Bangui, 11 mars 2013 (CAP)
- Ce négrier des temps modernes qui se dit patron de société et opérateur
économique, expulsé de France pour escroquerie, poursuit dans la même voie dans son propre pays. Avec au moins un trimestre d’arriérés de salaires dû à son personnel, la société de Pascal Koyagbélé bat le record des sociétés les plus endettées de Bangui mais ce dernier est incapable d’y faire malgré la protection de Socrate Bozizé.
Maintenant c’est sur de pauvres femmes qui font le commerce d’huile de
palme qu’il se retourne. Ainsi, on voit au quotidien de longues queues de ces vendeuses d’huile de palme devant son bureau pour réclamer leurs dus.
Selon des sources proches de la société de cet énergumène, certaines vendeuses au détail veulent d’huile de palme qui veulent en importer de Zongo en RDC, passent par Pascal Koyagbélé et sa société et payent un gros montant mais ces pauvres dames attendrons en vain d’être livrées. Obligées de réclamer le remboursement de ce qu’elles ont préalablement versé au truand sans obtenir satisfaction, ses dames se font régulièrement tourner en bourrique avec même, cerise sur le gâteau, des menaces de se faire arrêter à la clé.
Et avec cela, quand Centrafrique-Presse en fait état pour informer l’opinion, son Directeur de Publication devient l’ennemi numéro 1 et l’homme à abattre de Pascal Koyagbélé qui n’hésite pas instrumentaliser et financer maintenant des journalistes afin qu’ils s’en prennent et dénigrent le Directeur de publication de Centrafrique-Presse.
Quel dignité et grandeur y-a-t-il à tenir des conférences de presse pour cibler uniquement Prosper N’douba ou seulement pour jeter en pâture aux journalistes et à Socrate Bozizé les noms de ses concurrents du marché du km 5 à abattre, conférences de presse à la fin desquelles Pascal Koyagbélé distribue aux journalistes des savonnettes et de l’huile de palme pour qu’ils salissent le nom de Prosper N’douba !