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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 02:14

 

 

Carte-Centrafrique-Generale-

 

 

Radio Ndéké Luka Dimanche, 19 Septembre 2010 14:25

Plus de 6000 candidats composent depuis le 19 septembre 2010 les épreuves écrites du concours de recrutement à l’Ecole Nationale de la Gendarmerie.

L’examen se déroule sur toute l’étendue du territoire national. A Bangui, 4 Centres sont retenus pour abriter les épreuves. Il s’agit du Lycée Barthélémy Boganda, du Lycée Technique, du Lycée M-J Caron et, du Lycée des Martyrs. Les plus de 6000 candidats ne composent que pour 400 places.

Selon le Directeur Général de la Gendarmerie Nationale, Colonel Jean-Chrysostome SAMBIA interrogé par Radio Ndeke Luka, tout se déroule bien. Seulement, ils ne retiendront que ceux qui seraient sains de corps et intellectuellement préparés.

Il n’a pas toute fois manqué de relever quelques rares cas d’imperfection constatées, notamment des cas de fraudes et du retard accusé dans le déroulement de ce concours pour qui, est lié à des difficultés d’ordre technique.

Ce concours de recrutement à la Gendarmerie Nationale qui est placée sous le signe de l’excellence vise à renforcer la capacité des forces de défense centrafricaine et à rehausser le niveau des Gendarmes centrafricains.

 

 

 

NDLR : les concours d’entrée à la Gendarmerie se suivent et se ressemblent.
Les  6000 candidats ont composé dans l’espoir de faire partie des 400 lauréats à ce concours. Troisième dans le genre depuis 2003, année du coup d’Etat de Bozizé, ce concours sert en réalité de stratagème pour le recrutement massif des ressortissants de l’ethnie de ce dernier. Il permet également à quelques-uns de ses parents, haut placés dans le commandement de ce corps, de s’enrichir avec les frais de dossier des infortunés chômeurs, autres que gbaya de Bossangoa, qui croient au sérieux de la chose mais qui très vite vont déchanter.

En effet, si ce n’était pas pour s’enrichir, comment comprendre et expliquer que pour 400 places, 6000 dossiers puissent être acceptés ? Considérant que chaque dossier est payé 5000 F CFA, le calcul est vite fait : 30.000.000 F CFA engrangés par la Direction Générale de la Gendarmerie pour l’organisation de ce concours.

Avant la Gendarmerie, la Direction Générale de la Police Centrafricaine avait organisé elle aussi un concours d’entrée. Pour 400 places également, environ 6000 dossiers en raison de 5000 F CFA chaque ont été acceptés. Sauf qu’ici, Etienne ZOMA, Commissaire de Police, parent de Bozizé a détourné tout cet argent. Le concours fut renvoyé aux calendes grecques et une enquête déclenchée. Les conclusions ont été accablantes pour le sieur ZOMA mais ce dernier est toujours bien en place à ce jour et a même été promu dans le dernier mouvement de corps à l’Inspection Centrale. Le concours sera quand même organisé mais seuls 250 candidats seront déclarés admis. Les 150 restants doivent être recrutés directement sur une liste de parents de Bozizé qu’Etienne ZOMA a la responsabilité de proposer après un tri conséquent. A ce jour, on attend toujours la publication de cette dernière liste.

Comme on le voit, l’organisation des concours pour le recrutement des jeunes Centrafricains en vue de renforcer les forces de sécurité et de défense dont a besoin la république pour son fonctionnement sert plutôt de moyen à certains réseaux de s’enrichir. La preuve, l’impunité garantie à des responsables comme ZOMA. Les concours à la police et à la gendarmerie se suivent et se ressemblent sans résoudre les problèmes de la République Centrafricaine.

 

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 23:03

 

 

080710rebelles-lra

 

 

Radio Ndéké Luka Lundi, 13 Septembre 2010 16:47

 

Les éléments de l’ex-rébellion de l’UFDR (Union des forces démocratiques et républicaines de Zacharia Damane) branche rebelle ayant signé l’accord de paix de Bangui, associés aux éléments d’autodéfense de Ouadda-Djallé ainsi que des forces armées centrafricaines (FACA) étaient tombés dans une embuscade des éléments rebelles de la LRA de Joseph Kony, le samedi 11 septembre 2010 à 70 km de Sam Ouandjà. L’embuscade a eu lieu au moment où ces éléments en fusion pourchassaient les Tongo-tongo de Joseph Kony qui avaient attaqué lundi 06 et mardi 07 la ville de Ouadda-Djallé dans la Vakaga.

