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9 janvier 2016 6 09 /01 /janvier /2016 12:26
Centrafrique: l'ONU retire le contingent congolais de la Minusca

 

 

 

09/01/16 (AFP)

 

L'ONU a décidé de retirer le contingent de Casques bleus congolais opérant au sein de sa mission en Centrafrique (Minusca), qui n'est pas assez performant, a annoncé vendredi le porte-parole de l'ONU Stéphane Dujarric.

 

Ce contingent de la République démocratique du Congo (RDC) a fait des "progrès" mais ces troupes "ne répondent que partiellement aux exigences de l'ONU en matière d'équipement, de contrôle du recrutement et de niveau de préparation au combat", a expliqué M. Dujarric.

 

Il a indiqué que le contingent "ne sera pas remplacé". Le contingent congolais de la mission comptait 807 soldats et 118 policiers.

 

La Minusca, forte actuellement de quelque 10.000 hommes, aide notamment le gouvernement à préparer et sécuriser une série d'élections pour assurer une transition politique en Centrafrique.

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9 janvier 2016 6 09 /01 /janvier /2016 01:08
 Centrafrique : l’ONU exclut le contingent de la RDC de la Minusca

 

 

 

Par Habibou Bangré (Contributrice Le Monde Afrique, Kinshasa)  Le Monde.fr Le 08.01.2016 à 22h14

 

Le contingent de la République démocratique du Congo (RDC) était sur la sellette mais c’est désormais officiel : ses troupes ne seront pas renouvelées dans la Mission de l’ONU en Centrafrique, la Minusca. « Malgré des améliorations entre la première visite de pré-déploiement en novembre et la seconde en décembre, le département de maintien de la paix [de l’ONU] a estimé que les progrès accomplis jusqu’à présent remplissent seulement en partie les critères établis par les Nations unies », a expliqué un porte-parole du département.

 

En conséquence « le bataillon de la RDC actuellement déployé dans la Minusca sera rapatrié sans être remplacé », a-t-il ajouté, en remerciant le pays pour les services rendus. Les autorités militaires et politiques congolaises étaient injoignables vendredi soir pour commenter la décision de l’ONU de sortir son contingent de la Minusca qui, avec la force française « Sangaris », a pour mission de stopper un cycle de violences intercommunautaires meurtrières qui a commencé fin 2013.

 

Des éléments du contingent de la RDC ont été cités dans au moins quatre affaires de viols. Kinshasa n’avait pas répondu aux trois premières notifications de l’ONU qui, dans sa quatrième adresse, avait demandé à Kinshasa de mener une enquête et menacé de prendre des sanctions en cas de récidive. Dans la foulée, une équipe congolaise a été dépêchée pour enquêter sur la quatrième affaire. Bilan : elle a conclu à l’innocence de ses trois Casques bleus mis en cause, et dénoncé un montage.

 

Multiples exactions

 

En novembre, un haut fonctionnaire de l’ONU avait confié au Monde Afrique que le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon voulait se séparer du contingent congolais suite à de « multiples exactions », dont des « viols » et des « délits de droit commun tels que le vol et le racket ». Il avait ajouté que le problème était de se séparer du contingent sans que la RDC « ne perde la face » mais aussi de trouver un pays pour remplacer les 850 militaires qu’il avait déployés dans la Minusca, qui compte 11 600 militaires et civils. Le pays qui doit fournir de nouvelles troupes n’a pas été officiellement annoncé mais le nom de la Mauritanie circule.

 

Ban Ki-moon a fait part à plusieurs reprises de sa volonté de vaincre le « cancer » des violences sexuelles imputées aux Casques bleus, qui salissent l’image de l’organisation et ses valeurs. Il s’est dit prêt à « rapatrier des contingents entiers » si les Etats ne punissaient pas les coupables. En août, le général Babacar Gaye, chef de la Minusca, avait été limogé après des révélations d’abus sexuels commis sur des enfants par des Casques bleus.

 

Habibou Bangré Contributrice Le Monde Afrique, Kinshasa


http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/01/08/centrafrique-l-onu-exclut-le-contingent-de-la-rdc-de-la-minusca_4844267_3212.html#0PjS7U4EWbYKErBG.99

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9 janvier 2016 6 09 /01 /janvier /2016 00:45

 

 

 

https://www.fidh.org   08/01/2016

 

COMMUNIQUÉ  République centrafricaine

 

 

