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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 01:48

 

 

 

logo M2R

 

 

 

                                                       COMMUNIQUE OFFICIEL

 

 

M2R /n° 002 du 21 mars 2013

 

 

A la suite et à l'inspiration de Karinou, de Baram-Mbaké et de Boganda, partout sur le territoire national et à l'extérieur, chaque fille et fils de Centrafrique à l'impérieux devoir de se dresser contre l'oppression et la tyrannie en se joignant à la marche résolue du M2R, ultime sacrifice pour l'affranchissement de la patrie. Le M2R dispose :


- d’une feuille de route rigoureuse pour une transition consensuelle et dynamique contrairement aux aventuriers dont les revendications bassement matérielles, constituées en primes de salissure pour avoir porté Bozizé au pouvoir en 2003 et l’avoir aidé à conduire la RCA au bord de l’abîme révèlent leur dessein vorace.


Aujourd’hui 21 Mars 2013 la Seleka déclare donner encore une chance à Bozizé ! En quoi consiste cette dernière chance? Doit-on comprendre que si Bozizé met sa main dans son portefeuille la Seleka va abandonner la lutte armée et déguerpir des régions sous leurs tortures?


- d’un plan de réformes hardies, porteuses d’une véritable espérance pour la paix recouvrée et consolidée en Centrafrique ; prometteuses de croissance et de développement de l’économie.


Le M2R s’engage à reconstituer l’unité nationale, à rendre la liberté et la dignité aux centrafricains; à rehausser le goût du travail à nos laborieuses populations.


Le M2R se met au service des jeunes, des femmes, des hommes volontaires et probes pour promouvoir l’éducation, la santé, la science, la technologie, la bonne gouvernance, la justice, la liberté, la démocratie participative.


Constitué de véritables professionnels formés au noble métier des armes et de civils éclairés, le M2R n’est pas en quête ni de galons indus, ni de postes ministériels dans le but inavoué de spolier l’Etat déjà squelettique. Les militaires qui ont rejoint le M2R ont le sens élevé de l’honneur, la discipline et la patrie.


Face à la montée des périls, périls Bozizé, péril Seleka, qui chaque jours menacent notre existence en tant que peuple et Nation, qui ruinent inexorablement les fondements de notre cohésion nationale, voici venu le temps de l'action.


En chacun de nous demeure un soldat, gardien de notre patrie aujourd'hui en grand danger.


C’est pourquoi le M2R interpelle et appelle le peuple de Centrafrique à un compromis historique pour sortir du joug des inquisiteurs.


Ensemble nous allons conjurer le mauvais sort de la violence, de la pauvreté et de la misère.


Ensemble nous gagnerons le pari de la renaissance et la refondation de la République Centrafricaine.


Fait à Bangui le 21 mars 2013


Le coordonnateur


Salvador EDJEZEKANE

 

Mouvement pour la Renaissance et la Refondation/Mouvement politique alternatif en RCA

courriel : renaissancerefondation@gmail.com

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 15:52

 

 

 

 

Kodegue.jpg

 

 

Nous, membres de la Fédération France, Europe, Amériques, Océanie, Asie, Moyen-Orient, du parti politique Le Mouvement de Libération Démocratique( M.L.D), tenons à exprimer nos vives félicitations à Monsieur LOUIS MICHEL, pour sa nomination en tant qu'Envoyé Spécial de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) en Centrafrique «en vue de conforter l’action de la Francophonie dans le cadre du processus de transition en cours»

 

Fort de ses nombreuses expériences ,Le MLD espère que son implication inconditionnelle dans le processus en cours, aux côtés des autres institutions déjà à l'oeuvre, permettra une issue heureuse pour le peuple centrafricain .

 

C'est pourquoi, Le MLD comme acteur politique, tient à exprimer sa disponibilité pour une rencontre à toutes fins utiles.

