Les revelations sur l’odieuse machination électorale du 30 décembre savamment orchestrée afin d'empêcher le peuple centrafricain de choisir librement ses dirigeants ne cessent de tomber. Ces informations sont aussi effarantes les unes que les autres. Au centre de cette tartufferie se situe le sulfureux beninois et responsable adjoint du Pnud Aurelien Agbeyonci.
En effet l’ami personnel d’Anicet Georges Dologuele depuis Brazzaville ou ces douteux compères raffolaient de petites filles ( chose que d’ailleurs Mr Agbonyonci continue de pratiquer a Bangui ou il se prend pour le vice-roi ) a été surpris nuitamment par un autre candidat (Jean Serge Bokassa) chez un autre candidat, en occurrence Sieur Anicet Dologuele alias Mr 10 % savourant une bouteille de Chivas 18 ans d age et rigolant aux éclats, se glorifiant certainement de leur malhonnête et macabre entreprise, remettant du coup en cause l'impartialité du Pnud et par ricochet celle de la communauté Internationale.
A cela il faudrait ajouter les fortes présomptions de fraudes qui pèsent sur ses épaules. Les uns et autres sursurent a Bangui qu’il aurait participer a la confection des fausses cartes d’electeurs, infiltrer d’autres béninois dans la machine de l’ANE pour finir le travail commencer sur le terrain.
Il serait donc judicieux de rappeler au Programme des Nations pour le Développement que sa presence en Centrafrique n’a qu’un but et un seul : aider ce pays et sa population pour qu’ils sortent d’une crise qui ne dit pas son nom et de la nuit noire dans laquelle ils sont plongés pour retrouver leur place dans le concert des nations.
Or, la presence de Mr Agbeyonce mais aussi et surtout sa posture et partiale position auprès de son ami et frère Dologuele remet en cause la position d’arbitre neutre et impartiale que se devrait d’avoir le Pnud, ôtant du coup a la communauté internationale le benefice d’un travail difficile (durant lequel plusieurs soldats et une journaliste ont paye de leurs vies, sans compter le nombre important d’otages ) accompli depuis plus de 2 ans maintenant.
Aussi, pour que le Pnud puisse redorer son blason, regagner la confiance du peuple Centrafricain ( que Mr Agbeyonci meprise ) et espérer conduire de façon consensuelle le processus electoral en cours ou simplement faire accepter une quelconque decision qui sera prise par elle, il serait primordial et nécessaire de se départir de Mr Agbeyonci, en un mot le Programme des Nations unies pour le developpement devrait tout simplement renvoyer chez lui le représentant adjoint.
Tous les Centrafricains le savent, l’accointance de Mr Agbeyonci et de son ami et frere Dologuele est tellement profonde que c’est une villa de Mr Dologuele que Mr Agbeyonci a choisi comme residence, villa qu’il loue a Dologuele. Un candidat aux elections qui serait le bailleur ( comme on dit chez nous ) du represent adjoint du Pnud sense veiller a la bonne marche du scrutin est une sinecure que le peuple Centrafricain ne saurait accepter Cela ne peut se faire et cela ne saurait être toléré.
Pour que le processus electoral ne puisse encore faire l’objet d’autres contestations, il serait nécessaire pour le Pnud de faire amende honorable : le départ de Mr Agbeyonci s’impose.
Jerome Gbuida.