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  • : informations générales sur la république centrafricaine et l'Afrique centrale
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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 22:42

 

 

 Bozizé KNK  Catherine-Asthon.jpg

 

 

UE-logo.JPG

 

 

UNION EUROPÉENNE                                                  

 

Bruxelles, le 27 mars 2011

A 127/11

 

Déclaration de la porte-parole de Catherine Ashton,

Haute Représentante, sur les restrictions de liberté de circulation en République centrafricaine

 

 

La Porte-parole de Catherine Ashton, Haute Représentante de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et Vice-présidente de la Commission, a fait la déclaration suivante aujourd’hui :

 

"La Haute Représentante suit avec préoccupation l'évolution de la situation en République centrafricaine, notamment les restrictions qui sont appliquées à la liberté de circulation de certains membres de l'opposition et les cas de détention arbitraire qui ont été signalés.

 

Elle rappelle que conformément aux obligations internationales, notamment celles qui découlent du Pacte international relatif aux droits civils et politiques qu'elle a librement ratifié, ainsi que de la Charte africaine des Droits de l'Homme et des Peuples, la République centrafricaine est tenue, au même titre que tout autre État partie, de respecter les droits fondamentaux de l'ensemble de ses citoyens.

 

La Haute Représentante exhorte les autorités centrafricaines à mettre tout en oeuvre pour que la liberté de circulation soit pleinement garantie et pour libérer les personnes contre lesquelles aucune charge n'a été retenue."

 

 

 

P R E S S E

 

POUR PLUS DE DÉTAILS:

 

 

Michael Mann +32 498 999 780 - +32 2 299 97 80 - Michael.Mann@ec.europa.eu

Maja Kocijancic +32 498 984 425 - +32 2 298 65 70 - Maja.Kocijancic@ec.europa.eu

 

COMM-SPP-HRVP-ASHTON@ec.europa.eu

www.eeas.europa.eu

 

 

FR

 

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 16:51

 

 

Bozizé Y

 

 

Radio Ndéké Luka Jeudi, 31 Mars 2011 13:28

« Avec la fin des élections en Centrafrique toutes les restrictions de voyage sont levées. Quiconque peut aller et venir comme il le désire à l’intérieur comme à l’extérieur du pays ». Ainsi s’est exprimé ce jeudi 31 mars 2011, Fidèle Gouandjika sur les ondes de Radio Ndeke Luka.

Le  ministre et porte-parole du gouvernement centrafricain réagissait ainsi à la 2ème interdiction de sortie faite la veille, à l’ex président Ange Félix Patassé. L’ancien président, battu lors des élections présidentielles de janvier dernier devait se rendre en Guinée Equatoriale  pour des raisons sanitaires. Il a été empêché de prendre l’avion à l’aéroport Bangui M’Poko par les services de sécurité.

Selon Fidèle Gouandjika, pendant le processus électoral, « toute personnalité politique de tous bords, civile ou militaire, pour sortir du pays devait détenir une autorisation spéciale ». A présent « des dispositions nécessaires sont en train d’être prises par le gouvernement pour une évacuation sanitaire digne de ce nom ». Il explique par ailleurs que « c’est le trésor public qui se chargera de régler toutes factures inhérentes au déplacement de Patassé plutôt en France, à l’Hôpital Val-de-grâce à Paris au lieu de la Guinée Equatoriale ».

Le porte-parole du gouvernement est revenu sur les restrictions apportées aux déplacements des chefs de file de l’opposition centrafricaine au cours des derniers mois. Il  révélé que le gouvernement a bien « délivré en pleine élection des autorisations de sortie à des leaders politiques tels que Jean Luc Mandaba secrétaire général du Mouvement de Libération du Peuple Centrafricain (MPLC) et Blaise Nakombo candidat aux législatives sous l’étiquette du Rassemblement Démocratique Centrafricain (RDC)».

Mais pour lui, « Maitre Nicolas Tiangaye porte-parole du Collectif des Forces du Changement (CFC) et Martin Ziguélé arrivé 3ème à la dernière présidentielle font toujours semblant de voyager pour attirer l’opinion sur eux ».

 

NDLR : Le porte-parole du gouvernement de Bozizé se moque vraiment du monde. Les prétendues prises en charge par le trésor public des factures de soins médicaux des personalités centrafricaines à l'hôpital parisien des armées du Val de Grâce, Jean Paul Ngoupandé, toujours Conseiller spécial de Bozizé et le défunt président André Kolingba et sa veuve Mme Mireille Kolingba, en savent quelque chose. Ange Félix Patassé qui avait déja séjourné à l'hôpital du Val de Grâce en 1990 - 1991 après son premier exil togolais ne se fera sans doute pas prendre au piège des balivernes de Fidèle Ngouandjika.     

