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11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 17:43
Le gouvernement Sarandji - Touadera est connu
Le gouvernement Sarandji - Touadera est connu

 

 

Décret 16.0222 du 11 avril 2016

 

Gouvernement Sarandji – Touadera


1. Ministre de l’Economie du Plan et de la Coopération : Felix Moloua
 

2. Ministre de la Défense : Joseph Yakete
 

3. Ministre des Finances et du Budget : Henri Marie Dondra
 

4. Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire : Jean Serge Bokassa
 

5. Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et des Centrafricains de l’Etranger : Charles Armel Doubane
 

6. Ministre de la Justice, des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux : Flavien Mbata
 

7. Ministre des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique : Leopold Mboli-Fatrane
 

8. Ministre de l’Environnement, du Développement Durable, des Eaux, Forets, Chasse et Pêche : Arlette Sombo-Dibele
 

9. Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement supérieur et de la recherche : Moukadas Noure
 

10. Ministre de la Sante, de l’Hygiène Publique et de la Population : Fernande Ndjengbot
 

11. Ministre de l’Agriculture et du Développement Rural : Honore Feizoure
 

12. Ministre de l’Elevage et de la Santé Animale : Yerima Youssoufa Mandjo
 

13. Ministre de la Fonction Publique, de la modernisation de l’Administration, du Travail, de l’Emploi et de la Protection sociale : Abdoulaye Moussa
 

14. Ministre de l’Equipement, des Transports, de l’Aviation Civile et du Désenclavement : Theodore Jousso
 

15. Ministre de la promotion de la jeunesse, du développement du sport et du service civique : Silvère Ngarso
 

16. Ministre des Postes et télécommunications charge de la promotion des Nouvelles technologies de l’Information et de la communication : Justin Gourna-Zacko
 

17. Ministre des Affaires Sociales et de la Réconciliation Nationale : Virginie Baikoua
 

18. Ministre de l’Habitat, du Logement social et de l’Urbanisme : Gaby Francky Leffa
 

19. Ministre des Arts, du Tourisme, de la Culture et de la Francophonie : Gisele Pana
 

20. Ministre du Commerce et de l’Industrie : Come Hassane
 

21. Ministre de la Communication et de l’Information : Charles Paul Lemasset Mandya
 

22. Ministre de l’Entreprenariat National, de l’Artisanat et de la promotion des Petites et Moyennes entreprises : Bertrand Touaboy
 

23. Ministre, Secrétaire General du Gouvernement, charge des relations avec les Institutions de la République et du suivi-évaluation des politiques publiques : Jean-Christophe Nguinza

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11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 10:33
Lu pour vous : Opex : L’action De la Force Sangaris

 

 

http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.fr/ 8 avril 2016 

 

Au cours du point hebdomadaire du ministère de la Défense du jeudi 7 avril 2016, la situation de la force Sangaris en Centrafrique a été expliquée. En province comme à Bangui, la situation sécuritaire est apaisée. Sur le plan politique, l’investiture du Président Touadéra le mercredi 30 mars 2016 et le second tour des élections législatives le jeudi 31 mars 2016, deux rendez-vous essentiels dans le processus de sortie de crise, se sont déroulés sans incidents.

 

La force poursuit l’actualisation de son dispositif, initié fin 2014, en réponse au déploiement de la MINUSCA dans l’ensemble de la Centrafrique. Les éléments de Sangaris présents en province se recentrent sur Bangui.

 

Les activités des forces françaises ont par ailleurs été marquées par la préparation du retour en France des premiers VBCI (véhicule blindés de combat d’infanterie) et des interactions avec la MINUSCA dans le domaine de l’aéromobilité.


Le rapatriement des seize  VBCI présents à Bangui marque la volonté de la France d’adapter les moyens de combat de Sangaris à la réalité de la situation sécuritaire de la Centrafrique. Depuis mi-mars 2016, une situation jugée apaisée a ainsi permis de remplacer les VBCI par des VAB (véhicule de l’avant blindé). Transportés par voie aérienne vers le port de Douala, les premiers VBCI ont commencé à quitter le théâtre le mercredi 6 avril 2016.

 

Le mercredi 30 mars, la protection aérienne de la cérémonie d’investiture du nouveau président Touadéra a été assurée par la MINUSCA.


La veille, l’équipage d’un MI35 de la force de l’ONU et du FENNEC de Sangaris, ainsi que les contrôleurs aériens avancés (FAC ou forward air controller – responsables au sol du guidage tactique des avions ou des hélicoptères armés) sénégalais de la MINUSCA et français, ont travaillé ensemble sur la préparation de la mission.


D’autres activités ont été réalisées entre les FAC sénégalais et français, notamment en termes de partage de savoir-faire sur les procédures utilisées et le dialogue entre les forces au sol et les équipages.

