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  • : informations générales sur la république centrafricaine et l'Afrique centrale
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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 02:51

 

 

 

Ferdinand Samba

Face aux atteintes incessantes contre la liberté de la presse en République centrafricaine et à la volonté farouche du pouvoir dictatorial de François Bozizé et sa famille de museler et faire disparaître la presse libre et indépendante dans ce pays qui se traduit par des poursuites judiciaires systématiques et condamnations arbitraires à des peines d’emprisonnement à l’encontre des journalistes et responsables de journaux jugés dérangeants, la rédaction de Centrafrique-Presse a pris l’initiative de lancer la présente pétition pour exiger la libération immédiate et inconditionnelle du journaliste et Directeur de publication du quotidien de Bangui, LE DEMOCRATE qui vient d’être condamné à une lourde peine de prison et de fortes amendes ainsi que pour une année de fermeture de son journal.

Soyons nombreux à la signer afin de prouver à ce régime d’un autre âge, combien nous sommes attachés à la liberté et en particulier à celle d’opinion et de la presse.

 

Prosper N’DOUBA

Le Directeur de Publication du groupe Centrafrique-Presse

 

Ci-dessous, le lien pour signer la pétition :

http://www.gopetition.com/petitions/liberez-ferdinand-samba.html

 

Non aux atteintes à la liberté de la presse en Centrafrique !

Non à une Justice aux ordres !

 

LIBEREZ FERDINAND SAMBA !


La lourdeur de la sentence qui vient d’être prononcée par le tribunal de Bangui contre le journaliste Ferdinand Samba, directeur du quotidien centrafricain Le Démocrate (10 mois de prison, 10 millions de francs CFA soit 15.000 euros au titre de dommages et intérêts à payer à M. Sylvain Ndoutingaï et un million de FCFA soit 1.500 euros d'amende à l’Etat ainsi que la suspension pour un an de la parution du titre Le Démocrate), est non seulement scandaleuse mais marque incontestablement la volonté politique du tandem des deux piliers bien connus du régime Bozizé que sont Sylvain Ndoutingaï et Firmin Findiro, d’intimider les seuls journalistes de la presse privée nationale et leurs organes qui osent révéler et dénoncer les dérives dictatoriales de ce régime agonisant et aux abois.


Alors que par pure démagogie, le régime de Bozizé a fait croire à tort à l’opinion nationale et internationale que les délits de presse étaient dorénavant dépénalisés en République centrafricaine, force est malheureusement de constater qu’il ne se passe pas un seul mois sans que des journalistes soient traqués, arbitrairement jetés en prison et poursuivis devant les tribunaux pour en réalité le crime de lèse–majesté commis par la publication dans leurs organes de presse d’articles jugés comme incitant à la haine ou subversifs ou prétendument diffamatoires à l’endroit de certains dignitaires du pouvoir.

 

A contrario, il ne se passe pas de jour sans que les journalistes proches du pouvoir s’étendent en injures, calomnies et imprécations à l’endroit des leaders politiques de l’opposition et leurs partis, sans être inquiétés le moins du monde ni par la Justice aux ordres de Fïndiro, ni par le Haut Conseil de la Communication encore moins par le ministre de la communication.


Les Centrafricains ne sont pas dupes de la volonté politique de l’ex-procureur de la République en service commandé auprès du Tribunal de Grande instance de Bangui devenu Garde des Sceaux et ministre de la justice, Firmin Findiro, de mettre au pas tous les magistrats qui manifestent quelque velléités d’indépendance dans l’exercice de leurs fonctions. Ce n’est pas par hasard si le juge qui a prononcé le verdict, jugé très clément par Feindiro, dans le procès des journalistes Faustin Bambou et Cyrus Emmanuel Sandy, tout aussi arbitrairement poursuivis à l’époque, comme par hasard, par un autre membre du gouvernement et pas n’importe lequel, Francis Bozizé, a été tout simplement muté auprès du tribunal de Bangassou.


C’est pourquoi, nous démocrates épris de liberté et amis de Centrafrique, jaloux de la liberté de presse dans tout pays, dénonçons et condamnons les dérives dictatoriales des dignitaires du pouvoir KNK du général président François Bozizé visant à museler les journalistes centrafricains et les empêcher de faire leur métier – dans les conditions extrêmement difficiles - d’informer l’opinion sur les conséquences inavouables de leur mauvaise gouvernance qu’ils entendent garder secrètes, 


Condamnons et dénonçons les fréquentes atteintes à la liberté de la presse et les verdicts scélérats et iniques régulièrement rendus prétendument au nom du peuple, contre les journalistes et exigeons la libération immédiate et inconditionnelle de Ferdinand Samba.

