Nous savons sur le plan de la sécurité, la mobilisation internationale et, les efforts se déploient, même si les résultats espérés n’atteignent pas encore leurs objectifs escomptés. Par ailleurs, il est inimaginable aujourd’hui en Centrafrique, compte-tenue de l’ampleur profonde, de cette crise que traverse notre cher Pays ! De penser que ! Les convoitises en vues d’une quête de redistribution des postes ministériels aux uns et aux autres (Anti-balaka, Séléka), les partis de l’opposition démocratique, regroupant dans la fameuse Alliance des Forces Démocratique pour la Transition (AFDT), encore ! Une création regroupant à nouveau les entités politiques soit d’Opposition.
Ces derniers n’est autre qu’un enfumage politique et médiatique « un abus de langage ou une couillonnade intellectuelle ». Pour ainsi dire, une embrouille communicationnelle saugrenue à la Nation Centrafricaine. Comme s’ils n’ont jamais étés au pourvoir et, c’est maintenant qu’ils retrouvent le sens de l’Etat, se prévaloir et réclamer l’urgence dans le rétablissement de l’autorité de l’Etat ! Quant au dernier communiqué de presse signé Alliance des Forces Démocratique pour la Transition (AFDT). Je me pose des questions : De quelle alliance des Forces…etc. ?…, et de quelle Opposition démocratique ? Surtout maintenant ! Et pour quelle Transition ? S’il faut que l’on décompose l’abréviation du (AFDT). Rappel: Alliance des Forces Démocratique pour la Transition (AFDT).
Ce dernier période dans l’histoire de la République Centrafricaine, on eut la Gouvernance de la République à la portée de main ! Sous le Gouvernement d’union National versionning Bozizé-Tiangaye ! En suite, le Gouvernement de Transition versionning Djotodia-Tiangaye !, avec plein pouvoir et soutien de la communauté internationale, nous connaissons les résultats ! Pourtant, l’heure est aux soutiens indéfectibles de cette Nouvelle Transition. Et maintenant, il nous faut des réelles compétences et non des combinaisons macabres, pour les fossoyeurs de la République! L’Etat Centrafricain est aujourd’hui quasi inexistant, en laissant la place aux anarchistes qui se cachent sous les étiquettes des hommes politiques, notre Pays avait et continu de subir une gestion hasardeuse, arbitraire, une corruption gangrénante. Profitant à des insolents enrichissements, illicites mal sein au détriment du peuple, et j’en passe ! Il nous faut des réelles compétences maintenant, pas ces combinaisons macabres !
Dans les choix des acteurs dirigeants, gouvernants intègres avec une réelle vision au sens propre de la restauration de l’Etat. Sur le plan Structurel, Organisationnel et Fonctionnel, Respectueux des besoins de citoyens. Je ne cesse de dire, de mon point de vu ! En ce moment précis, Nous devrons calmés les ardeurs de la politique politicienne, suspendre des combats fratricides, l’heure est à la reconstruction, au rétablissement de notre Unité Nationale ! Nous n’avons qu’une seule direction à emprunter, nous unies afin de relever notre Pays. Ps) Sortir la République Centrafricaine dans les aphtes de la barbarie, sous aucun prétexte. Par ailleurs, les compétences attendues devront se caractériser vus les enjeux, les défis, de la Technocratie qualifiantes, expérimentés, avoir un sens suprême de l’Etat moderne. Il est inimaginable pour un Pays souverain que c’est l’organisation des Nations Unis « l'ONU, qui doit transmettre des copies de documents, qui fond office des archives de notre Pays, pour remplacer les documents Officiels détruits, pillés ou perdus au ministère centrafricain des Affaires étrangères. Nb)
Publié par Centrafrique presse le 30/04/2014 ». Inadmissible, un exemple patent de manquement de vision, d’anticipation des dirigeants dans les pilotages des affaires de la nation, absence de stratégies d’’historisation des archives, ainsi la sécurisation de nos éléments des systèmes d’Informations, les moyens de la bonne Gouvernance de Système d’Information (GSI) de notre Pays. Pourtant notre Pays a plus de 50 ans d’indépendant…etc. Je constate, et même très choqué, que les différents dirigeants passés sur la tête de notre Pays, n’ont aucun sens de la prévention de l’Etat, pour ne pas dire, le respect et, principe de la confidentialité d’Etat. Le Pays continu de subir les aléas du type :
Avant l’arrivé de la tornade « Séléka » dans notre Pays ! Une absence quasi chronique, des infrastructures modernes, pourtant, dans la plupart des Pays du monde moderne, les Etats se dotent d’une Direction de Système d’Information (DSI) pour piloter la communication globale de l’Etat. C’est ce qu’on appel la Gouvernance de Système d’Information (GSI), de fait, la mise en place d’un système de protection optimale, afin de garantir les documents officiels. Pour assurer la cohérence dans le fonctionnement de l’Etat, ainsi par ailleurs doté d’un système d’Archivage sécurisé moderne, pour des raisons d’anticipation de tout type des sinistres, en évitant la paralysie fonctionnelle d’Etat.
A l’arrivé de « Séléka » pas un état des avancements sur les N Transition passantes, aucune base posée, sinon les choses sont plus aggraves. Aujourd’hui nous héritions soit disant d’un Gouvernement des Technocrates, qui continuent de nous laissés sur les effets d’annonces ! Si nous ajoutons objectivement à la « Gouvernance démocratique, tout en distinguant la Gouvernance de Système d’Information» au mot « gouvernance » car la gouvernance tout-cour peut simplement signifier l’application de méthodes de gestion efficaces. Par « gouvernance démocratique », j’entends la gestion des affaires d’une société conformément aux principes universels de la démocratie comme un système de pouvoir qui tend à maximiser le consentement et la participation populaires ainsi que la légitimité et la responsabilité des dirigeants devant leurs actes, et à obliger ces derniers de se soucier des intérêts et des besoins primaires de ces peuples.
La gouvernance des systèmes d’informations, dont il est question à cet égard sont les moyens structurelles moderne, les méthodes organisationnelles, fonctionnelles, Il y a là tout un problème de valeurs, du modèle de société et de la forme de l’État. Après avoir argumenté de bien-fondé de la Gouvernance décrire le cadre théorique et les concepts fondamentaux dits : l’urbanisation de système d’information. Sans examiner les changements requis dans le mode de gouvernance et ses conséquences en matière de l’élaboration des politiques publiques. Ce qui m’intéresse les aspects pratiques, opérationnels, les pistes à entreprendre et les moyens qui correspondent en ce moment de la période du traverser des déserts administrativement parlant dans notre Pays.
C’est le moment où jamais de poser cette base de la modernité, afin d’anticipé sur l’avenir ! Voila quelques pistes de réflexions, propositions de travail au Gouvernement de Transition dans leur mission, afin d’amorcer aux changements qui nous attends pour relancer notre économiques, politiques, sociaux et culturels qui interviendront, sanctionnés par la remise de l’ordre constitutionnel, ceci permettront aux peuples Centrafricains de jouir pleinement de leurs droits fondamentaux en tant que citoyens libres. Nous ne devrons toujours pas attendre, que d’autre Nation décide pour nous sans être en mesure de procéder et, de proposer de manière précise à l’orientation de notre destiné.
Fait à Lyon le 11 Mai 2014
Mr. Aubin-Roger KOMOTO