(Bangui, Paris) Le 30 décembre 2015, les centrafricains étaient appelés à élire un nouveau président et leurs députés après trois années de crise ayant profondément divisé la Centrafrique et deux ans de transition politique. D’après les résultats annoncés jeudi 7 janvier 2016 par l’Autorité nationale des élections (ANE), Anicet Georges Dologuélé et Faustin Archange Touadéra, deux anciens premiers ministres, sont arrivés en tête du premier tour d’un scrutin marqué par une forte participation des électeurs et une certaine désorganisation. Alors que le second tour doit se tenir le 31 janvier prochain et qu’une vingtaine de candidats ont réclamé, le 4 janvier dernier, l’arrêt du processus électoral en raison de présumées irrégularités, la FIDH, la LCDH, l’OCDH et les organisations membres de la coalition #MonVoteDoitCompter appellent les acteurs à faire preuve de responsabilité et recourir aux voies légales disponibles pour régler les différends électoraux, mais exhortent les autorités en charge des élections à améliorer l’organisation du second tour et le cas échéant organiser de nouveaux scrutins législatifs dans les circonscriptions où les dysfonctionnements et manipulations constatées entachent la crédibilité du résultat.

 

"Après plus de trois années de violences qui ont fait des milliers de victimes, ces élections présidentielle et législatives ont suscité un engouement populaire et constituent un tournant qui doit permettre à la Centrafrique de retrouver le chemin de la stabilité malgré la désorganisation et les quelques irrégularités constatées par nos observateurs sur le terrain. Nos organisations exhortent tous les acteurs à faire preuve de responsabilité et de retenue pour garantir que le processus électoral puisse arriver à son terme de façon apaisée et que des autorités représentatives soient élues »

 

Jeudi 7 janvier 2016, l’Autorité nationale des élections (ANE) a publié les derniers résultats provisoires de l’élection présidentielle qui s’est tenue sur l’ensemble du territoire de la République centrafricaine le 30 décembre 2015. M. Doléguélé, premier ministre sous la présidence d’Ange-Félix Patassé, est arrivé en tête du premier tour avec 23,78 % des suffrages, devant M. Touadéra, ancien premier ministre de François Bozizé, qui a récolté 19,42 % des votes. Désiré Kolingba, Jean-Serge Bokassa, fils d’anciens présidents, et Martin Ziguélé, un des favoris du scrutin, ont respectivement obtenu 12,6 %, 5,5 % et 10,82 % des voix. D’après l’ANE, 69 % des électeurs se sont rendus aux urnes pour choisir parmi une trentaine de candidats. La Cour constitutionnelle doit encore valider ces résultats avant la fin de la semaine prochaine.

 

D’après les informations recueillies par nos organisations qui ont observé le processus électoral à Bangui et dans le reste du pays, le scrutin s’est déroulé dans un climat apaisé malgré des problèmes logistiques et des dysfonctionnements dans l’ensemble des circonscriptions observées. Nos organisations ont pu constater que certains agents électoraux ne maîtrisaient pas suffisamment les règles et procédures des opérations électorales, aussi bien à Bangui que dans l’arrière-pays où certains agents ont été formés par l’ANE la veille des scrutins, ce qui a paralysé certains bureaux de vote. La délocalisation de certains bureaux de vote, le manque de matériel, notamment de bulletins de vote, et l’absence de sensibilisation des électeurs non lettrés ont également limité le droit et la liberté de vote de nombreux électeurs. L’ouverture tardive des bureaux de vote sur presque toute l’étendue du territoire national a considérablement ralenti les opérations électorale et notamment le décompte des voix, tout comme le transport des urnes vers les locaux de l’ANE par des moyens rudimentaires et peu sécurisés (taxi-moto, vélo, pousse-pousse).

 

Des irrégularités ont également été documentées par nos organisations. Dans le centre de vote du 3ème arrondissement de Bangui, nos organisations ont rapporté le cas d’un électeur ayant en sa possession plusieurs cartes électorales, qu’il aurait vraisemblablement acheté, et qui lui ont permis de voter plusieurs fois. Dans certains bureaux de vote de l’arrière-pays, notamment sur l’axe est Sibut-Grimari, les votes se sont déroulés sous des manguiers ou dans les paillotes des chefs de quartiers, et certains électeurs ont été poussés par les membres des bureaux de vote à exprimer en public leur choix de vote, remettant en cause le principe du secret du vote. La présence d’hommes armés, suspectés d’être des anti-balaka, dans les bureaux de vote de la localité de Bobangui, située à 80 kilomètres de Bangui, constitue une atteinte à la liberté de vote. Dans la ville de Bagandou, dans la région de la Lobaye, au sud-ouest de Bangui, des milices anti-balaka auraient cherché à influencer le vote des minorités pygmées. Plus généralement, l’insécurité et la présence de groupes armés à l’est et à l’ouest de la République centrafricaine est un facteur susceptible de dissuader les centrafricains d’aller voter.