 

Les combats ont duré entre 6 h et 10 h (07H et 11H GMT) du matin soit 4 heures de temps. D’après un bilan provisoire fourni à Radio Ndeke Luka par le Colonel Issa Issaka, sous-chef d’Etat-major de l’UFDR, commandant l’opération, il y a 2 morts et 7 blessés dans le rang des forces régulières, 20 morts, plusieurs blessés et 4 prisonniers du côté des Tongo-Tongo (appellation locale de la LRA).

Suite à la non acceptation des éléments de la MINURCAT (Mission des nations unies en République centrafricaine et au Tchad) de transporter les blessés à bord de leurs 2 hélicoptères, l’Etat-Major de l’UFDR a interdit le 12 septembre 2010 à la mission onusienne de patrouiller dans les zones à insécurité sous son contrôle, a fait savoir la source citée ci-haut.

Une mission conduite par Bernardin Yongo, secrétaire général par intérim de la préfecture de Vakaga, représentant le sous-préfet de Birao, a quitté Birao ce 13 septembre, à destination de Sam Ouandja en vue de trouver un terrain d’entente.

Depuis l’attaque du 6 septembre dernier à Ouadda Djallé, les éléments de l’ex-rébellion de l’UFDR, ceux de l’autodéfense de Ouadda-Djallé et les forces armées centrafricaines se sont fusionnés pour pourchasser les éléments rebelles de la LRA qui sèment la terreur dans la région.

 

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 14:33

 

 

LRA-soldats

 

 

Radio Ndéké Luka Jeudi, 09 Septembre 2010 13:38

9 morts du côté des rebelles de l’Armée de Résistance pour le Seigneur (LRA) et 45 personnes libérées.

C’est le bilan d’une riposte de l’auto-défense de Ouadda-Djallé (nord de Centrafrique), à une attaque de ces rebelles lundi 6 septembre 2010.

Selon le correspondant de Radio Ndeke Luka à Birao, la 1ère attaque fait 5 tués coté rebelles, 2 coté population, 90 maisons incendiées et des biens pillés.

Il précise que les éléments de la LRA viennent de Sam-Ouandja (nord-est de Centrafrique) en quête de vivres.

Le correspondant conclut que les éléments de l’ex rébellion de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement (UFDR) ont porté secours aux éléments de l’auto-défense.

 

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 12:51

 

 

Carte-Centrafrique-Generale-

BANGUI (AFP) - 10.09.2010 10:29 - La Commission électorale indépendante (CEI) de Centrafrique a déployé des responsables dans toutes les préfectures du pays en vue du recensement électoral qui débutera le 22 septembre, a annoncé vendredi à l'AFP le président de la CEI, le pasteur Joseph Binguimalé.

La Commission électorale indépendante (CEI) de Centrafrique a déployé des responsables dans toutes les préfectures du pays en vue du recensement électoral qui débutera le 22 septembre, a annoncé vendredi à l'AFP le président de la CEI, le pasteur Joseph Binguimalé.

La Centrafrique devait organiser cette année des élections présidentielle et législatives, qui ont finalement été fixées au 23 janvier 2011 après deux reports et de nombreuses tergiversations.

La Commission électorale indépendante (CEI) de Centrafrique a déployé des responsables dans toutes les préfectures du pays en vue du recensement électoral qui débutera le 22 septembre, a annoncé vendredi à l'AFP le président de la CEI, le pasteur Joseph Binguimalé.

"Au moment où je vous parle, tous les commissaires de la CEI sont déployés dans les préfectures de notre pays. Je précise qu'il s'agit du lancement des opérations en vue du recensement électoral (...) prévu du 22 septembre au 21 octobre", a affirmé M. Binguimalé, sans préciser leur nombre.

