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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 16:53

 

 

 

Bangui, 13 Mai (ACAP)-Le Premier ministre, chef du gouvernement de transition, André NZapayéké s’est réengagé à mettre en œuvre la feuille de route du gouvernement de transition dont le budget s’élève à sept cent trente milliards (713.000.000) de francs Cfa pour une période de 18 mois de transition, lors de la présentation de sa feuille route devant les conseillers nationaux, lundi 12 mai 2014 à Bangui.

 

Le but de cette séance est de recueillir les avis des conseillers nationaux sur les quatre principaux piliers de cette feuille de route approuvée par le Comité International de Suivi et adopté par le CNT sous le gouvernement Tiangaye III en novembre 2013. La feuille de route constituée de quatre principaux piliers sont : la restauration de la sécurité sur l’ensemble du territoire et la consolidation de la paix, l’assistance humanitaires aux personnes déplacées et celles qui en ont besoin, la politique et la gouvernance et la relance économique.

 

Le Premier ministre André Nzapayéké a fait savoir que sur les 713 milliards de francs Cfa de financement annoncés, 655 milliards sont à rechercher auprès des partenaires au développement de la République Centrafricaine. Par conséquent, il a lancé un appel pressant à la communauté internationale afin de mobiliser les ressources financières nécessaires pour la mise en œuvre de cette feuille de route.

Le premier ministre centrafricain réitère l’engagement de son gouvernement à mettre en œuvre la feuille de route
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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 16:38

 

 (AFP 13/05/14)

 

Le commandant de la force de l'Union européenne en Centrafrique (Eufor-RCA), le général Philippe Pontiès, a estimé mardi que la situation dans Bangui s'était calmée au cours des deux derniers mois, tout en restant tendue dans certains quartiers. Selon lui, il resterait encore environ 6.000 musulmans à Bangui dont 3.000 dans le troisième arrondissement. La mission européenne s'y déploiera courant juin.

 

Les musulmans, assimilés à la rébellion Séléka, qui avait commis de nombreuses exactions depuis sa prise de pouvoir en mars 2013 avant d'en être chassée, ont été tués, pillés et traqués par les milices anti-balaka, à dominante chrétienne. "On voit des signes encourageants de stabilisation, les conditions de vie se sont améliorées à Bangui", a noté le général pendant une visite de l'état-major de l'opération situé à Larissa, dans le centre de la Grèce.

 

"Les marchés sont approvisionnés, les écoles ont rouvert, la Justice s'est remise au travail, de nombreux camions apportent des denrées depuis le Cameroun, il y a beaucoup de gens dans les rues" s'est félicité le général. "Mais, a-t-il ajouté, la situation reste tendue dans certains arrondissements de Bangui, les 3ème et 5ème, où vivent encore des musulmans et des chrétiens". Le général Pontiès a observé que "certains musulmans ont tendance à se radicaliser", mais qu'il est "extrêmement compliqué de faire la part des choses".

 

Il a précisé que la phase de déploiement de la mission Eufor-RCA se poursuivait "comme prévu". Elle compte actuellement 230 soldats français et estoniens qui assurent la sécurité de l'aéroport de Bangui et du camp de déplacés qui le borde et accueille actuellement 50 à 60.000 personnes. Selon le général Pontiès, le contingent finlandais devrait arriver d'ici la fin de la semaine, suivi par les Espagnols, les Géorgiens, puis des Tchèques, des Lettons et des Italiens.

 

L'Union européenne a annoncé le 1er avril le lancement de son opération militaire en Centrafrique, qui doit compter environ 800 hommes, en appui aux forces internationales française et africaine (Misca) déjà présentes sur le terrain. Le Conseil de sécurité de l'ONU a par ailleurs adopté le 10 avril une résolution autorisant le déploiement en septembre d'environ 12.000 Casques bleus pour rétablir l'ordre dans le pays, livré depuis un an aux violences intercommunautaires.

 

Le déploiement effectif de ces Casques bleus est prévu au 15 septembre.

RCA : la situation se calme à Bangui, de moins en moins de musulmans (commandant mission UE)
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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 16:25

 

 

 

New Vision - 13 mai 2014

 

L’Ouganda enverra 400 troupes au sein de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA). Le ministre ougandais des Affaires étrangères, Sam Kutesa, en a fait l’annonce lors d’une visite à Paris où, après avoir rencontré Laurent Fabius vendredi, il a accordé lundi un entretien à RFI.

