COMMUNIQUE DE PRESSE
Mon livre « LA PLACE DU CHRETIEN DANS LA VIE POLITIQUE », ayant pour mots-clés : « GESTION POLITIQUE AVEC LA CRAINTE DE DIEU » vient de paraitre, édité par DICTUS PUBLISHING.
Ce livre de poche contient une première partie de mes propres expériences dans le domaine politique avec bien évidemment la grâce de Dieu. Destiné aux chrétiens qui désirent s'y engager pour assurer véritablement le bien- être de leurs semblables, il contient également des conseils primordiaux pour ceux-ci comme disciples de Jésus, autrement dit sel de la terre et lumière du monde, deux rôles à jouer en toutes circonstances.
Les tentations étant innombrables dans l'arène politique, le sel ne doit pas perdre sa saveur, pour devenir fade, donc inutilisable, et la lumière ne doit pas être cachée, mais briller pour chasser les ténèbres. Il s’agit d’un engagement qui se manifeste tant en paroles qu'en actes (Luc 14: 34-35 ; Col.4: 6).
Dieu n'interdit ni la politique, ni la richesse. Cependant une vigilance absolue est à observer à l'égard des deux, car principales causes de la perte de foi des chrétiens.
Le livre parle de la position de Jésus face aux tendances politiques de Son temps pendant Son séjour sur la terre, à l’égard du pouvoir temporel, précise le contexte et le sens exact de l’expression employée à l’époque par le Seigneur : « A César, ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu », devenue proverbiale et faussement interprétée par les hommes politiques, justifie la nécessité pour les disciples de Jésus, sel de la terre et lumière du monde de s’engager dans la vie politique en la pratiquant autrement, à la différence de ceux qui n’ont pas la crainte de Dieu, exhorte vivement ceux qui aspirent à cette carrière à se couvrir de la panoplie de Dieu, seule condition pour l'exercer avec succès comme mission, afin de soulager la souffrance de leurs semblables.
La réflexion sur ce sujet n’est pas avancée surtout en Afrique où beaucoup de chrétiens se sont mis à l’écart de la politique, à cause de la tradition observée, notamment par l’Eglise protestante à l’égard de la politique à cause de la manière dont elle est pratiquée jusqu’ici par des païens, marquée notamment par : l’ignorance de Dieu, les meurtres, les enlèvements, les tortures, les lavages de cerveau, les complots, les actes de vengeance, de médisance, les disputes, les propos de haine et de malheur, les pratiques occultes, l’esprit de parti, les détournements, l’amour de l’argent et des biens matériels, la corruption, l’orgueil, la délation, la calomnie, les coups bas, les enrichissements sans cause, les appauvrissements pour affaiblir financièrement, matériellement, socialement les adversaires, l’injustice, la division, le mensonge, la démagogie, les intrigues, l’idolâtrie, le culte de la personnalité, les armements et les guerres, le pacte avec Satan ou le mal etc.
Cette liste de péchés qui est effrayante pour un chrétien rend la politique responsable de ces maux.
Cependant, selon René COSTE dans Evangile et Politique, la politique « englobe les structures internes du groupe humain : structures économiques, sociales, culturelles et même familiales ».
Les questions qui découlent naturellement de cette affirmation sont les suivantes :
1- Si la politique s’étend à tous les domaines de la vie, les chrétiens, disciples de Jésus Christ, désignés par le Seigneur Lui-même comme sel de la terre et lumière du monde (Mathieu. 5 :16), doivent-ils se mettre à l’écart et laisser la gestion, la direction de la société dans laquelle ils vivent, entre les seules mains des païens qui n’ont même pas la crainte de Dieu ?
2- Les chrétiens, enfants de Dieu, doivent-ils croiser les bras, demeurer inactifs et se laisser diriger par des païens, autrement dit par ceux qui sont manipulés par le diable, et vivre ainsi selon des orientations dépourvues d’esprit de justice et de paix ?
3- Les chrétiens doivent-ils demeurer de simples témoins désintéressés et impassibles des souffrances, des convulsions où se débattent désespérément des hommes, c'est-à-dire leurs semblables, leurs frères ?
4- Les chrétiens qui sont le sel de la terre et la lumière du monde, doivent-ils laisser le sel devenir fade et cacher la lampe qui doit éclairer tout le monde sous un seau ?
Bref, il s’agit là d’une série de questions que tout chrétien devrait se poser au sujet de sa position exacte face à la politique.
A la demande de l’OPERAF pour les facultés de théologie politique, de nombreux serviteurs de Dieu, des chrétiens d’une manière générale, je mets par écrit ce sujet, enrichi de plusieurs recherches, en deux parties.
La première partie qui est le présent ouvrage, contient non seulement des orientations pour les chrétiens pratiquant ou désirant s’engager dans la vie politique, mais indique comment Dieu établit les autorités qui gouvernent, fixe la durée de leurs fonctions, les dirige pour accomplir Sa volonté etc.
La deuxième qui sera éditée très prochainement, comprend mes propres témoignages aux diverses fonctions politiques que j’ai occupées comme chrétien, afin d’encourager ceux qui sont appelés à cette carrière pour le bien de leurs semblables.
Le livre a été édité quelques jours après les élections présidentielles aux Etats Unis d’Amérique qui confirment son contenu par les résultats de la lutte du pasteur Martin Luther KING pour l’égalité des Noirs et des Blancs d’une part et l’amour des uns dans les cœurs des autres d’autre part, ayant permis l’accession et la réélection d’un Noir à la tête de ce pays, plusieurs décennies après sa mort.
En effet, tout ceci n’a été possible que grâce à l’amour, au refus de vengeance, à la tolérance, et d’une manière générale à la parole de Dieu utilisée par Martin Luther KING comme toute arme politique.
Le livre est vendu dans le monde entier et peut être acheté en ligne sur : www.morebooks.fr
Que Dieu vous bénisse.
Paris le 15 novembre 2012
Emmanuel Olivier GABIRAULT
Personnalité Politique indépendante