 

L’objectif est d’améliorer les capacités d’appui air/sol des MI35. Il s’agit d’accompagner la montée en puissance de la capacité aérienne de la MINUSCA, pour faciliter le transfert d’autorité entre Sangaris et l’ONU dans le domaine de l’aéromobilité. Au total, la MINUSCA dispose de onze hélicoptères, dont deux  MI35, six MI17 et 3 MI8.

 

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11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 09:29

 

 

 

·         Au bout de vingt-cinq ans, Idriss Déby n’a rien perdu de sa superbe. Dimanche, le président sortant du Tchad briguait un cinquième mandat à la tête de ce vaste pays d’Afrique centrale, qu’il a toutes les chances d’obtenir. IB TimesBBC

·          

·         Depuis son arrivée au pouvoir, le 4 décembre 1990, à la faveur d’un coup d’Etat soutenu par la France pour chasser Hissène Habré, Idriss Déby n’a jamais cédé le moindre pouce de terrain face aux tentatives de déstabilisation.

 

·         Toujours en selle, il est confronté cette fois à treize candidats, dont l’ancien chef de gouvernement Joseph Djimrangar Dadnadji (janvier-novembre 2013) et l’ex-ministre Saleh Kebzabo. Un morcellement de l’opposition dont il escompte bien tirer parti pour s’accrocher à son fauteuil présidentiel cinq années de plus.

 

·         Idriss Déby, 63 ans, sait qu’il peut compter en outre sur le soutien des Occidentaux, qui ont fait de lui un partenaire incontournable dans leur guerre contre les islamistes – notamment de Boko Haram – au cœur d’une région troublée, percluse de conflits. AllAfrica.comDeutsche Welle

·          

·         Cette victoire annoncée ne masque pas pour autant un mécontentement économique, social et politique grandissant, tempère Jeune Afrique.

·          

·         Un courroux qui n’est plus circonscrit à N’Djamena, la capitale, et aux villes du Sud, réputées frondeuses. Longtemps considéré comme acquis au pouvoir, le Nord, lui aussi, regimbe. En cause : le coût de la vie, l’austérité budgétaire et la corruption.

 

·         Autant d’obstacles qui alourdissent le fardeau des 13 millions d’habitants, dont la moitié vit sous le seuil de pauvreté et 70 % ne savent pas lire ou écrire.

 

·         Dans ce climat délétère, que peut-il advenir ? Pour le quotidien burkinabé Le Pays, « toutes les conditions semblent réunies pour une contestation postélectorale ». Et de conclure : « Ces Tchadiens qui manifestent ne sont pas de la génération des traumatisés de guerre que la peur a conquis. Ces Tchadiens sont ceux qui voient chaque jour sur internet, à la télévision, les luttes des autres pays pour plus de démocratie, plus de liberté et plus de justice. »

 

Lu pour vous : 

 

PRESIDENTIELLE AU TCHAD : Une formalité pour le dictateur Deby  

 

http://lepays.bf/   LUNDI 11 AVRIL 2016

 

A la suite des nomades, des militaires et des réfugiés, les autres Tchadiens ont été conviés aux urnes, hier dimanche 10 avril 2016, pour choisir leur président parmi treize candidats. En attendant les résultats de cette consultation électorale, on peut d’ores et déjà se poser des questions sur sa crédibilité. En effet, des opposants qui ont eu le tort de manifester contre le président Idriss Deby Itno, ont été embastillés. De plus, la société civile s’est retirée de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et plusieurs syndicats sont en mouvement de grève depuis le 22 mars dernier pour exiger des conditions et des moyens idoines de travail. C’est dire que le mercure sociopolitique est monté d’un cran au pays de Deby. Ce qui n’est pas pour faciliter l’acceptation des résultats issus des urnes, par tous les acteurs ; opposition et pouvoir se regardant en chiens de faïence. Du reste, pouvait-il en être autrement ? Le chef de l’Etat tchadien qui avait fait la promesse de ne pas briguer un 5e mandat présidentiel, n’a pas tenu parole. C’est peu de dire que ce n’est pas digne d’un homme d’Etat, qui plus est, d’un militaire censé incarner le sens de l’honneur et de la dignité. Comment l’opposition peut-elle se payer encore le luxe de le croire sur parole quand il promet la limitation du nombre de mandats s’il est réélu ? Quelle garantie qu’il ne fera pas volte-face, une fois qu’il aura empoigné à nouveau son pouvoir ? Il n’y en a aucune. Comme le dit l’adage, « qui a bu, boira ». Deby qui aura fait preuve de parjure, ne se gênera pas de remettre le couvert chaque fois qu’il en aura l’occasion. Les opposants devraient, par conséquent, unir leurs forces, s’ils veulent avoir une chance de faire pencher la balance en leur faveur. Mais, cela n’est pas le cas. On voit bien que pendant que la société civile s’est retirée du processus électoral, l’opposition politique, elle, a exhorté les Tchadiens à aller voter massivement. Ces divergences de vues au sein des acteurs qui devaient porter ensemble le combat pour la démocratisation effective du pays, rendent largement service au dictateur. Certainement que l’opposition parie sur la lassitude des populations, pour obtenir le changement de régime à la faveur de ce scrutin. Mais cette opposition aurait pu accroître ses chances de tirer son épingle du jeu en allant en rangs serrés. La multiplicité des candidatures fait le jeu du dictateur. La stratégie de l’opposition est que chacun de ses leaders fasse le plein des voix dans son fief, quitte ensuite à  fédérer les énergies en cas de second tour. Ce n’est peut-être pas mauvais comme stratégie, mais encore faut-il qu’il y ait ce fameux second tour !