 

 

Uganda to send 400 peacekeeping troops to CAR

 

By Raymond Baguma and agencies

 

Uganda is to send 400 peacekeeping troops as part of the African-led International Support Mission to the war-stricken Central African Republic (MISCA). Foreign affairs minister Sam Kutesa was in the French capital Paris on Friday during which he met his French counterpart Laurent Fabius, to seek support to the UN General Assembly presidency. Kutesa was endorsed by AU to the UN general assembly presidency.

 

In an interview with the French Radio France International (RFI) on Monday, Kutesa said he had met Fabius and discussed the situation in CAR and Uganda was asked, and had accepted to send the troops. CAR degenerated into civil and religious violence after the Seleka junta; a grouping of five rebel movements of mainly Muslim, overthrew President Francois Bozize in March last year. Presently, CAR is faced with widespread violence with UN peacekeeping mission comprised of troops from France as well as other central African countries.

 

Presently, UPDF is operating in CAR under the AU-authorized Regional Taskforce to hunt for the Lord’s Resistance Army (LRA) leaders who remain a regional threat. Kutesa told RFI during the interview, “We hope that there will be a UN arrangement for equipment, but we’ve been asked for men, for troops.” Asked whether this would not stretch the Uganda which already has troops serving in Somali and South Sudan Kutesa said, “We have a lot more troops at home.

 

What we don’t have is equipment and money. But that’s also our contribution, you know, every country, every member of the UN has a duty to contribute to peace and security in the world. And that’s what we can contribute, so we are ready to do so.” Kutesa said he had drawn up priorities which he discussed with the French foreign minister, as well the French-Uganda cooperation on trade and investment.

 

Kutesa said during his term as president, priority will be given to implementation of the post-2015 MDG agenda, a reformed UN Security Council and dealing with conflict resolution and peace building.

Centrafrique : L'Ouganda enverra 400 soldats au sein de la MISCA
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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 15:46

 

 

 

 

Bangui - AFP / 13 mai 2014 16h34 - Au moins treize personnes ont été brûlées vives dans une maison où elles avaient été rassemblées de force dans le centre de la Centrafrique par des combattants présumés de l'ex-rébellion Séléka et des Peuls armés, selon une source de la gendarmerie à Bangui.

 

Selon cette source, des hommes armés assimilés aux ex-Séléka et aux Peuls armés ont attaqué le village Dissikou dans la région de Kaga Bandoro samedi dernier. Ils ont pourchassé et capturé certains habitants, dont 13 d'entre eux ont été rassemblés de force dans une maison à laquelle les assaillants ont mis le feu après avoir barricadé les sorties. Un habitant qui tentait de s'échapper par une fenêtre a été criblé de balles.

 

Toutes ont péri carbonisées par l'incendie de la maison, a poursuivi la source, précisant que de nombreux autres habitants ayant réussi à prendre la fuite, sont arrivés horrifiés à Kaga Bandoro, où ils ont trouvé refuge à la cathédrale Sainte Thérèse. Interrogé mardi par l'AFP, un responsable de l'ex-rébellion a affirmé que les ex-Séléka ne s'aventurent plus depuis longtemps dans cette région, affirmant qu'il s'agissait de Peuls, dépossédés de leurs bêtes par les anti-Balaka (milices villageoises d'auto-défense, ndlr) et les villageois, qui mènent des représailles.

 

Depuis la prise de pouvoir de la rébellion Séléka en mars 2013, renversée en janvier 2014, la Centrafrique vit une crise sans précédent, rythmée par les exactions de l'ex-rébellion de la majorité musulmane en déroute, et celles des milices majoritairement chrétiennes anti-balaka. Les régions centre et nord sont les plus sensibles du pays depuis plusieurs semaines, au cours desquelles de nombreux villages ont été attaqués, ainsi qu'un hôpital géré par l'ONG Médecins sans frontières début mai.

 

A Kaga-Bandoro, treize personnes, dont deux civils, ont été tuées dans des affrontements entre ex-Séléka et anti-balaka à la même période.

 

(©)

 

 

NDLR : Il est un fait que plusieurs éléments ex-Séléka continuent d'évoluer en électrons libres et que leur arrestation ou mise hors d'état de nuire devient une impérieuse nécessité car on ne peut les regarder constituer durablement un danger pour les populations de l'arrière-pays. Les graves tueries de Boguila, Markounda, Bémal et autres villages du nord de Paoua frontaliers au Tchad ainsi que l'attaque dont les éléments Sangaris ont fait l'objet la semaine dernière à Boguila-Kota, sont là pour en attester.

