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2 décembre 2010 4 02 /12 /décembre /2010 23:25

 

 

afrique

 

 

L'opposant ivoirien Alassane Ouattara a gagné le 2e tour de la présidentielle avec 54,1% des voix, selon la Commission électorale indépendante (CEI). Le Conseil constitutionnel, proche de son adversaire, le président sortant Laurent Gbagbo, a aussitôt contesté le résultat.

Cette proclamation a eu l'effet d'un coup de théâtre à la fin d'une journée de confusion. En effet, mercredi à minuit, le délai légal pour l'annonce des résultats provisoires avait expiré, alors que les Ivoiriens étaient toujours dans l'incertitude. En cause: les blocages des derniers jours au sein de la CEI.

Le président du Conseil Constitutionnel a immédiatement annoncé que ces résultats provisoires n'étaient pas valables. "La CEI a épuisé son délai pour donner des résultats provisoires" et n'est donc "plus à même de décider quoi que ce soit", a-t-il déclaré.

Le Conseil constitutionnel doit désormais statuer sur les requêtes pour "donner les résultats définitifs du second tour" dans "les heures qui suivent", a-t-il insisté.

Huit morts

L'annonce de la victoire de M. Ouattara intervient après deux semaines de forte tension, et quelques heures après une attaque nocturne de son fief électoral. Ces violences ont fait huit morts, selon une source policière.

Naguère modèle de stabilité en Afrique de l'Ouest, le pays est plongé dans une crise depuis le coup d'Etat de 1999. Elle s'est aggravée avec le putsch raté de 2002 et la partition du territoire en un Sud loyaliste et un Nord aux mains de l'ex-rébellion des Forces nouvelles.

( 02 décembre 2010 21:49)

 

Côte d'Ivoire: fermeture des frontières après la victoire "non valable" de Ouattara

ABIDJAN (AFP) - 02.12.2010 21:26

Bête noire du régime ivoirien, l'opposant Alassane Ouattara a remporté le second tour de la présidentielle du 28 novembre avec plus de 54% des voix contre le sortant Laurent Gbagbo, selon une annonce surprise jeudi de la commission électorale, aussitôt contestée par le Conseil constitutionnel.

"La CEI a épuisé son délai pour donner des résultats provisoires" et n'est donc "plus à même de décider quoi que ce soit", a-t-il déclaré.

Bête noire du régime ivoirien, l'opposant Alassane Ouattara a remporté le second tour de la présidentielle du 28 novembre avec plus de 54% des voix contre le sortant Laurent Gbagbo, selon une annonce surprise jeudi de la commission électorale, aussitôt contestée par le Conseil constitutionnel.

 Toutes les frontières de la Côte d'Ivoire ont été fermées jeudi soir "jusqu'à nouvel ordre", a annoncé l'armée sur la télévision publique, peu avant que soit également annoncée la suspension "sans délai" de la diffusion des chaînes de télévision d'information étrangères.

L'ex-Premier ministre a remporté le scrutin "avec 54,10% des suffrages", contre 45,9% pour le chef de l'Etat, selon les résultats provisoires de la Commission électorale indépendante (CEI), a indiqué à l'AFP Auguste Miremont, secrétaire permanent de la commission.

Dans l'après-midi, le président de la CEI Youssouf Bakayoko avait annoncé ces résultats provisoires à l'improviste devant une poignée de journalistes dans l'hôtel où était installé le QG de campagne de M. Ouattara.

Cette proclamation était un coup de théâtre car mercredi à minuit (00H00 locales et GMT), à l'expiration du délai légal pour l'annonce des résultats provisoires, les blocages des derniers jours au sein de la CEI n'avaient pas permis de sortir les Ivoiriens de l'incertitude.

Mais juste après cette annonce, à la fin d'une journée de confusion, le président du Conseil Constitutionnel, Paul Yao N'dré, un proche de Laurent Gbagbo, a annoncé sur la télévision publique que ces résultats provisoires n'étaient pas valables.

"La CEI a épuisé son délai pour donner des résultats provisoires" et n'est donc "plus à même de décider quoi que ce soit", a-t-il déclaré.

Le Conseil constitutionnel doit désormais statuer sur les requêtes pour "donner les résultats définitifs du second tour" dans "les heures qui suivent", a-t-il insisté.

Le camp du président Gbagbo - au pouvoir depuis dix ans - a saisi le Conseil pour faire annuler des votes "frauduleux" dans le nord sous contrôle ex-rebelle depuis 2002.

Le Conseil constitutionnel est seul habilité à proclamer les résultats définitifs, dans un délai de sept jours.