 

Le régime travaillera sans doute à obtenir par tous les moyens, le silence des différents groupes de pression

 

Idriss Deby qui n’est pas né de la dernière pluie, sait mieux que quiconque, les risques que pourrait représenter pour lui, un second tour. Il ne prendra aucun risque de perdre le pouvoir et la face. Pour sûr, il ne ménagera aucun effort pour réussir le coup K.-O. D’ailleurs, il est notoire qu’un dictateur ne perd pas des élections qu’il organise. L’homme fort de N’djamena s’est donné la peine d’organiser ce scrutin pour contenter l’Occident. Quant à sa victoire, ce sera une simple formalité. Le souci d’une élection fiable à tous égards, ce ne sera pas cela qui intéressera le satrape. De toute façon, il aura sacrifié au rituel: réussir à organiser encore un scrutin, point barre ! Et les partenaires occidentaux, du haut de leur hypocrisie, s’en contenteront. Pour l’Union africaine (UA) dont il est, du reste, le président en exercice, ce sera motus et bouche cousue.  Deby va certainement se faire le plaisir de servir des chiffres honorables pour  qu’ils paraissent vraisemblables. Sa tâche est rendue d’autant plus aisée que la société civile s’est retirée du processus électoral. En effet, le retrait de la société civile laisse le libre champ aux officines du président tchadien. Elles fabriqueront leurs chiffres pour la joie de Deby. Pour ne rien arranger, l’opposition s’y est mal prise dans la préparation de cette présidentielle. Elle a plus bataillé pour la biométrie plutôt que de s’attaquer à la contestation de la candidature même de Deby. Il aurait été judicieux pour elle, de mettre un accent particulier sur le refus de cette énième candidature du président sortant. Elle aurait été bien inspirée de sonner la mobilisation autour de ce mot d’ordre. L’autre hic, c’est que bien des candidats de l’opposition, ont eu à pactiser avec le dictateur Deby, de par le passé. Et contrairement à des hommes politiques de certains pays africains qui ont fait, vis-à-vis de leur mentor, le choix de la démission, ils ont attendu que le satrape lui-même les mette à la porte. Ce faisant, ils ont moins de crédibilité. Bien des électeurs ont pu se laisser convaincre que ces personnalités-là sont aujourd’hui amères parce qu’elles ont été congédiées de la table du seigneur. La messe étant quasiment dite pour l’opposition, reste à savoir ce que nous réservent les lendemains de cette nouvelle victoire plus que probable de Deby. Le front social en ébullition va-t-il se calmer après la publication des résultats de la présidentielle ou va-t-on, au contraire, assister à une métastase des mouvements d’humeur et de contestation dans le pays ? Les opposants politiques du maître de N’djamena vont-ils se résoudre facilement à faire contre mauvaise fortune bon cœur ? La société civile acceptera-t-elle de se résigner ou trouvera-t-elle les ressorts internes pour poursuivre la lutte ? Il faudra attendre de voir. Le régime travaillera sans doute à obtenir par tous les moyens, le silence des différents groupes de pression. Mais, à terme, le Tchad pourrait devenir très difficile à gouverner à l’issue de ce scrutin.

 

Auguste SAWADOGO

 

Revue de presse - Tchad : le défi électoral et social d’Idriss Déby
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11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 09:13

 

Le sulfureux homme d’affaire, le chiite libanais Ali El-Akrass, membre influent du parti KNK qui avait poussé l’ancien président BOZIZE à la bêtise, après avoir incendié volontairement son propre magasin, serait de nouveau entré en action.