 

Le PJPD appelle à l’apaisement

Radio Ndéké Luka Jeudi, 31 Mars 2011 13:33

Les leaders de jeunesse rassemblés au sein du Pacte de la Jeunesse pour la Paix et le Développement (PJPD) revendiquent la place qui leur revient dans le second quinquennat qui commence de François Bozizé, Président réélu de Centrafrique. Ils ont débattu de la question à M’Baïki (sud de la RCA), la semaine dernière et dont compte-rendu a été fait à la presse mercredi 31 mars 2011, à Bangui. La jeunesse, la classe politique centrafricaine et, la communauté internationale ont constitué les points à l’ordre du jour.

Dans son adresse, Adramane Baron Coordonnateur du PJPD demande une « réelle prise en charge » des jeunes pour qu’ils soient véritablement des acteurs de développement. « La jeunesse ne veut plus être prise pour bouclier, exige une condition de vie descente et s’oppose à la manipulation », indique Adramane.

A l’endroit de la classe politique centrafricaine, ces leaders de jeunesse interpellent les responsables politiques « à privilégier la culture de l’alternance politique ». « Aucun pays ne peut se construire dans la guerre et demandons la paix pour l’essor de notre nation », souhaitent-ils

Mais ils n’ont pas aussi manqué de s’adresser à la communauté internationale. S’appuyant sur le rapport de l’Union Européenne relatif aux élections couplées du 23 janvier 2011, ces jeunes en appellent à la franchise dans les relations RCA/Communauté internationale.

Le leader du PJPD affirme ne pas « comprendre » que l’UE, à l’instar des autres organisations internationales « ait publiée un rapport mitigé contrairement au premier sur ces élections ».

Cette mise au point des leaders du PJPD s’inscrit dans le cadre de la crise postélectorale née de la réélection contestée de François Bozizé en janvier dernier, à la tête de la République Centrafricaine.

 

NDLR : Cette pauvre jeunesse embrigadée dans le KNK fait pitié. Elle n'a malheureusement aucune conscience de la réalité de la situation dans laquelle Bozizé et son clan de prédateurs ont plongé le pays. Rien que l'entrée massive à l'assemblée nationale deJean Roger Ouefio son grand frère, de Joséphine Kéléfio sa soeur cadette, de Monique son épouse, de Renée Madeleine sa maîtresse favorite, de Francis et Socrate, ses enfants, de son neveu Sylvain Ndoutingai et Patrice Edouard Ngaissona, bref, de tout le clan familial de Bozizé, devrait interpeler tous les jeunes centrafricains et les conduire à se bposer les bonnes questions au lieu de se laisser mener par le bout du nez par la phraséologie démagogique du pouvoir.  

 

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 16:44

 

 

carte_centrafrique_432.gif

 

 

Ai- Rca- Jeudi, 31 Mars 2011 10:53 - Pendant plus de 72 heures, la ville de Bambari a été victime d’une pénurie d’eau du fait que la société de Distribution d’Eau en Centrafrique (Sodeca) n’arriverait plus à satisfaire les besoins de sa clientèle.

Cette situation a suscité la dénonciation du Sous-préfet de la localité par ailleurs Préfet par intérim de l’Ouaka. Ernest Guerekopiamon n’a pas caché sa surprise « Je suis moi-même très étonné. Parce que par le passé, la ville de Bambari avait connu une pénurie d’eau potable et je me suis rapproché des techniciens qui m’ont mené  en bateau : fuites par ci, manque de produits par-là, pénurie de carburant, etc.  Moi n’étant pas de la matière,  je ne puis que croire  cela ».

Il a balayé d’un revers de la main toutes les raisons évoquées par la Sodeca, notamment celle relative à la pénurie de carburant. « Si le personnel de  la Sodeca de Bambari évoque comme raison, le manque de carburant, je ne comprends pas. Parce que la Ministre de Tourisme Solange Pagonendji Ndakala a remis à cette société  1000 litres de Gas-oil. Dans ce cas ce problème de pénurie ne devrait pas se poser ».

Pour lui, il s’agit ni plus, ni moins d’une malhonnêteté « C’est de la malhonnêteté pure et simple.  Avec les 1000 lites de carburant,  la Sodeca devrait fonctionner au moins pendant 10 jours.  Mais  que s’est –il passé justement pour que Bambari n’ait plus d’eau potable ? ». Les 1000 litres offerts devaient servir d’appoint pour que l’agence de la Sodeca de Bambari fonctionne normalement ce d’autant plus que les factures payées entre temps devaient servir à faire des provisions de carburant, des produits de traitement de l’eau et à résoudre divers autres problèmes quotidiens.