 

FAIT A PARIS LE 20 MARS 2013

 

Cofondateur du MLD Président Fédéral

Guy Simplice KODEGUE

kodeguenaki@yahoo.fr 0033668825143/0033652271165

 

Rapporteur Général de la Fédération Michel DOROKOUMA

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 00:21

 

 

 

éléments Séléka vers Sibut

 

 

Après avoir déclenché une offensive militaire dans la Préfecture de MBOMOU, face aux troupes étrangères non communautaires et mercenaires lourdement armés par le Général François BOZIZÉ, en violation des Accords de Libreville, dans le but inavoué d’attaquer nos positions dans la Préfecture de la OUAKA, la coalition SÉLÉKA vient de mettre en déroute ces forces obscures par la prise et le contrôle de la ville de BANGASSOU, suite à des affrontements à 17 km de l’entrée de la ville. Par contre, la ville de GAMBO est prise sans combat, tout comme celle de RAFAI.

 

Dans leur fuite effrénée, ces troupes étrangères ont abandonné d’impressionnantes quantités d’armes et d’équipements militaires qui sont récupérées par nos vaillants éléments. Fier du courage de nos combattants, la coalition SÉLÉKA se réjouit de cette protection territoriale.

 

Nous récusons la présence des troupes étrangères non communautaires sur notre territoire. Elles ne sont nullement impliquées dans la gestion de la crise centrafricaine, tout comme ces mercenaires que le Général François BOZIZÉ a fait venir massivement en Centrafrique, en s’appropriant tous les points névralgiques de notre pays au détriment de nos forces régulières, les FACA, qui ne suscitent aucunement la confiance du Chef de l’Etat.

 

Sur notre Territoire National, partout où ces troupes étrangères non communautaires et mercenaires se trouveront, dès lors qu’ils constitueront une menace pour notre défense et notre sécurité, nous les affronterons et les déposséderons des armes achetées avec l’argent du contribuable centrafricain.

 

Nous invitons vivement le Général François BOZIZÉ à se mettre résolument sur le chemin de la paix, conformément aux engagements de Libreville, au lieu de pratiquer une politique de l’autruche qui lui sera forcément et bien fatalement préjudiciable.

 

Fait à Bambari le 20 Mars 2013


Justin KOMBO

 

Secrétaire Général - SÉLÉKA É-mail : zokoyzosozola@yahoo.com

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 00:14

 

logo-M2R.JPG

 

 

 

 

COMMUNIQUE OFFICIEL

 

M2R /n° 001 du 19 mars 2013

 

L’Alliance pour la Renaissance et la Refondation (A2R), ayant enregistré ces derniers temps de nombreuses adhésions tant civiles que militaires a décidé durant son dernier conclave tenu du 17 au 18 mars à Bangui de se transformer en Mouvement pour la Renaissance et la Refondation en abrégé (M2R).


Le M2R, poursuit naturellement les mêmes objectifs affichés par l’Alliance depuis son apparition en octobre 2012 à savoir : renverser le régime honteux du général BOZIZE et instaurer à l’intérieur des frontières de la RCA un véritable Etat de droit, promouvoir la culture d’une démocratie participative, instituer une gouvernance basée sur la probité, la justice et la performance. Contrairement à ce qui est distillé dans la presse étrangère, l’A2R ne regroupait pas en son sein d’anciens officiers, mais des officiers d’active, des sous-officiers, des militaires du rang en activité ainsi que des personnalités politiques civiles, animés par un idéal républicain.


Indigné par la tragi-comédie qui se joue en République Centrafricaine depuis le 11 janvier 2013 dans le cadre des Accords de Libreville que l’A2R était le premier à qualifier de mort-nés, le M2R s’engage à agir pour mettre fin au martyr du peuple centrafricain.


Le M2R interpelle les Généraux Denis SASSOU NGUESSO, Idriss DEBY ITNO, Joseph KABILA et leurs pairs de la CEEAC les Présidents OBIANG NGUEMA BASOGO, Paul BIYA, Ali BONGO ONDIMBA sur le sens du soutien encore apporté à François BOZIZE à ce jour. Spécialiste du reniement, ce dernier vient d’annoncer clairement le 15 mars 2013 qu’il sera candidat aux élections présidentielles en 2016, au grand dam du Président YAYI BONI qui avait cru bon plaider sa cause afin qu’il lui soit permis de terminer son mandat.


