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  • : informations générales sur la république centrafricaine et l'Afrique centrale
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20 août 2010 5 20 /08 /août /2010 02:19

 

 

Joseph-Kony.jpg

 

 

 Source : 19 août, 2010 par Voice of America

Bangui attend l’aide de Washington, Paris, Kampala et l’Union africaine pour lancer une opération de grande envergure pour déloger les éléments de l’Armée de résistance du Seigneur, que Bangui considère comme des terroristes.

 

République centrafricaine a reçu l’accord de principe du gouvernement français pour lutte contre l’Armée de résistance du Seigneur de Joseph Kony dans l’est du pays. Une mission  technique de haut attendue en ce sens à Bangui pour examiner les possibilités. Cette promesse fait suite à une demande introduite par le président François Bozizé auprès de la France, des Etats-Unis et d l’Ouganda.

 

Les contours de cette assistance ne sont pas encore connus, mais le porte-parole du gouvernement centrafricain, Fidèle Ngouandjika pense à une assistance logistique, à des équipements militaires, à la formation et à un échange d’expérience en matière de lutte contre la rébellion.

 

Les Etats-Unis ont également été sollicités. Washington a donné son accord et le porte-parole deviendra une réalité au cours des semaines à venir, pour qu’une opération de large envergure pour être lancée avant la rentrée scolaire pour en finir avec les hommes de la LRA que Bangui considère comme des terroristes.

Joseph Kony est localisé quelque part entre la frontière du Congo Kinshasa et la République centrafricaine.  

L’un de généraux, activement recherché par la Cour pénale internationale pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, serait localisé dans la région de Bria.  Une fraction de l’armée ougandaise est déjà sur le territoire centrafricain pour appuyer les FACA. Une dizaine de rebelles se sont rendus il y a une semaine environ.

 

 

NDLR : On ne demande que cela soit vrai pour y croire. Il ne suffit pas seulement d’en parler. On veut des actes.

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Nation
19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 16:18

 

 

MAE France

 

 

Paris, France 19/08/2010- (Pana) - La France entend participer à la préparation opérationnelle et à l'instruction des unités des Forces armées centrafricaines (FACA) engagées dans la lutte contre les rebelles ougandais de l'Armée de libération du seigneur (LRA), a déclaré jeudi à Paris le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Bernard Valero.

S'exprimant au cours d'un point de presse, M. Valero a indiqué que l'aide de son pays pourrait prendre la forme «de dotations logistiques plus accrues» aux FACA confrontées à des incursions de la LRA.

Traqués dans toute la région, les rebelles de la LRA effectuent des raids meurtriers contre les civils en RD Congo, en Ouganda et en Centrafrique.

 

NDLR : Du fait de la mauvaise politique de Bozizé et son fils Francis à la tête des Faca, le problème des soldats centrafricains est actuellement leur manque de motivation à se faire trouer la peau pour le régime de Bozizé. A cause de cela, quelle que soit l’importance de dotations logistiques qui peuvent leur être fournies, il est à craindre que cela ne puisse pas véritablement faire changer significativement le cours des choses.

 

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19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 15:02

 

 

Dongou

 

Louis-Paul Eyenga Sana Le Potentiel 18 Août 2010

Kinshasa — Le gouvernement centrafricain et l'UNHCR ont travaillé depuis le 16 août 2010 à la relocalisation des 18,000 réfugiés congolais de Mongoumba vers le nouveau site de Batalimo, signale un communiqué de HCR.

Ce nouveau site de Batalimo, situé à 35 Km de la frontière avec la RDC, a une capacité d'accueil de 20.000 personnes qui se rapproche des standards de HCR en matière d'installation des camps. « Ce qui permettre au HCR de fournir plus facilement les services de santé, d'eau potable, d'infrastructures sanitaires et la sécurité dont ont besoin ces réfugiés », a indiqué Aminata Gueye, représentante de l'UNHCR en RCA.