Parce que garant du bien-être des populations de Bambari et du département de l’Ouaka, M. Guerekopiamon entend convoquer dans les prochains jours les techniciens afin qu’ils s’expliquent sur cette situation, une convocation qui sera suivie d’une descente sur le terrain dans le but de se rendre compte de la réalité sur le terrain.

« Ne dit-on pas que l’eau c’est la vie. Si Sodeca ne fonctionne pas la population va boire de l’eau souillée avec toutes ses conséquences qui sera responsable ? » a-t-il conclu.

Pour Victor Mayevosson, le chef de centre de la Sodeca, celui-ci ne fonctionne qu’avec les recettes collectées et s’il se trouve qu’il n’y a plus d’argent pour acheter du carburant, le centre s’arrête «  Pendant ces dernières 72 heures si la population de Bambari n’a pas eu d’eau potable, c’est parce qu’il n’y a pas de carburant. Mais c’est seulement pendant la journée de  dimanche qu’il n’y avait pas d’eau parce qu’on n’a pas travaillé » a-t-il justifié, poursuivant que « le lundi nous avons fait un peu de recette pour payer du carburant et depuis ce jour jusqu’à 22 heures et même ce matin du mardi 29 mars il y a de l’eau potable dans la ville ».

Parlant du problème des 1000 litres de carburant offerts et évoqués par le Sous-préfet  « qui, selon lui, ont été donnés depuis mars 2010 et gérés par le préfet de la Ouaka Mme Lydie Marthe Yangba. Le préfet me donnait l’autorisation chaque fois que le besoin se fait sentir, de prendre 200 litres»

Jointe au téléphone,  Mme Marie Francine Baninga, Maire de la ville de Bambari a confirmé la pénurie « C’est vrai que pendant trois jours la population de Bambari vivait sans eau potable. J’ai été moi-même vérifié et interrogé le chef de centre de Sodeca».

Elle s’est à son tour insurgée contre les mauvaises pratiques du personnel de la société de distribution d’eau potable «  Ce que fait Sodeca de Bambari dépasse notre entendement.»

Une situation bien grave qui met en péril la vie des populations qui, en période de pénurie se ravitaillent n’importe où et n’importe comment au risque d’attraper des maladies liées à l’eau souillée.

Kabongo, Ai Bangui

 

NDLR : Voilà un secteur, celui de l'eau, où depuis que Bozizé et Ndoutingai sont au pouvoir, ils sont incapables d'apporter le moindre début d'un commencement de solution, préférant surtout s'occuper de faire de la prédation dans le secteur minier tout en sèmant la famine et la désolation dans les zones minères. 

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 16:41

 

 

Boz-et-sa-soldatesque.jpg

 

 

Radio Ndéké Luka Jeudi, 31 Mars 2011 13:32

815 militaires et gendarmes centrafricains admis à la retraite, sont montés au créneau pour revendiquer du gouvernement le versement d’une partie  de leurs dus. Ils  ont pris d’assaut le siège de l’Union Européenne (UE), et exigé la somme de 19.650 000 francs CFA par retraité.

Les soldats ont déclaré : « nous sommes devenus des incapables au plan social. Nous ne pouvons plus prendre en charge nos familles. Certains d’entre nous végètent dans la misère, d’autres ne sont plus de ce monde parce qu’ils n’ont pas pu se soigner quand ils étaient malades ».

« Si le gouvernement ne prend pas ses responsabilités, nous allons passer à une vitesse supérieure », a martelé l’un des délégués Armand Kéko.

« Nous avons essayé d’entamer des négociations au niveau du Médiateur de la République, au niveau de l’Union Européenne, avec le Ministre délégué de la défense, mais il n’y a pas eu une suite favorable », a encore indiqué le délégué Armand Kéko. Pour lui les sommes versées par l’Union Européenne pour les payer, ont été détournées au niveau du Ministère de la défense. Ce que personne n’ose dire haut.

Selon les manifestants, s’ils choisissent de se réunir devant l’UE, c’est pour qu’ils soient vite payés parce que, selon eux, « ce que l’UE a donné au Gouvernement pour nous, ça nous concerne pas. », disent-ils.

Interrogé sur la question, l’ambassadeur de l’UE en poste à Bangui, a affirmé que « les fonds ont été versés dans leur intégralité au Gouvernement centrafricainNous avons remis l’enveloppe au Ministre délégué à la défense nationale et chaque retraité militaire ou gendarme devrait percevoir 19.580.000 FCFA », a-t-il expliqué aux délégués des militaires retraités qu’il a reçus à deux reprises.

