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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 12:46

KINSHASA - Plus de 865 civils ont été tués par la rébellion ougandaise de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) entre Noël 2008 et mi-janvier 2009 dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), affirme l'ONG Human Rights Watch (HRW) dans un rapport publié lundi.

Entre le 24 décembre 2008 et le 17 janvier 2009, la LRA "a férocement massacré plus de 865 civils et enlevé au moins 160 enfants" dans le district du Haut-Uele (Province orientale, nord-est de la RDC), selon ce document intitulé "Les massacres de Noël" et transmis à l'AFP à Kinshasa.

"Les attaques les plus terribles se sont déroulées le jour de Noël", rapporte l'organisation de défense des droits de l'Homme basée à New York, se fondant sur les récits de "dizaines de victimes et de témoins".

"A Faradje, 143 personnes ont été férocement massacré quand les forces de la LRA ont attaqué la ville où était donné un concert de musique de Noël. Dans la zone de Doruma, à environ 250 km (à l'ouest), des combattants de la LRA se sont lancés dans trois jours de massacres dans plus de 13 villages, tuant 300 civils", indique HRW.

Ces attaques ont été menées une dizaine de jours après le lancement dans l'extrême nord-est de la RDC, mi-décembre, d'une opération militaire conjointe par les armées congolaise, ougandaise et sud-soudanaise dans le but de capturer le chef de la LRA Joseph Kony, sans succès pour l'instant.

Les troupes de Kinshasa et Kampala "ne s'étaient pas correctement préparées à protéger les civils des représailles de la LRA", accuse l'ONG.

L'offensive conjointe avait été lancée après le refus répété du chef de la LRA de signer un accord de paix paraphé en avril 2008 par Kampala, qui concluait un processus engagé en juillet 2006 afin de mettre un terme à 20 ans de guerre civile dans le nord de l'Ouganda.

A la veille d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies sur la RDC, HRW exhorte l'ONU à "donner la priorité" au déploiement rapide de 3.000 Casques bleus supplémentaires et à leur apporter les moyens de protéger les civils.

Le Conseil de sécurité a adopté fin novembre une résolution octroyant plus de 3.000 hommes supplémentaires à la Mission de l'ONU en RDC (Monuc), pour mieux faire face à une situation militaire et humanitaire critique dans l'est du pays.

Le 3 février, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon avait regretté que la communauté internationale ne contribue pas suffisamment à la Monuc qui, déployée depuis 2001, est la plus importante mission de paix actuelle de l'organisation mondiale avec 17.000 soldats.

"Moins de 300 soldats de la paix étaient stationnés dans la zone du Haut-Uele au moment des attaques" de la LRA recensées par HRW, et "seule une poignée ont été envoyés en renfort depuis", alors que les violences se poursuivent, souligne l'ONG.

©AFP / 16 février 2009

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans AFRIQUE
16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 12:29

Bangui, 14 fév. (ACAP) – Les jeunes de Bimbo, chef-lieu de la préfecture de l’Ombella M’poko (8 km au sud-ouest de Bangui), ont manifesté vendredi 13 février 2009 contre l’Energie Centrafricaine (Enerca), l’unique société de distribution de l’électricité en Centrafrique, accusée d'avoir plongé leur quartier dans l'obscurité par une interruption prolongée de la fourniture de courant, a constaté l’ACAP.

 

A 5h du matin, ces jeunes ont investi et barricadé le principal axe qui mène à Bimbo où ils ont brûlé des pneus pour exprimer leur mécontentement contre l’Enerca pour la rupture d'alimentation de cette zone privée d’électricité depuis plus de 3 mois.

Suite à cette manifestation, les autorités locales et le directeur général de l’Enerca, M. Samuel Tozoui, sont descendus sur le terrain où ils ont discuté avec les manifestants pour débloquer la situation.

A l’issue de cette discussion, une seconde rencontre a été programmée pour le jeudi prochain.

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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 12:20

Bangui, 14 fév. (ACAP) – L’Assistante juridique du projet d’appui à la sécurité juridique, Maître Carine Fornel Poutou, a effectué, mercredi 11 février 2009, à la maison d’arrêt de Sibut (188 km au nord-ouest de Bangui) une visite de travail pour s’enquérir des conditions de détention des prisonniers dans cette localité.



 

Selon le correspondant de la Radio rurale basé à Sibut, Maître Carine Fornel Poutou a constaté l’existence de nombreux cas de maladies sexuellement transmissibles et autres pathologies, telles que la diarrhée dont souffrent certains prisonniers, ainsi que des cas de grossesses liés aux actes sexuels entre les prisonniers.

Maître Poutou a également constaté la sous alimentation de ces prisonniers, due au manque de culture suffisante des produits vivriers à Sibut.

