Source: Service-Unis Nouvelles Nations 15 mars 2011
Le Secrétaire général Ban Ki-moon a appelé aujourd'hui les pays d'Afrique centrale à ratifier dès que possible une convention régionale réduction des armes légères et armes de petit calibre, en promettant le soutien des Nations Unies pour la mesure à la promotion de la paix et la stabilité.
«Je vous exhorte à mettre un terme à la violence armée, de fermer le commerce transfrontalier d'armes illicites, et de lutter contre le pillage et le trafic de matières premières", a déclaré la 32e réunion ministérielle du Comité consultatif permanent des Nations Unies sur la sécurité Questions en Afrique centrale, qui aura lieu à Sao Tomé.
Dans un message lu par le chef par intérim du personnel de l'Office des Nations Unies pour l'Afrique centrale, Bruno Mpondo-Epo, M. Ban a salué la tenue d'élections présidentielles et législatives en République centrafricaine (RCA) en Janvier et les élections législatives au Tchad en Février, appelant les autres pays de la région où les sondages sont dus à cette année pour s'assurer qu'elles se déroulent dans un climat de paix et de sécurité.
Mais il a regretté que malgré les progrès réalisés ces derniers mois, la violence armée a continué à prolonger un climat d'insécurité dans certaines parties de la région.
«A cet égard je condamne une fois de plus les viols et assassiner des civils - femmes, hommes et enfants - en particulier dans la région du Kivu de la République démocratique du Congo (RDC) et la région est de la RCA, dit-il.
M. Ban a également exprimé sa préoccupation devant les actes de piraterie au large des côtes du Cameroun et la Guinée équatoriale.
NDLR : Gravement induit en erreur par les rapports mensongers de Mme Zewde, Ban-Ki moon cntinue de se tromper lourdement sur les élections en République centrafricaine du 23 janvier dernier qui n'ont été qu'une grossière mascarade ayant permis à Bozizé de réaliser un hold-up électoral. Alors que tout le monde sait que Bozizé a été mal élu, c'est l'envoi d'un message de félicitation par Ban-Ki moon qui lui a fait croire que son élection frauduleuse était validée par les Nations Unies. L'ONU a donc pris la lourde responsabilité de se ranger derrière un dictateur sanguinaire et impopulaire qui opprime son peuple. La tenue d'élections en Centrafrique a débouché non pas sur une situation d'apaisement mais plutôt sur une grave crise postélectorale qui réserve des lendemains incertains dans ce pays.