Toutefois, du côté du Ministère de la défense, c’est le flou total, car le Ministre délégué refuse de s’exprimer sur la question.

Ces mesures d’accompagnement concernent tous grades confondus des militaires et gendarmes admis à la retraite. Il s’agit des arriérés cumulés pendant deux régimes successifs, à savoir celui de l’ancien président Ange-Félix Patassé et de l’actuel Président François Bozizé. Le Gouvernement leur avait payé dans un premier temps 10 mois d’arriérés. Depuis lors, plus rien n’est fait.

 

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 23:48

 

 

Deby-et-Khadafi.jpg

 

Un porte-parole des insurgés a affirmé que le retrait ce mercredi des rebelles de certaines villes de la côte Est s'expliquait par le fait qu'ils étaient confrontés à une force formée de milliers de membres de la garde républicaine tchadienne. «Nous avons trouvé que la meilleure réponse était d'opérer un repli tactique afin que nous puissions établir une meilleure stratégie de riposte», a-t-il poursuivi.  Selon lui, cette force comprend entre 3 200 et 3 600 hommes lourdement armés.

Source : www.leparisien.fr 31.03.2011, 00h16

 

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 23:39

 

 

Moussa-Koussa.jpg

 

La défection d'un ministre libyen "très importante"

WASHINGTON - AFP / 30 mars 2011 23h59 - La défection du ministre libyen des Affaires étrangères Moussa Koussa est "très importante", a affirmé mercredi un haut responsable américain, estimant qu'elle montrait que l'entourage du dirigeant Mouammar Kadhafi n'avait plus confiance dans la solidité du régime.

"Il s'agit d'une défection très importante, et un indice sur le fait que les gens entourant Kadhafi pensent que la fin est proche", a déclaré à l'AFP ce responsable sous couvert de l'anonymat.

Plus tôt mercredi, le Foreign Office avait révélé que M. Koussa avait annoncé sa démission à son arrivée à Londres, où il était venu "de son plein gré".

"Moussa Koussa est l'une des principales figures du gouvernement de Kadhafi et son rôle était de représenter le régime à l'étranger, ce qu'il ne désire plus faire", avait précisé la diplomatie britannique dans un communiqué.

Le ministre libyen des Affaires étrangères a démissionné. Le Foreign Office a annoncé la  démission de Moussa Koussa, mercredi soir à Londres, où il espère trouver refuge. Le ministre libyen des Affaires étrangères n'aurait pas approuvé les attaques menées contre son peuple, a expliqué un de ses proches à l'agence Reuters. Il s'était rendu lundi en Tunisie par la route dans des voitures officielles libyennes. De Djerba, il a pris ce mercredi un vol pour Londres. Sa présence en Tunisie a suscité bien des interrogations.

Chef des services de renseignements de 1994 à 2009, Moussa Koussa, 59 ans, très proche de Kadhafi était un homme fort des comités révolutionnaires, épine dorsale du régime libyen. Mais après avoir, deux décennies durant, incarné la face sombre du régime libyen, ce Tripolitain symbolisait ces dernières années l'ouverture en jouant un rôle majeur dans l’indemnisation des familles des victimes des attentats de Lockerbie.

(©)

 

Le chef de la diplomatie libyenne annonce sa démission à son arrivée à Londres

LONDRES - AFP / 30 mars 2011 23h32 - Le ministre libyen des Affaires étrangères, Moussa Koussa, a annoncé sa démission à son arrivée mercredi soir à Londres, a annoncé le Foreign Office.

"Nous pouvons confirmer que Moussa Koussa est arrivé à l'aéroport de Farnborough le 30 mars en provenance de Tunisie", a indiqué le Foreign Office dans un communiqué.

"Il est venu ici de son plein gré. Il nous a déclaré qu'il démissionnait de ses fonctions", ajoute le communiqué.

Le responsable libyen est arrivé en Grande-Bretagne après un séjour de deux jours en Tunisie, qui a été présenté officiellement comme une "visite privée".

"Moussa Koussa est l'une des principales figures du gouvernement de Kadhafi et son rôle était de représenter le régime à l'étranger, ce qu'il ne désire plus faire", poursuit le communiqué du Foreign Office.

"Nous encourageons ceux de l'entourage de Kadhafi à le quitter et à opter pour un meilleur avenir pour la Libye qui permette une transition politique et une véritable réforme qui répondent aux aspirations du peuple libyen", conclut le communiqué du ministère des Affaires étrangères.

Les insurgés libyens subissaient de nouveaux revers mercredi, les forces du dirigeant Mouammar Kadhafi ayant repris le site pétrolier de Ras Lanouf et progressé vers Brega.