"Ces commissaires vont s'atteler à la formation des agents recenseurs jusqu'au 17 septembre inclus car ceux-ci ont un devoir à accomplir et ils doivent maîtriser les techniques. Ils doivent aussi pouvoir lire et écrire", a-t-il expliqué.

La Centrafrique devait organiser cette année des élections présidentielle et législatives, qui ont finalement été fixées au 23 janvier 2011 après deux reports et de nombreuses tergiversations.

Parmi les préalables à la tenue des scrutins, l'opposition avait notamment réclamé la tenue d'un recensement électoral, au lieu d'une simple révision des listes électorales organisée en avril par la CEI sur la base d'un recensement électoral datant de 2005 et qui n'avait pas suscité beaucoup d'engouement auprès de la population.

"Certes, nous avons pu recueillir les données du recensement de 2005, mais je vous affirme que nous ne disposons pas de fichier électoral. Nous pourrons détenir un fichier après ces opérations (du recensement de septembre-octobre) et savoir combien il y a exactement d'électeurs dans ce pays", a encore déclaré Joseph Binguimalé.

Les candidats à la présidentielle et aux législatives pourront déposer leurs dossiers du 10 octobre au 8 novembre, d'après la CEI.

Le premier tour des élections est prévu le 23 janvier, et un éventuel second tour le 20 mars. Les membres des forces de l'ordre devront voter sur leur lieu d'affectation et un jour avant les civils, afin de pouvoir assurer la sécurité des opérations électorales le jour du scrutin.

© 2010 AFP

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 02:22

 

 

baleiniere.jpg

 

Radio Ndéké Luka Jeudi, 09 Septembre 2010 13:32

 

2 personnes repêchées  mortes et plus d’une vingtaine d’autres portées disparues le mardi 7 septembre 2010, lors d’un naufrage d’une pirogue au large du fleuve Oubangui.

Selon l’adjudant-chef Franck René Blaise BANGUI, Commandant de la brigade de gendarmerie de Bimbo, qui a mis les responsables de la pirogue aux arrêts, et interrogée par Radio Ndeke Luka,  le naufrage est dû à une surcharge.

Pour le piroguier Junior LIBAMBA, il s’agit  d’un incident rare dans l’exercice de sa fonction depuis plus d’une décennie.

Signalons que les enquêtes sont en cours, et c’est la 2ème fois qu’une pirogue chavire courant l’année 2010.

 

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 00:02

 

 

080710rebelles-lra

 

Source: Missionary International Service News Agency (MISNA) 06 Sep 2010


Diffuser des messages radios pour inciter les rebelles ougandais de l'Armée de résistance du seigneur (Lra), responsables de nombreux massacres et d'enlèvements de mineurs, à se livrer aux autorités : telle est l'initiative proposée par les sociétés civiles de la République Démocratique du Congo, du Centrafrique, du Soudan et de l'Ouganda. Les leaders communautaires locaux mettent l'accent sur la nécessité de porter à la connaissance des rebelles ougandais l'existence d'un programme de désarmement, démobilisation et réinsertion sociale auquel ils pourraient adhérer.

Les sociétés civiles de la région proposent de promouvoir le programme à travers la diffusion radiophonique et l'affichage de messages en plusieurs langues. Après l'échec des négociations de paix visant à mettre un terme à 20 ans de violences dans le Nord-Ouganda, la Lra a transféré ses bases de l'autre côté de la frontière et sévit depuis près de deux ans dans le Nord du Congo, le Sud du Centrafrique et le Sud-ouest du Soudan.

Les rebelles ougandais sont par ailleurs responsables de l'enlèvement de nombreux mineurs pour gonfler leurs rangs. Les États-Unis ont dernièrement adopté des dispositions pour combattre la Lra bien qu'aucune mesure n'ait encore été prise sur le terrain. De son côté, le Centrafrique a sollicité en août l'aide de la France.

