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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 03:11

 

 

recensement CEI

 

  Radio Ndéké Luka Mardi, 28 Septembre 2010 14:59

Les inscriptions sur la liste  électorale continuent  dans la ville de Bangui, où on note une très faible mobilisation des  électeurs  dans les  8 arrondissements de la ville.

A titre d’exemple, au quartier Gbangouma dans le 7e arrondissement de Bangui, le centre d’inscription  du quartier Mala n’a enregistré que 88 électeurs en deux jours, pour une population qui avoisine 3500 habitants, ce 28 septembre 2010.

Selon certains responsables des centres d’inscriptions interrogés par Radio Ndeke Luka, la Commission Electorale Indépendante (CEI) doit mettre davantage l’accent sur la sensibilisation des centrafricains en âge de voter. .

 

NDLR : Cela est inquiétant. Les partis politiques, en particulier ceux de l’opposition doivent mobiliser leurs troupes afin de faire le travail de sensibilisation et de conscientisation civique auprès des citoyens pour qu’ils aillent s’inscrire massivement sur les listes électorales afin de voter pour le changement tant voulu.

 

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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 03:07

 

 

inondations.jpg

 

Radio Ndéké Luka Mardi, 28 Septembre 2010 14:57

Des maisons écroulées, des toitures emportées et un pont affaissé, c’est le décor offert par la dernière pluie diluvienne, qui s’est abattue sur la ville de Bangui le dimanche 26 septembre 2010.

Le pont situé au niveau de SICA – CASTORS, sur l’avenue de France s’est affaissé, bloquant la circulation.

Selon Freddy Darri Témbi Zémbé, assistant administratif à l’agence ACDZI, l’affaissement du pont est le fait d’une négligence liée à un défaut de canalisation dont les causes  sont dues à l’absence de prévoyance de la part des services compétents.

Pour Maléyombo Alexandre Ponfile, chef de service technique au Fonds d’Aménagement d’Equipement urbain, au ministère de l’Urbanisme, l’affaissement du pont est lié  au vieillissement des matériaux de construction,  qui ne peuvent plus  supporter  les charges qui passent sur le pont.

Il a également  déclaré que les décharges ménagères jetées dans le collecteur,  ont été des facteurs déterminants qui ont favorisé l’érosion du pont.

Cette pluie a également occasionné la destruction de plusieurs maisons d’habitation au quartier Galabadja I, dans le 8e arrondissement de la ville de Bangui.

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Humanitaire
29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 03:00

 

 

CarteBirao.jpg

 

 

Radio Ndéké Luka Mardi, 28 Septembre 2010 14:51

Après le combat  qui a opposé  les  rebelles de la LRA de Joseph Koni et les éléments de l’UFDR (Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement) le 27 septembre 2010 au village Kombal, situé à 110 km  au sud de Birao, le Colonel Issa Issaka, sous-chef d’Etat-Major de l’UFDR a affirmé ce 28 septembre 2010 à Radio Ndeke Luka que les malfrats seraient en route vers Birao.

 

Selon une source digne de foi, ces rebelles ont saccagé beaucoup de villages sur leur passage ; mais le combat du 27 septembre 2010 n’a fait aucune victime. Le colonel Issa Issaka a aussi affirmé que trois (3) des otages de la LRA ont réussi à s’évader au moment des affrontements.

Il a par ailleurs annoncé que ces rebelles se dirigent actuellement vers le village Tiringoulou avant de gagner la ville de Birao. Les éléments de l’UFDR sont actuellement à la poursuite de ces assaillants, a-t-il conclu.

 

NDLR : Avec la gouvernance Bozizé, le territoire centrafricain est véritablement mise en coupe réglée entre diverses rébellions qui prennent en otage les populations rurales et sèment la mort et la désolation dans une scandaleuse indifférence des prétendues autorités du pays. Pendant ce temps, Bozizé se promène en Chine.