Exclu du scrutin de 2000 pour "nationalité douteuse" et symbole des tourments identitaires de ce pays de forte immigration, Alassane Ouattara, 68 ans, aura, si son élection est définitivement confirmée, pour tâche de relever et réunifier la Côte d'Ivoire, politiquement et économiquement.

Naguère modèle de stabilité en Afrique de l'Ouest, le pays est plongé depuis le coup d'Etat de 1999 dans une crise qui s'est aggravée avec le putsch raté de 2002 et la partition du territoire en un sud loyaliste et un nord aux mains de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN).

L'annonce de la victoire d'Alassane Ouattara intervient après deux semaines de forte tension, et quelques heures après une attaque nocturne qui a fait huit morts à son QG du quartier populaire de Yopougon selon des témoins, une source policière et un responsable local de son parti.

L'armée a reconnu avoir tué quatre personnes en "riposte" à des tirs et fait état de "14 blessés", appelant au respect du couvre-feu nocturne en vigueur depuis la veille du scrutin et prorogé jusqu'à dimanche.

La communauté internationale a mis la pression maximum pour éviter tout débordement violent.

L'Union africaine, l'Union européenne, la France, et l'ONU ont tour à tour appelé les deux candidats à respecter le verdict des urnes.

D'une façon très ferme, le Conseil de sécurité de l'ONU a menacé jeudi de "prendre les mesures appropriées" contre ceux qui entravent le processus électoral.

Le bureau du procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a également averti qu'il "surveillait" la situation en Côte d'Ivoire.

© 2010 AFP

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2 décembre 2010 4 02 /12 /décembre /2010 23:19

 

 

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Source : Le Potentiel 2 Décembre 2010

Le président tchadien Idriss Deby, en célébrant hier mercredi à Ati ses 20 ans au pouvoir, a prôné «la réconciliation» et le pardon afin de faire entrer le Tchad dans «la modernité», a constaté un journaliste de l'AFP.

«Seule la réconciliation des Tchadiens et Tchadiennes fera entrer notre pays dans la modernité», a déclaré le président Deby, dans un discours à la Nation depuis cette ville située à plus de 400 km au nord-est de N'Djamena.

«Il faut que les enfants de ce pays meurtri par tant d'années de souffrances se pardonnent, oublient les dures épreuves que chacun de nous a subies au plus profond de lui-même», a-t-il dit devant des milliers de personnes.

«Arrêtons, arrêtons de détruire notre pays, frères et soeurs, donnons-nous la main pour réaliser une réconciliation nationale franche et sincère car nous aspirons tous à la paix. (...) Le 20ème anniversaire marque la fin de cette aventure désastreuse pour la Nation» et «ouvre la porte à un nouvel ordre de société», a-t-il dit.

«Dans ce nouveau Tchad, il n'y aura plus de place pour les brebis galeuses de l'administration. L'autorité de l'Etat, l'application stricte des lois et règlements, l'orthodoxie administrative et financière, doivent prévaloir sur toutes autres considérations. Toutes les mesures seront prises pour l'amélioration du climat des affaires», a-t-il promis.

Idriss Deby est arrivé au pouvoir par les armes en 1990, après la fuite d'Hissène Habré dont il avait été le conseiller militaire. Elu pour la première fois en 1996, il a été réélu en 2001. En 2006, il a été reconduit grâce à une modification de la Constitution.

La prochaine élection présidentielle au Tchad doit avoir lieu en 2011.

Mais bien avant cette élection, le président Déby ferait mieux de se rapprocher davantage avec son homologue soudanais et trouver également un compromis avec les rebelles qui font encore la résistance. Ce qui permettra de stabiliser le pays et d'organiser une présidentielle apaisée susceptible de promouvoir la démocratie au Tchad.

 

 

Communiqué de presse N° 4 du Haut Commandement des Forces      positives du Front Populaire pour le Redressement (FPR)

 

Malgré la bonne volonté du Front Populaire pour le Redressement (FPR) de répondre à la disponibilité de plusieurs personnalités étrangères  de bonne foi à aider le Gouvernement tchadien à ouvrir  un dialogue de paix avec les responsables de ce mouvement politico-militaire, les autorités de Ndjaména s’obstinent dans leur logique de confrontation armée contre ses opposants en prônant  la continuité de l’option armée.

Aveuglé par l’achat d’énormes engins de guerre puisé sur le fonds pétrolier  préalablement destiné aux générations futures, le régime tchadien croit tout résoudre par l’intimidation, le mépris et la violence.

Le Front  Populaire pour le Redressement (FPR) tient à informer l’opinion nationale, africaine et internationale que le Gouvernement tchadien sera tenu entièrement pour seul, responsable de l’embrasement et de la « darfourisation » du sud du Tchad. Il répondra de ses actes bellicistes des conséquences qui adviendront devant son refus manifeste de faire la paix par la voie des différentes médiations proposées.