 

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 18:28

 

 

Bozize KNK

 

 

Enquête exclusive de C.A.P

Neveu de l’ancien président Ange Félix Patassé, le Colonel Martin-Gérard Tebiro fut longtemps ambassadeur de la République centrafricaine en République fédérale d’Allemagne avec résidence à Bonn avant d’être nommé Secrétaire d’Etat chargé de la restructuration des armées dans le gouvernement du Premier ministre Anicet Georges Dologuélé. Prétextant retourner en Allemagne pour récupérer sa garde-robe, il ne revient plus à Bangui provoquant ainsi l’ire de son oncle Patassé qui a dû se résoudre à le limoger du gouvernement.

En arrivant au pouvoir à l’issue de son coup d’Etat du 15 mars 2003, Bozizé a entériné la décision prise naguère par Patassé de relever de ses fonctions l’ambassadeur Tébiro mais lui et Charles Wénézoui ont toujours couvert les agissements très peu catholiques de Tébiro. L’autre problème, c’est que Martin Gérard Tébiro a continué à occuper l’appartement situé au Johanniterstraße 19. 53113 à Bonn que l’Etat centrafricain louait à Bonn à l’époque pour lui et qui servait à la fois de résidence et de chancellerie. Les impayés de loyer qui courent toujours se chiffrent à l’heure actuelle à la rondelette somme de 330.000 euros soit 216.465810 millions de F CFA. Le gouvernement allemand exige aux autorités de Bangui l’apurement dans les meilleurs délais de cette ardoise.

Selon nos informations d’une source proche du dossier ayant requis l’anonymat, le ministre des affaires étrangères de Bangui le général Antoine Gambi a chargé un diplomate de l’ambassade de la RCA à Paris de se rendre à Bonn pour faire le point de la situation et obtenir de Mme Maimouna Cissoko Tébiro, (une malienne qu’il a épousée en secondes noces après un divorce houleux avec une allemande), qui refuse obstinément de quitter l’appartement. Informé par son épouse, Martin Gérard Tébiro revient dare-dare et incognito de Bangui mais refuse également d’ouvrir la porte des lieux au diplomate venu de Paris qu’il a pourtant croisé. Ce dernier est obligé de regagner Paris bredouille et de rendre compte à Bangui.

Avec son entêtement, le couple Tébiro risque maintenant d’être purement et simplement  expulsé de force de l’appartement mais l’Etat centrafricain doit toujours des comptes au gouvernement allemand. Comme colonel de l’armée centrafricaine, Martin Gérard Tébiro vient également d’être admis à valoir ses droits à la retraite des Faca.

A rappeler que lorsque Bozizé, flanqué de Sylvain Ndoutingai et Charles Hervé Wénézoui, avait été interpelé en juin 2004 par la police des frontières allemande à Düsseldorf avec sa mallette de diamants, Tébiro qui a toujours bénéficié de la complicité et la protection de Bozizé avait proposé à Wénézoui qui l’avait pourtant appelé au téléphone, de venir les assister à leur lieu de rétention mais Bozizé avait refusé.

Rédaction de C.A.P

 

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 14:31

 

 

300810nzacko.jpg

 

Radio Ndéké Luka Lundi, 30 Août 2010 13:00

La ville de Nzacko dans la préfecture de Mbomou est attaquée dans la matinée du 30 août 2010 par les éléments rebelles de la CPJP (Convention des Patriotes pour la justice et la paix).

L’attaque a commencé aux environs de trois  heures trente du matin. Elle a visé la position des forces armées centrafricaines (FACA) en détachement dans cette ville.

La CPJP a annoncé selon un chef du groupe qu’elle est en quête de renforcement de sa position dans la  localité et aussi de se procurer des armes des FACA.

Selon des témoignages recueillis par Radio Ndeke Luka dans la région, la CPJP à travers cette attaque demande au gouvernement de faire la lumière sur la disparition de leur leader le colonel Charles Massi.

Rappelons qu’il y a trois jours, la CPJP avait attaqué le grand village de Konon situé à 15 km de Nzacko. Les collecteurs et artisans ont fait les frais à travers les actes de pillages.  Cette faction rebelle qui opère dans la région est pilotée par un certain Général Mahamat Sallé.