Le M2R lance un vibrant appel à la communauté internationale pour qu’elle cesse sa politique de l'autruche et affronte enfin la réalité. Consent-elle sciemment à commettre la même erreur qu’en Syrie en laissant la RCA sombrer irrémédiablement dans le chaos? Comme au Rwanda hier, va-t-elle feindre encore de ne rien voir, de ne rien entendre et de ne rien comprendre? Il est plus qu’urgent de voler au secours du peuple centrafricain agonisant et abandonné à son triste sort.


Le M2R est prêt et lance un appel solennel à l’Union Africaine et à la communauté internationale afin de renforcer ses capacités pour abréger les souffrances du peuple centrafricain, otage de Bozizé et de Seleka tous deux comptables du bilan désastreux des 10 années du régime en faillite. Que les bonnes volontés se manifestent pour aider à résoudre durablement la crise centrafricaine au lieu de tergiverser comme en Syrie où elles ne réagissent que tardivement. Dans tous les cas le M2R prendra ses responsabilités devant l’histoire.

 

Fait à Bangui le 19 mars 2013


Le coordonnateur


Salvador EDJEZEKANE

 

 

Mouvement pour la Renaissance et la Refondation/Mouvement politique alternatif en RCA

courriel : renaissancerefondation@gmail.com

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 00:10

 

 

 

Jean-Christian-Patasse.JPG

 

19 MARS 2O13


 

 

Nous venons d’apprendre par la voie de la presse la   retenue des cinq ministres de la coalition SELEKA qui font partie du nouveau gouvernement d’union nationale(GUN ) dirigé par l’ancien PRESIDENT du Conseil National de Transition de 2OO3 à 2OO5, période où le général-président venait de faire son coup d’état contre le Président Ange Félix-PATASSE .

 

Point n’est besoin de se douter de ce qui allait advenir avec ce gouvernement issu des accords du 11Janvier  2O13 à Libreville et qui a vu imposer l’ex-bâtonnier Nicolas TIANGAYE à l’autoproclamé « démocratiquement élu ». Dès le départ, le président BOZIZE ne voulait pas nommer celui-ci à la tête du Gouvernement de coalition. Il a fallu la pression du médiateur de cette crise centrafricaine Denis SASSOU-NGUESSOU et tous les CHEFS D’ETAT de la CEEAC pour qu’il entérine la décision prise collectivement au GABON. Il prétextait que l’opposition devait lui proposer quatre noms afin qu’il choisisse  un pour l’élever au sommet du Gouvernement. Après cette tergiversation, le Roi a fini par se rendre à l’évidence pour entériner le bon choix TOUT EN CREANT UN désordre à sa manière pour multiplier les postes ministériels à ses partisans pour ne pas être inquiété à l’exercice du pouvoir.


      Force est de constater que le Général-Président continue de narguer la communauté nationale et internationale sans être inquiété d’aucune manière. Nous rappelons à l’opinion que cet officier a pris une option sérieuse pour la destruction de notre pays car c’est à cause de lui qu’un grand nombre des fils et filles de Centrafrique ont péri avec sa déclaration radiophonique en mars 1982, les tentatives des diverses mutineries ou de coups d’état de 1996, 1997-1998, 2OO1, 2OO2 et 2OO3 sont là pour démontrer que nous ne nous fondons pas sur du néant pour étayer notre remarque. Ces villages (28) dans la sous-préfecture de Paoua et la totalité des quartiers et village de MARKOUNDA ont connu  la même sanction par le pouvoir dirigé par le Président André KOLINGBA.


