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22 mai 2019 3 22 /05 /mai /2019 17:50
Une religieuse franco-espagnole de 77 ans assassinée en Centrafrique

 

https://www.francetvinfo.fr

 

Elle a été retrouvée décapitée dans un village où elle enseignait la couture à des jeunes filles dans l'ouest de la Centrafrique.

Une religieuse franco-espagnole âgée de 77 ans a été retrouvée assassinée dans le village de Nola, près de Berbérati, dans l'ouest de la Centrafrique, rapporte France Bleu Occitanie mercredi 22 mai. Sœur Inès était membre de la communauté des Filles de Jésus basée à Massac-Séran, à côte de Lavaur (Tarn). Les motifs de cet assassinat ne sont pas connus.

Selon le diocèse d’Albi, c'est le gardien qui a découvert dans la nuit de dimanche à lundi que la religieuse avait disparu. "Il a donné l’alerte, précise le diocèse d'Albi. Les religieuses et les villageois ont aussitôt entrepris les recherches. Sœur Inès a été finalement retrouvée, décapitée, de l’autre côté du fleuve au bord de la forêt. Le motif de cet assassinat est pour l’heure inconnu."

Un assassinat "barbare"

Le pape François a évoqué mercredi sur la place Saint-Pierre cet assassinat "barbare". Il a appelé la foule à prier en silence pour sœur Inès, qui était originaire de Burgos, en Espagne. Depuis plusieurs années, elle avait été envoyée en mission en Centrafrique, près de la ville de Berbérati, à l’ouest du pays, où elle vivait avec une autre soeur de la communauté tarnaise, sœur Bénédicte, et des sœurs centrafricaines.

Mis à jour le 
 

Une religieuse du Tarn, âgée de 77 ans, retrouvée assassinée en Centrafrique

 

https://actu.fr/occitanie/massac-seran  le 22 Mai 19 à 14:36|

Une religieuse du Tarn a été découverte décapitée en Centrafrique où elle était missionnaire. Sœur Ines, 77 ans, appartenait à une congrégation de Massac-Séran, près de Lavaur.

Cela faisait plusieurs années, déjà, qu’elle vivait de l’autre côté de la Méditerranée. L’une de ses coreligionnaires de la communauté des Filles de Jésus se souvient :  

Lors de ses passages à Massac (sa congrégation d’origine, près de Lavaur, dans le Tarn, ndlr), Sœur Inès nous disait qu’il lui tardait de repartir. On la sentait désormais plus Centrafricaine qu’Européenne. 

Corps décapité

Native d’Espagne, la religieuse de 77 ans est morte assassinée dans le village de Nola, appartenant au diocèse de Berbérati (Centrafrique), où elle avait été envoyée en mission auprès des populations locales, comme l’explique le diocèse d’Albi.

Lire aussi : Profanation de la cathédrale de Lavaur : le prêtre a rencontré les responsables, ce qu’il s’est dit

Dans la nuit de dimanche 19 à lundi 20 mai 2019, la chambre qu’elle occupait avait été retrouvée à la fois vide et sens dessus dessous par le gardien des lieux. Il avait immédiatement donné l’alerte.

Les villageois s’étaient spontanément joints aux recherches. Selon Vatican News, le corps décapité de la religieuse avait finalement été retrouvé, peu de temps après, près du fleuve, en bordure de forêt.

Un pays en proie à la violence

En proie à la violence, ces six dernières années, la République centrafricaine est un petit pays de 4,5 millions d’habitants qui appartenait autrefois à l’Afrique équatoriale française.

Sœur Ines Nieves Sancho était originaire de Burgos (Castille-et-Leon, Espagne). Elle faisait partie depuis de nombreuses années de la communauté des Filles de Jésus de Massac-Séran, près de Lavaur, aujourd’hui en deuil.

Elle apprenait la couture aux filles

En Afrique, précise Vatican News, elle apprenait notamment la couture aux jeunes filles. Elle y vivait depuis 1996. La victime a été inhumée mardi 21 mai 2019, en raison de la chaleur tropicale qui règne sur le pays.

Pour l’heure, le motif de cet assassinat demeure inconnu. 

 

Une religieuse retrouvée décapitée

 

https://www.tdg.ch  Centrafrique

 

Une religieuse franco-espagnole de 77 ans qui enseignait la couture à des jeunes filles a été sauvagement assassinée dans un village en Centrafrique.

 

La religieuse a été assassinée dans un village dans l'ouest de la Centrafrique, selon le portail officiel du Vatican.

Selon le site Vatican News, la religieuse a été retrouvée décapitée lundi matin. Mais selon un évêque venant de son diocèse espagnol d'origine et un abbé en Centrafrique, elle aurait plutôt été égorgée pour des raisons encore inconnues.

Le pape François a évoqué mercredi sur la place Saint-Pierre un assassinat «barbare».

«Je veux rappeler la mémoire d'Inès Nieves Sancho, 77 ans, éducatrice des filles pauvres depuis des dizaines d'années, tuée de manière barbare en Centrafrique précisément dans le local où elle enseignait la couture à des jeunes filles, une femme qui en plus a donné sa vie pour Jésus au service des pauvres», a déclaré le pape François durant son audience sur la place Saint-Pierre, en appelant la foule à prier en silence pour elle.

«Dans la nuit de dimanche à lundi, ses agresseurs se sont introduits dans sa chambre et l'ont conduite au centre qu'elle animait pour les jeunes filles, où ils l'ont décapitée»,

écrit Vatican News.

Raisons inconnues

«Aucune revendication n'a été exprimée, mais selon un député local, ce meurtre pourrait être lié au trafic d'organes humains, et aux crimes rituels nombreux dans la région», ajoute le site.

Le porte-parole du diocèse de Burgos (nord de l'Espagne), d'où était originaire la religieuse, a pour sa part rapporté la version d'un évêque, lui aussi originaire de Burgos et installé en Centrafrique, indiquant qu'elle aurait été «égorgée».

«Il m'a dit qu'elle avait plutôt été égorgée: ils lui ont tranché le cou jusqu'à la tuer, mais ils ne lui ont pas coupé entièrement la tête», a-t-il déclaré à l'AFP.

Une religieuse franco-espagnole de 77 ans assassinée en Centrafrique
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Published by Centrafrique-Presse.com