«Les autorités centrafricaines à tous les niveaux, ainsi que les chefs traditionnels des communautés environnantes ont donné leur accord pour l'installation des réfugiés sur ce site. Ce qui témoigne de l'hospitalité et de la générosité légendaires du gouvernement et du peuple centrafricain envers les réfugiés», a souligné Aminata Gueye, avant de préciser que l'UNHCR est très satisfait de la meilleure collaboration qui existe entre les autorités centrafricaines au niveau central et local et son Organisation. « Le soutien de ces autorités permet à notre agence et à ses partenaires de mener à bien leurs activités en faveur des réfugiés en RCA», a-t-elle ajouté

A rappeler que depuis le dernier trimestre de 2009, quelque 18.000 réfugiés congolais ont fui la violence dans la province de l'Equateur en RDC pour trouver refuge à Mongoumba, dans la Lobaye, en république Centrafricaine. Depuis leur arrivée, ils vivent dans des conditions très précaires et dépendent entièrement de l'assistance humanitaire, et de la générosité des populations locales centrafricaines.

Dès leur arrivée sur le nouveau site de Batalimo, les réfugiés sont installés par la Croix- Rouge Centrafricaine dans des abris temporaires construits au préalable par l'UNHCR. Merlin, une ONG médicale en charge de la santé effectue un check-up médical avant le départ du convoi pour assurer que les réfugiés sont déplacés vers le nouveau site sont en bonne santé.

Dans les tout prochains jours, les réfugiés vont recevoir des vivres mis à disposition par le PAM.

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Humanitaire
19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 14:47

 

 

joseph_kony_lra.jpg

 

 

 

Par RFI jeudi 19 août 2010

  

Bangui a demandé, mercredi 18 août, l'aide de la France, des Etats-Unis et de l'Ouganda pour arrêter les chefs de l'Armée de résistance du Seigneur, milice sanguinaire qui sème la terreur en République démocratique du Congo (RDC) et en Centrafrique depuis décembre 1998. Malgré les tentatives d'arrestations, conduites notamment par l'armée ougandaise, le chef rebelle Joseph Kony est toujours en fuite. Il fait l'objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale pour crimes contre l'humanité. 

En juin dernier, le président américain Barack Obama, s’est engagé à aider les pays de la région des Grands lacs, et précisément la Centrafrique, à se débarrasser des rebelles de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA). A la mi-juillet, les Etats-Unis ont dépêché, dans la ville d’Obo, zone des trois frontières avec l’Ouganda et la République démocratique du Congo (RDC), un groupe d’une dizaine d’experts militaires américains pour étudier le terrain. Est-ce à dire que les Etats-Unis sont prêts à envoyer leurs GI’s en Centrafrique ? « Ce n’est pas d’actualité », répond un diplomate américain. Mais Washington pourrait fournir aux forces armées centrafricaine, des moyens logistiques et des moyens de transmission, qui manquent cruellement sur le terrain.

Manque de coordination militaire

Le président François Bozize a demandé une nouvelle fois à la France, en plus de l’appui logistique qu’elle fournit déjà, d’intervenir militairement. « Ce n’est pas envisagé pour le moment », explique une source bien informée. Depuis plus d’un an, l’armée ougandaise est déployée en Centrafrique. Un groupe d’environ 300 soldats centrafricains est sur place, en renfort. Mais les deux armées ne sont pas coordonnées. Dans un rapport publié le 12 août 2010, l'organisation Human Rights Watch affirme que les rebelles de la LRA auraient enlevé au moins 697 enfants au cours des 18 derniers mois. 

 

NDLR : Les hordes de bandits de Joseph Kony commettent leurs exactions dans le quart Sud Est de la République centrafricaine, soit à plus d’un millier de kilomètres de la capitale Bangui. C’est ce qui donne l’impression à Bozizé que cette rébellion étrangère venue d’Ouganda ne menace pas directement son pouvoir. Les populations de cette région se sont fait massacrer jusqu’ici par les criminels de la LRA sans que Bozizé qui se dit pourtant général d’armée, n’ait daigné mettre pied sur le terrain pour ne serait-ce que compatir et remonter le moral de ces citoyens quasiment abandonnés à leur triste sort.