 

Son intrigue habituelle au pays des résignés est plus que visible pour ce qui reste des Centrafricains conscients : a) après dénonciation du roi des cupides, la déclaration de BOZIZE sur les ondes de la radio nationale, ordonnant à toutes les forces de défense de retrouver et de dépecer   l’ancien Bâtonnier Symphorien BALEMBY et de l’ancien Vice-Président du Conseil Economique et Social Jean Daniel DENGOU ; b) la détention illégale et sans procès de onze (11) compatriotes dont deux (2) femmes, personnels ou membres de la  famille des accusés d’office du libanais et celle-ci pendant deux (2) années dont ils ont vécus l’enfer dans la prison spéciale de BOZIZE communément appelée GUATANAMO à Bossembélé ; c) l’expansion fulgurante de ses affaires suite à l’exonération de cinq (5) années (chèque à blanc) accordé sur le corridor douanier et les impôts par BOZIZE à leur roi. 

 

Après avoir soutenu ouvertement au premier et second tour des élections présidentielles certains candidats contre le candidat finalement élu à la présidence de la République, ce dernier aurait convoyé comme à son habitude à toutes les nouvelles autorités, une cargaison de biens mobiliers, vivres et autres, au domicile du Président Faustin Archange TOUADERA. Ce patriote éclairé aurait opposé une fin de non-recevoir et ordonné purement et simplement le refoulement du chargement à son destinataire, le corrupteur patenté, BASSAM 1er de Centrafrique, ancien vendeur de tissus, de pain au KM5 et au centre-ville, qui devenu son territoire personnel.

 

Si cette information s’avère fondée, le nouveau Procureur de la République devra se saisir de cette affaire afin de poursuivre BASSAM 1er pour tentative de corruption du nouveau Chef d’Etat Centrafricain. Cette philosophie des commerçants libanais tricheurs tendant à faire croire que ‘’TOUTES LES AUTORITES SONT DANS LA POCHE’’,   doit être définitivement éradiqué dans notre pays. Celle-ci est vérifiée pour certains des régimes qui se sont succédé à la gestion du pays, mais ne devrait pas en principe être vrai pour ce nouveau régime obtenu après tant de morts, mais aussi compte tenu de la probité du Président TOUADERA et de son Premier Ministre SARANDJI. Le peuple Centrafricain ne mérite pas un tel traitement de la part des aventuriers de cette variété qui ont bâti toutes leurs fortunes sur son sol. 

 

Au fait, Combien de Centrafricains pourront-ils résister à la prestidigitation[D1]  de cette vipère?

 

Le juge d’appel a t’il également contrecarré l’assaut de ce poison lors de la visite que l’empereur BASSAM 1er lui aurait rendu le lundi 14 mars 2016, juste avant l’audience qu’il devrait présider sur l’affaire qui l’oppose à la société ADMN SYSTEMS, à propos du déménagement forcé de cette société effectué par ses soins en place et lieux d’un huissier de justice et ceci sans aucun procès-verbal d’exécution ?

 

Va-t-il continuer de garder la justice centrafricaine dans son étau? Et pour combien de temps encore ?

 

Quel est le juge qui, dans ce pays de BOGANDA pourra l’arrête dans sa posture nauséabonde ?

 

Le délibéré du 8 avril prochain nous en dira plus certainement si le juge d’appel  ne suivra pas le juge de première instance dans l’avidité.

 

Toujours au sujet de notre empereur BASSAM 1er, nous attentons que le SAMITO national, Directeur au ministère de l’urbanisme, qui a affirmé fièrement et jouissait presque de plaisir sur les ondes des radios et dans la presse écrite, d’avoir détruit le mur de la clôture de la concession du Frère Jean-Marie DONDRA située à proximité du tennis club, de nous prouver si la clôture du royaume RAYAN à côté de GACOA-SIV, n’a pas aussi empiété sur le domaine public. Dans l’affirmative, justice doit être rendue et  la clôture du roi BASSAM 1er doit être détruite aussi.

 

Le peuple veut aussi savoir si les attributions de la parcelle derrière le Building administratif et celle dans le domaine du stade Barthélemy BOGANDA à ce prédateur ne sont pas aussi illégales.

 

La SODECA qui peine à se redresser et qui s’acharne que sur les petits consommateurs centrafricains sait pertinemment que l’empereur libanais produit une grande quantité de bouteilles d’eau minéralisée et non minérale de marque LA VIE, à partir d’une adduction sur son réseau. Ces consommations  sont-elles facturées normalement ? Et aussi pour l’ENERCA ? Et les services des impôts ? Et les services de la douane ? Et …

 

Et si l’éveil des Centrafricains pouvait commencer par ce comportement du Président TOUADERA vis-à-vis des opérateurs répugnants comme ce chiite libanais.

 

Les victimes de l’empereur BASSAM 1er, aussi restent très attentives aux prochaines actions du Président TOUADERA par rapport à la chevauchée fantastique et effrénée du roi des centrafricains avaricieux.