Centrafrique : l’impératif de mieux organiser le second tour de l’élection présidentielle (FIDH)
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8 janvier 2016 5 08 /01 /janvier /2016 15:12

 

 

 

ALLIANCE DES FORCES DEMOCRATIQUES POUR LA TRANSITION   (AFDT)

 

(ASD-CRPS-MCP-MDES-MLPC-RDC-UDECA)

 

 

Le 30 décembre 2015, le peuple Centrafricain a été appelé à aller choisir par la voie des urnes, son prochain Président de la République ainsi que ses représentants à l’Assemblée Nationale.

 

L’Alliance des Forces Démocratiques pour la Transition (AFDT) félicite l’ensemble des électeurs Centrafricains qui s’était massivement mobilisé à cette occasion et salue son engouement qui traduit sa ferme volonté d’aller résolument vers le retour du pays à l’ordre constitutionnel.

 

Cependant, de l’avis général, l’organisation de ces élections par l’Autorité Nationale des Elections (ANE) a été entachée de nombreux dysfonctionnements et irrégularités qui sont de nature à jeter du discrédit sur les résultats de ces scrutins.

 

Ces irrégularités sont caractérisées par :

 

  • Les ouvertures tardives des bureaux de vote ;
  •  
  • L’insuffisance des bulletins de vote dans plusieurs bureaux de vote ;
  •  
  • Les intimidations et les menaces à main armée enregistrées dans des zones sous contrôle des groupes armés ;
  •  

- La non concordance des numéros des candidats inscrits sur les bulletins de vote avec les numéros sur les Procès Verbaux des dépouillements.

 

- l’absence de garantie de transparence dans le ramassage et l’acheminement des résultats électoraux au Centre de Traitement des Données(CTD) de l’ANE privant les candidats de la sincérité et de la fiabilité des résultats ;

 

  • La transcription des résultats sur des feuilles vierges par les Agents de l’ANE au niveau du Centre de Traitement des Données sans les signatures des Représentants des candidats ;
  •  
  • Le refus catégorique par l’ANE du test de fiabilité exigé par certains représentants des candidats à l’élection présidentielle, alors qu’elle l’a accordé à l’URCA sans la moindre justification de cette discrimination ;
  •  
  • La violation de l’article 124 nouveau du code électoral qui exige la publication des résultats  circonscription par circonscription, bureau de vote par bureau de vote.
  •  

Aussi, les statistiques publiées  par l’ANE en dates des 06 et 07 janvier 2016 pour le 1er tour de l’élection présidentielle se présentent – elles selon le tableau ci-dessous :

 

 

Dates

Electeurs Inscrits

Nombre des Votants ou Electeurs Inscrits PV consolidés

Votes Blancs

Votes Nuls

Suffrages

Valablement exprimés

Taux de participation

06.01.2016

1. 954. 433

1. 509. 565

Inconnu

Inconnu

1. 107. 438

73%

07.01.2016

1. 954. 433

1. 281. 053

42. 790

57. 148

1. 181. 115

79%

 

De l’examen des données chiffrées fournies par l’ANE elle- même, il ressort que :

 

  • le taux de participation  publié par l’ANE est de 79% le 07.01.2016. Ce taux  est  erroné. Au regard des données de l'ANE du 07.01.2016, avec un total d'électeurs inscrits (1. 954. 433) et le nombre des votants (1. 281. 053), le taux de participation réel est finalement de 65,546%, au lieu de 79%.

 

  • les statistiques sur les votes blancs et nuls n’étaient pas communiquées jusqu’au 6.1.2016, alors que 402. 127 bulletins non traités le 06.01.2016 représentant la différence entre les Electeurs Inscrits PV consolidés et les suffrages  valablement exprimés soit (1. 509. 565 – 1. 107. 438 = 402.127) devrait être traitée le 07.01.2016.
  •  
  • Ce chiffre correspond à la somme du total  des  suffrages des 30 candidats valablement exprimés plus le nombre de votes blancs et nuls.  Au regard des statistiques du 07.01. 2016 de l’ANE, le total  des  suffrages des 30 candidats valablement exprimés  est de 73. 677, le nombre des votes blancs est de 42. 790 et celui des votes nuls 57. 748. Or, le total de ces trois rubriques selon l’ANE ne fait que 173. 615,  nombre très inférieur à 402. 127.

 

  • la différence  entre 402.127 et 173. 615 est  de 228. 512 représentant des voix volatilisées.

 

  • cette différence correspond curieusement à  15% des Electeurs Inscrits PV déjà  consolidés le 06.01.2016, soit 228. 512 :1. 509. 565 x 100=15%, un taux élevé de nature à remettre en cause la sincérité du scrutin.