Au regard de cette situation alarmante, Maître Fornel Poutou a lancé un SOS en direction des institutions nationales et internationales en ce sens et surtout au Programme des Nations Unies pour la Développement (PNUD) pour l’accélération de la mise en œuvre du projet de réhabilitation du bâtiment de la prison devant abriter les femmes et la reconstruction de la maison d’arrêt de Sibut surpeuplée, en vue de garantir de meilleures conditions de vie des détenus.
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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Droits de l'Homme et Liberté de Presse
16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 12:09

Bangui, 13 fév. (ACAP) – Le directeur de l’Institut Pasteur de Bangui, le Professeur Alain Le Faou a démenti vendredi 13 février 2009 à Bangui, les rumeurs faisant état d’empoisonnement des personnes dû à la consommation d’une bière contenant une quantité de cube maggi en présence du maire de Bangui, M. Jean Barkès Ngombé-Ketté.

 Il s’agit des résultats d’une étude de toxicologie sollicitée par le Maire de Bangui, M. Jean Barkès Ngombé-Ketté, pour apporter une réponse scientifique « aux rumeurs persistantes qui circulent dans la ville ces derniers temps et qui font état de ce que Pierre ou Paul serait mort par empoisonnement dû à la consommation d’une bière contenant une certaine quantité de maggi cube » et qui selon créent une sorte de méfiance entre les populations.

Après cette, l’Institut Pasteur a démontré que le mélange bière cube maggi ne constitue aucun danger pour l’homme.

Selon le Professeur Alain Le Faou, l’expérience a été faite sur des souris de laboratoire qui ont toutes survécu à la consommation de la bière mélangée à du cube maggi.

« On est parti sur un ml, alors pour vous donner une idée, 1ml injecté dans le ventre d’une souris, c’est comme si quelqu’un buvait cinq litre de bière d’un coup et un maggi cube dans une bouteille de bière, c’est à peu près une dizaine ou une quinzaine de petits cubes absorbés par la souris », a expliqué le Professeur Alain Le Faou.

« On a fait eau distillée, on a fait bière tout seul, on a fait magie cube tout seul, on a fait bière magie cube et coca tout seul et coca maggi cube, aucune souris n’a été malade et elles ont toutes survécu. Ce qui fait qu’on est certain que le mélange n’est pas toxique. La conclusion c’était que le mélange bière plus cube maggi ne tue pas », a-t-il affirmé.

Il faut signaler que depuis ces dernier temps, des disparitions surprenantes et bizarres des parents, amis et connaissances sont mises sur le compte d’un éventuel empoissonnement dû à un mélange de beer à une du cube maggi.

C’est ainsi que le Maire de Bangui, M. Jean Barkès Ngombé-Ketté a recommandé une étude scientifique à l’Institut Pasteur pour faire la lumière cette situation.


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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 14:01

Bangui, 14 fév. (ACAP) - Le ministère de la Défense nationale, des Anciens Combattants, des Victimes de Guerre, du Désarmement et de la Restructuration de l'armée, a dénoncé vendredi 13 février 2009 « l’attaque simultanée d'un groupe d’assaillants non identifiés à la base militaire et à la Maison d’arrêt de Bossembélé » (160 km au nord-ouest de Bangui), dans la nuit du 12 au 13 février.

 Selon un communiqué publié vendredi 13 février dans la soirée par le ministre délégué à la Défense, « les Forces Armées Centrafricaines (FACA) ont immédiatement répliqué, mettant en déroute les assaillants. A l’heure qu’il est, les FACA contrôlent l’ensemble de la situation ».

« Il s’agit, à n'en point douter, d'une agression destinée à compromettre les efforts que le gouvernement déploie sans cesse depuis quelques années afin de réaliser le vaste programme de la Reforme du Secteur Sécuritaire (RSS) pour laquelle une mission d’experts internationaux séjourne depuis plusieurs semaines à Bangui afin d’en évaluer le progrès », a fait remarquer le communiqué.

"Cet acte odieux qui intervient à un moment où les Centrafricains ont unanimement pris la résolution, au sortir des travaux du Dialogue Politique Inclusif (DPI) de mettre définitivement un terme à leurs différends et de restaurer un véritable climat de paix et de sérénité dans la pays" est de nature à freiner les actions de consolidation de la paix, ajoute le communiqué, qui appelle, par ailleurs, "la vaillante population de Bossembélé et des environs afin qu’elle puisse garder le calme et vaquer librement à ses occupations quotidiennes ».

Il convient de préciser que la Maison d’Arrêt de Bossembélé, cible des assaillants, renfermerait, selon le communiqué du gouvernment, de "redoutables criminels".

