vue des spécialistes en santé animale, il ne s’agit pas encore d’une épidémie car «  seul le ministre de la santé peut déclarer une épidémie ».


Pour l’année en cours, 31 cas sur 36 sont déjà testés positifs, révèle l’Institut Pasteur de Bangui ce 29 août 2012. Le bilan de l’année 2012 est considérablement inquiétant que celui de 2011. Seulement 5 cas sur 6 sont testés positifs l’an écoulé.


En République Centrafricaine, les derniers cas de morsures des chiens remontent à moins d’une semaine précisément dans la Préfecture de la Ouaka (Centre –est). Moins d’un mois de ceux-ci, quelques cas ont été signalés dans la Capitale Bangui et dans certaines villes notamment, Boda, Bouar, Sibut et Grimari.


En cas de morsures,   « il faudrait se présenter dans une clinique vétérinaire. Si, selon l’avis des techniciens, le chien présente des signes en faveur de la rage, la tête sera coupée et envoyer à l’Institut Pasteur de Bangui pour des examens. Après l’examen, l’Institut Pasteur délivrera à la personne mordue un carnet de prise en charge », conseille Dominique Senekian, Chef de Service de la Surveillance Epidémiologique et de la gestion des épidémies au ministère de la Santé.


Il tient de rappeler que les cas de rage signalés dans la préfecture de la Ouaka ne sont pas pour le considérés par l’Institut Pasteur pour des raisons de vérifications.

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