                      Nous dénonçons avec vigueur toutes ces atrocités imposées au peuple Centrafricain par son comportement indigne d’un officier général qui ne respecte jamais les institutions républicaines et qui, de surcroit déclare aux journalistes et à la population qu’il a conquis son pouvoir par les armes et ceux qui voudraient le faire partir devraient utiliser la même voie(sic). Faut-il s’étonner de ce qui se passe actuellement sur le pré-carré  de Centrafrique ? Vous venez d’écouter encore pour la énième fois sa déclaration radiodiffusée le 15 mars 2O13 en Sango  l’une des langues nationales centrafricaines qu’il se représenterait aux élections présidentielles et législatives de 2O16 alors qu’il venait  d’apogée  sa signature à l’accord du 11 Janvier 2O13.Jugez-vous  même, cet homme  qui continue de semer la zizanie  en trompant le monde entier.que la communauté nationale et internationale tirent la conclusion de la mise en application d’un tel accord ? Evidemment, le maintien des troupes Sud-Africaines et les rebellions sur l’ensemble du territoire lui permet de créer ces désordres pour  s‘autoproclamer l’Empereur de GAGA à l’instar de son maître à penser Jean-Bedel BOKASSA mais lui au moins a eu l’honneur de diriger son pays sans désordre sur son territoire.

                      Nous demandons au premier ministre Maître Nicolas TIANGAYE de prendre ses responsabilités pour ramener la paix et la concorde sur l’ensemble du territoire national afin de soulager la souffrance de la population qui est la proie de toutes les rébellions opérées jusqu’ici. Nous ne comprenons toujours pas la position ambigüe de l’actuel gouvernement dont il a la charge de conduire à son terme et les instances internationales appelées pudiquement la communauté internationale face à la crise centrafricaine qui connaissent la situation désastreuse dans laquelle ce pays est astreint de par la multiplicité des rebellions venues d’ailleurs comme celle de KONY qui n’a pas de frontière avec la République Centrafricaine ou ceux qui l’ont accompagné pour s’emparer du pouvoir de l’Etat et qui sont encore dans ses rangs et dont SELEKA inclus dans ses revendications sur les onze points cités par cette coalition


            La SELEKA dit avoir libéré les prisonniers de guerre détenus par cette coalition lors des hostilités de décembre dernier alors que le Général qui a procédé aux arrestations des familles des membres de SELEKA  ont été  assassinés par les bourreaux de M. BOZIZE et la mise en exécution des accords de paix de LIBREVILLE coince à cause de cette distorsion. Nous insistons pour la mise en application intégrale des termes des accords du 11 Décembre 2O12 avec la dissolution de l’assemblée nationale monocolore, le nettoyage du fichier général des élections, le recensement de la population et enfin la mise en place des organes de transition car nous avons déjà perdu assez de temps pour l’exécution de la feuille de route. Le SELEKA doit comprendre   que leurs pressions sur la population  sont incompatibles avec les accords signés à LIBREVILLE et qu’il doit tout mettre en œuvre pour protéger  celle-ci dans le strict respect de la loi fondamentale et des institutions ET SURTOUT RESPECTER LA FORME DE LA REPUBLIQUE QUI  EST  LA  LAICITE ET NON S’EN PRENDRE AUX EGLISES OU A LA STRUCTURE ETATIQUE., socles d’un pouvoir fort d’une nation.                                                                                                                                          

 

                                                            Fait à PARIS, LE 19 MARS  2013

 

                                                                 Jean-Christian PATASSE           
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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 02:20

 

 

 

Entête Collectif Touche pas à ma Constitution

 

 

Fait à Dakar, le 18 Mars 2012

 

COMMUNIQUE DE PRESSE N°21

 

Le collectif « Touche pas à ma constitution » tient à informer le coordonnateur et  partisans de la COCORA que conformément aux dispositions de l’Article 12 de la constitution Centrafricaine qui dispose :


Tous les citoyens ont le droit de constituer librement des associations, groupements, sociétés et établissements d'utilité publique, sous réserve de se conformer aux lois et règlements.