 

  • Une chute brutale et non justifiée du nombre  des Electeurs Inscrits PV consolidés de 1. 509. 565 le 6.1.2016 à 1. 281. 053 le 07.1.2016 soit une différence de 228.512 représentant les voix volatilisées.
  •  

De tout ce qui précède, l’AFDT émet de sérieuses réserves sur la sincérité et la crédibilité de ces opérations électorales qui ne reflètent nullement la volonté du peuple Centrafricain de choisir librement ses dirigeants et qui ne respectent pas les standards universellement admis  d’une élection libre, transparente, démocratique et équitable.

 

L’AFDT tient pour responsables d’une éventuelle crise post électorale, les commanditaires de cette mascarade électorale.

 

Pour rétablir la vérité des urnes, l’AFDT exige :

 

  • L’audit du système informatique de l’ANE ;
  •  
  • Le décompte manuel des résultats du scrutin.
  •  

Les candidats de l’AFDT à l’élection présidentielle saisiront la Cour Constitutionnelle de Transition, juge de la régularité des élections en vue de faire valoir leurs droits.

 

L’AFDT entend tirer toutes les conséquences  d’un hold-up électoral opéré contre la volonté du peuple centrafricain.

 

                                                      Fait à Bangui, le 08 janvier 2016

 

                                                       Le Président de la Conférence des Présidents

 

 

 

                                                                    Christophe BREMAÏDOU

DECLARATION N° 20 DE L' AFDT RELATIVE AUX ELECTIONS DU 30 DECEMBRE 2015
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8 janvier 2016 5 08 /01 /janvier /2016 14:54
Nouvelles nationales sur RJDH
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Les présumés auteurs de l’attaque de la gendarmerie de Kaga-Bandoro capturés et mis en prison

 

http://rjdh.org/ PAR DANIEL NGUERELESSIO LE 8 JANVIER 2016

 

Les présumés auteurs qui auraient commis des actes de criminalité à la gendarmerie de Kaga-Bandoro le 05 janvier dernier étaient capturés par les éléments de la sécurité de la police et la gendarmerie de la ville et mis en prison.

 

Selon le deuxième responsable de la sécurité de la place, Abdou Samat, « c’est aux environs de 16 heures le 05 Janvier que les éléments de la police qui patrouillaient dans la ville ont attrapé un groupe des bandits avec des stupéfiants au niveau du centre commercial de la localité. Ils étaient une trentaine de jeunes et les éléments ont reçu à mettre les mains sur huit (8) et les ont conduit à la gendarmerie locale», a avancé cette source.

 

Cette arrestation fait suite à une attaque de la brigade de la localité par les personnes armées qui voulaient libérer les détenus dont parmi eux, trois devraient être transférés  le 7 Janvier à la prison de Bangui.

 

Selon une source de la ville, le bilan de cette attaque a fait 10 victimes gravement blessées et  5 personnes sont mortes.

 

 

Quatre arrondissements de Bangui ont accès à l’eau potable après une pénurie selon le CICR

 

http://rjdh.org/ PAR SAINT-CYR GBEGBE LE 8 JANVIER 2016

 

Les habitants des 2ème, 3ème, 6ème et 8ème arrondissements de Bangui et la commune de Bimbo ont de nouveau, accès à l’eau potable après plusieurs jours de pénurie d’eau potable. C’est ce qui ressort d’un communiqué de presse du Comité International de la Croix-Rouge (CICR), publié le 07 janvier 2016 à Bangui.

 

Dans ce document, le CICR a fait savoir que la moitié des arrondissements de la capitale et la commune de Bimbo ont désormais accès à l’eau potable. « Plus de 240.000 habitants des quartiers des 2ème, 3ème, 6ème et 8ème arrondissements de Bangui ainsi que la commune de Bimbo ont de nouveau accès à l’eau potable après plusieurs jours de pénurie d’eau. La Société de Distribution d’Eau en Centrafrique (SODECA), en collaboration avec le Comité International de la Croix-Rouge, a achevé le 31 décembre 2015, les travaux de réparation de deux conduites principales qui étaient fissurées », a indiqué le document.

 

Jonathan Pease, responsable du département Eau et Habitat au CICR en Centrafrique a expliqué que, « le CICR travaille en étroite collaboration avec la Sodeca depuis le mois de mai 2013, en fournissant des pièces de rechange des équipements ainsi que le soutien technique et logistique pour assurer le fonctionnement de l’ensemble du réseau d’eau de la ville de Bangui et dans l’arrière-pays », a-t-il expliqué.

 

Il lance un appel au respect des installations de la Sodeca. « Les actes de vandalisme commis sur les infrastructures accroissent les souffrances de la population civiles déjà durement éprouvée par les conflits. Il est capital que tous les habitants respectent ces infrastructures qui leur permettent d’avoir accès à l’eau potable», a ajouté le responsable du département Eau et Habitat du CICR.

