Depuis quelques jours, un lâche individu se cachant derrière le pseudonyme de Jésus Ngakoutou, répand sur le Directeur de Publication de Centrafrique-Presse sa bile et les pires insanités à travers un texte ordurier que l’auteur a également tenté en vain de faire publier en ligne sur certains sites web d’information sur la RCA dont certains responsables, par professionnalisme, respect des principes et du code de déontologie, lui ont fermement opposé une fin de non-recevoir.
A l’évidence et ce n’est un secret pour personne que la part que prend Prosper N’douba le Directeur de Publication du site Centrafrique-Presse dans l’information sans complaisance des Centrafricains, tant ceux vivant sur le territoire national qu’au niveau de la diaspora ainsi que de l’opinion internationale, ne peut pas lui faire que des amis.
Les multiples révélations semaine après semaine et mise à nu des nombreux crimes de sang et économiques, de la mauvaise gouvernance et l’incurie du régime Bozizé et tous ceux dans les gosiers desquels coulent actuellement les délices de l’homme du 15 mars 2003, ne peuvent que lui attirer les foudres des tenants du pouvoir de Bangui. De ce point de vue, le site Centrafrique-Presse est devenu l’empêcheur de faire de la prédation en rond et dérange plus d’uns en levant, autant que faire se peut, le voile sur un tel état des choses.
Ce n’est pas par le pur des hasards que la campagne de dénigrement qui cible actuellement Prosper N’douba démarre juste après des articles parus il y a peu dans Centrafrique-Presse et décrivant par le menu, les pratiques et agissements économiquement criminels de l’association politique BOZIZE DOIT RESTER (BDR) conçue et mise sur pied à des fins de prédation évidente par un individu au passé sulfureux bien connu sous d’autres cieux et reconverti de façon opportuniste en thuriféraire de la bozizie et infiltré dans les services de renseignement de la présidence à Bangui.
Le choix du dénigrement comme méthode et axe de défense du créateur du BDR n’enrichit pas le débat de fond et n’apporte en rien les preuves contraires pour l’information des compatriotes et l’opinion publique sur les sujets et les accusations portées contre lui. De ce fait, puisqu’il ne dit mot, il consent. Les accusations portées contre lui sont ainsi confirmées et constituent des éléments de preuves suffisants pour justifier l’ouverture d’une instruction judiciaire….en temps opportun.
Une chose est sûre, aucune campagne d’injures et de dénigrement, quelle que soit son degré de bassesse et sa virulence, ne saurait empêcher et détourner le site Centrafrique-Presse et sa rédaction unie derrière son Directeur de Publication, de continuer à informer les Centrafricains et l’opinion publique avec la même pertinence et efficacité habituelles, surtout à la veille d’élections présidentielles capitales pouvant permettre de balayer le régime dictatorial et sanguinaire de Bozizé afin d’apporter le changement tant souhaité par les Centrafricains.
La Rédaction de C.A.P