 

Les associations, groupements, sociétés et établissements dont les activités sont contraires à l'ordre public ainsi qu'à l'unité et à la cohésion du peuple centrafricain sont prohibés.


Ce qui justifie d’une part l’existence de la COCORA et d’autre part non, vu la nature des activités de  la COCORA (Irrigation des barrières illégales dans les quartiers de la capitale qui sont contraire à l’ordre public ainsi que la distribution des armes blanches aux jeunes Centrafricains les encourageant ainsi à démolir l’unité et la cohésion du peuple Centrafricain) qui viole l’alinéa 2 de l’article 12 de la constitution.

 

D’après Lévi Yaketé,  Coordonnateur de la COCORA: « Lorsqu’on active la flamme du nationalisme, c’est une flamme qui brille, qui brûle et qui ne s’éteint pas vite ! Et rien ne nous dit encore aujourd’hui que tout est fini ! Si le danger est loin de nous, ces barrières vont disparaître d’elles-mêmes ! »


Or la constitution prévoit qu’en cas de crise il est du ressort du Président de la République d’invoquer l’article 31 qui dispose: Le Président de la République peut, lorsque les circonstances l'exigent, après avis du Conseil  des Ministres, du Bureau de l'Assemblée Nationale et du Président de la Cour Constitutionnelle, proclamer l'état de siège ou d'alerte pour une période de quinze (15) jours. Ce délai ne peut être prorogé que par l'Assemblée Nationale, réunie en session extraordinaire avec ou sans quorum.


Sommes-nous en carence d’autorité compétente en la matière ?


Où on est-on avec l’autorité du chef d’Etat ? Est-ce la COCORA une volonté permissible ?


Le collectif invite M Lévi YAKETE à méditer la légitimité de sa milice en prenant connaissance de l’article 19 de la constitution qui dispose : La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par voie de référendum ou par ses représentants.

 

Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice ni l'aliéner.


Le collectif appelle les jeunes Centrafricains responsables de ces barrières illégales de les démantelé dans le plus bref délai car il incombe à la police et la gendarmerie de maintenir l’ordre et garantir la sécurité de la population pas à une tierce milice par conséquent nous demandons à la jeunesse de se mobiliser pour les élections législatives anticipée et un dialogue sincère avec tous les Centrafricains et rien qu’en Centrafrique, conditions sine qua none de retour d’une paix durable.


Nous invitons le Gouvernement d’union nationale tous les acteurs de la vie politique, la société civile et le Ministre de la  Sécurité, de l’immigration-émigration et de l’ordre public JOSUE BINOUA particulièrement de faire preuve de maturité afin de mettre fin à ces barrières illégales qui infestent et polluent  la ville de Bangui dans les plus brefs délais.


Le Centrafrique est un pays de droit régit par des textes juridiques. Alors nous invitons le Ministre JOSUE BINOUA et son département  dont la tâche incombe d’assurer la sécurité et l’ordre public de mettre un terme aux activités des miliciens de la COCORA (Ces barrières typiques à celles du Rwanda en 1994, Quelle avenir pour la jeunesse Centrafricaine ??), autrement le collectif va ester M Lévi YAKETE devant la Cour Pénale Internationale pour répondre de ses actes et le Ministre JOSOUE BINOUA  pour sa complicité (son silence approbateur). A ce jour le collectif dispose des preuves des machettes distribuées aux jeunes Centrafricains dans plusieurs quartiers de Bangui.

 

 

 

Ampliation :

Président de la République

La presse Centrafricaine

PM

Ministre de la Defense

Binuca etc.

 

  Le Coordonnateur-Général

                                                                                                                 Kenny ZOUNGARANI

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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 18:55

 

 

 

 

ambassade-RCA-Paris.JPG

 

 

LAmbassade, Haute Représentation de la République Centrafricaine auprès de la République Française, a lhonneur de porter à lattention de la communauté centrafricaine ce qui suit :

 

Le Comité de contrôle et de vérification des dossiers de demande de passeports biométriques centrafricains informe que les passeports délivrés à Bangui seront disponible à l’Ambassade à partir du vendredi 29 MARS 2013.