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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 13:54

Bangui, 14 fév. (ACAP)- L’ancien Premier ministre Henri Maïdou (73 ans) dirigera le Comité de suivi des recommandations du Dialogue Politique Inclusif (CSDPI), mis en place le 5 février dernier par le Président de la République, François Bozizé, a-t-on appris samedi de source officielle.

 

 

C’est ce qui ressort d’un décret présidentiel rendu public samedi 14 février et entérinant la composition du bureau du CSDPI désigné par consensus lors de la première réunion des vingt cinq membres de cet organe.

M. Maïdou sera secondé par M. Pascal Koyamené, secrétaire général du Rassemblement Démocratique Centrafricain (RDC), membre de l’Union des Forces Vives de la Nation (UFVN, opposition démocratique), tandis que l’ancien député Patrice Endjimoungou, du Front Patriotique pour le Progrès (FPP), occupe le poste de Rapporteur général, celui de délégué à la Communication, à la Sensibilisation et Porte Parole revient à Grébaye Djarnib de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement (UFDR, opposition armée).

Premier ministre sous Jean-Bedel Bokassa (14 juillet 1978 au 26 septembre 1979) et ancien vice-président sous David Dacko, Henri Maïdou a été nommé conseiller personnel du président Bozizé le 11 juillet 2003.

Chargé notamment de la question des droits de l’Homme au cabinet présidentiel, le président du CSPI a présidé auparavant les assises des Premiers Etats Généraux des Médias Centrafricains (27 août – 1er septembre 2007) puis ceux du récent Dialogue Politique Inclusif en tant que deuxième vice-président au côté de l’ancien président du Burundi, Pierre Buyoya, et du pasteur centrafricain Binguimalé.

Désignés sur la base des critères de compétence, d’intégrité morale et de civisme, les 25 membres du CSDPI ont pour mission de préparer et les prochaines élections générales par la révision du code électoral et la mise en place d’une commission électorale indépendante comprenant toutes les entités représentées au Dialogue Politique Inclusif tenu du 8 au 20 décembre dernier à Bangui.

Il convient de préciser que le CSDPI, dont le mandat est prévu pour prendre fin après la proclamation des résultats des élections de 2010, a été officiellement installé le 6 février dernier par le ministre d’Etat chargé de la Communication et du Suivi du Dialogue, M. Cyriaque Gonda.

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Politique
14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 17:28

  


BANGUI - Un militaire a été tué tôt vendredi et un blessé dans l'attaque contre une unité d'élite de l'armée centrafricaine à Bossembélé 160 km au nord de Bangui menée par des rebelles présumés qui se sont enfuis avec des prisonniers, a appris l'AFP d'une source officielle centrafricaine.


Joint par l'AFP, le Haut Commandement de l'armée centrafricaine a indiqué être en train de faire des recoupements et de prendre des dispositions pour ramener l'ordre dans le secteur, sans plus de détails.

"Les assaillants sont venus par plusieurs dizaines, ils ont saccagé la base du bataillon de protection spéciale de la Sécurité présidentielle" à Bossembélé, " il y a eu un tué et un blessé du côté des Faca (Forces armées centrafricaines)", a déclaré un responsable au ministère de la Défense.


Aucun bilan n'était disponible pour les auteurs de cette attaque menée, selon lui, par "la Convention des patriotes pour la justice et la paix (CPJP)", mouvement rebelle jusqu'alors inconnu.


Ces éléments "se sont emparés de quelques armes et de munitions. Avant leur retrait, ils ont libéré des prisonniers. (...) Tous sont parvenus à s'enfuir. Selon nos informations, ils ont pris la direction de Bossangoa", à 150 km au nord de Bossembélé, a ajouté la même source.


Les assaillants auraient reçu l'appui "de quelques éléments de la Sécurité présidentielle", qui se seraient également enfuis, a-t-elle indiqué, refusant d'évoquer une mutinerie ou une désertion.


Un militaire de cette unité joint par l'AFP à Bossembélé a fait état d'un collègue tué, précisant que l'assaut a été lancé vendredi "vers 01H00 du matin (00H00 GMT)" par une cinquantaine d'hommes, en majorité "habillés de boubou" parmi lesquels figuraient des militaires.


Selon lui, les assaillants ont ensuite "libéré des éléments rebelles" capturés en décembre au Soudan et remis à la Centrafrique, avant de s'enfuir. Ces prisonniers avaient été transférés en janvier de Birao (nord-est) à Bossembélé.


La Centrafrique tente de sortir de plusieurs années de rébellions, mais également mutineries et coups d'Etat qui l'ont rendue instable et ont ravagé son tissu économique et social.