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 01:23

 

 

youssou-n-dour-le-20-novembre-2009-a-lille

Sénégal - présidentielle : Youssou Ndour se dit menacé

DAKAR AFP / 29 janvier 2012 00h12- Le chanteur sénégalais Youssou Ndour a fait état samedi à Dakar de menaces contre sa personne physique, après que, selon un de ses porte-parole, il a été malmené par des policiers en tentant d'aller soutenir un responsable de la société civile arrêté.

Ceux à qui on demande de respecter la loi et de faire en sorte que la loi soit respectée par tout le monde n'y parviennent plus, a déclaré M. Ndour lors d'un point de presse après le dépôt de son recours contre le rejet par le Conseil constitutionnel de sa candidature à l'élection présidentielle du 26 février.

Il y a des menaces qu'on entend aujourd'hui pour attaquer ma personne physiquement, a-t-il dit, sans autres détails.

Auparavant, un de ses porte-parole, Doudou Sarr, avait affirmé que M. Ndour a été malmené par des policiers samedi après-midi alors qu'il se rendait à la Division des investigations criminelles (DIC, police judiciaire) pour soutenir Alioune Tine, une des figures de la société civile et le coordonnateur du Mouvement du 23 juin (M23).

Le M23 regroupe plusieurs partis d'opposition, des organisations de la société civile et des personnalités indépendantes, dont Youssou Ndour, opposés à la candidature du chef de l'Etat Abdoulaye Wade à la présidentielle.

Vendredi, le Conseil constitutionnel a rejeté la candidature de M. Ndour, arguant qu'il a produit une liste d'électeurs dont seuls 8.911 ont pu être identifiés et leurs signatures validées, contre 10.000 requis par la loi.

Pour le chanteur, ce rejet est une décision politique à l'instigation des responsables du pouvoir du président Wade auxquels, selon lui, sa candidature fait peur.

Ils ont tellement la trouille - et je pèse bien mes mots, parce que les Sénégalais sont témoins de toutes ces attaques, de toutes ces choses qui se sont passées depuis l'annonce de ma candidature, ce qui prouve qu'ils ont peur - ils ont peur de moi dans la mesure où ce Sénégal qu'ils endormaient, je l'ai réveillé. Ce Sénégal citoyen est maintenant une réalité, a-t-il déclaré lors du point de presse.

Les Sénégalais qui sont avec moi (...) sont déterminés à ne pas se faire confisquer le pouvoir, ils sont prêts s'il le faut à marcher, manifester car normalement, on a cette liberté. Ce qu'on sent maintenant, c'est un Etat policier, qui écoute les téléphones et qui menace les gens, a-t-il dit.

Je n'ai jamais appelé à la violence, mais je vous dis, je ne contrôle plus mes militants, a-t-il mis en garde.

Un de ses avocats, Me Mbaye Jacques Ndiaye, a expliqué à l'AFP avoir déposé au Conseil constitutionnel samedi après-midi une requête aux fins de réclamation tendant à la validation de la candidature de Youssou Ndour à l'élection présidentielle.

Dans son dossier déposé le 25 janvier figuraient 13.087 signatures ayant toutes préalablement été vérifiées et validées par un organe gouvernemental compétent, mais curieusement, lorsque le Conseil constitutionnel a remis sa décision hier (vendredi), il n'a fait état que de 12.936 signatures déposées et sur ce total, 8.911 étaient validées, a affirmé Me Ndiaye.

Dans son recours, il a demandé au Conseil d'expliquer la différence entre les signatures déposées et mentionnées, et les motifs de la non-validation des 4.025 signatures invalidées rejetées.

A la question de savoir ce qu'il comptait faire en cas de rejet de la requête, Me Ndiaye a répondu: Nous ne pouvons user que des voies de droit jusqu'à épuisement. Pour le reste, nous considérons que ces sages (membres du Conseil) doivent être laissés avec leur propre conscience.


(©)

Sénégal: Alioune Tine, responsable de la société civile et du M23, à la police


DAKAR AFP / 29 janvier 2012 00h56 - Alioune Tine, figure de la société civile sénégalaise et coordonnateur du Mouvement du 23 juin (M23, opposition et société civile), a été conduit samedi dans les locaux de la police à Dakar pour un motif non communiqué, selon le mouvement, un de ses avocats et son ONG.

Nous venons d'apprendre qu'Alioune Tine est à la DIC, la Division des investigations criminelles (police judiciaire), a déclaré devant la presse Amath Dansokho, chef d'un parti d'opposition et un des responsables du M23.

Nous exigeons sa libération immédiate, a ajouté M. Dansokho, sans préciser comment M. Tine s'était retrouvé à la DIC, s'il était simplement entendu ou arrêtée et pour quel motif.

Un des avocats de M. Tine, Me Boucounta Diallo, a confirmé à l'AFP sa présence à la DIC, indiquant l'y avoir lui-même déposé samedi après-midi.