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Dépêches
29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 02:05

 

L'affaire des accusations fantaisistes et gratuites proférées par le pouvoir bozizéen et son porte parole Fidèle Ngouandjika contre Martin ZIGUELE continue de susciter de l'indignation et de faire des vagues tant sur place en Centrafrique qu'à l'étranger. Ci-dessous, le texte par lequel réagit également la Fédération en France de son parti qui dénonce fermement les dérives du régime dictatorial de Bangui tout en attirant l'attention de Bozizé sur les graves risques qu'il prendrait en instrumentalisant la Cour Constitutionnelle où trône son parent Marcel Malonga pour invalider éventuellement la candidature à l'éléction présidentielle du candiat du MLPC.

 

Rédaction C.A.P

 

 

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logo MLPC

 

MOUVEMENT DE LIBERATION DU PEUPLE CENTRAFRICAIN

 

Justice – Liberté – Travail

 

Membre de l'Internationale Socialiste

 

FEDERATION EUROPE-AMERIQUES-ASIE-MOYEN ORIENT-OCEANIE

 


DIRECTION FEDERALE DE CAMPAGNE

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Alors que le peuple s’apprête à aller sereinement aux élections présidentielle et législatives prévues le 23 janvier 2011, le gouvernement du général François BOZIZE, devenu expert dans l’œuvre de « déjouer » des putschs en paille,  se lance de manière effrénée dans une chasse aux sorcières à l’encontre des leaders de l’opposition démocratique en général et particulièrement contre le Président du MLPC, le Camarade Martin ZIGUELE.

Les déclarations de Monsieur Fidèle GOUANDJIKA, porte-parole du général François BOZIZE diffusées en boucle sur les ondes de radio Centrafrique devenue « radio KNK », selon lesquelles le Camarade Président, Martin ZIGUELE serait le « chef de la rébellion CPJP» tout en l’accusant ainsi que le MLPC de « terroriste », sonnent l’heure de la traque d’opposants politiques avant les échéances électorales.

Le MLPC, par notre voix, rappelle qu’il est Membre de l’Internationale Socialiste, Grande Famille politique, qui milite contre toute forme de violences, notamment la prise du pouvoir par la force. Nous faisons remarquer à Monsieur Fidèle GOUANDJIKA et son mentor, le général BOZIZE, que le MLPC a toujours privilégié la voie des urnes pour accéder au pouvoir suprême de l’Etat. D’aucuns n’en diront autant, le peuple centrafricain en est témoin.

Aujourd’hui, il n'est un secret pour personne que ces affabulations malveillantes et mensongères n'ont pour seul but que de diaboliser et discréditer le MLPC et son Président, le camarade Martin ZIGUELE, faute pour BOZIZE et ses acolytes d'avoir un bilan et un projet de société à défendre lors des prochaines consultations électorales.

Forte de ce qui précède, la Direction Fédérale de Campagne « Europe » du MLPC :

-          dénonce énergiquement les propos fallacieux, irresponsables, scandaleux et blessants proférés par le porte-parole du gouvernement centrafricain à l’endroit du MLPC et de son Président, le Camarade Martin ZIGUELE ;

-          met en garde le général BOZIZE et prend à témoin l’opinion nationale et internationale sur les lourdes conséquences qui résulteraient d’une éventuelle invalidation des candidatures MLPC dont celle du Camarade Martin ZIGUELE par la Cour Constitutionnelle pour l’ignoble motif de « terrorisme » ou de « chef de rébellion ».

-          interpelle la communauté internationale, notamment l'ONU, l'UA, la CEMAC, l'UE et toutes les Organisations de Défense de Droits de l'Homme (Amnesty International, Fédération Internationale des Droits de l’Homme, Ligue Française des Droits de l’Homme) à user de toute leur influence pour empêcher le général François BOZIZE et sa horde de sanguinaires d'entraver le bon déroulement du processus électoral en cours ;

-          appelle tous les démocrates centrafricains à se lever et se tenir debout comme un seul Homme pour barrer la route aux fossoyeurs de la démocratie.

Tous unis, nous vaincrons et relèverons le défi du développement de la RCA.

 

Fait à Paris, le 27 septembre 2010

 

Pour la Direction Fédérale de Campagne

 

 Antoine Jérémie NAM-OUARA

Directeur Fédéral

Membre du Bureau Politique du MLPC

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Politique
28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 14:28

 

 

Zigu-l-.jpg

 

 


(VOA News 28/09/2010)


Rappelant que le MLPC est le principal parti d’opposition de Centrafrique, Martin Ziguélé dit n’avoir aucun intérêt à se présenter comme dirigeant d’un mouvement de rébellion.