Comment comprendre qu’alors que c’est depuis 2006-2007 que cette LRA de Joseph Kony sévit en RCA, Bozizé ne puisse se réveiller seulement que maintenant  pour demander l’aide de la France pour tenter de conjurer cette rébellion ougandaise dont la RCA est devenue désormais le sanctuaire. En décembre 2008, Bozizé est resté les bras croisés lorsque se déroulait une opération militaire conjointe Ouganda-RDC-RCA contre la LRA. Seul l’Ouganda a demandé et obtenu de la France un appui aérien pour cette traque de Joseph Kony. Où était Bozizé en ce moment là? On ne peut qu'avoir les plus sérieux doutes sur la volonté réelle de Bozizé de capturer le criminel Joseph Kony.

  

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Relations Internationales
19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 14:41

 

 

liasses de CFA

 

 

Lu pour vous dans  La Nouvelle Tribune.info 19-08-2010 de Cotonou

Le Bénin, Ali Baba et les quarante voleurs

L’information n’est pas banale. Elle n’est pas à banaliser non plus (Citation) « Alors que le Bénin est en pleine crise causée par ICC Services et consorts, des Béninois lancent le placement d’argent en Centrafrique ». (Fin de citation). Voilà le titre qui barre la « Une » de notre confrère « Fraternité » dans son édition du mercredi 18 août 2010.

Avec, en illustration, la fiche publicitaire de la société de placement d’argent qui se proposerait ainsi d’écumer la Centrafrique, faisant miroiter des gains faramineux à ses éventuels clients.

Cette information, si elle était vraie, devrait provoquer chez une majorité de nos compatriotes un mouvement de dégoût. Elle devrait résonner dans leur esprit comme une alerte forte, indice d’un danger imminent. Car il ne s’agirait de rien d’autre que d’une vaste escroquerie à l’actif et à la signature de Béninois dans un pays africain frère. Comme si des Béninois, après avoir escroqué, sur place au Bénin, d’autres Béninois, avec l’affaire ICC Services, se décidaient à exporter leur capacité de nuisance. Une sorte d’internationalisation du mal qui risque de faire du Béninois un escroc patenté et de son pays « La caverne d’Ali Baba ».


L’escroquerie, qui consiste à s’approprier  le bien d’autrui en usant de moyens frauduleux, n’est ni tolérable ni à tolérer sous l’une quelconque des latitudes de la terre. Cependant, tant que ce sont des Béninois qui escroquent d’autres Béninois au Bénin, comme c’est le cas avec l’affaire ICC Services, c’est gérable. Nous accusons durement le coup. Mais nous saurons laver le linge sale en famille. Non pour absoudre ceux qui auront été reconnus coupables. Non pour abandonner les victimes à leur sort. Non pour rester sourd aux enseignements de cette malodorante affaire.


De savoir que l’arbre de la mort a poussé dans notre jardin ou dans l’arrière cour de notre maison, cela nous situe mieux pour déterminer les responsabilités engagées, pour évaluer les désagréments causés et pour prendre les mesures de sauvegarde appropriées. Au sujet de l’affaire ICC Services par exemple, les victimes, en plus d’être des compatriotes, des concitoyens, sont, dans leur immense majorité, des parents, des alliés, des amis à divers degrés. Si la responsabilité individuelle de chaque victime doit être formellement établie, il reste que nous assumons collectivement ce drame qui aura brisé les rêves de certains, ruiné plus d’un, conduit d’autres à commettre l’irréparable.

Ainsi, dans cette affaire, en critiquant la cupidité et l’inclination à l’argent facile de certains de nos compatriotes, nous nous critiquons nous-mêmes. Quand, par exemple, quelqu’un s’indigne en disant qu’il a honte pour son pays, c’est moins par rapport à une faute qu’il aurait commise que par le fait des autres. Il est ainsi des héritages dont personne ne peut s’exclure. Chacun, d’une manière ou d’une autre, de gré ou de force, prend sa part à cet héritage.