Au demeurant, on ne peut que s'interroger sur les objectifs réels que poursuivent ces criminels s'agissant de ces nouvelles tueries de Dissikou, perpétrées à peine 48 h seulement après la mise en place d'un nouvel état-major Séléka prétendument unifié,  et  surtout,  la crédibilité  de ce commandement à l'issue de ce congrès de Ndélé.

 

Centrafrique: 13 personnes brûlées vives dans le centre du pays Bangui
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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 15:33

 

 

 

 13/05/14 (MondAfrique)

 

Les « Anti-Balaka » (caricaturalement les miliciens chrétiens de Centrafrique) doivent tenir un « congrès », ce mardi 13 mai, dans un lieu secret. Ce ne sera pas la fête du président tchadien. Grâce à Internet un groupe de « Jeunes Tchadiens » parvient régulièrement à faire connaitre au reste du monde des informations que les politiciens de l’Afrique centrale, et en particulier le dictateur de Ndjaména Idriss Déby, souhaiteraient qu’elles restent secrètes.

 

Ainsi ces journalistes de l’impossible viennent de diffuser une nouvelle importante, les « Anti-Balaka » (caricaturalement les miliciens chrétiens) doivent tenir un « congrès » ce mardi 13 mai…. L’information provient des proches du général Bozizé, l’ex-putschiste de la République Centrafricaine. Ce « congrès » tenu dans un lieu inconnu s’organiserait en « collaboration avec certains tchadiens du sud ». Le but de cette réunion plénière serait de mettre au point une action commune contre Idriss Deby.

 

Une offensive qui partirait du Sud du Tchad. Bongo et Sassou en renfort Ce congrès serait soutenu par Ali Bongo et Denis Sassou Nguesso, deux autres potentats qui ne portent pas Déby dans leur cœur. Un indice, " après recoupement des informations", un général de l’armée tchadienne, un ressortissant du sud, aurait disparu depuis quelques semaines. Il n’y a alors qu’un pas à désigner ce « déserteur » comme le futur chef militaire de "l' attaque " contre Déby….

 

Le décryptage des propos du « président » tchadien, en tout cas de ceux qu’il tient tôt le matin, ont en général un bon degré de crédibilité. Ainsi, lors d’un récent séjour à Mongo, pour le lancement de la « Campagne agricole », Déby a insisté dans un discours sur « les menaces de déstabilisation du Tchad».

 

Le maître de Ndjaména a prétendu que «certains esprits malveillants sont à l’œuvre et veulent replonger le Tchad dans la situation dramatique, celle qu’il a connue en 1979 (la guerre civile entre le Nord et le Sud) ». le site d’information de la présidence a même précisé que Déby allait «augmenter substantiellement le nombre des forces de défense et de sécurité dans la zone sud pour mieux sécuriser la population».

 

Confirmation, on constate déjà que le 12 mai, la frontière entre le Tchad et la RCA était close… Rappelons que Déby est présenté par nombre d’analystes comme celui qui se cache derrière la milice Séléka (dite « musulmane »), groupe armé qui, après avoir pris pouvoir à Bangui a semé la terreur en Centrafrique où près de 5 millions de personnes ont été déplacées et des milliers d’autres tuées.

 

Aujourd’hui l’ONU prévoit qu’à la fin de l’année près de 400 000 réfugiés seront en état de survie dans le sud tchadien.

 

Jacques Marie Bourget

 

http://mondafrique.com/lire/politique/2014/05/13/les-anti-ba...

Lu pour vous : Les Anti Balaka centrafricains veulent la peau d’Idriss Déby
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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 13:06

 

 

 

 13/05/14 (RFI)

 

Le Tchad a annoncé, lundi 12 mai, avoir fermé sa frontière avec la Centrafrique. Le chef de l'Etat, Idriss Deby, en tournée au sud du pays depuis le 8 mai, s'est chargé de l'annoncer lui-même aux populations : désormais, hormis pour les Tchadiens quittant définitivement la RCA, la frontière est fermée à tout mouvement de population.

 

Hassan Sylla, ministre tchadien de la Communication: Nous avons voulu absolument que toute la zone soit sécurisée et que la population soit sécurisée. Celle qui se trouve du côté du Tchad, mais c'est également pour éviter que la Centrafrique ne puisse avoir des malfrats qui puissent traverser nos frontières pour aller faire du mal de l’autre côté.