Dans un communiqué transmis à l'AFP, la Rencontre africaine pour la Défense des droits de l'Homme (Raddho), ONG que préside Alioune Tine, a dénoncé l'arrestation de son dirigeant samedi en début d'après-midi, alors qu'il était en réunion chez Me Boucounta Diallo.

Cinq éléments de la DIC sont venus le chercher sans mandat d'amener. Présentement, il est en interrogatoire, depuis 17H30 (locales et GMT) dans les locaux de la Sûreté nationale avec un impressionnant cordon sécuritaire, affirme la Raddho, pour qui cette arrestation fait suite à une série de déclarations et de menaces fermes proférées par les plus hautes autorités de l'Etat depuis le mois de juin 2011 à l'encontre de M. Tine.

L'ONG dénonce l'intimidation et les tentatives de musèlement d'Alioune Tine, dont elle exige la libération sans conditions.

Samedi après-midi, les axes conduisant aux locaux de la police où se trouvait Alioune Tine étaient interdits d'accès au public par un dispositif de la police anti-émeutes. Des dirigeants du M23 ont tenté de s'y rendre, mais n'y ont pas été autorisés, selon un photographe de l'AFP.

Devant la presse, Amath Dansokho a aussi fait état d'autres arrestations, sans préciser leur nombre: Nous avons appris qu'il y a à travers le Sénégal aujourd'hui des dizaines de citoyens arrêtés à la suite de la protestation contre la validation par le Conseil constitutionnel de la candidature du président Abdoulaye Wade pour l'élection présidentielle du 26 février.

Macky Sall, autre leader membre du M23 et candidat à la présidentielle, a confirmé les arrestations, sans non plus fournir de chiffres.

Nous n'avons pas encore exactement le nombre (de personnes) arrêtées puisque c'est dans tout le pays. Nous sommes en train de l'évaluer, puisque partout il y a eu des manifestations, jusqu'à 04H00 ou 05H00 du matin (locales et GMT) dans certaines localités, a déclaré M. Sall à la presse.

Ce matin encore, ces manifestations ont repris. Il y a des arrestations dont nous sommes au courant, il y en a d'autres que le M23 ignorait jusqu'au moment de la rencontre des leaders du M23 avec la presse, a-t-il affirmé.


(©)

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 01:03

 

 

Ferdinand Samba

Radio Ndéké Luka Samedi, 28 Janvier 2012 13:51

L’ONG internationale Reporters Sans Frontières (RSF) vient de demander ce 28 janvier la libération pure et simple de Ferdinand Samba, Directeur de publication du journal « Le Démocrate ». Il s’agit d’une réaction suite à la condamnation vendredi dernier par  la Cour d’Appel, de Ferdinand Samba pour diffamation par voie de presse à l’endroit du ministre d’Etat aux Finances Sylvain Ndoutingaye.

Cette ONG internationale de Défense des professionnels des médias s’est dite « consternée » par  la condamnation à 10 mois de prison ferme, 1 million de francs CFA d’amende à payer à l’Etat centrafricain, 10 millions de dommages et intérêts à payer à la partie civile (le ministre d’Etat aux Finances Sylvain Ndoutingaye) ainsi que la fermeture pour un an de son organe.

RSF pose la question sur « Comment est-il possible qu’un journaliste soit condamné à de la prison ferme en République Centrafricaine alors que la Loi de 2005 sur les médias dépénalise les délits de presse ?  Pour elle, cette décision est incompréhensible et déplore une ’justice au service des puissants ».

Selon Reporters Sans Frontières, « Ces décisions de justice endommagent sérieusement la liberté de la presse dans le pays. Non seulement un journaliste est envoyé en prison pour ses écrits, mais les autorités privent également la population centrafricaine d’un titre pendant un an ».

Ferdinand Samba a été arrêté lundi 15 janvier 2012 à Bangui à la suite d'une plainte pour diffamation déposée contre lui par le ministre d’Etat aux Finances, Sylvain Ndoutingaye. L'affaire avait été repoussée à trois reprises à la demande du journaliste et celle de sa défense qui voulait prendre connaissance des pièces du dossier. Mais le président du tribunal avait finalement délivré un mandat d'amener contre le journaliste et celui-ci a été arrêté. Il lui est reproché d'avoir publié plusieurs articles depuis octobre 2011 à caractère diffamatoire, injurieux et incitant à la haine, visant précisément le ministre d’Etat aux Finances.

Rappelons que l’autre condamnation concerne Patrick Agoundou, directeur de publication du quotidien La Plume, poursuivi pour les mêmes accusations et considéré en fuite. Il a été jugé par contumace et condamné à un an de prison ferme. Un mandat d’arrêt international a été lancé contre lui.