La semaine dernière, le gouvernement centrafricain avait accusé Martin Ziguélé, principal opposant, de diriger la rébellion de la Convention des patriotes pour la justice et la paix (CPJP). Dans une déclaration lue vendredi à la radio nationale, le porte-parole du gouvernement, Fidèle Ngouandjika, avait parlé de « dérives terroristes. »

« Ce sont des accusations grotesques, sans fondement et ridicules », a répondu, Martin Ziguélé. Le président du Mouvement de libération du peuple centrafricain (MLPC) dit avoir saisi son avocat « pour donner une suite judiciaire en portant plainte contre M. Ngouandjika parce qu’il n’en est pas à sa première forfaiture. »

Rappelant que le MLPC est le principal parti d’opposition de Centrafrique, Martin Ziguélé dit n’avoir aucun intérêt à se présenter comme dirigeant d’un mouvement de rébellion.

« J’ai été investi par mon parti politique, le MLPC, depuis le 16 juin 2009 pour le défendre aux élections présidentielles et je le ferai contre vents et marées », a déclaré M. Ziguélé, accusant les autorités centrafricaines de vouloir l’empêcher de se porter candidat.

Par la VOA | Washington, D.C.

© Copyright VOA News

 

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 13:04

 

 

Bozize KNK

 

 


Khartoum 27 septembre 2010 - Le Soudan va constituer une force commune avec la République centrafricaine (RCA) pour surveiller la frontière entre les deux pays comme des rebelles du Tchad et le Soudan transféré leurs activités dans cette région.

Le Col du Fatah al-Rahim Abdallah Suleiman, chef de la force du Soudan et commandant adjoint de la patrouille en vigueur le long de la frontière entre le Tchad et le Soudan a déclaré dans un entretien avec l’agence officielle SUNA publié dimanche qu’une force similaire sera bientôt formée pour couvrir la frontière  entre la RCA et le Soudan.

La frontière entre le Tchad et le Soudan été obtenus auprès de l'extrême sud vers le nord par des patrouilles conjointes déployées par les deux pays cette année, mais un certain nombre de rebelles se sont déplacés vers la frontière avec la RCA.

"Donc, nous avons senti la nécessité de former une autre force semblable à la force Tchad-Soudan avec la République centrafricaine et ce contingent sera bientôt mis en place », a déclaré le responsable militaire soudanais. Le colonel a souligné que le protocole militaire a déjà été signé entre Bangui et Khartoum.

Il a en outre déclaré que la force commune existante est en marche près de la frontière de la RCA à partir des côtés soudanaises et tchadiennes tandis que les nouvelles patrouilles conjointes sont prévues pour couvrir le reste de la frontière.

Le Soudan et le Tchad travaillent ensemble depuis la normalisation des relations bilatérales, pour contrôler le mouvement des groupes rebelles des deux côtés.  Ils ont également expulsé les groupes rebelles et contrôlent leurs mouvements.

Les chefs rebelles tchadiens ont été déplacés à Doha et certains éléments de leurs troupes ont regagné Ndjamena. Toutefois, un Tchadien chef rebelle Adoum Yacoub, chef des opérations militaires d'opposition de l'UFR  a traversé en RCA avec ses troupes.

Khartoum craint également que la frontière avec la RCA puisse être utilisée par les rebelles du Darfour pour transporter des munitions et de la logistique.

Le Colonel du Fatah al-Rahman a déclaré que « la force conjointe entre le Tchad et le Soudan a actuellement limité la coordination avec l’armée centrafricaine en attendant la composition de nouvelles patrouilles ».

 

 (ST)

 

NDLR : Quitter le pouvoir, Bozizé n'y pense guère, bien au contraire, c’est j’y suis, j’y reste. On a encore ici une preuve supplémentaire qu’il sous-traite aux armées étrangères et militarise de plus en plus le pays pour sécuriser son pouvoir. Autrement, pourquoi le parlement est tenu à l’écart de ce genre  d’initiative !