 

Des actes de vandalisme sont à l’origine de la pénurie d’eau potable durant plusieurs jours dans certains quartiers de la ville de Bangui, ainsi que le site des personnes déplacées de M’Poko.

 

 

Centrafrique : La Minusca souhaite le maintien d’esprit pacifique et civique du processus électoral

 

http://rjdh.org/ PAR BABIKIR OUSMANE LE 8 JANVIER 2016

 

Dans un communiqué de presse rendu public le jeudi 7 Janvier 2016, le représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies pour la République Centrafricaine, Parfait Onanga-Anyanga, a salué les résultats du premier tour de l’élection présidentielle en République Centrafricaine. Il souhaite que l’esprit pacifique et civique du processus électoral soit maintenu par les candidats à la présidentielle.

 

« La Minusca appelle les deux candidats au deuxième tour de la présidentielle à préparer leurs militants et sympathisants à une campagne conduite dans le calme et avec civisme, en accord avec l’esprit démontré par le peuple centrafricain au cours du processus électoral», précise le communiqué.

 

 «Parfait Onanga-Anyanga félicite également les 28 autres candidats du premier tour pour la qualité de leur campagne caractérisée par la dignité et le respect mutuel qui selon lui, se traduit par la participation massive des électeurs centrafricains aux élections législatives et présidentielle», selon ce communiqué.

 

Parfait Onanga-Anyanga les appelle à user des voies légales de recours là où des irrégularités seraient avérées et leur demande aussi d’appeler leurs militants à respecter les résultats annoncés par l’ANE. Car il faut que « le président élu soit celui de tous les Centrafricains», a rappelé le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unis.

 

Le Représentant spécial a réaffirmé que la Minusca et la famille des Nations-Unies restent engagée aux côtés des autorités de la transition et de l’ANE pour apporter leur soutien et sécuriser l’ensemble du processus électoral.

 

Les élections couplées de 30 décembre 2015 se sont déroulées sans incident majeur en Centrafrique.

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 14:34

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

 

« NON A UNE MASCARDE ELECTORALE DE TROP ! »

 

En allant voter massivement le 30/12/2015 la population centrafricaine avait montré sa détermination à clore définitivement cette sinistre page de son histoire et doter les institutions de la République de personnalités légitimement élues afin de relever les grands défis qui attendent notre pays à l’issue de ces élections. Le peuple centrafricain a prouvé son sens de la responsabilité et le désir d’en finir une fois pour toutes avec les multiples crises qu’il a connues afin de retrouver la Paix, l’Unité et la Reconstruction de la RCA.

 

Malheureusement c’était sans compter avec la malhonnêteté, le mercantilisme et l’irresponsabilité de personnes bassement égoïstes aux méthodes mafieuses qui ont volontairement biaisé les résultats de ces élections de la dernière chance. Par cette démarche les auteurs et les commanditaires de cette mascarade électorale marquent clairement leur net refus de respecter non seulement les suffrages valablement exprimés des centrafricaines et centrafricains mais aussi la mémoire de nos innombrables compatriotes disparus depuis l’éclatement de la crise que traverse le Centrafrique de Barthélémy BOGANDA, crise dont on sait que les racines se trouvent justement dans la mascarade électorale de 2011.

 

Forte de ce qui précède la Fédération EUROPE-AMERIQUES-ASIE-MOYEN ORIENT-OCEANIE (EAAMOO) du MLPC :

 

  • Salue la mobilisation du peuple centrafricain pour le double du 30/12/2015 et s’en félicite car elle avait appelé plusieurs fois à cette mobilisation ;
  •  
  • Dénonce avec la dernière énergie les manœuvres machiavéliques des groupes obscurs qui ont tenté par l’organisation et la réalisation de ces fraudes massives afin de voler aux Centrafricains leurs votes ;
  •  
  • Appelle la Cour Constitutionnelle de Transition à dire le droit et rétablir ainsi la vérité sur cette mascarade électorale afin d’éviter à notre pays de plonger dans une autre crise dont il ne se relèvera pas ;
  •  
  • Demande aux autorités judiciaires compétentes de se saisir des dossiers des fraudeurs et leurs commanditaires aux fins de rendre justice au peuple centrafricain.
  •  

Enfin la Fédération « EAAMOO » du MLPC  appelle tous les militants, militantes et sympathisants à se lever comme un seul homme, et à se mobiliser massivement au côté du candidat Martin ZIGUELE afin de barrer la route, le moment venu, aux fossoyeurs de la Démocratie, de la Paix du Vivre-ensemble.