 

NDLR : Dans cette affaire, on ne peut qu’être effaré par la curieuse initiative des responsables du GEPPIC consistant à s’adresser aux juges du tribunal peu avant le prononcé du verdict pour implorer leur clémence et à leur demander pardon au nom du prétendu « fautif » Ferdinand Samba qui aurait écrit et publié « des articles de nature à salir l’honneur du ministre d’Etat Ndoutingaï ». Ce faisant, le GEPPIC tourne le dos aux principes mêmes qui font sa raison d’être. C’est étrange !

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 00:47

 

 

Abdoulaye-Miskine-Koumta-Madji.jpg

Front Démocratique du Peuple Centrafricain

(F D P C)

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

****************************************

 

Après l’appel lancé par le général Baba Laddé du FPR visant à s’unir à certains mouvements rebelles tchadiens et centrafricains pour renverser le pouvoir du général président François Bozizé à la suite de l’opération lancée il y a quelques jours contre ses bases en territoire centrafricain par les forces armées tchado-centrafricaines, un certain Abu Achta a cru adresser au blogueur tchadien Makaila Nguebla qui l’a publié, un message marquant l’accord du Front Démocratique du Peuple Centrafricain (FDPC) avec la prétendue « noble cause consistant à déloger le maquisard Bozizé et son père Idriss Déby ».

            Le Général Abdoulaye Miskine, seul le commandant en chef du FDPC, n’a mandaté personne pour s’exprimer au nom de son mouvement. Il tient par conséquent à opposer le démenti le plus formel à de telles allégations qui n’engagent nullement le Front Démocratique du Peuple Centrafricain (FDPC).  

Fait le 28 janvier 2012

Pour le F D P C

 

Le Général Abdoulaye MISKINE

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 00:08

 

 

demafouth

 

Rectification

Contrairement aux informations dont nous avions fait état dans un premier selon lesquelles le pasteur Jean Claude Démafouth, l'un des frères aînés de Jean Jacques Démafouth aurait aussi été arrêté à la SRI, une source proche de la famille nous fait savoir que c’est plutôt le fils du pasteur qui est mis en garde en vue à la gendarmerie dans une banale affaire de réparation de moto.Dont acte.

Rédaction C.A.P

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 04:11

 

 

 

Démafouth candidat

BANGUI 26 janv (Xinhua) - Le comité de pilotage du programme de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion des ex- combattants (DDR) affirme regretter la situation politique et sécuritaire actuelle, laquelle a conduit à l'interpellation de certains de ses membres, notamment son premier vice-président Jean Jacques Démafouth et Abder Kader Kalile, selon un communiqué de presse dudit comité publié jeudi à Bangui.

Pour la représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies en Centrafrique et présidente dudit comité, Margaret Vogt, "cette situation risquerait de compromettre les efforts déjà réalisés et de ceux qu'il convient d'entreprendre pour consolider un processus qui demeure très fragile".

"Le comité de pilotage souhaite vivement qu'une issue soit trouvée le plus rapidement possible afin de restaurer la confiance parmi tous les membres du comité, et ceci conformément aux lois et règlements en vigueur de la République", indique le communiqué.

Il dit aussi avoir "pris acte de la volonté exprimée par les leaders des mouvements politico-militaires de poursuivre leur engagement en faveur du processus" et se félicite de l'implication de toutes les parties prenantes qui a favorisé l'exécution de la vérification, de désarmement et de démobilisation d'une grande partie des ex-combattants, principalement ceux de l'Armée populaire pour la restauration de la démocratie (APRD).

En attendant le financement et la poursuite des opérations de désarmement, le comité de pilotage a créé une coordination nationale chargée de la mise en oeuvre de la stratégie nationale de réinsertion a été mis en place.

La mission de cette coordination est dans un premier temps d'élaborer une stratégie de réinsertion individuelle ou à travers les projets de relèvement communautaire dans les zones où le désarmement et la démobilisation sont déjà effectifs, et dans un deuxième sur la réinsertion proprement dite.

Le premier vice-président du comité de pilotage de programme de désarmement, démobilisation et réinsertion des ex-combattants (DDR) , Jean Jacques Démafouth est arrêté depuis trois semaines et accusé de "tentative d'atteinte à la sûreté de l'Etat".

Selon le gouvernement, il voulait se mettre à la tête d'une coalition des groupes armés pour déstabiliser le pouvoir de Bangui.

 

NDLR : A présent, selon nos informations, ce n’est plus seulement à Jean Jacques Demafouth que le pouvoir bozizéen a affaire. Un de ses grands frères prénommé Ousman qui, peu après son arrestation, lui avait apporté à manger avait été déjà arrêté et mis également en geôle à la SRI. Il y a quarante-huit heures à peine, son autre frère aîné, Jean-Claude Demafouth qui est pasteur, a été aussi convoqué à la SRI suite à une fiche mensongère de police politique et a été mis aux arrêts à la SRI. Bozizé en a-t-il après toute la famille Demafouth ?