Pour le régime tchadien, le retour au bercail  s’impose  sans conditions, ni  préalable à ses opposants, le refus de tout témoin extérieur apparaît gênant  et ce qui transparaît évidemment la mauvaise foi et demeure ainsi la traditionnelle logique « debyenne » dans un contexte politique totalement en déconfiture avancée.

Il convient de rappeler que les récents  tristes sorts réservés au Général Tahir Wodji, au Général Tahir Guinassou et autres compagnons d’infortunes de l’Union des Forces pour la Démocratie et le Développement du Général Mahamat Nouri, et  sans oublier celui de Choua Dazi du Mouvement pour la Justice et la Démocratie au Tchad( MDJT), dont le retour au bercail est effectué grâce à la médiation de l’ex-président tchadien Goukouni Weddeye sous la supervision du Guide de la Grande Jamahariya Arabe Libyenne.

A cela s’ajoutent, les cas de plusieurs détenus politiques qui croupissent dans les geôles  du régime  en place subissant des traitements inhumains et dégradants.

Pour le Front Populaire pour le Redressement (FPR), la prison de Korotoro peut être qualifiée de véritable Guatanamo Tchadien.

Au regard de cette situation périlleuse pour des milliers de prisonniers, il urge que les organisations de défense des droits de l’homme, les agences  humanitaires  et la Cour Pénale Internationale (CPI), diligentent  immédiatement une enquête internationale pour secourir ces personnes en détresse afin de prendre des mesures appropriées qui s’imposent dans ce cas d’espéces.

De tout ce qui précède, eu égard à la délinquance du tissu social au Tchad, le FPR :

 

Exige la tenue d’un référendum  en toute objectivité sur la question de la fédération du pays, seul gage de  bonne gouvernance avant toute autre consultation électorales futures ;

 A défaut, le FPR sera dans l’obligation d’explorer toute autre voie pour la résolution de la crise tchadienne.

                                                                                        Fait à Takara,  le 1er décembre 2010

                                                                     Pour les Forces Positives du FPR

                                                                      Le Général Baba Laddé,

                                                                      Contact : 00 88 216 4444 16 69

 

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2 décembre 2010 4 02 /12 /décembre /2010 21:43

 

 

50ans 

 

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République centrafricaine : LE CINQUANTENAIRE EN BEAUTE


(L'Essor 02/12/2010)

Les festivités ont été marquées par un imposant défilé militaire et civil qui a duré plus de quatre heures

La République centrafricaine a fêté hier avec faste le cinquantenaire de son accession à l’indépendance. La cérémonie officielle a, en fait, été décalée à ce 1er décembre car c’est le 13 août que l’indépendance de la Centrafrique a été proclamée par le charismatique homme d’Etat, David Dacko.

L’événement historique a été marqué par un grand défilé à Bangui en présence d’invités de marque : Amadou Toumani Touré (Mali) qui a une très grande popularité ici pour avoir contribué à la restauration de la paix, Denis Sassou Nguesso (Congo), Thomas Yayi Boni (Bénin). Près d’une vingtaine de délégations étrangères ont assisté à ce défilé militaire et civil qui a duré plus de quatre heures.

Dès les premières heures de la matinée, les habitants de la capitale étaient massés des deux côtés de l’Avenue des Martyrs où s’est déroulée l’imposante parade militaire et civile. La cérémonie a débuté aux environs de 10 heures sous un temps ensoleillé avec les honneurs militaires. Le président de la République François Bozizé, debout dans un véhicule militaire et escorté par des gardes armés jusqu’aux dents, a été accueilli à l’Avenue des Martyrs par 21 coups de canon.

Il a passé en revue les troupes avant de prendre place à la loge officielle. Place à la séance de décorations. La première dame Monique Bozizé a été élevée à la dignité de Grand Croix par le président François Bozizé. Les anciennes premières dames n’ont pas non plus été oubliées. Brigitte Dacko, Catherine Bokassa et Mireille Kolingba, toutes présentes à la cérémonie, ont été élevées à la dignité de Grand officier de l’ordre de la médaille de la reconnaissance centrafricaine.

Le chef de l’Etat a ensuite remis le flambeau à la nouvelle génération pour les cinquante prochaines années. Le défi est grand car la République centrafricaine qui a connu des années de guerre civile est aujourd’hui en phase de reconstruction. D’où l’appel de François Bozizé : « Jeune génération, je vous remets ce flambeau et vous exhorte à effacer de notre mémoire des conflits politico-militaires et se tourner vers l’avenir pour accéder à la liberté économique ».