Mais tout se complique quand le mal passe nos frontières nationales et se laisse exporter sous d’autres cieux comme le produit, le fruit de notre génie créateur. La marchandise ainsi exportée à une origine, le Bénin. On ne s’empêchera pas, le moment venu, de le rappeler haut et fort. On ne se privera pas  de le crier sur tous les toits. Les ingénieurs fabricants de cette marchandise made in Bénin ont un visage qui sera à jamais confondu avec celui de tous les Béninois. Et comme chez tous les peuples de la terre, selon le mot de Jean-Paul Sartre, « l’enfer, c’est les Autres », les prochaines victimes de cette escroquerie qui se dessine, se dédouaneront sur tout Béninois quel qu’il soit. Est donc tout trouvé le mouton du sacrifice. C’est lui qui rachètera les péchés des vrais coupables.

Voilà comment une poignée de Béninois s’activent à fabriquer à chaque Béninois pris individuellement et à tous les Béninois collectivement une sale réputation d’escrocs. Cela ne peut être que dommageable pour l’image de notre pays, l’image de chaque Béninois ici et partout dans le monde. Et voilà que tout Béninois, partout où il se trouve, se verra montrer du doigt.

Il va falloir vite sortir de notre léthargie, pendre l’exacte mesure du mal qui menace, faire face et agir, sans délai, pour restaurer l’honneur de tout un pays et de ses citoyens, pour défendre une dignité que nous n’avons pas usurpée, parce que nous la tenons d’une longue histoire, à travers des traditions sans âges. Contre l’argent que brûlent d’envie de gagner certains des nôtres à tout prix et à n’importe quel prix, nous opposons l’honneur et la dignité. Et c’est parce que l’un et l’autre n’ont pas de prix qu’ils ne sont présents sur aucun étalage au marché international de Dantokpa à Cotonou. Non et non, nous ne pouvons pas avoir été, hier, « Le quartier latin de l’Afrique » pour n’être plus, aujourd’hui, que « La caverne d’Ali Baba ». Dans la proximité et la complicité maffieuse de ses quarante voleurs.

 

NDLR : Sachant que c’est à Cotonou au Bénin que se trouvent majoritairement les gourous de la secte du christianisme céleste de Bozizé avec laquelle ils endorment les gens et ses nombreux conseillers occultes, il n’y a rien d’étonnant que le Centrafrique soit ciblé comme ce pays ventre mou d’Afrique centrale où tous les escrocs et truands de toutes sortes d’Afrique de l’Ouest entre autres, devraient aller pour gagner facilement du fric. Comme quoi, la RCA n’est pas réellement ce pays si pauvre et désargenté qu’on veut faire croire.

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Economie
19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 01:09

 

 

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FREETOWN (AFP) - 17.08.2010 21:13 - Les responsables financiers des Etats d'Afrique ont réclamé une meilleure représentation du continent à la tête du Fonds monétaire internationale (FMI), mardi à l'issue d'une réunion de deux jours à Freetown, en Sierra Leone.


Les délégués, dont 39 ministres des finances et les gouverneurs des banques centrales de 48 pays, ont demandé dans un communiqué, une voix plus importante "au Conseil exécutif du FMI afin d'améliorer l'efficacité de la représentation" de l'Afrique.

 
La Banque mondiale avait accru les droits de vote des pays en développement en 2008, mais le FMI, autre institution de Bretton Woods, n'a pas agi de même malgré des demandes répétées des Africains.


Dans leur communiqué, les Etats africains promettent de ratifier d'ici septembre le texte d'avril 2008 du Conseil des gouverneurs du FMI concernant des réformes sur la représentation des économies dynamiques, notamment des pays émergents, grâce à une augmentation des quotas pour les 54 pays membres.


Les responsables financiers africains se sont aussi engagés à "travailler avec leurs partenaires" internationaux afin de réduire les écarts en matière de développement et de pauvreté".


Un représentant de l'Union africaine a déclaré à l'AFP que la réunion de Freetown s'était tenue sous la menace d'une baisse de l'aide au développement de la part des pays donateurs, après la crise financière mondiale.


Au contraire, les délégués demandent au FMI "de maintenir, voire accroître son soutien à des conditions très avantageuses" aux pays en développement.