 

Le  berceau des BANTOUS est-il déjà dans l’espérance d’un avenir meilleur avec l’élection de TOUDERA ? Qui vivra verra.

 

David KLIMANGO


 

L’empereur Ali El-Akrass alias BASSAM 1er de Centrafrique,   de nouveau en embuscade, par David KLIMANGO
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11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 09:08

 

 

 

Par RFI  11-04-2016 Modifié le 11-04-2016 à 01:10

 

Le président de République centrafricaine Faustin-Archange Touadéra est dans ses premières semaines de mandat et déjà son style dénote avec celui de sa prédécesseure Catherine Samba-Panza. Pendant la campagne, le candidat Touadéra voulait rester proche du peuple. Il continue sur cette voie.

 

Faustin-Archange Touadéra joue à fond la carte de l'humilité et de la simplicité. Il y a quelques jours, il s'est rendu pour une visite de courtoisie à la mosquée centrale de Bangui pour rencontrer l'imam et les fidèles. Une rencontre improvisée, sans aucun journaliste et surtout sans sécurité renforcée, ce qui a étonné, stupéfait même les habitants du quartier du PK5. Faustin-Archange Touadéra s'est simplement garé devant la mosquée, puis a « ordonné à ses gardes de laisser les armes dans la voiture », raconte un témoin. Sur le chemin du retour, alors que Catherine-Samba Panza avait pris l'habitude de bloquer toutes les routes pour que son cortège puisse circuler, Faustin-Archange Touadaéra lui préfère se glisser dans la circulation, à petite allure.

 

Une autre scène invraisemblable ce week-end. Devant le Grand Café de Bangui, une place centrale de la capitale, le cortège du président a ralenti et Faustin-Archange Touadéra, la tête collée contre la vitre de sa voiture, a salué de la main les habitants sur les trottoirs. Après un moment de stupéfaction, sifflements et hourras, et surtout une phrase qui revient sur toutes les lèvres : « Mais est-ce que c'était vraiment le président ? » Tant la scène semble incongrue pour les Centrafricains.

 

Des Centrafricains qui attendent toujours la composition du nouveau gouvernement. « Ça ne devrait plus tarder », assure-t-on du côté de la primature.

Centrafrique: Faustin-Archange Touadéra, nouveau président et nouveau style
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10 avril 2016 7 10 /04 /avril /2016 22:07
Nouvelles nationales sur APA
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Le président centrafricain attendu au Vatican le 18 avril

        

 APA-Bangui (Centrafrique) -2016-04-10 15:58:50 Le nouveau Président centrafricain, le Pr Faustin Archange Touadéra, est attendu le 18 avril prochain au Vatican sur invitation du Pape François, a annoncé, dimanche à Bangui, le Nonce Apostolique en Centrafrique.


Selon Mgr Francisco Coppola qui rencontrait le chef de l'Etat, en compagnie de l'Archevêque de Bangui, Mgr Dieudonné Nzapalaïnga, le Pape François donnera à cette occasion sa bénédiction à Touadera afin qu'il puisse ‘'bien diriger'' la République Centrafricaine.

L'Archevêque de Bangui a, pour sa part, souligné, que cette visite du Pr Faustin Archange Touadéra au Saint-Siège lui permettra d'ouvrir une nouvelle page dans la coopération entre le Vatican et son pays.

Lors de sa visite au mois de novembre dernier en Centrafrique, le Pape avait promis reconstruire le complexe pédiatrique de Bangui mais également lancer une série de formation de médecins centrafricains par le Vatican.
 

http://www.apanews.net/news/fr/article.php?id=850520#sthash.WLfgvsye.dpuf

         

 

Table ronde sur la RCA  le PM échange avec le représentant de la Banque mondiale         

APA-Bangui (Centrafrique) -2016-04-10 16:24:53  Le représentant de la Banque mondiale en Centrafrique, Jean Christophe Carré, a échangé ce dimanche avec le Premier Ministre centrafricain, Simplice Mathieu Sarandji, sur la table ronde des bailleurs bilatéraux et multilatéraux de Centrafrique qu’organise le 16 avril à Washington la Banque mondiale, a appris APA.


Le but de cette rencontre des partenaires financiers de la RCA est de susciter un apport financier conséquent pouvant permettre au pays de faire face à ses multiples défis post-conflits.

Le plus important de ces défis concerne le programme de désarmement démobilisation et réinsertion des groupes armés qui nécessite beaucoup de moyens financiers pour sa mise en œuvre.

Depuis la transition, certaines dépenses régaliennes de l'Etat sont prises en charge par les institutions de Breton Wood. Ainsi, les salaires des fonctionnaires sont payés par la Banque mondiale.