(©)

Arrivé à Londres, Moussa Koussa annonce sa démission

Le ministre libyen des Affaires étrangères, Moussa Koussa, a annoncé sa démission mercredi soir à son arrivé à Londres, a indiqué le Foreign Office. Il était parti de l'aéroport tunisien de Jerba, avait rapporté l'agence tunisienne de presse tap plus tôt en soirée.

Cette agence avait signalé lundi que Moussa Koussa était arrivé en Tunisie en provenance de Libye. Le ministre était l'un des cadres du régime de Mouammar Kadhafi, confronté à une insurrection soutenue militairement par une coalition de pays, dont la Grande-Bretagne.

Moussa Koussa est à l'origine du revirement spectaculaire de la diplomatie libyenne au début des années 2000, lorsque Mouammar Kadhafi a négocié sa renonciation aux armes de destruction massive contre sa réintégration au sein de la communauté internationale.

(ats / 30 mars 2011 23:23)

 

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 23:36

 

 

Compaore.jpg

 

 

MERCREDI 30 MARS 2011 / 16:34

 

Situation explosive Burkina Faso où la colère des militaires monte d’un ton. Dans la nuit de mardi à mercredi, les militaires du camp Aboubacar Sangoulé Lamizana, ont encore fait parler la poudre et les poings, blessant Simon Compaoré, le maire de Ouagadougou, admis à l’infirmerie de la Présidence du Faso. La Radiotélévision burkinabè affirme qu’il a reçu des coups à la tête, aux côtes et aux pieds. Sa vie ne serait pas en danger, selon Jérôme Bougouma, le ministre de l’Administration territoriale et de la décentralisation. La vindicte militaire a eu également pour cible leur hiérarchie directe. Selon des sources dignes de foi, le domicile du Chef d’Etat Major général des armées, le Général Dominique Djendéré, a été saccagé et pillé, alors que Denise Barry, le ministre de la Sécurité, aurait été molesté. De plus, un autre foyer de contestation militaire a éclaté à Gaoua, à 381 km au Sud de Ouagadougou, près de la frontière ivoirienne et ghanéenne. Le Président Blaise Compaoré, qui vient de s’adresser à la Nation ce mercredi, a annoncé une rencontre dès demain avec tous les corps des forces armées nationales et les différentes couches socio-professionnelles du Burkina.

 

Burkina: Compaoré va recevoir jeudi les représentants de l'armée

OUAGADOUGOU - Le président burkinabè Blaise Compaoré, confronté depuis une semaine à des mouvements de colère au sein de son armée, a annoncé mercredi qu'il allait "rencontrer" jeudi "les représentants des différentes composantes des forces armées".

"Dès demain (jeudi), je recevrai les représentants des différentes composantes de nos forces armées. En outre, je réaffirme ma disponibilité à rencontrer toutes les catégories sociales en vue d'échanger sur leurs préoccupations", a-t-il dit dans un discours à la Nation radio-télévisé.

"Ces derniers jours, des éléments des forces armées ont refusé de se soumettre à des décisions de justice, se sont emparé d'armes de guerre et de munitions pour terroriser les populations et se livrer à des actes de pillage", a-t-il ajouté.

"Ces comportements ne sauraient être tolérés dans un Etat de droit", a-t-il précisé.

Dans la nuit du 22 au 23 mars à Ouagadougou, des militaires sortis de deux casernes, avaient tiré en l'air dans les rues et pillé des boutiques après la condamnation de cinq des leurs dans une affaire de moeurs. Les cinq condamnés avaient finalement été libérés.

Ce lundi, des militaires appartenant au 32e régiment d'infanterie commando (RIC) et du Groupement blindé de Fada N'Gourma, (à 220 km à l'est de Ouagadougou) étaient allés libérer à la prison civile de la ville l'un des leurs, enfermé pour le viol d'une jeune fille, selon une source proche du gouvernorat de la région de l'Est.

Ils ont ensuite bloqué avec des chars les accès à la ville. Les "mutins" ont tiré mardi trois roquettes sur le palais de justice de la ville sans faire de blessé, selon des témoins.

Le maire de Ouagadougou et numéro 3 du parti présidentiel, Simon Compaoré, a été blessé dans la nuit de mardi à mercredi dans la capitale burkinabè par des militaires mécontents. Son domicile ainsi que celui du ministre de la Sécurité, le colonel Denise Auguste Barry ont été saccagés par des militaires.

Le domicile du chef d'état-major des forces armées Dominique Djindjéré a également été incendié par des militaires en colère, a constaté l'AFP.

Des militaires de la garnison de Gaoua, localité située à 395 km au sud-ouest de Ouagadougou, ont également tiré en l'air "toute la nuit" de mardi à mercredi, a-t-on appris de sources concordantes.