 

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 01:43

 

 

ZIg-Zag.jpg

 

Source : "LE PAYS" mardi 28 septembre 2010

 

ACCUSATION CONTRE MARTIN ZIGUELE EN RCA

La meilleure façon de tuer sans gêne son chien, c’est de l’accuser de rage. De cette manière, on le tue avec la conscience tranquille même si l’animal est reconnu de l’entourage comme bon et irréprochable. En politique, du moins sous les tropiques africains, cela se traduit par la traque des opposants, surtout de taille, de la part du pouvoir en place. Celui-ci leur tend des traquenards de tous genres qu’ils ont très peu de chance d’éviter.

Martin Ziguélé, président du MLPC (Mouvement de libération du peuple centrafricain), vient de confirmer, s’il en était encore besoin, cette règle de gouvernance politique en Afrique. Le pouvoir de Bangui vient de l’accuser de diriger la CPJP (Convention des patriotes pour la justice et la paix) dont le premier responsable, Charles Massi, reconnu de son vivant comme convoiteur de poids du fauteuil de François Bozizé, a lui aussi disparu comme par enchantement. Pour tous ceux qui se demandent pourquoi c’est seulement maintenant que Bozizé voit derrière cette rébellion l’ombre de Ziguélé, la raison est claire comme l’eau de roche. Les élections présidentielle et législatives centrafricaines, moult fois reportées, sont finalement fixées au 23 janvier 2011. Et le dépôt des candidatures aura lieu entre le 10 octobre et le 8 novembre prochains. Quoi de plus normal pour le général François Bozizé de suffisamment préparer sa monture quand il sait qu’il a du chemin à parcourir et que sur celui-ci, se trouve l’indésirable Martin Ziguélé qui risque de lui mettre du bâton dans les roues. En effet, il n’est point utile de démontrer que le seul et unique poids lourd de la scène politique centrafricaine qui soit en mesure d’envoyer l’occupant actuel du palais de Bangui aller "cultiver son jardin" est le président du MLPC. Premier ministre de son pays entre 2001 et 2003, Ziguélé a été aussi candidat à l’élection présidentielle de 2005 où il a été battu au second tour par Bozizé.

C’est donc un homme suffisamment connu de son peuple. Voilà un avantage et une qualité qu’un opposant ne doit pas avoir en Afrique. Et l’on a de bonnes raisons de craindre que Ziguélé ne subisse le même sort que celui de Charles Massi, ou dans le meilleur des cas, soit disqualifié d’une façon ou d’une autre de la course à la présidentielle. Bozizé semble en tout cas prêt à tout pour garder son fauteuil. Que l’on ne s’étonne donc pas qu’il voie le complot partout. Rien que le 2 septembre dernier, l’on se souvient encore, le pouvoir centrafricain avait cru démasquer d’autres comploteurs. Cette fois-là, tenez-vous bien, il s’agissait de Slovaques. Qualifiés de mercenaires en provenance du Congo, entrés en RCA pour renverser Bozizé, ceux-ci avaient été mis au frais. Et ce n’est que quelque temps après que les autorités centrafricaines se sont rendus compte qu’il ne s’agissait que de simples chasseurs à la recherche de gibiers et non de Bozizé.

Manifestement, le président centrafricain achève de convaincre qu’il est loin d’être l’ange pour lequel il se faisait passer à son arrivée au pouvoir en 2003, après avoir renversé Ange Félix Patassé pourtant démocratiquement élu. Avec ce début de la chasse aux sorcières, Bozizé pourrait aller, comme Kagamé du Rwanda et Nkurunziza du Burundi, à l’élection en solitaire après avoir mis tous ses opposants en quarantaine. Il risque, de ce fait, de replonger son pays, qui ne se porte déjà pas bien, dans une crise sociopolitique sans précédent. Et de ce genre de crise, les Centrafricains n’en ont qu’assez.

Boulkindi COULDIATI 

 

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 00:18

 

 

080710rebelles-lra

 

 

Radio Ndéké Luka Lundi, 27 Septembre 2010 13:44

Une famille enlevée et de biens pillés. C’est le résultat d’une attaque le dimanche 26 septembre 2010, des rebelles de l’Armée de Résistance pour le Seigneur de Joseph Koni au village Koumbal (110 kilomètres de Birao, nord de Centrafrique).