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 03:16

 

 

 

Ndoutingai.jpg

Le très juteux business mafieux de la vente des coupons de recharge téléphoniques de TELECEL CENTRAFRIQUE on le sait, a fait la fortune en dormant des enfants Bozizé et de certains dignitaires de la bozizie comme Claude Richard Gouandja, le ministre de la sécurité publique qui multiplie actuellement les chantiers de construction de villas dans Bangui.

Fascinée par cette source d’enrichissement rapide en dormant, l’épouse du ministre d’Etat aux finances et du tout-puissant Sylvain Ndoutingaï s’était aussi lancée dans l’opération. Grisée par les recettes qu’elle a pu se procurer après une première mise de 18 millions de F CFA sur les coupons de recharge qu’elle a fait rapidement écouler par la filière de Claude Richard Gouandja, elle  s’est vu opposer un refus par l’ex-DG de TELECEL, aujourd’hui limogé de son poste par le siège du Caire et expulsé de la RCA par Papy Bozizé,  lorsqu’elle est revenu une seconde fois pour acheter les coupons de recharge pour 35 millions de F CFA.

Des témoins ont aperçu Mme Ndoutingaï que ses gardes du corps faisaient monter dans sa voiture ce vendredi à la direction de TELECEL-CENTRAFRIQUE. Selon nos informations, elle se serait rendue une demi-heure plus tôt chez l’opérateur de téléphonie mobile pour protester tout en pleurant parce que son ministre d’Etat de mari lui ferait des problèmes à la maison en raison de son nom qui serait également cité dans la presse à propos du business mafieux de coupons de recharge téléphoniques.

Dans les récentes révélations faites par Centrafrique-Presse au sujet des pressions exercées par la bozizie sur l’ex-DG de TELECEL Lionel Coussi pour acheter d’importantes quantités de coupons de recharge téléphoniques avec le maximum de rabais et les écouler auprès des revendeurs grossistes du même TELECEL moyennant un bonus plus intéressant pour les revendeurs que ce que leur verse habituellement TELECEL. Mme Ndoutingaï fait bien partie en effet, de ceux qui comme le ministre de la sécurité Claude Richard Gouandja et Papy Bozizé, utilisent les noms des associations politiques genre BDR et autres, pour se livrer à ce juteux trafic qui leur fait gagner des millions de F CFA en dormant.

Mme Ndoutingaï est connue pour n’être qu’une pauvre épouse qui vendait naguère des galettes de feuilles de manioc appelées en sango « kanda goundja » au bord de la route. Depuis que son mari est devenu le bras droit du putschiste Bozizé et son argentier, sa vie à elle a également changé. Où a-t-elle trouvé les millions de F CFA pour se lancer aussi dans le trafic des coupons de recharge téléphoniques de TELECEL ?  

Aujourd’hui, son mari est devenu tellement richissime et puissant qu’il ambitionne désormais de prendre un jour la place qu’occupe actuellement Bozizé et l’ivresse du pouvoir le conduit à s’entendre avec un autre demi-dieu du régime boziéen, Firmin Findiro, pour jeter en prison des journalistes qui ne font qu’informer l’opinion et condamner à tour de bras d’innocents citoyens centrafricains. Ndoutingaï et son épouse ont la mémoire bien courte. Ils ont oublié les périodes de galère qu’ensemble, ils ont connues, lui pauvre étudiant n’ayant jamais pu passer en 2ème année de l’Institut Universitaire de Gestion d’Entreprise de Bangui et elle vendeuse de « kanda ngoundja » au bord de la route. C’est cela les parvenus….

Rédaction C.A.P

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 02:08

 

 

Sénégal: l'opposition appelle à marcher sur le palais présidentiel

DAKAR - Le Mouvement du 23 juin (M23), coalition de partis politiques de l'opposition et de la société civile contestant la candidature du président Abdoulaye Wade à la présidentielle de février, a appelé samedi les Sénégalais à marcher sur le palais de la République pour en déloger M. Wade.

Le M23 appelle le peuple sénégalais souverain à se mobiliser autour du Mouvement pour marcher sur le palais de la République et (en) sortir Wade qui est en train de le squatter, a déclaré à l'AFP Abdoul Aziz Diop, un des responsables du mouvement à l'issue d'une réunion de sa direction.

Cette réunion visait adopter une décision commune du mouvement à la suite de la publication de la liste des candidats autorisés par le Conseil constitutionnel à se présenter à la présidentielle.

Les dirigeants du M23 exhortent les Sénégalais à se joindre au Mouvement pour organiser la reprise du territoire occupé par Abdoulaye Wade et ses sbires. (...) C'est la seule direction prise à partir de ce soir, a ajouté M. Diop, précisant: Dès ce (samedi) matin, le M23 mettra tout en oeuvre pour pouvoir organiser cette marche sur le palais et aller déloger M. Wade.