 

Donc, c’est pour des raisons sécuritaires. Depuis quelque temps, depuis que la crise centrafricaine a commencé, nous avons reçu une forte communauté de Tchadiens et aussi des réfugiés, ils sont plus de 150 000. Ces réfugiés sont à des dizaines de kilomètres de la frontière et il faut les sécuriser.

 

http://www.rfi.fr/afrique/20140513-le-tchad-ferme-frontiere-...

Le Tchad ferme sa frontière avec la RCA pour des raisons sécuritaires
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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 13:01

 

 

 

Par : Laura | French.china.org.cn | Mis à jour le 13-05-2014

 

La situation sécuritaire au Mali, au Sahel et en Centrafrique a été au centre de l'entretien que Jean-Yves Le Drian, ministre français de la Défense, a eu lundi à Nouakchott avec le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, a-t-on appris de source officielle.

 

S'adressant à la presse après une audience avec le chef de l' Etat mauritanien, M.Le Drian, qui est arrivé lundi à Nouakchott, dernière étape de sa tournée ouest-africaine, a souligné que le but de son séjour était d'échanger avec le président mauritanien "à la fois sur la relation entre la Mauritanie et la France dans le domaine militaire où les relations sont excellentes et sur la coopération très concrète et efficace dans de nombreux domaines". "Nous avons (au cours de cet échange) insisté, s'agissant de la situation au Mali, sur la volonté d'aboutir à la pacification définitive du pays", a-t-il déclaré.

 

En outre, M. Le Drian a révélé avoir évoqué, "au-delà du Mali, l'ensemble de la problématique Sahel puisque, comme vous le savez, la France a décidé de réorganiser son dispositif dans cette partie de l'Afrique pour être en mesure de lutter contre le terrorisme". "La plaie et l'origine de cette insécurité, ce sont les groupes terroristes qui perturbent l'ensemble du territoire et font que la croissance ne soit pas au rendez-vous", a-t-il souligné. La France, a-t-il poursuivi, a organisé un dispositif autour de Gao, N'Ndjamena, Niamey et Ouagadougou dans le cadre d'une conception régionale de son action.

 

A propos de la situation en Centrafrique, évoquée au cours de l' audience, M. Le Drian a déclaré que le président mauritanien " envisage de contribuer à la mission d'opérations de maintien de la paix décidée par les Nations unies". "J'ai souhaité que le président en exercice de l'Union africaine puisse, au sommet prévu en juin, évoquer cette prise de conscience des risques qui existent aujourd'hui en République centrafricaine et la nécessité de solutions sécuritaire et politique", a-t-il conclu.

 

Source: Agence de presse Xinhua

Mauritanie : les problèmes sécuritaires au Sahel et en Centrafrique au centre de la visite du ministre français de la Défense
Mauritanie : les problèmes sécuritaires au Sahel et en Centrafrique au centre de la visite du ministre français de la Défense
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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 12:54

 

 

 M. Jean Christophe BELLIARD, Directeur Afrique et Océan Indien au Ministère français des Affaires Etrangères a été reçu en audience au Palais de l’Unité par le Président de la République, S.E.M. Paul BIYA, vendredi 09 mai 2014. Les entretiens ont essentiellement portés sur les questions de sécurité : la guerre civile en République centrafricaine, ainsi que les actions terroristes menées par la secte islamiste Boko Haram au Nigeria et qui touchent le Cameroun.

 

Au sortir d’un entretien de plus d’une heure avec le Chef de l’Etat camerounais, l’émissaire du Quai d’Orsay a confié à la presse, qu’ils ont échangé des questions liées à la crise centrafricaine, notamment ses nombreuses conséquences sur les populations et dans la sous-région, ainsi que la recherche des solutions de sortie de crise. « La France se réjouit du travail que le Cameroun réalise en RCA », a affirmé le Directeur Afrique et Océan Indien au Ministère français des Affaires Etrangères.

 

La contribution du Cameroun se décline dans divers domaines, militaire par l’envoi des soldats, et l’humanitaire par l’accueil des refugiés. La Centrafrique bénéficie en ce moment d’une aide financière au trésor camerounais, grâce à laquelle les fonctionnaires centrafricains perçoivent leur salaire.

 

Enfin le soutien camerounais est perceptible avec le transit des forces françaises, de la marchandise, et de l’aide humanitaire en direction de la RCA, a-t-il indiqué. Sur le terrain, la situation reste compliquée a-t-il reconnu, notamment en dehors de Bangui la capitale où on observe progressivement le retour à la normal. Mais, grâce aux contributions diverses, les dispositions sont prises pour que l’autorité de l’Etat soit restaurée au plus vite.