Selon le correspondant de Radio Ndeke Luka, la population a été surprise à l’aube par ces rebelles.

Cette attaque, la 3ème du genre dans la préfecture de la Vakaga a déjà couté la vie à 2 civils.

Signalons que la riposte de l’ex rebelle de l’Union de Forces Démocratique pour le Rassemblement ‘ UFDR’ face à la LRA, a permis de libérer 45 habitants de Ouadda-Djallé pris il ya 2 semaines en otage.

 

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 00:15

 

 

recensement CEI

 

 

Radio Ndéké Luka Lundi, 27 Septembre 2010 13:38

Les opérations du recensement électoral ont démarré finalement ce 27 septembre 2010 à Bangui, capitale de la République Centrafricaine. Ce recensement se déroule au moment où les Commissaires locaux de la Commission Electorale Indépendante(CEI) réclament leurs indemnités  et  le recrutement des Agents recenseurs se fait encore à Bangui sur fond de clientélisme.

Il faudra également dire que c’est après plusieurs tractations entre la Coordination de la CEI  et les Partenaires au sujet du financement du processus électoral en cours en République Centrafricaine que la CEI a enfin décidé de commencer ce recensement.

Le Président de la Commission électorale indépendante le pasteur Joseph Binguimalé a, dans un Communiqué, rassuré les Commissaires locaux et les Agents recenseurs que leurs dus leur seront bientôt versés et, qu’il leur faut assumer leur tâche en tout esprit patriotique.

Le Rapporteur de la CEI invite par la même occasion tous les centrafricains en âge de voter de se mobiliser dès 06 heures, à aller massivement s’inscrire sur la liste électorale.

Mais en dépit de la rassurance donnée par le Bureau de la CEI, certaines personnes s’estiment lésées par le choix des Agents recenseurs. Cette situation a engendré plusieurs crises au sein des Comités locaux tant à Bangui qu’en provinces.

Rappelons qu’un Communiqué de la CEI relève que les Agents recenseurs doivent être choisis dans leurs propres circonscriptions et, qu’ils doivent être originaires de la Sous-préfecture ou de l’Arrondissement concerné.

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Politique
28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 00:12

 

 

transports-en-RCA.jpg

 

Radio Ndéké Luka Lundi, 27 Septembre 2010 13:41

Les employés de la société Centrafricaine des palmiers (CENTRAPALM) sont entrés en grèves ce 27 septembre 2010 à Bossongo (sud-ouest de Centrafrique), site de la société (45 kilomètres de Bangui).

Ces employés, accompagnés de leurs familles ont barricadé l’axe Bangui – Mbaïki, paralysant la circulation durant toute la matinée. Il revendique ainsi le versement de leurs 22 mois d’arriérés de salaires.

Il y a un mois, ces employés ont adressé un préavis de grèves aux autorités politico-administratives. Selon certains employés qui ont requis l’anonymat, il y a de cela plus de 2 semaines, le gouvernement leur a promis le versement de 2 mois d’arriérés : Promesse non tenue. C’est pourquoi ils ont décidé d’entrer finalement en grève.

Les forces armées centrafricaines (FACA) basées à Béréngo non loin du site sont intervenues pour disperser les manifestants. Les grévistes ont promis de boycotter le déroulement des cours dans cette localité tant que leurs dus ne leurs seront pas versés pour  faciliter l’envoi de leurs enfants à l’école.

La Centrapalm compte environ 388 agents pour une masse salariale varie entre 13 à 27 millions de FCFA (environ 20 à 42.000 euros), selon les périodes. Depuis la dissolution de la dernière équipe dirigeante, c’est un Comité de gestion constitué de trois personnes qui assure la gestion des affaires courantes de la Société.

C’est depuis 1979 sous le régime de l’ex-empereur Jean-Bedel BOKASSA que la Société Centrapalm a été créée pour desservir la République Centrafricaine en huile de palme, très consommée dans le pays.

 

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Published by Centrafrique-Presse.com - dans Economie