Le M23 regroupe des partis politiques et coalitions de partis ayant investi certains des candidats autorisés, dont les anciens Premiers ministres Moustapha Niasse, Idrissa Seck et Macky Sall, ainsi que le chef du Parti socialiste (PS), Ousmane Tanor Dieng.

A la question de savoir si ces candidats membres du mouvement allaient faire usage de leur droit de recours au Conseil constitutionnel, Abdoul Aziz Diop a répondu: Cela les concerne du point de vue individuel à partir du moment où ce sont eux les candidats.

Le mouvement leur a toutefois demandé de suivre la décision commune. Il n'y a pas d'autre stratégie que de regrouper le pays, d'appeler les Sénégalais et en marchant dans les prochains jours sur le palais de la République, parce que c'est le seul moyen de bouter Abdoulaye Wade dehors et de remettre la démocratie sénégalaise sur les rails, a-t-il conclu.


(©AFP / 28 janvier 2012 02h38)

 

 

 

 

youssou-n-dour-le-20-novembre-2009-a-lille.jpg

 

 

 

DAKAR (AFP) - 27.01.2012 23:01

Le Conseil constitutionnel a validé vendredi la candidature du président Abdoulaye Wade, mais jugé irrecevable celle de la star internationale de la chanson Youssou Ndour, pour la présidentielle de février au Sénégal, ce qui a provoqué des violences entre jeunes et policiers à Dakar.

Le Conseil constitutionnel a validé vendredi la candidature du président Abdoulaye Wade, mais jugé irrecevable celle de la star internationale de la chanson Youssou Ndour, pour la présidentielle de février au Sénégal, ce qui a provoqué des violences entre jeunes et policiers à Dakar.

Outre celle de M. Wade, le Conseil a validé treize autres candidatures sur dix-sept présentées, dont celles de trois de ses ex-Premier ministres devenus opposants : Idrissa Seck, Macky Sall et Moustapha Niasse.

Egalement validée la candidature du dirigeant du Parti socialiste (PS, opposition), Ousmane Tanor Dieng.

Le Conseil a motivé son refus de valider la candidature de Youssou Ndour en constatant qu'il "a produit une liste de 12.936 électeurs appuyant sa candidature, dont seulement 8.911 ont pu être identifiés et leurs signatures validées", alors qu'il en faut 10.000 au minimum.

Dès l'annonce de la validation de la candidature du président Wade et du rejet de celle Youssou Ndour, des jeunes rassemblés depuis des heures sur une place de Dakar à l'appel de l'opposition ont jeté des pierres sur les policiers qui ont riposté à coups de gaz lacrymogène et de matraque.

Les jeunes ont également mis le feu à des pneus et des courses-poursuites entre eux et les policiers se sont engagées dans les rues adjacentes à la Place de l'Obélisque.

Un journaliste de l'AFP qui se trouvait au sein d'un groupe de manifestants a été frappé au visage par des policiers.

Auparavant, le rassemblement à partir de la mi-journée de milliers d'opposants sur la Place de l'Obélisque, à l'appel du Mouvement du 23 juin (M23) regroupant partis politiques et organisations de la société civile, s'était déroulé sans incidents.

Initialement interdit par le gouvernement, puis finalement autorisé, il avait pour objectif d'"organiser la résistance contre le coup d'Etat constitutionnel" que constitue, selon le M23, la validation de la candidature de M. Wade qui se présente à un nouveau et troisième mandat.

"Sérieuses préoccupations"

La décision de laisser les opposants manifester à Dakar a été prise par les autorités à la suite d'une "médiation" de l'Union européenne (UE).

Avant la décision du Conseil, Youssou Ndour, très applaudi, avait déclaré à la foule : "Je m'adresse à nos partenaires et à nos amis occidentaux, mettez-vous derrière ce peuple qui va se libérer ce soir".

La décision du Conseil constitutionnel sur la nouvelle candidature du président Wade, 85 ans, jugée anticonstitutionnelle par l'opposition, avait fait craindre de violentes réactions.

La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a exprimé ses "sérieuses préoccupations sur les tensions croissantes parmi les partis politiques et les citoyens" au Sénégal.

Des gendarmes et des policiers ont été positionnés dans le centre de Dakar ainsi que dans les banlieues populaires et des dizaines de policiers antiémeutes se trouvaient sur la place de l'Obélisque.

Elu en 2000, réélu en 2007 pour cinq ans après une révision constitutionnelle en 2001 instituant un quinquennat renouvelable une fois, M. Wade se représente pour sept ans après le rétablissement du septennat en 2008, à la suite d'une nouvelle révision constitutionnelle.

Pour ses opposants, il se présente à un troisième mandat illégal, mais ses partisans affirment que le comptage doit se faire à partir de la première révision constitutionnelle de 2001 instituant le quinquennat et qu'il s'agit donc d'un second mandat conforme à la Constitution.