 

S’agissant des questions de coopération entre nos deux pays, BELLIARD a réitéré que les relations bilatérales étaient excellentes et empreintes de confiance. Raison pour laquelle a-t-il poursuivi, la France n’a pas oublié et n’oubliera pas le rôle joué par le Cameroun, ainsi que par son Chef d’Etat dans la libération des otages français enlevés au Cameroun. M. Jean Christophe BELLIARD était accompagné au palis de l’Unité de l’Ambassadeur au France au Cameroun, Madame Christine ROBICHON.

 

© Source : PRC http://www.camer.be/33605/6:1/cameroun--crise-en-rca-le-et-la-france-se-concertent-cameroon.html

Lu pour vous : Crise en RCA : le Cameroun et la France se concertent
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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 12:43

 

 

 

1

 

Frères vous vous êtes tus

Vous ouvrez les yeux éveillés

De la liberté des journalistes

De la République Centrafricaine

 

2

 

On vous a tués parce qu’ils

Tuent le Peuple uni de Centrafrique

Qui a vaincu l’envahisseur

Qui vient troubler

L’eau claire de la victoire

 

3

 

Votre victoire, la victoire de notre pays

La République centrafricaine

Est gagnée sous nos yeux

Éveillés ils répandent notre

Sang comme une perte de

Temps non ce sont des voleurs

 

4

 

Frères pauvre est notre sépulture

Pauvre est notre nourriture

Tous ces voleurs de nos diamants

Devant nous baissent leur grande

Gueule devant notre Droit

De les vaincre et de les chasser

De bâtir la Centrafrique

 

5

Frères je vous dédie ce poème le vôtre

Vous êtes tous les deux présents

Dans cette pancarte de l’ACAP

Vos frères journalistes paisibles

La marche éveillée de notre pays

Qui vous pleure

 

6

 

Écartez-vous œil rouge

Jaloux de la République

Centrafricaine avec vos fusils

Qui font semblant de nous

Terroriser nous vos vainqueurs

 

7

 

Laissez-nous! Nous articulons

Cette arme nouvelle le Sangho

Qui réjouit qui fait danser

Depuis les horizons de nos moissons

Frères mères grands pères

 

8

Sur terre nous n’avons qu’une âme

Centrafrique !

Tous les deux vous rejoignez cette àme

De nos Ancêtres

Vous vous êtes tus

Nous vous pleurons

Vous êtes la voie l’âme de nos Pères

 

Bamboté Makombo

 

12 mai 2014

Pour Désiré Sayenga et René Padou Hommes de la liberté de nos pères par Bambote Makombo
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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 12:37

 

 

 

PARTI POUR LA RENAISSANCE CENTRAFRICAINE

 

Patrie - Paix - Progrès

 

Réf. 13-05-2014/COM/PARC/VP/ 009

 

 

LETTRE OUVERTE A MADAME LA PRESIDENTE DE TRANSITION

 

 

Madame la Présidente de Transition,

 

Le congrès de SELEKA, tenu à N'DELE ces derniers jours a dans ses conclusions, acté la nomination d'un chef d'Etat Major Général des Armées et celle d'autres personnes à des fonctions régaliennes. Un ultimatum d'une semaine a été adressé à votre Gouvernement. Celui-ci est sommé entre autres de réparer les préjudices causés à nos frères musulmans.

 

De toute évidence, il s'agit pour tout centrafricain d'une surprise et d'un sujet d'inquiétude. Selon nos informations, la Force Sangaris a été missionnée par votre Gouvernement pour acheminer certains représentants de la mouvance Séléka sur place, à ce congrès ! De l'inquiétude nous passons à l'incompréhension.

 

Nous pouvons admettre que vous souhaitiez peser sur les débats et avoir sur place des représentants ou des émissaires, mais il est nécessaire que vous nous teniez informé. Concomitamment, le Tchad a annoncé la fermeture de sa frontière avec la RCA. Au même moment !

 

En toute logique, nous aimerions avoir des éclaircissements sur la manière dont vous lisez - ou participez - à ces événements au moins comprendre dans quel processus politique vous engagez notre pays. Nous vous prions Madame la Présidente de Transition de croire à l'expression de notre haute considération.

 

Fait à Bangui, le 13 mai 2014

 

Le Vice - Président du PARC

 

Dr François MBOLIDI

Affaire état-major Séléka : Le PARC interpelle la présidente de la transition
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