Le défilé proprement dit a commencé par le passage des différents corps militaires et para-militaires. Il a été ouvert par les contingents étrangers à savoir l’Ouganda, la République démocratique du Congo, le Cameroun, le Tchad, les formations multinationales de maintien de paix en Centrafrique conduites par la France, la mission de consolidation de paix en Afrique centrale composée des troupes de la sous-région.

Le public a admiré le passage des forces de défense et de sécurité centrafricaines. Le défilé civil a été le plus long. Ouvert les majorettes qui ont esquissé quelques pas de danse devant les officiels, il s’est poursuivi avec les hommes et les femmes de l’administration et du secteur privé, tous vêtus dans de beaux habits de fête. Le défilé a pris fin à 14 heures (heure locale), mais la fête a continué dans l’après-midi avec des manifestations culturelles et populaires dans plusieurs quartiers de Bangui.

Le président de la République Amadou Toumani Touré est attendu aujourd’hui à Bamako. Située au cœur de l’Afrique, la République centrafricaine est aujourd’hui peuplée de 4,5 millions d’habitants. Colonie française à l’époque, l’Oubangui Chari a été proclamé République centrafricaine le 1er décembre 1958 sous la houlette de Barthelemy Boganda. L’indépendance a été proclamée le 13 août 1960.


Envoyé spécial M. KEITA

© Copyright L'Essor

 

République Centrafricaine : Un cinquantenaire sur fond de crise politique

Par Idriss Linge – Cameroon Tribune 01/12/2010

Le pays célèbre ce jour ses cinquante années d’indépendance, dans un contexte de tensions politique et de bataille électorale

 Quelques chefs d’Etats présents

La République centrafricaine célèbre ce mercredi 1er décembre, ses cinquante années d’indépendance. Les chefs d’Etat, hôtes officiels de la République Centrafricaine, à l’occasion de cette célébration, sont normalement arrivés mardi dernier, dans l’après-midi. Sont notamment présents, les présidents Denis Sassou Nguesso du Congo et Amadou Toumani Touré du Mali. Des délégations conduites par des autorités gouvernementales ou parlementaires sont aussi venues d'une dizaine de pays pour l'occasion: Gabon, Tchad, Cameroun, Rwanda, Guinée équatoriale, République démocratique du Congo, Nigeria, Chine, Koweït. A Paris, le ministère français des Affaires étrangères a annoncé le voyage à Bangui du ministre français de la Coopération, Henri de Raincourt.

En marge de ce cinquantenaire, s’est tenu un colloque sur le bilan de la Centrafrique cinquante ans après les indépendances, et sur l’avenir du pays. Les axes majeurs des conclusions des travaux, on porté sur la valorisation de la culture et son positionnement comme vecteur de l’unité nationale, notamment à travers la langue quasi nationale le Sango, la reconstitution des archives historiques du pays et la revalorisation de l’implication des femmes dans le développement. Les fêtes du cinquantenaire sont prévues pour être populaires. Plusieurs personnes ont été décorées et de nombreuses manifestations de réjouissance sont prévues dans les quartiers avec des groupes musicaux. Cette célébration se déroule pourtant sous fond de crise politique.

Il y’a quelques jours un groupe qualifié de rebelle par les autorités de Bangui, ont porté une attaque dans la ville de Birao au nord-est du pays. Une attaque qui a nécessité l’intervention des forces armées tchadiennes et que l’ambassadeur de Centrafrique au Cameroun tente de minimiser. Birao est à 1000 km de Bangui. Ce sont les populations centrafricaines installées à la frontière du Darfour qui profitent justement des difficultés de cette zone pour déstabiliser la capitale a-t-il indiqué dans une interview accordée à Cameroon-tribune, le quotidien officiel bilingue camerounais.

Une célébration sur fond de crise

C’est le 1er décembre 1960, que la république centrafricaine accède à son indépendance. Une indépendance marquée par le passage de son fondateur et président pour peu de temps, Barthélemy Boganda, la référence de tous ses successeurs. Plusieurs experts sont unanimes, la République centrafricaine dresse un bilan douloureux de ses cinquante années d’indépendance. Le pays est classé parmi les plus pauvres au monde, et reste traumatisé par de nombreux coups d'État. Avec Bozizé, la Centrafrique semble cependant avoir amorcé le chemin de la réconciliation nationale avec les groupes rebelles depuis 2008, pour mettre fin à la guerre civile. Mais la marge de manœuvre reste très étroite. Les Centrafricains dans une grande majorité, souffrent encore de misère. Plusieurs régions et villes du pays souffrent encore de famine sévère et sont l’objet d’occupation de diverses rébellions tant nationales qu'étrangères. Pour rajouter à la colère des populations des tonnes de tapis de luxe, auraient été acheté à l’occasion de ces réjouissance qui au final ne semblent concerner que la classe dirigeante et ses connexions.

