Voici en exclusivité, la dernière déclaration que François BOZIZE YANGOUVONDA voulait faire à la nation mais qu'il n'a pas pu délivrer, obligé de détaler devant l'entrée des éléments de Séléka dans la capitale. Le président déchu voulait lancer un appel à la France et à l'Afrique du sud dont les troupes étaient présentes à Bangui afin de stopper l'avancée de Séléka sur qui il rejetait la responsabilité de la violation unilatérale des Accords de Libreville, feignant d'oublier que lui aussi avait une grande part dans la violation desdits Accords, usant sans cesse de roublardise et remettant constamment en cause les engagements qu'il a pris devant ses homologues chefs d'état de la sous-région.
La rédaction