Aucune information n'était disponible sur les raisons de ces tirs.

"J'ai saisi le sens et la portée de la quête de bien-être, de vérité, de justice et de sécurité qui sous-tendent certaines manifestations. C'est pourquoi (...) je veillerai à ce que justice soit rendue et prendrai des mesures vigoureuses pour la protection de l'ensemble de la population et la sécurisation des biens publics et privés", a indiqué M. Compaoré.

Il a invité "l'ensemble des acteurs politiques, à mûrir la réflexion sur les réformes indispensables à l'approfondissement de la démocratie, au raffermissement (du) système de gouvernance politique et institutionnelle" du pays.

"Les décisions consensuelles issues de ces concertations seront immédiatement appliquées pour conforter nos acquis", a-t-il assuré.

(©AFP / 30 mars 2011 22h51)

 

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 18:46

 

 

Sylvain-Ndoutingai

 

 

 

Mercredi, 30 Mars 2011 13:42

Les proches parents des agents de l’ENERCA (Société de l’Energie centrafricaine) accusés d’atteinte à la sûreté de l’Etat et détenus depuis le 09 février 2011, à la brigade de recherche et d’investigation de la gendarmerie nationale, sont montés au créneau le 30 mars 2011 à Bangui. Ils exigent la libération des personnes arrêtées suite à cette affaire.

« Trop c’est trop, nous voulons la libération de nos parents arrêtés sans raison depuis deux mois ». C’est la phrase scandée par une cinquantaine de personnes, en majorité des femmes, très tôt ce matin du 30 mars 2011, devant la direction générale de l’ENERCA.

Au total, sept agents de l’ENERCA, accusés d’être à l’origine du délestage survenu pendant la proclamation des résultats provisoires du 1er tour des élections, ont été mis en état d’arrestation et détenus depuis lors dans les locaux de la gendarmerie nationale à Bangui.

Emmanuel AYOUMBI directeur administratif et financier de l’ENERCA affirme à Radio Ndeke Luka avoir « entrepris des démarches auprès des autorités judiciaires et du département de tutelle pour obtenir la libération des agents mais la solution tarde toujours à venir ».

Selon des sources proches de la direction générale de l’ENERCA, l’enquête menée par la gendarmerie, révèle qu’aucune charge à l’heure actuelle ne peut être retenue contre ces employés.

 

 

Bangassou manque d’eau potable

Radio Ndéké Luka Mercredi, 30 Mars 2011 13:42

Les habitants de la ville de Bangassou (est du pays) se réveillent toujours de bonheur  à la recherche de l’eau potable. La situation perdure depuis trois mois. Désormais,  s’approvisionner en eau potable devient un vrai parcours du combattant.

Selon le correspondant de Radio Ndeke Luka dans la région, les points d’eau sont en nombre insignifiants et les quelques forages dont dispose la ville ne fonctionnent plus depuis longtemps.

« Pour trouver ce précieux liquide nous sommes obligées de parcourir plusieurs distances en brousse ou faire une queue interminable », déclarent quelques femmes. Elles lancent à cet effet un appel au gouvernement pour « un secours d’urgence pour augmenter les points d’eau ».

Cette situation a provoqué une hausse du nombre de cas de maladies hydriques à l’hôpital de la ville, telles que la diarrhée, la Typhoïde,  voire les vers intestinaux. Ces maladies sont provoquées par la consommation d’eau non potable.

  

Encore des progrès à faire selon les observateurs des élections

Mercredi, 30 Mars 2011 13:39

Les missions d’observateurs de l’Union Africaine et de EISA (Institut Electoral pour une Démocratie Durable en Afrique) ont rendu publics, chacune de son côté, leurs rapport sur le second tour des élections législatives en Centrafrique. De manière générale, les deux s’accordent sur les progrès notables enregistrés par rapport au premier tour, mais trouvent que des améliorations sont encore à apporter pour les scrutins ultérieurs.

L’UA et EISA adressent toutefois des félicitations à la Commission Electorale Indépendante (CEI) et à ses partenaires impliqués dans le processus électoral.

Selon Vincent Tohbi, Chef de la délégation de la mission d’EISA, interrogé par Radio Ndeke Luka, ces avancées portent entre autres sur « les celées effectives des urnes, la réduction du vote par dérogation, et l’affichage par endroit des listes électorales ».

Selon lui les améliorations doivent porter notamment sur la centralisation des résultats, la formation des agents électoraux, la sensibilisation des électeurs, et l’implication dans le processus des partis politiques de l’opposition ainsi que des femmes.