(©AFP / 13 février 2009)

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Dépêches
14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 11:09

Interrogé par Alwihda ce matin, le général Abdoulaye Miskine qui vit en Libye s'est refusé à tout commentaire.

   

 

La prison de Bossemdelé attaquée par les combattants du Front démocratique du peuple centrafricain, le FDPC du général Abdoulaye Miskine. L'attaque de la prison de Bossemdelé a eu lieu tôt ce matin. Une cinquantaine de prisonniers libérés, parmi lesquels figurent 16 soudanais.  Bossemdelé est à 157 km de Bangui, la capitale centrafricaine. Les rebelles se sont repliés en emportant avec eux  leurs collègues prisonniers, une quantité importante d'armes et de munitions et plusieurs véhicules auraient été incendiés. Cinq soldats gouvernementaux auraient été tués dans l'offensive rebelle.

Fort d'un millier d'hommes bien armés, le FDPC de Miskine avait en novembre dernier tendu une embuscade qui a coûté la vie à une quinzaine de soldats.

Interrogé par Alwihda ce matin, le général Abdoulaye Miskine qui vit en Libye s'est refusé à tout commentaire.

 

Source Dabio Vendredi 13 Février 2009.

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans La Une
12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 17:42


Un gel vaginal s'est révélé prometteur contre l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) responsable du sida, selon les résultats d'un essai clinique étendu conduit en

Afrique et aux Etats-Unis publiés lundi.

Afrique et aux Etats-Unis publiés lundi.


Ce microbicide appelé PRO 2000 du laboratoire américain Indevus Pharmaceuticals à Lexington (Massachusetts, nord-est) s'est révélé sans danger et efficace pour environ 30% des participantes, précisent les auteurs de cette étude présentée à la conférence annuelle sur les rétrovirus (CROI) qui se tient cette semaine à Montréal (
Canada). Ce taux est quasiment à la limite des 33% considérés comme statistiquement significatifs.

Il s'agit de la première étude clinique menée sur des humains laissant penser qu'un gel ou une crème microbicide appliquée localement dans le vagin ou le rectum pourrait empêcher la transmission du VIH ou d'autres infections transmises sexuellement.

"Bien que davantage de données soient nécessaires pour déterminer clairement si PRO 2000 protège les femmes contre l'infection par le VIH, les résultats de cette étude sont encourageants", a déclaré le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) des Instituts nationaux américains de la santé (NIH) qui ont financé une partie de cet essai clinique.

Cet essai clinique de phase 2, qui portait sur plus de 3.000 femmes est la première étude étendue des NIH testant un microbicide vaginal contre le VIH.

Source AFP Lundi 9 février.

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Sciences
12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 17:07

La rédaction de Centrafrique Presse publie ici la lettre de démission du Bureau Fédéral Europe de Yannick Olivier Nambélé, un fidèle lieutenant de Martin Ziguélé.




Mr NAMBELE YANNICK OLIVIER                                   FRANCE,  LE 04 JANVIER 09

PARIS/FRANCE

TEL:0663537514

e-mail : ynambele@yahoo.fr



                                                                 
A L’ATTENTION  DE LA PRESSE NATIONALE

                                                                  BANGUI (CENTRAFRIQUE)

 

 

 

Objet : Lettre de démission de la direction

            Fédérale MLPC EUROPE  AMERIQUE ASIE OCEANIE

 

 

             A l’heure ou la population Centrafricaine souffre des divers maux, je m’indigne de l’attitude de mes camarades face à la question cruciale de l’unité nationale pour sortir le peuple de la misère multiformes.

 

Alors que l’occasion nous est donnée de prouver notre capacité quand à la vision de la politique sanitaire que le MLPC veut offrir à la population par la désignation du camarade NALKE André  au ministère de la Santé et de la lutte contre la PANDEMIE du sida, le fameux bureau politique à encore fait preuve de son incapacité d’analyse politique d’utilité publique en brandissant le respect d’une ligne politique mal définie induisant les militants dans l’embrouillamini d’une alliance prématurée et contre nature avec l’union des forces vives de la nation, ce qui est aux antipodes de notre appartenance à l’internationale socialisme d’une part et à notre vocation à œuvrer pour le bien être du peuple centrafricain d’autre part.

 

 

 

Je prends donc les militants et militantes à témoin et attire l’attention des conseillers politiques nationaux sur les dérives du bureau  politique.

 

 

 

Pour ma part, je mets fin à toute activité du parti tout en restant vigilant au nom de la majorité silencieuse dans le vrai combat pour la libération du peuple centrafricain.

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                    Le conseiller politique Démissionnaire

 

 

                                                                   

                                                                                    Yannick Olivier  NAMBELE.

 

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