Les ayants droit pourront se présenter à la Chancellerie, munis d’une pièce d’identité ou une copie d’acte de naissance, ainsi que du récépissé « Souche Jaune » délivré lors du dépôt de la demande. 


En outre, une durée de quatre (4) jours est accordée aux compatriotes nayant pas pu déposer leur demande lors de la précédente mission.


Le calendrier de  la dernière mission en France se présente ainsi quil suit :

 


Vendredi 29 Mars, Samedi 30 Mars, Lundi 1er et Mardi 2 AVRIL 2013, aux heures d’ouverture de l’Ambassade.


L’Ambassade, Haute Représentation de la République Centrafricaine en France, saurait infiniment gré aux compatriotes pour leur promptitude habituelle.


Fait à Paris le 18 MARS 2013


Martial NDOUBOU


Chargé dAffaires a.i

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 01:27

 

 

 

Lévy Lakité


 

Au moment où le Conseil Suprême de la SÉLÉKA s’engage, en application des Accords de Libreville, avec le Gouvernement d’Union Nationale (GUN) et la Force Multinationale d’Afrique Centrale (FOMAC), au cantonnement de ses troupes, le Général François BOZIZÉ vient de déclencher, ouvertement, les hostilités par l’entremise de Monsieur Levy YAKITÉ, son Conseiller à la Présidence de la République en charge de la Jeunesse.

 

En effet, sur instruction du Général François BOZIZÉ, Monsieur Levy YAKITÉ, nanti de son titre de Président de la Milice dénommée COCORA, flèche en SANGO, la langue nationale, vient de mobiliser les jeunes de sa milice au Stade Barthélémy BOGANDA, le Samedi 02 Mars 2013. Au cours de cette rencontre, ce dernier a tenu des propos des plus inacceptables, se fondant sur la haine, sur la violence et sur la xénophobie pouvant se résumer par :

 

Le renforcement des barrières dans la ville de Bangui pour filtrer la circulation et procéder à l’arrestation des personnes jugées suspectes ou en lien avec la SÉLÉKA. La jeunesse est ainsi appelée à une forte mobilisation pour s’attaquer, par tous les moyens, à ceux qui n’ont pas la même opinion que le KNK, parti au pouvoir, sur la crise centrafricaine ;

 

L’ultimatum d’un mois donné au Gouvernement d’Union Nationale pour qu’il s’implique dans la gestion de la crise, faute de quoi la COCORA devra exiger sa démission ;

 

La médiation de la crise centrafricaine voulue de la compétence de l’Union Africaine, en récusant ainsi la légitime implication des États de la sous-région, en occurrence les Etats membres de la Communauté Économique des États d’Afrique Centrale ; et

 

L’appel au Président ZUMA de l’Afrique du Sud pour le renforcement de la présence de ses troupes en Centrafrique, en réfutant ainsi les Accords de Libreville de 2013.

 

A la suite de cette rencontre, les machettes, les fléchettes et les couteaux sont, à nouveau, distribués aux jeunes désœuvrés de la capitale. Depuis lors, certains arrondissements de Bangui, où habitent en grand nombre les ressortissants des régions du nord-est de notre pays et les ressortissants étrangers d’origine musulmane, sont devenus la cible de la Milice. Les persécutions, dont sont victimes ces personnes innocentes, se sont nettement accentuées, et bon nombre d’entre elles sont maintenues en détention, dans des conditions dégradantes et inhumaines, sans mise en examen préalable, ni jugement, et souvent sommairement tuées.

 

Le Gouvernement d’Union Nationale, dirigé par Maître Nicolas TIANGAYE, ancien Président de la Ligue Centrafricaine des Droits de l’Homme, devra adopter une position très ferme, au regard de ces atteintes constantes aux Droits Humains.