Au sujet des quelques irrégularités relevées par EISA, figurent « l’affichage tardif des listes électorales, l’ouverture aux heures non indiquées par le code électoral des bureaux de vote, la présence très visible des forces de l’ordre dans les lieux de vote ».

S’agissant de la faible participation constatée, le Chef de la mission de l’EISA l’explique par plusieurs  facteurs : « L’appel au boycott des partis de l’opposition, la timidité de la campagne électorale, le privilège accordé par les électeurs africains au scrutin présidentiel, en sont quelques parfaites illustrations »

Interrogé sur la « transparence » et la « crédibilité » desdites législatives, Vincent Tohbi s’est refusé à toute appréciation, se contentant de déclarer que le rôle de son entité consiste plutôt « à analyser les contours techniques liés aux problèmes ou avancées du processus pour amélioration, et non pour la validation d’un quelconque scrutin ».

De son côté, lors d’un point de presse mardi 29 novembre à Bangui, l’Union Africaine (UA) constate que le scrutin s’est déroulé dans « le calme et la sérénité ». Une déclaration faite par Pierre Daniel BOUSOUKOU BOUMBA, chef de la mission d’observation des élections.

Le rapport de la mission se félicite de la prise en compte par la CEI des recommandations faites après le premier tour : « l’installation des bureaux de vote en lieux public faciles d’accès, la formation des agents électoraux, l’affichage des listes électorales en format convenable, la réduction du vote par dérogation et la présence discrète des forces de l’ordre ».

Toutefois la mission a encore relevé des insuffisances parmi lesquelles « la persistance de certaines défaillances au niveau des bureaux de vote, l’arrivée tardive des matériels électoraux, le non-respect des horaires d’ouverture et de fermeture, l’insuffisance de sensibilisation des électeurs sur le vote à bulletin unique et l’inadéquation du mode d’identification sur la base des cartes d’électeurs ».

La mission de l’UA a enfin exhorté les acteurs politiques et la société civile à œuvrer pour la paix en République centrafricaine, dans le cadre déjà mis en valeur qui est le dialogue inclusif et la concertation.

Ce second tour des élections législatives se sont déroulées sans l’opposition. Elle a boycotté le scrutin et continue de réclamer l’annulation des résultats du premier tour par la Cour constitutionnelle.

 

 

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 18:27

 

 

 

Patassé

 

 

BANGUI — Mercredi 30 Mars 2011 18h12 (AFP) L'ex-président centrafricain Ange-Félix Patassé, arrivé deuxième à la présidentielle de janvier, a de nouveau reçu l'interdiction mercredi de quitter Bangui pour un contrôle médical, a affirmé son porte-parole Guy-Simplice Kodégué à l'AFP.

M. Patassé devait quitter le pays sur un vol de Kenya Airways pour la Guinée équatoriale. L'ancien président avait déjà essuyé un refus le 22 mars de prendre un vol spécial affrété par le président équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, toujours pour ce contrôle médical.

"Mardi, l'ancien président burundais Pierre Buyoya est venu à la résidence du président Patassé, confirmer que le président François Bozizé ne s'opposait plus à sa sortie du territoire pour des raisons humanitaires. C'est-à-dire pour un contrôle sanitaire. Et pour nous, c'est quand même une parole d'un homme d'Etat. Et nous faisons foi à cela", a déclaré Guy-Simplice Kodégué.

"Malheureusement ce matin, le président Patassé était à l'aéroport international Bangui M'poko, mais le commissaire de l'aéroport nous a fait savoir qu'il n'a reçu aucune autorisation pour que le président Patassé puisse s'envoler pour ce contrôle sanitaire", a expliqué le porte-parole.

 L'ancien président centrafricain, souffrant de diabète, avait été admis dans une clinique de Bangui au début du mois de mars où il est resté quatre jours.

Après la première tentative de départ de M. Patassé, Fidèle Ngouandjika, porte-parole du gouvernement avait affirmé: "Nous avons été informés que l'ex-président Patassé a entamé une démarche auprès du ministre de la Santé publique pour un déplacement en vue d'un contrôle sanitaire. Cette démarche est en cours et nous sommes surpris d'entendre çà et là que le pouvoir a interdit de sortie l'ancien président".

D'autres opposants avant l'ex-président centrafricain ont été empêchés de quitter le territoire: son porte-parole, les opposants Me Nicolas Tiangaye, président de la Convention républicaine pour le progrès social (CRPS) et porte-parole d'une coalition de l'opposition ainsi que Jean-Michel Mandaba, secrétaire général du Mouvement de libération du peuple centrafricain (MLPC).