 

NDLR : Bozizé a été de toutes les festivités du cinquantenaire des presque tous le pays africains mais  à son tour, seulement quatre chefs d'Etat ont répondu à son invitation. La plupart d'entre eux a trouvé suffisamment de raison pour ne pas faire le déplacement de Bangui. C'est la preuve que même au sein du fameux syndicat des chefs d'Etat africains, Bozizé n'a pas la côte. Il devrait se poser des question.Seul un chef d'Etat de la CEMAC est venu, en l'occurrence le président en exercice Denis Sassou Nguesso du Congo. Tous les autres ont boudé Bangui. Ali Bongo, Paul Biya, Obianga Nguema n'ont pas jugé nécessaire de se rendre chez le dépeceur.  

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1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 00:44

 

 

afrique

 

 

 

APA-Abidjan (Côte d’Ivoire) 30-11-2010 - Initialement prévue pour mardi, la proclamation des résultats de la présidentielle de dimanche qui a opposé le président Laurent Gbagbo à son rival, l’ex premier ministre Alassane Ouattara a été finalement reportée au mercredi à 11 heures (GMT locales)

Selon une source proche de la commission électorale indépendante (CEI), « c’est demain à 11 heures 9 GMT locales) que les résultats seront proclamés ».

« Les commissaires de la CEI viennent de recevoir pendant une demi-heure M. Choi, représentant spécial du secrétaire général de l’ONU. Les divergences sont en train d’être aplanies » ajouté la même source.

Le siège de la Commission électorale indépendante (CEI) de Côte d’Ivoire a été mardi soir le théâtre d’une empoignade entre des représentants de Laurent Gbagbo et le porte-parole de la Commission électorale indépendante (CEI), Bamba Yacouba, qui a été violemment empêché de communiquer des résultats partiels de la présidentielle concernant plusieurs régions.

Alors que M. Yacouba Bamba s’apprêtait à donner les résultats devant les caméras et micros de la presse nationale et internationale, deux de ses collègues issus des rangs du Front populaire ivoirien (FPI, au pouvoir) Etienne Tokpa Véhi et Damana Picas, membres de la Commission centrale de la CEI, s’interposent pour contester lesdits résultats. Ils arrachent les feuilles des mains de M. Yacouba qu’ils déchirent.

La tension reste vive dans la capitale économique ivoirienne où règne un couvre-feu depuis de 19 heures à 6 heures alors que la commission électorale indépendante (CEI) tarde à donner les résultats provisoires.

 

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1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 00:02

 

 

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ATI (Tchad) - AFP / 30 novembre 2010 23h00 - Le chef d'état-major des armées tchadiennes a confirmé mardi à l'AFP à Ati (centre) l'intervention militaire de son pays à Birao, dans le nord-est de la Centrafrique voisine, précisant y avoir poursuivi des Tchadiens et non des rebelles centrafricains, sans tuer de civils.

"Les forces armées tchadiennes ont fait usage de leur droit de poursuite en détruisant le reliquat des +mercenaires+ (terme des autorités de N'Djamena pour désigner les rebelles tchadiens, NDLR) qui s'est mêlé à des aventuriers non identifiés qui se sont repliés à Birao", a déclaré le général Alain Mbaiodenandé Dionadji.

Le général Dionadji a fait ces déclarations à l'AFP à Ati (plus de 400 km au nord-est de N'Djamena) où doit se dérouler mercredi une cérémonie marquant les 20 ans de pouvoir du président tchadien Idriss Deby Itno.

Il réagissait à l'annonce par une source militaire centrafricaine et de la Convention des patriotes pour la justice et la paix (CPJP, rébellion centrafricaine) d'une intervention de l'armée tchadienne en appui aux forces armées centrafricaines (Faca) suite à l'attaque de Birao par les rebelles le 24 novembre.

Plus tôt mardi, la CPJP avait annoncé avoir évacué Birao, précisant que la ville avait été reprise par des éléments tchadiens. Deux jours auparavant, elle avait dénoncé des bombardements de l'armée tchadienne sur ses positions ayant causé, selon elle, un nombre indéterminé de morts parmi la population.

"Les informations répandues par une certaine rébellion centrafricaine dans les médias internationaux, accusant l'armée tchadienne d'avoir bombardé leurs positions à Birao, sont fausses et erronées", a assuré le général Dionadji.

"La réalité est que les forces armées tchadiennes ont fait usage de leurs droits de poursuite" contre des rebelles tchadiens ayant fui à Birao, dans le cadre des "opérations de +traitement+ et de sécurisation des frontières tchadiennes" relevant de "leurs attributions", a-t-il assuré.