 

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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 23:31

 

 

Feindiro

 

Ai- Rca Samedi, 28 Août 2010 16:41 - Le détournement des deniers publics et la séquestration de la population de la commune de Gamboula institutionnalisés par le maire de la ville soutenu par   quelques conseillers municipaux ont fait l'objet d’une réunion de travail présidée le  25 août à la mairie par le sous-préfet de Gamboula Bernard Mokom, en présence des responsables des services déconcentrés de l’Etat.

 Selon une source proche de la sous-préfecture, le but de cette réunion était de  toucher du doigt les maux minent  cette  unité administrative  et la gestion peu orthodoxe  des biens publics,  suite aux multiples plaintes de la population.

Le sous-préfet de Gamboula s’est insurgé contre la gabegie  des ressources  par l’équipe municipale.

« Les ressources de la commune sont dilapidées par le maire et quelques rares de ses conseillers », a-t-il déploré, avant de déclarer que,  « les conseillers agissent sur l'instruction du maire ».

A l'en croire, le maire a embauché ses hommes de main  qui sont pour la plupart des peulhs. Ces derniers sont mis en mission  comme des  percepteurs. Ils  ont imaginé des stratégies de détournement.   « Quand ceux-ci perçoivent les taxes, ils ne les reversent pas dans les caisses de la mairie,  mais plutôt chez le maire à la maison », a-t-il dénoncé.

En ce qui concerne la séquestration dont est victime la population, M Moko a fait savoir « qu’un jeune a été pris, ligoté et foutu en tôle par des conseillers.  Il s’est même vu obligé par ces mêmes conseillers  de vendre sa moto pour payer les frais et les droits de leur déplacement ».

Furieux, selon des témoins,  le sous-préfet tout en prodiguant des conseils et à  mis  en garde les élus en ces termes : « Dorénavant les récidivistes seront traduits en justice ».

 

Kabongo, Ai Bangui

 

NDLR : Quelle justice dans cette RCA de Bozizé ?

 

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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 23:28

 

 

universite-de-Bangui.jpg

 

Ai- Rca Samedi, 28 Août 2010 17:26 - Le Ministre de l’éducation, M Ambroise Zawa a présidé le 27 août à Bangui la cérémonie de clôture des travaux de l’atelier sur la  mise en œuvre du programme des enseignements à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FASEG) de l’Université de Bangui.

C’était  en présence de la délégation de l’Université de Yaoundé II (Cameroun)  conduite par le Professeur Robert Wanda et du corps enseignant de l’Université de Bangui.

Cet atelier, selon une source universitaire, qui a débouché sur la signature d’un protocole d’accord entre l’Université de Bangui et celle de Yaoundé II a permis d’élaborer les différents programmes des cours magistraux, des travaux dirigés et des recherches par les étudiants à la FASEG.

« L’ouverture de la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FASEG) à l’Université de Bangui est une preuve de la prise de conscience de la part des autorités de la République Centrafricaine » a déclaré M Zawa lors de la cérémonie de clôture.

Selon le Ministre de l’éducation, la détermination des participants à cet atelier témoigne de leur sérieux dans l’élaboration des différents programmes d’enseignement à la FASEG qui sera désormais « un établissement capable de former des cadres de très haut niveau ans le domaine des sciences économiques et de gestion au niveau local ».

Le membre du gouvernement s’est félicité de la coopération sud-sud entres les deux universités régionales avant de remercier la délégation de l’Université II de Yaoundé qui n’a pas hésité à venir  au secours de l’université de Bangui.

A l’en croire, malgré les énormes ressources naturelles  dont dispose la RCA, ce pays est parmi les pauvres au monde  et en Afrique pour la simple raison que la majorité de la population qui vivent de l’agriculture et de la cueillette ne disposent pas d’une  technologie pour la modernisation  des activités de développement.

Selon  M Zawa, en plus de ce manque de technologie,   vient s’ajouter le développement d’activités informelles  dans le secteur secondaire et tertiaire.

« Face à cette situation, entant que économiste, je sais que vous êtes très sensibles   à cette réalité » a -t-il souligné.

Il convient de signaler que, l’ancienne Faculté de Droit et des Sciences Economiques a été  scindée en deux : la  Faculté de Science Juridique et Politique et la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion.

Kabongo, Ai Bangui

 

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