Le chef de l'Etat a affirmé jeudi qu'il pouvait "légalement" se présenter non seulement en 2012, mais également en 2019, des déclarations qui risquent d'exacerber les tensions.

L'ONU a appelé à un scrutin "apaisé" et les Etats-Unis ont jugé "regrettable" que M. Wade se représente au lieu de prendre sa "retraite".

© 2012 AFP

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 02:05

 

 

baba laddé gl

BANGUI Samedi 28 janvier 2012 01:04 (Xinhua) - Les opérations militaires de grande envergure des Forces armées centrafricaines et tchadiennes ont permis de "mettre hors d'état de nuire" le rebelle tchadien Abdel Kader Baba-Laddé et ses hommes, a déclaré vendredi le ministre centrafricain de la Justice et porte-parole du gouvernement, Firmin Féindiro, dans une déclaration officielle.

Ces opérations militaires, qui se sont déroulées du 20 au 25 janvier, ont fait tomber "la base rebelle sans résistance" et les matériels militaires récupérés, notamment des véhicules 4X4, et des armes lourdes.

Pour l'instant, le chef rebelle tchadien se serait retranché au bord d'une rivière dans le nord-est et que les forces armées centrafricaines font le nécessaire pour poursuivre sa traque, a précisé Firmin Féindiro.

Il a fait remarquer que la République centrafricaine et le Tchad ont été obligés d'engager une action militaire parce que Abdel Kader Baba-Laddé a refusé de respecter ses engagements de quitter le pays, en procédant au recrutement d'hommes et l'acquisition de matériels de guerre, tout en considérant "la largesse du gouvernement comme une faiblesse".

Selon lui, le gouvernement ne pouvait rester indifférent aux exactions de Baba-Laddé, notamment "les attaques des forces régulières en mission de sécurisation du territoire, les embuscades, les attaques d'autocars avec mort d'hommes, les coups et blessures volontaires sur la population civile, enlèvements des bétails des éleveurs peulhs", entre autres.

En vertu d'un accord signé avec le Tchad et un autre accord dans le cadre de la Communauté économique et monétaire des Etats de l'Afrique centrale (CEMAC), des opérations militaires conjointes aériennes et terrestres ont été lancées pour neutraliser cette rébellion sur le territoire centrafricain.

Née dans le nord-ouest de la République centrafricaine en 2008, la rébellion de Abdel Kader Baba-Laddé commençait à devenir une préoccupation à cause des exactions commises sur la population.

 

 

DEPECHE RJDH-RADIOS COMMUNAUTAIRES

Le Réseau des Journalistes pour les Droits de l'Homme en République Centrafricaine Contact: 70 90 92 78/ 75 20 49 36 – internewsrca@gmail.com - http://reseaudesjournalistesrca.wordpress.com

Bangui, 27 Janvier 2012

Obo : Le CICR rappelle le droit international humanitaire aux FACA

Le Comité international de la Croix rouge (CICR), s’est entretenu jeudi avec le détachement des Forces armées centrafricaines (FACA) d’Obo et les leaders communautaires sur le droit international humanitaire.

L’objectif de cette rencontre est de rappeler aux participants les principes du droit international humanitaire axé sur la protection des personnes vulnérables dans les zones de conflits armés.

Selon le CICR, les forces armées et les forces de l’ordre doivent s’impliquer dans la défense des droits de l’homme, la protection des personnes vulnérables, de même que des détenus.

 

Obo : Les FACA proposent le désarmement des éleveurs peulhs

Le commandant du détachement des Forces armées centrafricaines du Haut-Mbomou, Pierro Konzélo souhaite « un désarmement des éleveurs peulhs détenteurs d’armes automatiques », a annoncé radio Zéréda.

Ce voeu a été formulé au cours d’une réunion regroupant les autorités locales de la ville d’Obo, la population autochtone et la communauté peulh, destinée à trouver une solution durable au conflit qui opposent régulièrement les deux communautés.

Selon les informations recueillies par radio Zéréda, la population est mécontente des peulhs parce que leurs bétails détruisent leurs champs. De leur côté, les éleveurs les chasseurs ressortissant de la région avec des armes automatiques en représailles aux accusations de la population. Car à cause de l’insécurité liée à la LRA, la plupart des éleveurs détiendraient des armes pour protéger leur bétail en cas d’attaque.

« Il est bien de procéder au désarmement de éleveurs peuhls qui détiennent des armes automatiques et qui terrorisent les chasseurs et les paysans. Il faut aussi mettre en place un service de surveillance des camps des éleveurs peulhs», a souligné le commandant du détachement des FACA.