 

Fait à Paris, le 6 janvier 2016 

 

Antoine Jérémie NAM-OUARA 

 

Membre du Bureau Politique, Chargé de communication extérieure

« NON A UNE MASCARDE ELECTORALE DE PLUS ! » Fédération EAAMOO du MLPC
« NON A UNE MASCARDE ELECTORALE DE PLUS ! » Fédération EAAMOO du MLPC
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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 00:02
Nouvelles nationales sur RJDH
Nouvelles nationales sur RJDH

 

 

Centrafrique : Le président de l’ASPE de Baboua accusé de fraude massive

 

http://rjdh.org/  PAR FIRMIN YAÏMANE LE 6 JANVIER 2016

 

A Baboua dans la Nana-Mambéré, le président de l’Autorité Sous-Préfectorale des Elections, Brice Yvon Yaderé a été séquestré par un groupe de personnes le samedi 3 janvier 2016. Ces personnes l’accusent d’avoir organisé des fraudes en faveur de certains candidats qui lui sont proches.

 

Selon les informations du RJDH, la ville était sous tension le samedi 2 et le dimanche 3 janvier 2016. Cette situation est due à l’incompréhension, aux contradictions et des soupçons de fraudes dans la circonscription de Baboua 1.

 

Fionam Benjamin, un des candidats aux législatives dans cette circonscription soutient les accusations contre le président de l’ASPE de Baboua. « Le président de l’ASPE Brice Ivon Yaderé, n’a pas accompli sa mission de manière transparente. C’est la raison de la situation que nous connaissons ici », a-t-il dit.

 

De sources concordantes, il est accusé d’avoir joué en faveur du candidat Laurent Ngon Baba en sa faveur.

 

Une source locale a confié au RJDH que le président de l’autorité sous préfectorale des élections s’est expliqué sur ce dossier au niveau du commissariat de police de la ville. Selon nos informations, le président de l’ASPE a rejeté en bloc toutes ces allégations.

 

La maison du président de l’ASPE a été complètement pillée et ses enfants sont en fuite après les menaces de certains électeurs.

 

Les isoloirs, les urnes et les kits électoraux ont été pillés par les manifestants.

 

 

Birao et Ndele calmes après les élections couplées du 30 décembre 2015

 

PAR BABIKIR OUSMANE LE 6 JANVIER 2016

 

Les villes de Birao et Ndele, considérés comme fiefs de l’ex-Séléka sont calmes depuis le 30 décembre, date de la tenue des élections groupées dans le pays. Les habitants contactés par le RJDH se réjouissent de cette situation.

 

Awadala St Romain, un habitant de Birao joint au téléphone a fait savoir que la ville est calme. «L’ambiance après les élections couplées de 30 décembre 2015 dans la ville est posée. Les activités quotidiennes ont repris. Nous attendons avec patience les résultats définitifs du scrutin afin de conjuguer nos efforts pour le développement de la RCA» a relaté ce Monsieur.

 

Même constat dans la ville de Ndele où la situation est aussi calme,  selon le correspondant du RJDH dans la ville. «Les activités sont en effervescence dans tous les domaines et la population est toujours collée au poste récepteur pour les résultats des  élections. Tout le monde s’interroge par rapport aux législatives ».

 

Les informations en notre possession, indiquent que les hommes armés ne sont pas visibles comme avant. «Nous avons aussi constaté que les hommes armés non conventionnels ont disparu. Ce sont les casques bleus de la MINUSCA qui multiplient les patrouilles dans la ville pour rassurer la population », ajoute le correspondant du RJDH.

 

Le vote référendaire du 13 décembre, a été perturbé par des éléments de la coalition Séléka du général Nourredine Adam, dans les villes de Ndele et Birao. Depuis l’annonce de Nourredine de faciliter la tenue des élections, ses hommes sont de moins en moins visibles dans les villes sous leur contrôle.

 

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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 23:41

 

 

LA METHODOLOGIE DE LA PUBLICATION DES RESULTATS DES ELECTIONS PAR L’AUTORITE NATIONALE DES ELECTIONS (ANE) EST ILLEGALE ET EST DE NATURE A CREEER DES TROUBLES

 

La méthodologie adoptée dans la publication des résultats des élections générales du 30 décembre 2015 est totalement illégale parce qu’elle viole l’article 124 du Code Electoral du 15 août 2015 qui dit ceci: « L’ANE procède au recensement général des votes en présence des représentants des candidats dûment mandatés et des observateurs. Elle les rend publics, au fur et à mesure, circonscription par circonscription et bureau de vote par bureau de vote, dans les six (6) jours suivant la date du scrutin ».