© 2010 AFP

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Economie
19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 00:59

 

 

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Radio Ndéké Luka Mercredi, 18 Août 2010 14:43

« La décision de la jeunesse du Rassemblement Démocratique Centrafricain (RDC), de rallier le parti au pouvoir « Kwa Na Kwa » et soutenir la candidature de François BOZIZE aux élections de janvier 2011 n’engage pas le bureau politique ni le comité directeur ».

 

Ces propos diffusés sur les ondes de Radio Ndeke Luka, ce mercredi 18 août 2010, émanent de Louis Pierre GAMBA, président du bureau politique de transition du RDC, suite à une rentrée politique tenue le week-end dernier par la Jeunesse de ce parti à ce sujet.

Louis Pierre. Gamba précise qu’il a bien été  informé de la tenue de ladite rentrée politique. Seulement, ajoute-il, le président de la Jeunesse David GBETI n’a pas respecté les règles établies.

Et par conséquent, conclut l’actuel leader du RDC, David Gbéti  est seul engagé dans cette décision.

Rappelons que le samedi 14 Août 2010, David GBETI avait précisé dans son discours que l’objectif de la rentrée politique a été de « rassembler les militants et militantes du RDC pour préparer les élections de 2011 ». Pour lui, il est tard pour le Parti de présenter un candidat à la présidentielle en Centrafrique.

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Politique
19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 00:49

 

 

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Ai-Rca Mercredi, 18 Août 2010 17:24 - Dans un communiqué de presse parvenu ce jour au desk central de l’Agence Ai, le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR) a annoncé le transfert des réfugiés congolais de Mongoumba à Batalimo.

Selon, le communiqué, depuis le 16 août dernier, le gouvernement centrafricain et l’UNHCR procèdent à la relocalisation des 18 000 réfugiés congolais de Mongoumba vers le nouveau site de Batalimo.

«Situé a environ 35 Km de la frontière, le nouveau site de Batalimo qui a une capacité d’accueil de 20 000 personnes se rapprochent des standards de l’UNHCR en matière d’installation des camps» a justifié Aminata Gueye, représentante de l’UNHCR en République centrafricaine, renchérissant que «cela permettra à notre agence et ses partenaires de fournir plus facilement les services de santé, d’eau potable, d’infrastructures sanitaires et la sécurité dont ont besoin ces réfugiés».

Selon ce même communiqué, la représentante de l’UNHCR en RCA s’est dit satisfaite de la meilleure collaboration qui existe entre son organisation et le gouvernement centrafricain tant au niveau central que local. «Les autorités centrafricaines à tous les niveaux ainsi que les chefs traditionnels des communautés environnantes ont tous donné leur accord pour l’installation des réfugiés sur ce site. Le soutien de ces autorités permet à notre agence et à ses partenaires de mener à bien leurs activités en faveur des réfugiés» a-t-elle déclaré.

Enfin, le communiqué souligne que, les réfugiés sont installés sur le nouveau site par la Croix Rouge Centrafricaine dans leurs abris temporaires et Merlin, une Ong médiale en charge de la santé qui effectue un check-up médical avant tout le départ des convois

Il convient de préciser que, c’est depuis le dernier trimestre de 2009 que ces 18 000 réfugiés Congolais ont fui la violence dans la Province de l’Equateur en RD Congo pour trouver refuge à Mongoumba dans la Lobaye

Ai- Douala

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Humanitaire
19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 00:43

 

 

zarguinas.jpg

 

 

 

Ai- Rca- Mercredi, 18 Août 2010 15:45 - Dans un communiqué de presse signé le 17 août de son Président Maka Gbossokotto et parvenu au desk central de l’agence Ai, l’Union des Journalistes de Centrafrique (UJCA), fait état de l’agression de Virginie Makounzi, camerawomen exerçant à la Télévision centrafricaine (TVCA).

C'était dans la nuit du 15 au 16 août dans le quartier Ngongono 7 dans le 8è arrondissement.