La crise qu'a connue le pays a été marquée par la destruction massive des biens et le déplacement interne et externe des populations. 

D'où le besoin d'aides à la population pour qu'elle retrouve son niveau de vie d'avant la crise.

 

http://apanews.net/news/fr/article.php?id=850523#sthash.7NnFLz0h.dpuf

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9 avril 2016 6 09 /04 /avril /2016 17:10
Lu pour vous : Comment sait-on qu'une guerre est finie?

 

 

http://www.itele.fr/ 07 avril à 16:14

 

La semaine dernière, le ministre de la Défense français confirmait la fin de l'opération Sangaris, en Centrafrique. La situation sécuritaire sur place reste pourtant très incertaine. Des militaires resteront d'ailleurs sur place pour poursuivre l'effort de la France. Mais jusqu'à quand ?

 

« C'est un jour heureux pour la Centrafrique, annonçait le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian aux militaires français déployés dans ce pays, le 30 mars. Bien sûr, tout n'est pas résolu. Mais nous voyons enfin le pays sortir d'une longue période de troubles et d'incertitudes. (…) C'est donc avec la satisfaction du devoir accompli que je peux vous confirmer la fin de l'opération Sangaris dans le courant de l'année 2016. »

 

Le ministre confirmait ainsi un retrait déjà annoncé en janvier dernier. Il ajoutait également que l'opération Sangaris allait être remplacée par une autre opération de l'armée française dont les modalités restent à définir. En réalité, Paris assure la sécurité de la Centrafrique depuis près de 50 ans, les opérations militaires se succédant les unes après autres.

 

Des missions sans fins

 

Michel Goya, historien et ancien officier de l'armée de terre, insiste sur la différence entre les types d'opérations menées par les militaires français. Dans le cas de Sangaris, plus que d'une guerre, il s'agit de rétablir une forme de normalité dans un pays qui ne l'a jamais vraiment connue depuis son indépendance. Une nuance qui implique tout de même des spécificités dans les modalités permettant de remporter la victoire :

 

Il y a deux types de missions : la guerre ou la police. La guerre a un objectif politique. Il y a une fin. La mission de police, elle, n'a pas de fin. Il n'y a pas d'ennemis mais des contrevenants qu'il faut empêcher de nuire. En termes militaires, on parle de mission de stabilisation.

 

Reste à définir le juste niveau de stabilisation pour que la force militaire puisse considérer que l'objectif est atteint. En 2013, lorsque la France s'engage dans l'opération Sangaris pour s'interposer entre les deux communautés qui se battent en Centrafrique, elle décide de ne pas désigner l'un ou l'autre camp comme l'ennemi. Les soldats français vont chercher à désarmer les uns et les autres pour les amener à trouver une solution commune.

 

La désignation de l'ennemi et des objectifs politiques est particulièrement complexe pour le pouvoir politique qui confie la mission aux militaires. Selon le choix qui sera fait, les missions peuvent être parfois de véritables sacs de nœuds pour les soldats chargés de les mener. Michel Goya note ainsi les spécificités de la guerre engagée contre les mouvements djihadistes :

 

Reconnaître un ennemi, c'est reconnaître un interlocuteur pour négocier la fin d'une guerre. D'où le problème d'une guerre contre le terrorisme. C'est tout le problème de notre phraséologie : on se retrouve à faire la guerre contre quelqu'un que l'on ne veut pas admettre comme interlocuteur.

 

Le retrait, faute de victoire

 

Beaucoup de débats existent sur ce qu'est et ce que n'est pas une guerre. Les universitaires travaillent aux distinctions entre les différents conflits, dont les modalités peuvent impacter la recherche d'une solution. Olivier Schmitt, chercheur en Etudes de la guerre à l'université du Danemark du Sud, revient ainsi aux notions de bases :

 

Il faut partir de la définition : la guerre, c'est un moyen de résoudre un problème politique. Lorsque la guerre a suffisamment modifié le rapport de force entre les belligérants, il y a une nouvelle réalité politique. Tant que l'un des belligérants pense avoir encore un bénéfice à tirer de la guerre, elle continue.

 

Dans cet « affrontement des volontés », les acteurs qui participent à la guerre vont chercher par différents moyens à atteindre un objectif. Ce dernier n'est pas toujours évident à définir et peut évoluer en fonction des aléas et des retournements, d'une bataille à l'autre. Jusqu'à ce qu'un parti cède. Pourtant, tous ne sont pas égaux face à cette problématique et ces dernières années, la France s'est régulièrement retrouvée dans une position difficile à assumer, faute d'avoir suffisamment à gagner dans les conflits auxquels elle a participé, comme l'explique Olivier Schmitt :

 

Quand on intervient dans un pays, nous n'avons pas un intérêt vital mais périphérique : passage de migrants, protection d'un acteur, lutte contre un groupe armé... Cette asymétrie des enjeux fait que la puissance intervenante se retire généralement plus vite que ceux qui mènent directement la guerre, sur leur propre territoire. Pour les puissances occidentales qui interviennent, on reste souvent pour ne pas admettre la défaite, et justifier les vies sacrifiées. Les acteurs locaux, eux, ne peuvent pas détruire les Occidentaux. Donc les conflits s'éternisent, jusqu'à ce que quelque l'un des acteurs se lasse : souvent, c'est nous parce que justement, l'intérêt n'est pas vital.