De source militaire tchadienne, un "traitement" signifie un bombardement.

"A aucun moment, ces +traitements+ n'ont provoqué la mort des femmes et des enfants centrafricains", a soutenu le général général Dionadji, se réservant de communiquer un bilan.

Depuis le 26 novembre, les autorités centrafricaines affirment avoir repris Birao. Plus tôt mardi, une source militaire centrafricaine avait fait état à l'AFP de l'appui d'une unité tchadienne à un détachement des Faca à Birao.

(©)

 

NDLR : En vertu de quels accords les autorités tchadiennes s'arrogent-t-elles le droit de poursuite de leurs rebelles sur le sol centrafricain ? L'intervention militaire à Birao, eu égard à la quantité et au type d'armement engagé à savoir : avion de guerre, nombreux chars blindés et artillerie lourde montée sur une centaine de véhicules tout terrain, ressemblait davantage à un coup de pouce donné à Bozizé pour lui sauver la mise et non une simple poursuite des rebelles tchadiens. Bozizé a plutôt besoin que de fortes pressions soient exercées sur lui pour l'obliger à entamer sans délais des négociations sérieuses avec toutes ces rébellionsqui écument le pays et pour qu'il sorte effectivement l'argent que la CEMAC lui a donné pour réaliser le DDR afin de restaurer la paix en RCA.

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29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 22:43

 

 

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APA-Yaoundé (Cameroun) 29-11-2010 - Le président régional du Front social démocratique (SDF, opposition) pour le Littoral et député à l’Assemblée nationale, Jean Michel Nintcheu, vient d’inviter le chef de l’Etat Paul Biya à signer le décret et les textes d’application de la loi du 25 avril 2006 relative à la déclaration des biens et avoirs, afin de s’éviter en premier les plaintes pour enrichissement illicite.

Dans une lettre adressée aux membres du gouvernement, cet élu, qui constate au passage que le budget 2011 de la présidence de la République passera de 57,343 à 45,352 milliards FCFA, se demande si les fonds alloués à cette institution sont correctement utilisés.

Le budget de cette institution, constate-t-il, « n’a jamais fait l’objet de contrôle par le Parlement, encore moins par les différentes structures en charge du contrôle budgétaire ».

Ce n’est surtout pas, argumente Jean Michel Nintcheu, le ministère en charge du Contrôle supérieur de l’Etat, lui-même rattaché à la présidence de la République, qui aurait la témérité d’aller contrôler les comptes de celle-ci.

« Cette absence de transparence, institutionnalisée dans la gestion du budget de la présidence, jette considérablement la suspicion sur la sincérité des dépenses au point où des compatriotes se voient obligés de saisir les juridictions autres que celles existantes dans le pays. »

M. Nintcheu fait ainsi allusion à la saisine récente du parquet de Paris, par l’Union du Cameroun pour une diaspora active, d’une action contre le président de la République pour « recel de détournement de fonds publics ».

Pour le député, cette plainte, malgré les dénégations outrées du gouvernement, jette plutôt l’opprobre sur le régime et celui qui l’incarne, et ne pas s’incliner devant la loi sur la déclaration du patrimoine, votée il y a plus de 4 ans par le Parlement, constitue selon lui un déni de démocratie, une dérive monarchique et une insulte inadmissible et insupportable à l’endroit du peuple camerounais.

Et de rappeler que ce n’est pas la première fois que le président de la République est personnellement cité dans les affaires d’enrichissement illicite.

Le décret, ainsi que les textes d’application de la loi d’avril 2006 relative à la déclaration des biens et avoirs, n’ont jamais été signés malgré l’insistance de l’opposition parlementaire.

L’article 66 de la Constitution du 18 janvier 1996, dont découlent ces dispositions légales, dispose que le président de la République, le Premier ministre, les membres du gouvernement et assimilés, le président et les membres du bureau du Sénat, les députés, les sénateurs ... doivent faire une déclaration de leur biens et avoirs au début et à la fin de leur mandat ou de leur fonction.

Cet article s’étend aussi à tout détenteur d’un mandat électif, les secrétaires généraux des ministères et assimilés, les directeurs des administrations centrales, les directeurs généraux des entreprises publiques et parapubliques, de même que les magistrats, les personnels des administrations chargées de l’assiette, du recouvrement et du maniement des recettes publiques et tout gestionnaire de crédits et des biens publics.

 

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29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 22:41

 

 

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APA - Conakry (Guinée) 29-11-2010 La capitale guinéenne, Conakry, se vide de ses habitants, qui partent en grand nombre, ces derniers jours, dans les provinces pour des raisons sécuritaires, à quelques jours de la publication des résultats définitifs du second tour de la Présidentielle du 7 novembre dernier par la Cour Suprême du pays.