 

Après la fin du double scrutin du 30 décembre, au lieu de procéder circonscription par circonscription et bureau de vote par bureau de vote comme l’exige l’article 124 précité du Code Electoral, l’ANE a décidé de son propre chef de publier les résultats partiels et provisoires en procédant « préfecture par préfecture et pourcentage des suffrages exprimés par pourcentage des suffrages exprimés ».

 

En conclusion, les résultats provisoires proclamés par l’ANE doivent être intégralement  contestés par les candidats auprès de la Cour Constitutionnelle, laquelle juridiction peut décider de leur redressement, conformément à l’article 126 du Code Electoral du 28 août 2015.

 

Cette méthode adoptée par l’ANE viole le principe de transparence qui doit sous-tendre de bout en bout la publication, même provisoire des résultats. Elle est totalement floue, très suspecte, contestable, et inadmissible. Les résultats provisoires sont totalement contestables.

 

La méthodologie de publication des résultats provisoires  illégalement choisie par l’ANE est clairement de nature à entacher non seulement la crédibilité du double scrutin mais aussi et surtout de nature à engendrer des troubles dans le pays.

 

Les responsables de l’ANE et tous ceux de la communauté internationale qui les laissent faire ou qui les soutiennent devraient endosser la responsabilité d’éventuels troubles à l’ordre public qui adviendraient dans le pays quant à la méthode délibérément confligène qu’a choisie l’ANE pour faire le travail qu’elle est chargée d’effectuer. 

 

Victor Poussinga

RCA - Elections : Haro sur la méthode illégale de publication des résultats provisoires par l'ANE
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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 23:24

 

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

CP/SPK#001/2016

 

 

 

5 Janvier 2016 – Alors que la Mission de stabilisation multidimensionnelle intégrée des Nations Unies en République centrafricaine (MINUSCA) enquête sur de nouvelles allégations d'exploitation et abus sexuels (SEA) et de mauvaise conduite par des Casques bleus et des forces internationales à Bangui, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies en République centrafricaine, Parfait Onanga-Anyanga et le Commandant de la Force ont rencontré des militaires et des  policiers de la MINUSCA mardi dans la capitale centrafricaine.

 

Le Représentant spécial a réitéré son engagement indéfectible à la politique de Tolérance Zero du Secrétaire général et leur a rappelé qu'il n'y aura aucune complaisance pour les auteurs ou complices de ces crimes qui traumatisent la vie des personnes vulnérables et ternissent à la fois l'identité des soldats de la paix, l'honneur de leur pays et le drapeau de l'ONU. "Le béret bleu ou le casque bleu que vous portez est un signe d'espoir pour la population vulnérable de la RCA», a déclaré Onanga-Anyanga.

 

Le Représentant spécial a également annoncé que des discussions sont en cours avec le Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme afin de mener des actions communes dans le cadre du renforcement de la capacité de MINUSCA pour lutter contre les abus et exploitations sexuels. Les mesures à prendre prévoient se trouve la création d'une brigade conjointe de la police et de la Force chargée d’identifier les auteurs d’abus et exploitations sexuels et prévenir l'apparition de nouveaux cas. Il a également renouvelé son engagement à protéger les donneurs d’alerte.

 

La Mission continue d'enquêter sur chaque allégation de mauvaise conduit et une enquête est actuellement en cours à cet égard.

 

Les autorités nationales ont été informées à Bangui et les pays contributeurs de troupe concernés ont été informés officiellement à New York. Le Représentant spécial les invite à mener immédiatement leurs propres enquêtes nationales. Le Bureau des services de contrôle interne de l'ONU sera également associé le cas échéant.

 

L'ensemble de la famille des Nations Unies est entrain de collaborer dans la lutte contre les abus et exploitations sexuels dans un cadre plus large destiné à promouvoir les valeurs de conduite et de discipline au sein de l'organisation. Au cours de la semaine écoulée, le personnel de l'UNICEF du bureau à Bangui a effectué quatre visites pour rencontrer les quatre enfants qui auraient été victimes. L'UNICEF travaille avec un partenaire local pour aider les filles à recevoir des soins médicaux et évalue leurs besoins psychosociaux. Les filles ont également reçu des vêtements, des chaussures et des kits d'hygiène.

 

Le Représentant spécial rappelle que l'ensemble du personnel international et toutes les unités seront tenus responsables conformément aux normes de comportement et de conduite. "Dans une mission de maintien de la paix, il n'y a pas de place pour ceux qui trahissent la confiance des gens don’t nous avons pour mission de protéger ", a-t-il dit.