 

Maîtrise de la communication

 

Si les conflits évoluent parfois de manière radicale, le pouvoir politique doit parvenir à maintenir un niveau suffisant de conviction auprès de l'opinion publique. En France, comme dans d'autres démocraties, il faut rendre des comptes au sujet de l'utilisation qui est faite des armées, même si le président dispose d'une importante marge de manœuvre en la matière. Pour Florent de Saint Victor, spécialiste des questions de défense et auteur du blog Mars Attaque, la communication au sujet des interventions militaires est mieux maîtrisée en France depuis l'expérience de l'Afghanistan :

 

A la fin d'une opération, comme pour Sangaris, il y a une phase de justification des moyens employés. Le politique explique de manière plus ou moins explicite ce qui a été fait. Quelle est la mission qui a été accomplie et est-ce à la hauteur des ambitions du départ ? Dans ce cas, il est fort probable que l'opinion publique n'ait même pas conscience de notre présence en Centrafrique. C'est pour cela que c'est le ministre de la Défense et pas le président, qui fait l'annonce de la fin de mission. C'est aussi un signe de l'importance relative de l'événement.

 

Ainsi, dans le cas de l'opération Serval au Mali, c'est François Hollande lui-même qui s'était rendu sur place pour annoncer la « mission accomplie ». Une déclaration qui peut être risquée : l'évolution dans le Sahel a montré depuis que la question djihadiste était en réalité loin d'y être réglée. Mais il est de plus en plus nécessaire pour le politique de fixer une date limite de fin de mission, afin d'éviter de s'engager indéfiniment dans des conflits particulièrement complexes. Quitte à ce que les adversaires, informés de cette date fatidique, ne patientent en attendant le départ des soldats.

 

La France reste cependant assez discrète sur ce qui se passe pendant les opérations militaires. Au moment d'un déploiement, le pouvoir politique fournit un important effort de communication pour convaincre le public, afin d'avoir le temps de manoeuvrer ensuite sans trop se préoccuper d'une opposition populaire à l'action de l'armée, comme l'explique Florent de Saint Victor :

 

Il y a une vision assez pragmatique et lucide. On pense qu'il faut préparer comme un solide matelas au départ, en terme d'opinion, qui pourra ensuite absorber le risque et les accidents, notamment les pertes, sans que l'opinion ne soit trop défavorable. C'est quelque chose qui reste typiquement français : en ce qui concerne l'action militaire, moins on parle de nous, mieux on se porte.

 

par Romain Mielcarek

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9 avril 2016 6 09 /04 /avril /2016 16:52

 

 

 

Vendredi 08 Avril 2016 - L’Organisation internationale de la francophonie (Oif) vient de suspendre sa coopération avec le Burundi, plongé dans une crise sans précédent.

Après l’Union européenne, l’Oif a décidé jeudi de suspendre partiellement sa coopération multilatérale avec les autorités burundaises qui au constat, ne semblent arranger les intérêts de la communauté internationale au regard du silence constaté au Congo.

L'Oif estime que le gouvernement ne fait pas assez d’efforts pour sortir le pays de la crise et instaurer un dialogue politique.

"L'Oif décide de suspendre la coopération multilatérale francophone déployée au Burundi indique le communiqué, à l'exception des programmes qui bénéficient directement aux populations civiles et de ceux qui peuvent concourir au rétablissement de la démocratie.

Le Burundi n'a pas officiellement réagi à cette annonce, mais le responsable de la communication présidentielle, Willy Nyamitwe, a posté un tweet dénonçant une "comédie" de "très mauvais goût".

Par ailleurs , la Centrafrique vient d'être réintégrée dans l’organisation après 3 ans d’exclusion suite à un coup d’état en 2013.

Trois ans de violences ont ravagé l'économie de la Centrafrique et ont profondément déstabilisé le pays, un des plus pauvres au monde.

L'OIF suspend sa coopération avec Bujumbura et réintègre la Centrafrique
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9 avril 2016 6 09 /04 /avril /2016 16:32
Décès d’un militaire mauritanien en Centrafrique

 

 

ALAKHBAR (Nouakchott) 09.04.2016  Heure: 15:30 GMT - Un élément des forces mauritaniennes en Centrafrique le sergent Ahmed Massa Bougary est décédé du paludisme, jeudi, a-t-on appris du site d’information en ligne des Armées mauritaniennes.