Dans les gares routières de la banlieue de Conakry, de nombreux véhicules de transport bondés de mères de familles, d’enfants et de personnes âgées, avec leurs bagages, partent presque chaque jour pour l’intérieur, en attendant le retour au calme dans la capitale, qui a été récemment secouée par des violences électorales.

Peu avant la proclamation des résultats provisoires et globaux du second tour par la commission électorale, des partisans du candidat Cellou Dalein Diallo, arrivé largement en tête au premier tour mais déclaré perdant au second tour, sont descendues dans les rues de Conakry et de certaines villes du pays pour crier au « vol de leur victoire ».

Ces violences électorales réprimées par les forces de l’ordre, ont d’ailleurs fait des morts, des blessés et d’importants dégâts matériels, contraignant ainsi le gouvernement de transition à décréter l’Etat d’urgence dans tout le pays jusqu’à la proclamation des résultats définitifs du second tour par la Cour Suprême.

Depuis, le déplacement massif de ces citadins, la destination les provinces, pour des raisons sécuritaires, s’est beaucoup accentué.

D’autres familles ont déjà regagné leurs régions d’origine, bien avant la récente fête de Tabaski, mais elles disent attendre la fin du processus électoral pour revenir à Conakry.

APA a compté, dimanche matin, cinq minibus pleins de passagers en partance pour la ville de Lélouma (Moyenne Guinée- Nord du pays), alors que dans un passé récent, il n’y avait pas un tel flux de passagers.

Le climat de psychose et de méfiance s’est également renforcé à Conakry, depuis que le Premier ministre de transition, Jean Marie Doré, a pris la décision de fermer toutes les frontières du pays « jusqu’à nouvel ordre », sans apporter aucun motif justificatif.

Alors que le chef de la junte militaire par intérim, Sékouba Konaté, est hors du pays pour des raisons médicales, un léger remue- ménage a été opéré au sein de la hiérarchie militaire, avec à la clé, le limogeage du chef d’Etat- major des armées guinéennes, Aboubacar Sidiki Camara dit « Idi Amin ».

 

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29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 22:35

 

 

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ACTION TCHADIENNE POUR L’UNITÉ ET LE SOCIALISME / PARTI RÉVOLUTIONNAIRE POPULAIRE ET ÉCOLOGIQUE


Chadian Action for Unity and Socialism/Popular and Ecological Revolutionary Party( ACTUS/prpe ACTUS/prpe

E-mail : actus-prpe@club-internet.fr

N/Réf : 28.11/SG /10


Le Peuple frère centrafricain combat héroïquement les armes à la main l’une des féroces dictatures de l’impérialisme français, la Françafrique, celle du Général Président François Bozizé.
Les patriotes résistants de la Convention des patriotes pour la justice et la paix (CPJP) ont pris le contrôle de l’importante ville du Nord-Est, Birao selon la dépêche de l’AFP du 24 novembre. Cette même agence de presse du 28 novembre fait état de l’intervention de l’aviation tchadienne du dictateur Général Président Déby au secours du Général Président Bozizé en bombardant les positions des Patriotes résistants.

Une autre source proche du régime affirmerait qu’une colonne de 40 véhicules lourdement armés des Forces tchadiennes, ferait route en direction de la ville de Birao. L’escalade serait alors inévitable et incontrôlable.

Notre Parti, ACTUS/prpe condamne avec force cette n-ième intervention militaire du despote Déby en Centrafrique pour sauver son allié, le dictateur Général président Bozizé.
Nous exprimons notre solidarité militante aux Camarades résistants de la CPJP et au peuple frère de Centrafrique dans leur légitime lutte contre la tyrannie du Général Président Bozizé.
Le Peuple tchadien n’est pas en guerre contre le peuple frère centrafricain car nous luttons tous contre cet internationalisme de deux dictateurs de la Françafrique. Au demeurant, il conviendrait de rappeler que c’était l’expédition militaire tchadienne du tyran Déby à Bangui, qui avait évincé et intronisé le Général Bozizé au détriment du Président Ange-Félix Patassé, pourtant démocratiquement élu.

Le dictateur Déby a fait du Centrafrique un protectorat où il dicte sa volonté au pouvoir. Il a arrêté puis livré au Général Président Bozizé le Colonel Massi, Leader des Forces de résistance de la CPJP. Ce dernier fut alors assassiné. Afin de consolider son protégé, le despote tchadien n’hésite pas à déverser des bombes sur Birao, tuant des civils innocents. Notre Parti, ACTUS/prpe condamne cette agression et tient ici à exprimer nos condoléances aux familles durement éprouvées.

