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"For the success of the National
Inclusive Dialogue on Central African Republic crises, this forum should take place abroad. Amnesty for those whom were criminally accused by Bozizé regime must be granted. It is to
say Politicians talking could be scrapped from the rest of this Dialogue."
Once more but relevant and
essential to those reflect, debate and observe plight conditions in which Central African Republic is plunged : the obligation to operate amnesty. It is a depth idea and a positive
one. Yet, to reverse dictatorship, to stand a little bit over the crises, to unify freedom fighters(so-called rebellion) with National Army, to train doctors, and
to establish provisional regime en route for democracy ; Bozizé regime is called to grant amnesty to all opposition members who should participate in
political dialogue. Even if this amnesty is offered, dialogue among politicians must be undertaken abroad. For the transparency and the importance which represents this
dialogue.
To be true, the core of Central African Republic crises resides in
politicians. It could be found in the behaviour of politicians. It could be shown from their greed to take the Power of State by coup. What should be done now is to sensibilise
politicians with the cause of new Central African Republic. Bozizé and its government do not yet understand the sense of amnesty to policymakers living abroad. To give opportunity
for the revival of Human Rights respect, legitimacy, alternance on Power of State, good governance ; the now regime is obliged to organised talking between only politicians alongside the
National Inclusive Dialogue in abroad.
By doing so light will get out and serve the principle of change.
As the course of this country demonstrated, those on the Power of State have only intention to preserve their own interests, so ignore the common best of the country. For that, politicians
who are in asilyum have to require amnesty. And even if this amnesty is given they require politicians dialogue to take place abroad. Because, Bozizé and his regime
are versatile. They are so tricky. There is no way to trust them. The better way to attain positive solutions and proposals on the case of Central African Republic is to
emphasise on the exclusively organisation of politicians dialogue abroad.
With amnesty, it is not sure that security of such
personalities like Prosper N'douba, Patassé, Demafouth , Franck Saragba, Djim-Arem Maïtart and so on could be preserved once in Bangui Capital of Central African Republic to
attend the National Inclusive Dialogue. This remark is come in right. According, the state of Human Rights violation, menace, crimes assassinations, tortures which
are permanent and daily in this country. So, to gain democracy, security, peace and consolidation of patriotism, the politicians dialogue a kind of Meeting-Room is
welcomed abroad not in Bangui.
It is wise to separate the trend of this Dialogue : the
political one, which is more vital because the development of the country depends on it, and then the social. The first one is to take place abroad. This
is the way of modern Central African Republic. This is a framework of the rupture with oppression. This a direction of freedom. Sure, obligation of amnesty is right,
reasonable but not sufficient for the security of politicians. Those who think that Central African Republic crises could be solved by Bozizé provisional regime will be severely
dissatisfied.
Bozizé is not a solution, that is why National Inclusive
Dialogue is organised. It is to say Inclusive National Dialogue does not mean provisional regime. Provisional regime is a pain on the shoulders of citizens. It is a leeway. It is
a downturn and a slump for Central African Republic. What Central African Republic needs is democracy without Bozizé. This is a meaning of the coming National Inclusive
Dialogue. Bozize constitutes an uncertainty for the country.
Les intentions des politiques sont toujours difficiles à déterminer. Même dans les vieilles grandes démocraties l'on se méfie des propos des hommes politiques. Ceux-ci sont souvent
cohérents en leur forme mais spécieux au fond c'est-à-dire quand il s’agit de leur mise à exécution. Ainsi, l'on dit : imposteur, leurre, volatilité, versatilité, calculateur
et opportuniste. Voilà quelques mots qui caractérisent les politiques.
Et la Centrafrique n'est pas à l'écart de cette réalité ; laquelle irrite les citoyens qui ne voient guère de solution à
leurs difficultés qui s'amoncèlent devenant insupportables. Et par-ci, par-là l'on s'émeut. Et les citoyens exigent le dialogue pour aplanir les crises nées de la mauvaise
gouvernance des politiques, ignorants des Droits de l'homme, tourmentés par la convoitise et l'avidité. Et de ce dialogue l'on espère. Oui, mais à condition qu'une amnistie soit
accordée aux opposants exilés à l'étranger, accusés faussement de crimes par le réme Bozizé. Et aussi que le dialogue des politiques se fasse à l'étranger.
L'on est convaincu que le dialogue des politiques est le plus important. De ce dialogue des propositions peuvent être
formulées au profit de la Centrafrique. Mais, pour la réussite de ce Dialogue National Inclusif, le mieux c'est que les politiques se rencontrent à l'étranger pour débattre
de la Centrafrique. Pour ce, le dialogue des politiques doit être séparé du reste des autres sujets qui peuvent être traités à Bangui par la composante sociale du Dialogue National
Inclusif.
D'ailleurs, c'est aux politiques de décider de la paix, la sécurité, la liberté, le respect des Droits de l'Homme, et
l'économie. C'est dire combien, il est utile que les politiques se parlent à l'extérieur. Les conditions favorables de réflexion de fond ne peuvent être réunies qu'à l'étranger.
Même si l'amnistie est accordée, il se posera la question de la sécurité des politiques appartenant à l'opposition. C'est pourquoi, il serait souhaitable de séparer le dialogue des politiques des
autres débats qui se tiendront à Bangui. C'est vrai l'amnistie est un atout mais pas une garantie suffisante pour l'instant.
L'on peut craindre si le dialogue des politiques n'est pas séparé de l'ensemble du forum. Car, la sécurité des opposants
comme : Ange-Félix Patassé, Prosper N'douba, Franck Saragba, Djim-Arem Maïtart, Demafouth et autres, sera inquiétée. Il n'y a pas lieu que les politiques se rendent à Bangui.
Aussi, le Dialogue National n'est pas celui de la transition. Mais celui de la rupture le régime Bozizé. Ce régime est la raison de ce Dialogue National Inclusif. C'est mal à propos
d'évoquer une transition que personne ne perçoit les contours politiques positifs pour la Centrafrique. Ce n'est pas la transition avec Bozizé au Pouvoir de l'Etat qui est l'essence de
ce forum national.
Mais, c'est son départ qui est la définition de ce dialogue National Inclusif.. L'on doit défausser si l'on pense entretenir
une supposée transition avec Bozizé. Non la Centrafrique n'en veut pas. Bozizé n'aime pas la Centrafrique. Il n'a pas le sens patriotique.. Ce n'est pas la Centrafrique elle-même qui a
causé sa dérive ; mais c'est Bozizé qui l'a mise en dérive. Former des médecins et faire intégrer les combattants de la liberté dans l'Armée Nationale sont des bonnes idées, mais qui ne
peuvent être pertinentes que si le dialogue des politiques se tienne à l'étranger mais pas à Bangui. A dire vrai, la question de transition avec Bozizé est très mal posée. Transition par
rapport à quoi? Au regard de quelle disposition Constitutionnelle?
Il faut se dire d'emblée que Bozizé est au Pouvoir de l'Etat pour longtemps si l'on adopte la méthode de
transition politique. Et le Dialogue National Inclusif perd sa raison d'être. C'est pourquoi l'on doit envisager ce forum national comme une issue de sortie pour Bozizé.et le
rétablissement de la démocratie. Ce n'est pas Bozizé qui est la panacée de la crise de la Centrafrique. Il doit être évacué du Pouvoir de l'Etat. Il est trop flou, sombre et corrosif pour l'Etat
centrafricain. A l'instant, il y a lieu d'éviter toute compromission avec l 'incertitude, c'est-à-dire Bozizé.