Le communiqué précise que, Mme Makonzi a été agressée par un groupe d’hommes enturbannés et habillés en tenue des Forces Armées Centrafricaine (FACA) de son retour d’une mission à Bossangoa où elle accompagnait le Ministre de l’Education Nationale Ambroise Zawa, à l’occasion de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance de la République Centrafricaine.

Selon le document, , cet acte crapuleux s’est produit aux environ de 1H du matin et ceci devant son beau père, ses enfants, tout juste au moment où le véhicule qui la ramenait a rebroussé chemin pour aller déposer les autres passagers.

Le communiqué poursuit qu’ils ont été surpris par des détonations nourries d’armes légères suivies de sommation intimant l’ordre de se coucher, face contre terre. S’en est suivi des fouilles corporelles. Le sac, la valise, le téléphone portable, la camera et les cassettes ainsi que les provisions de Mme Makounzi ont été confisqués et emportés par les assaillants.

Fort de ce qui précède indique le communiqué, l’UJCA constate avec tristesse que le métier du journaliste n’est pas du tout respecté en Centrafrique. La puissance publique qui a pour rôle de protéger le journaliste et de lui porter assistance dans l’exercice de sa profession a dans le cas d’espèce foulé aux pieds ce principe cher à tout Etat de droit.

L’UJCA exige une enquête immédiate, sérieuse et impartiale et condamne avec la dernière énergie cette agression ignoble et traitement inhumain infligé à Mme Makounzi avant de lancer un appel à tous les journalistes que ce soit du privé ou du public de s’unir pour barrer la route à ces actes d’intimidation dirigé contre les journalistes.

Ai Doual

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Annonces et divers
18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 00:40



André Kolingba à l'investiture de Bozizé 11 juin 2005

RASSEMBLEMENT DEMOCRATIQUE CENTRAFRICAIN

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BUREAU POLITIQUE TRANSITOIRE

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PRESIDENCE

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SECRETARIAT GENERAL

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FEDERATION-FRANCE

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PRESIDENCE

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SECRETARIAT GENERAL

Communiqué de presse: RDC-France/BPT/P/SG:006

 

La déclaration du délégué national à la jeunesse du Rassemblement Démocratique Centrafricain, Monsieur David GBETI faite ce samedi 14 aout 2010 lors de la rentrée politique de la section JEUNESSE du parti n'engage que ce dernier. La JRDC ne se reconnaît nullement dans cette prise de position unilatérale. Au moment où le Bureau politique transitoire du parti travaille au contenu du congrès et à la désignation de notre candidat à l'Élection présidentielle, ce genre d'acte est de nature à perturber la sérénité des initiatives entreprises afin de redonner de l'assise et de l'audience au parti.

  La fédération du Rassemblement Démocratique Centrafricain France-Europe, réaffirme l'appartenance du RDC à l'opposition démocratique qui continue de porter ses idées dans ce cadre là. Elle dément tout soutien à un candidat autre que le candidat officiel du RDC. La fédération appelle au calme et à la mobilisation les militants, sympathisants et amis du parti et leur rappelle que le RDC ira à ces élections avec un candidat pour les présidentielles et des candidats pour les législatives.

Fait à Paris le 16 août 2010,

 

Barbara Catherine VOHITO,

 

Secrétaire Générale de la fédération du RDC France-Europe

 

 

NDLR : Voilà qui est responsable et a le mérite de la clarté. Il est temps que le désordre qui a prévalu au sein et surtout à la direction de ce grand parti à la faveur des derniers moments de la vie de son président fondateur prenne fin. Le RDC qui est un important membre de la coalition des partis de l'opposition démocratique regroupés dans l'Union des Forces Vives de la Nation et également le Collectif des Forces du Changement ne saurait logiquement en même temps revendiquer son appartenance à l'opposition démocratique qui s'oppose au pouvoir en place à Bangui et appeler par la voix du responsable de son mouvement de jeunesse à voter l'illégitime Bozizé aux prochaines élections. La prise de position de David Gbéti  est le résultat à l'évidence, des grossières manoeuvres de Bozizé et son KNK qui visent à diviser au maximum les rangs de l'opposition pour mieux la terrasser. C'est gros comme une maison !

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Politique