Nous demandons par ailleurs, à la communauté internationale de faire pression sur le despote Déby afin qu’il mette un terme à ses interventions militaires en Centrafrique. En effet, cette immixtion guerrière dans un conflit interne d’un état souverain, risquerait d’avoir des graves conséquences qui embraseraient la sous- région d’Afrique centrale.

Le 28 Novembre 2010

Action Tchadienne pour l’Unité et le Socialisme / Parti Révolutionnaire Populaire et Écologique
Chadian Action for Unity and Socialism/Popular and Ecological Revolutionary Party

(ACTUS / prpe)

Le Secrétaire Général

General Secretary

Dr LEY- NGARDIGAL Djimadoum

Action Tchadienne pour l’Unité et le Socialisme / Parti Révolutionnaire Populaire et Écologique ( ACTUS /prpe )

E-mail : actus-prpe@club-internet.fr

 

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29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 02:34

 

 

afrique

 

 

 

ABIDJAN - AFP / 28 novembre 2010 22h38 - Le second tour de la présidentielle ivoirienne de dimanche a été "globalement non transparent" dans le nord du pays, sous contrôle de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) depuis 2002, a affirmé un porte-parole du chef de l'Etat et candidat Laurent Gbagbo.

"De graves irrégularités sont intervenues dans les zones contrôlées par les Forces nouvelles, où beaucoup d'intimidations et de contraintes ont été exercées" contre les électeurs de M. Gbagbo, a affirmé Pascal Affi N'Guessan lors d'une conférence de presse.

Au nord, "globalement le scrutin n'est pas transparent, il n'est pas sincère, il n'y a pas liberté de vote", a-t-il lancé.

L'élection s'est passée "dans cette zone sous tension, dans la peur, dans les agressions, sous la menace des armes des Forces nouvelles", a-t-il jugé.

"La réalité sur le terrain, c'est qu'il n'y a pas de désarmement", contrairement aux dispositions de l'accord de paix de 2007, a accusé M. N'Guessan.

De son côté, le parti de l'opposant Alassane Ouattara a accusé les partisans du président d'avoir empêché beaucoup de ses propres électeurs de voter, à Abidjan et dans le centre-ouest notamment.

(©)

 

NDLR : Aller aux urnes lorsqu’une bonne partie du territoire national est sous occupation d’une rébellion armée et que les citoyens des zones occupées sont devenus des otages, la Côte d’Ivoire l’apprend à ses dépens aujourd’hui. Puisse la RCA en tirer leçon, elle dont le territoire est actuellement partagé entre plusieurs mouvements armés aussi bien centrafricains qu’étrangers et dont certaines régions de son sol sont également devenues des champs de bataille. Le recensement du corps électoral n’ayant pas pu bien se dérouler dans ces zones, et tant que des armes continueront à y circuler, comment pourrait-on y organiser des élections ? Le cas ivoirien est donc à méditer.

 

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 05:09

 

 

Binguimale2 0

 

 

Lomé 26 nov (Xinhua) Binguimalé, président de la Commission électorale indépendante (CEI) de la République centrafricaine, a indiqué jeudi que le processus électoral dans son pays avance "doucement" et reste confronté à un problème d’urnes, a rapporté vendredi le quotidien Togo-Presse.

"Pour l’instant, le processus avance doucement", a déclaré à la presse le président de la CEI, au sortir d’une audience chez le chef de l’Etat togolais Faure Gnassingbé à qui il transmettait un message du président centrafricain François Bozizé.

Selon lui, comme la CEI centrafricaine est confrontée à un besoin d’urnes et n’a pas les "moyens de les acquérir, le Togo s’est proposé de les mettre à notre disposition".

Joseph Binguimalé a souligné que le Togo est toujours prêt à accompagner son pays dans un élan de confraternité.

La mise à disposition de ces urnes a fait l’objet de la conclusion d’un accord, peu après, entre la CEI de la République centrafricaine et la Commission électorale nationale indépendante du Togo.

 

NDLR : Après le Togo où ira-t-il encore mendier les isoloirs ainsi que les autres matériels électoraux ? Après avoir fait le fou et claquéavec "gloutonnerie" comme l'a dit Bozizé lui-même les 3,5 milliards de F CFA sortis du trésor national pour la CEI lorsqu'ils voulaient faire tenir les élections en avril dernier, les voilà prendre leur bâton de pélerin pour faire la manche dans le monde entier pour des élection dont la tenue est de plus en plus problématique avec tous les bruits de bottes qu'on entend au loin chaque semaine. Ce vrai faux pasteur et son patron Bozizé qui se tiennent par la barbichette sont une calamité nationale et une véritable honte pour les Centrafricains.  

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