Il faut signaler que ces derniers temps, des cas d’assassinat par des personnes inconnues sont fréquents dans la préfecture d’Obo. Le dernier cas est celui d’un jeunes Mbororo retrouvé mort le lundi 23 janvier à 115km de Zémio, dans la forêt. Les auteurs de ce forfait ne sont pas encore connus.

 

Bangui : Un enfant de 2 ans assassiné par sa mère

Un enfant âgé de 2 ans a été tué par sa mère et jeté dans une maison inhabitée au quartier Gobongo 2 dans le 8ème arrondissement, a rapporté ce matin radio Linga de Bangui.

La présumée coupable de ce crime est une jeune femme âgée d’une trentaine d’années. La victime est son premier et unique enfant. Pour le moment elle est arrêtée et gardée à vue à la gendarmerie, pour des enquêtes.

Elle affirme avoir commis l’acte parce que son mari, le père de l’enfant l’a abandonnée et qu’elle n’a pas les moyens pour s’occuper l’enfant.

 

Boali : Des malades du sida stigmatisés

Dans la sous-préfecture de Boali, (95 km de Bangui), 219 personnes sont déclarées officiellement séropositives. Une des malades du sida, une jeune femme, raconte son calvaire au début de son statut sérologique (reportage de radio Linga de Bambari en mission à Boali) dans le cadre d’une formation.

« J’étais presque déprimée quand j’ai su que j’étais infecté, je n’y croyais pas. Quelque temps après mon mari est décédé, et là j’étais presque déprimée », a confié une jeune femme vivant avec le sida à Boali. « Mais c’était surtout ma grande soeur, à qui je me suis confiée qui me donnait des conseils et je me suis ressaisie », a-t-elle expliqué.

Si dans sa propre famille elle est acceptée avec son état, dans sa belle-famille, c’est le contraire. « J’étais très mal vue par mes beaux-parents à Bangui. Pour eux j’étais à l’origine de la mort de leur fils. Ils m’ont rejeté et j’ai été obligée de retourner avec les enfants ici à Boali », a témoigné la jeune femme.

« Tout le monde, même nos voisins de quartier me regardaient avec dédain parce que mes beaux-parents leurs ont dit que j’étais infectée », a-t-elle expliqué.

Si dans les ménages les malades du sida continuent de subir la stigmatisation, la prise en charge médicale et psychosociale est un autre défi.

« La stigmatisation et la séparation de couple sont les problèmes que nous gérons souvent ici», a expliqué Freddy Melémoto, conseiller psychosocial en matière du VIH/Sida au centre de santé de Boali, en dehors des problèmes nutritionnels et de transport pour ceux qui vivent dans les villages périphériques.

Pour Freddy Melémoto, malgré plusieurs activités menées auprès des personnes vivant avec le VIH/Sida, beaucoup reste à affaire pour améliorer la situation.

 

Bangui : Les déchets médicaux mal gérés à l’hôpital de l’amitié

Alors que Michel Poungouayé, agent d’hygiène diplômé d’Etat en service à l’hôpital de l’amitié de Bangui estime qu’un environnement malsain à des conséquences sur la santé de l’homme, la gestion des déchets médicaux pose problème dans ce même hôpital.

Dans l’enceinte de l’hôpital de l’amitié de Bangui, des seringues, des aiguilles, des sachets et des bouteilles de sérum déjà utilisés et autres déchets médicaux sont entassés, à l’indifférence de tous.

« La gestion des déchets issus des soins est un sérieux problème dans notre hôpital. Tous les jours, nos activités génèrent des déchets et le traitement de ces déchets pose un sérieux problème », a déploré Gaspard Tékpa, médecin et chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de l’amitié.

Il affirme travailler dans un environnement insalubre. « Ces déchets peuvent affecter la santé de nos malades tout en étant une source de contamination et d’infection d’autres les malades hospitalisés », a-t-il relevé.

Les parents des malades sont aussi impliqués dans la dégradation de l’environnement hospitalier. « Tous les matins, les agents du service d’assainissement et d’hygiène sillonnent la concession et les couloirs pour les rendre propres, parce qu’un hôpital salle met mal à l’aise le malade ; mais les parents des malades ne nous aident pas dans cette entreprise », a déploré Michel Poungouayé.

 

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 02:03

 

 

Carte-Centrafrique-Tchad

Samedi 28 janvier 2012

Message Abu Achta

Salut cher ami, Makaila, je passe par votre canal pour répondre a l'appel de notre ami, le général combattant Baba Laddé pour dire que nous le  Front Démocratique du Peuple Centrafricain (FDPC), sommes  derrière sa noble cause et il peut  compter sur nous pour déloger le maquisard Bozizé et ceux colites  et leur père  Idriss Deby.

Merci a vous Makaila et vive les forces  coalisées contre le mal en RCA  et au Tchad pour que vive les peuple frère de ceux deux contrées

Merci !


Abu Achta


 kagaba63@yahoo.fr

 

source : blog de Makaila

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