 

A cet effet, nous émettons une mise en garde, très ferme, à Monsieur Levy YAKITÉ, Distributeur des machettes, sur les dérives des manifestations et des marches qu’il compte organiser avec sa milice dans les jours à venir pour soutenir la présence des troupes sud-africaines sur notre territoire et le régime du Général François BOZIZÉ.

 

En définitive, par l’entremise de son Conseiller Monsieur Levy YAKITÉ, le Général François BOZIZÉ a émis deux messages bien perceptibles par le Conseil Suprême de la SÉLÉKA :

 

le premier, par la récusation du gouvernement, en poussant à sa démission par l’ultimatum de la milice COCORA qui n’a aucune légitimité pour contester ce gouvernement issu des Accords de Libreville et qui a pour mission de relever le pays du marasme économique dans lequel le KNK et son Général-Président l’ont plongé ;

 

le deuxième, par la réfutation de ses pairs de la sous-région, par la surprenante déclaration sur le retrait de la médiation de la crise centrafricaine des mains de la Communauté Économique des États d’Afrique Centrale pour la confier à l’Union Africaine. Une telle déclaration venant du Conseiller du Président, prouve, à l’évidence, que le Général-Président ne fait aucunement confiance à ses pairs Chefs d’Etat d’Afrique Centrale qui l’ont pourtant aidé à se maintenir au pouvoir malgré sa mauvaise gestion de la Chose Publique.

 

Déjà en Janvier 2013, alors que les Chefs d’État d’Afrique Centrale déploient leur contingent de soldats sur notre Territoire, avec pour mission de protéger Bangui, l’on a relevé que le Général François BOZIZÉ a introduit dans le pays, à la surprise de ses pairs, des troupes sud-africaines. Il appartient donc aux Chefs d’État d’Afrique Centrale d’en apprécier.

 

Le Conseil Suprême de la SÉLÉKA, conformément aux Accords de Libreville de 2013, exige le départ immédiat des troupes étrangères à la sous-région, en occurrence les troupes sud-africaines et autres mercenaires du Territoire national, ainsi que la libération immédiate des prisonniers.

 

Fait à Bambari le 12 Mars 2013

 

Justin KOMBO

Secrétaire Général                           

SÉLÉKA

É-mail : zokoyzosozola@yahoo.com

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 21:08

 

 

 

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 15:21

 

 

 

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Bangassou.JPG

Bangassou

 

 

Depuis l’aube, une colonne de sept véhicules composée d’éléments de la SELEKA tente de prendre le contrôle de la ville de Bangassou, chef-lieu de la préfecture du Mbomou. Des combats opposent pour le moment ces derniers aux Forces Armées Centrafricaines (FACA).

 

Le Rassemblement Démocratique Centrafricain condamne avec la dernière rigueur cette attaque de Bangassou et exige le retrait immédiat des assaillants. Il rappelle aux responsables de la SELEKA l’engagement de Libreville et leur responsabilité.

 

Le Rassemblement Démocratique Centrafricain appelle le gouvernement à prendre toutes les dispositions nécessaires pour que cessent les insupportables entorses aux accords de Libreville, causant une grande souffrance à nos populations et hypothéquant dangereusement la République. Il rappelle la nécessité d’utiliser les mécanismes post-conflits prévus par les accords de Libreville pour régler les différends nés de leur application qu’importe la provenance.

 

Le Rassemblement Démocratique Centrafricain rappelle à tous, le Chef de l’État, le Premier Ministre, le Gouvernement, la Majorité Présidentielle, l’Opposition Démocratique et la Seleka ; la nécessité d’oeuvrer pour pacifier le pays et permettre le retour de l’autorité de l’état sur l’ensemble du territoire national et la reprise des activités économiques et scolaires ainsi que l’organisation des élections législatives de 2014 dans d’excellentes conditions. Il rappelle à tous les acteurs de taire les égoïsmes et de sauver l’essentiel en épargnant à nos populations des souffrances inutiles.

 

La Cellule Communication

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