« La dépouille  de l’intéressé sera  rapatriée incessamment au pays  conformément  à la volonté des siens »

 

Mille éléments des forces armées et de sécurités mauritaniennes participent dans des missions de maintien de la paix de l’ONU en Centre-Afrique, en Côte d’ivoire, au Soudan et au Mali.

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9 avril 2016 6 09 /04 /avril /2016 16:22

 

 

 

                                                                                              Après l'investiture du président de la République, ce dernier a pris un premier décret désignant son directeur de cabinet. Le second décret a été pris après la démission du gouvernement de transition et qui nomme son directeur de campagne à la primature. De sources sûres affirment que le deuxième décret a fait l'objet d'un vif mécontentement du collectif des alliés qui l'ont soutenu au second tour des présidentielles.

 

Pour jouer le pompier de service, le président de la République a organisé dans la foulée une rencontre au palais de la renaissance pour justifier le choix du premier ministre. La quintessence de cet article est de rappeler au président de la République ses prérogatives absolues et partagées définies par la constitution. Selon les termes de la loi fondamentale, la désignation du premier ministre incombe au seul président de la République et sa seule volonté.

 

Ce dernier dispose donc d'un pouvoir discrétionnaire, un pouvoir souverain c'est à dire non soumis à des conditions, ni consultation. Il est libre de porter une appréciation sur l'utilité et l'opportunité de sa décision. Ces décisions perdent le caractère discrétionnaire en cas de cohabitation, quand la majorité présidentielle est inférieure à la majorité parlementaire.

 

Dans ce cas, le chef de l'Etat se borne à nommer le candidat adopté par la majorité parlementaire. Il importe de rappeler au passage que le choix d'un premier ministre ne relève pas d'un consensus ( sauf en cas de crise ) ni d'un droit d'information comme le réclame l'ambassadeur de France en poste à Bangui. Le président dispose d'un pouvoir partagé avec le premier ministre dans la désignation des membres du gouvernement car il les nomme sur proposition du premier ministre.

 

Ensuite le chef du gouvernement doit solliciter un vote de confiance de l'assemblée nationale. En se justifiant devant ses alliés, le chef de l'Etat a affaibli la fonction, a montré des signes de faiblesse, a mis en danger l'autorité de l'Etat, a réduit le champ de ses droits et a montré sa méthode de travail : chaque décret fera l'objet d'une concertation et justification.

 

Va t-il encore se justifier quand le gouvernement sera mis en place ? Il est vrai que la coutume est une des sources du droit positif, mais l'habitude a toujours tendance à s'ériger en règle et la règle redevient l'exception. Ainsi le premier ministre actuel est-il un chef de gouvernement de transition en attendant la mise en place du parlement ? Si oui le gouvernement sera une exception à la légalité ?

 

Le chef de l'Etat a justifié le choix du premier ministre en alléguant qu'il a horreur du vide et de l'immobilisme du pays, cette courte transition était-elle utile ? Suite à un post du collègue Téophile Eka qui a mis en exergue ce vide juridique, on s'est préoccupé de la situation embarrassante. Pourquoi le gouvernement Kamoun n'a pas fait l'objet d'un prolongement ? La preuve, le pays est sans gouvernement depuis une semaine. Savez-vous que le premier ministre peut provoquer une crise politique et constitutionnelle au sommet de l'Etat s'il refuse de démissionner alors que le parlement est contrôlé en majorité par l'opposition ?

 

Nous espérons ne pas vivre ces genres de situation et comptons sur notre collègue le Directeur du cabinet présidentiel qui est un juriste et de surcroit publiciste pour éviter à l'avenir ces manquements. Nonobstant ce qui précède, nous continuons toujours d'espérer sur le bon discours d'investiture qui a marqué le ton de sa politique générale, qui a défini les critères et les conditions d'être membre du gouvernement. Pour une fois de notre histoire politique, les deux têtes de l'exécutif sont des docteurs.

 

Cela est bénéfique pour le pays mais débauche deux enseignants chevronnés à l'université de Bangui qui en manquait déjà. En tant qu'ancien recteur, le président de la République trouvera des solutions alternatives à la pénurie des enseignants. Continuons à encourager et à soutenir les actions du président de la République pour la reconstruction de notre chère patrie.                                                                                                          

Paris le 09 avril 2016.                                                                                                       

Bernard SELEMBY DOUDOU


Juriste, Administrateur des Elections

LE DÉCRET CONTROVERSÉ  par Bernard SELEMBY DOUDOU
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