 
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Patassé encore interdit de voyage hors du pays

Radio Ndéké Luka Mercredi, 30 Mars 2011 13:43

L’ancien Président centrafricain Ange-Félix Patassé est de nouveau interdit de voyager. Il devait embarquer ce mercredi 30 mars 2011 à bord d’un vol régulier de Kenyan Air Ways à destination de Malabo en Guinée Equatoriale dans le cadre d’une évacuation sanitaire. Il n’a pas pu effectuer le voyage pour des raisons qu’on ignore encore, alors qu’il s’est présenté à l’Aéroport avec la délégation qui devait l’accompagner.

Selon le cabinet de l’ancien Président, cette interdiction qui émanerait de la « haute hiérarchie de l’Etat », dépasse tout entendement, au regard des assurances données par l’ancien président burundais Pierre Buyoya, médiateur dans la crise centrafricaine. Ce dernier séjourne à Bangui dans le cadre de la mission d’observations de l’OIF, pour le second tour des élections qui s’est déroulé dimanche 27 mars.

Simplice Kodégué, Porte-parole de l’ancien Président Ange-Félix Patassé a expliqué à Radio Ndeke Luka que « mardi dernier, une délégation de l’Organisation internationale de francophonie conduite par le président Buyoya était venue confirmer au président Patassé que le président Bozizé disait qu’il ne s’opposait pas au voyage du président Patassé pour des raisons sanitaires. C’est au camp du président Bozizé qu’il faut poser la question pour connaitre les raisons de cette interdiction de voyager ».

Simplice Kodégué soutient également que « même si le Président Patassé garde tout son moral, son contrôle sanitaire reste tout de même une urgence ».

Il s’agit de la 2e évacuation sanitaire interdite par les autorités de Bangui en l’espace de quelques jours. La 1ère opération était envisagée le 23 mars dernier mais les autorités compétentes avaient refusé d’accorder l’autorisation de survol du territoire centrafricain à l’avion affrété par le président équato-guinéen pour évacuer l’ex dirigeant centrafricain.

Ange Félix Patassé, un des fondateurs du Front pour l’annulation et la reprise des élections (FARE 2011) et 2ème à la dernière course présidentielle, a été, hospitalisé 4 jours courant mars à la Clinique Chouaib à Bangui. Il souffre selon ses médecins de diabète et de fièvre Typhoïde.

Avant ces épisodes, d’autres leaders de l’opposition ont été empêchés de quitter le pays et refoulés à l’aéroport de Bangui Mpoko alors qu’ils devaient prendre l’avion pour se rendre à l’étranger. Aucune déclaration n’a pour l’instant été faite par les autorités à Bangui sur la situation.

 

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 11:37

 

 

urgent

 

17032011patasse

 

 

Bangui, 30 mars 2011 (C.A.P) – Pour la seconde fois, le régime de Bozizé a refusé que l’ex-président Ange-Félix Patassé (74 ans) dont l’état de santé nécessite des examens médicaux après sa sortie de  la clinique le 9 mars dernier.

L’avion spécial dépêché en effet par le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema Mbasogo est reparti ce matin de Bangui sans l’ex-président Patassé, le commissaire de l’aéroport Bangui Mpoko ayant déclaré qu’il n’aurait pas reçu d’instruction pour autoriser son embarquement à bord de l’aéronef.

On croyait pourtant savoir qu’après le premier refus d’accorder l’autorisation de survol du territoire centrafricain à l’avion que devait envoyer le président Nguema pour l’évacuation de Patassé le 22 mars dernier, et à la suite de nombreuses pressions dont celle de l’OIF  exercées par son Secrétaire Général, le président Abdou Diouf qui avait dépêché ces jours-ci à Bangui entre autre pour cette affaire l’ancien président burundais Pierre Buyoya. cette fois-ci, quelle explication mensongère fournira-t-il aux présidents Obiang Nguema, Pierre Buyoya et Abdou Diouf ?

Le président Bozizé vient donc de montrer une fois de plus qu’il n’est pas un homme de parole tout en faisant preuve d’un entêtement inqualifiable qui confine purement et simplement à la sauvagerie. Quel but cherche-t-il à atteindre ainsi en empêchant toute sortie du territoire national à ses adversaires politiques en les traitant de cette façon ? S’agissant de l’ex-président Patassé, il doit être parfaitement conscient que s’il lui advenait le pire des situations, la responsabilité lui serait imputée et il en aurait gros sur la conscience.

Depuis son hold-up électoral et le refus catégorique de ses adversaires non seulement de reconnaître sa prétendue victoire dès le premier tour avec un score à la soviétique, de boycotter le second tour des législatives mais encore d’exiger l’annulation et la reprise des dites élections par la mise en place d’une plateforme unitaire appelée FARE, Bozizé a perdu ses nerfs et est visiblement plongé dans un profond désarroi.  

 

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