"LE BERET BLEU OU LE CASQUE BLEU QUE VOUS PORTEZ EST UN SIGNE D'ESPOIR POUR LA POPULATION VULNERABLE DE LA RCA", DIT LE RSSG
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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 23:18

 

 

NOTE D’INFORMATION

 

 

 

Bangui, 06 Janvier 2016 – Le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies, Parfait Onanga-Anyanga, a indiqué que 28 candidats des 30 aux élections présidentielles lui ont fait part de leur détermination « de faire de sorte que le processus électoral se poursuive ». C’était lors d’un dîner mardi soir auquel étaient également présents le Représentant spécial adjoint du Secrétaire général, Aurélien Agbénonci, et le Commandant de la Force de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA), général Balla Keita.

 

Selon le Représentant spécial, qui s’adressait à la presse mercredi matin, les 28 candidats aux présidentielles ont ajouté qu’ils utiliseront les voies légales de recours là où des irrégularités seraient signalées.

 

A propos du processus électoral, le Représentant spécial a rappelé que l’Autorité nationale des élections (ANE) était sur le point de finaliser le comptage des votes, malgré les défis logistiques, techniques et sécuritaires auxquels ont fait face l’institution, les autorités de la transition et les partenaires. « L’ensemble des institutions nationales est en train d’y travailler pour que, dans la période entre maintenant et le 2ème tour, les carences identifiées soient réglées », a-t-il dit, en évoquant notamment la question de la formation des agents électoraux.

 

Onanga-Anyanga a exprimé la fierté de la MINUSCA et des Nations Unies en Centrafrique d’avoir collaboré avec le Gouvernement de transition et l’ANE dans l’organisation de la première étape de ces élections. Il a par ailleurs rendu hommage aux Centrafricains qui, en dépit de la crise qui a secoué le pays, se sont relevés pour prendre la marche avec cette extraordinaire leçon de démocratie donnée au monde entier. « Un peuple courageux, déterminé à prendre son destin en main, il a surmonté les risques énormes pour exercer son droit de vote », a-t-il déclaré.

 

Le Représentant spécial a rappelé que « la famille des Nations Unies, le PNUD, la MINUSCA, et nos partenaires, l’Union Européenne, la France, les Etats-Unis, mais aussi la CEEAC, ont fait l’effort pour qu’on puisse doter le pays non seulement de moyens d’organiser ces élections mais d’organiser des élections qui sont crédibles. » « On a pu limiter les problèmes par l’ensemble des dispositions qui ont été prises par l’ANE elle-même. Il faut lui rendre hommage pour ça car on se retrouve aujourd’hui avec un processus électoral qui est globalement accepté par tous les observateurs comme quelque chose de remarquable. Il faut s’en féliciter mais ce n’est pas la fin du processus », a dit Onanga-Anyanga, qui a également rendu hommage à la Force et à la Police de la MINUSCA pour l’exécution du plan de sécurisation des élections, en étroite collaboration avec les forces de sécurité intérieure et Sangaris.

 

Les allégations d'exploitation et abus sexuels (SEA) et de mauvaise conduite par des Casques bleus de la MINUSCA et des membres des forces internationales à Bangui ont également été évoquées. Le Représentant spécial a promis de sévir contre ce mal. “Dès que nous aurons la preuve des responsabilités, des sanctions sévères seront absolument appliquées pour éradiquer ce fléau”, a-t-il martelé.

 

Parmi les mesures prévues, il a cité des discussions avec le Haut-Commissaire des Nations Unies aux Droits de l'Homme afin de mener des actions communes dans le cadre du renforcement de la capacité de la MINUSCA à lutter contre les abus et exploitations sexuels, la création d'une brigade conjointe de la Police et de la Force chargée d’identifier les auteurs d’abus et exploitations sexuels et prévenir de nouveaux cas et la protection des donneurs d’alerte.

 

Parfait Onanga-Anyanga a aussi exprimé la détermination de la MINUSCA et des Nations-Unies d’accompagner les autorités de la Transition jusqu’à la  fin de leur mandat, le 31 Mars 2016 et des perspectives post-transition pour la Centrafrique. Il rassure les Centrafricains, que  tout au long de l’année 2016, le pays aura besoin de l’appui accru de la communauté internationale, et certainement de la MINUSCA. « La MINUSCA doit jouer ce rôle de catalyseur de l’appui multidimensionnel dont le pays va bénéficier. C’est déjà l’engagement  avec nos partenaires dans le cadre du G8-RCA (Union Européenne, Banque Mondiale, France, Etats-Unis, Union Africaine, CEEAC, etc.) à discuter du compact qui permettra au pays de répondre aux défis immenses qui attendent les nouvelles autorités», a affirmé le Représentant spécial.

LES CANDIDATS AUX PRESIDENTIELLES SOUHAITENT QUE LE PROCESSUS ELECTORAL SE POURSUIVE, SELON LE CHEF DE LA MINUSCA
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