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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 04:16

 

 

 

Ferdinand Samba Le Démocrate

 

 

 

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KABRAL Jean Dider

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djima djaradé ghislain

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Euphrasie GOUNGAYE WANFIYO

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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 04:14

 

 

 

 

Ferdinand Samba Le Démocrate

 

 

 

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Paul Nindou

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FEREOL-SANA Jean Francis

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Archimede P. Woza Mpyndo Kongbo

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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 04:09

 

 

 

Ferdinand Samba Le Démocrate

 

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Poussou Adrien

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ndouba adolphe

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DOUACLE-LOHAWE Prosper

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Daniel MAKOURI KIWI

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Mommepita Mathis

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Noel Mbaye

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Jan 29, 2012

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 19:15

 

 

 

Ferdinand Samba Le Démocrate

 

 

 

EXIGEZ LA LIBERATION DU JOURNALISTE ARBITRAIREMENT EMPRISONNE  A BANGUI,  FERDINAND SAMBA

 

 

 

 

 

Cliquez sur le lien suivant pour signer en ligne la pétition :

 

 

 

 

 

 

 

http://www.gopetition.com/petitions/liberez-ferdinand-samba.html

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 04:24

 

 

 

Ferdinand Samba Le Démocrate

 

 

EXIGEZ LA LIBERATION DU JOURNALISTE ARBITRAIREMENT EMPRISONNE  A BANGUI,  FERDINAND SAMBA

 

 

Cliquez sur le lien suivant pour signer en ligne la pétition :

 

 

 

http://www.gopetition.com/petitions/liberez-ferdinand-samba.html

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Centrafrique-Presse.com - dans Droits de l'Homme et Liberté de Presse
8 février 2012 3 08 /02 /février /2012 03:41

 

 

 

 

Ferdinand-Samba-Le-Democrate.jpg

 

 

entête FARE 2011

DECLARATION RELATIVE A LA CONDAMNATION DE FERDINAND SAMBA, DIRECTEUR DE PUBLICATION DE  « L E DEMOCRATE »

En date du  26 Janvier 2012, le Tribunal de Grande Instance de Bangui siégeant en matière correctionnelle a condamné Monsieur Ferdinand SAMBA, Directeur de publication du quotidien « Le Démocrate » à dix mois d’emprisonnement ferme, à un million de francs d’amende, à dix millions de francs de dommage-intérêts et à la fermeture immédiate de son journal pour une durée d’un an suite à une plainte en diffamation intentée contre lui par le Lt-Colonel Sylvain NDOUTINGAÏ,  Ministre d’Etat aux Finances et au Budget pour des articles de presse jugés offensants.

Cette décision de justice tirée par les cheveux et  rendue en dépit de l’Ordonnance N° 05.002 du 22 Février 2005 relative à la liberté de la communication en République Centrafricaine, traduit s’il en était encore besoin, les « ressorts profonds » sur lequel fonctionne le régime en place dans notre pays. Ce texte qui a supprimé les peines privatives de liberté en matière de diffamation ne prévoit aucune disposition relative à la fermeture d’un organe de presse.

L’opposition démocratique réunie au sein du FARE -2011 a toujours dénoncé la vision autocratique de la vie politique nationale par le pouvoir qui, en réalité, s’est inscrit dans une démarche de retour à un monolithisme politique de fait.

Les violations répétées de cette loi par le pouvoir en place démontrent à suffisance que  dans sa stratégie globale de caporalisation et d’affaiblissement de tous les contre-pouvoirs, celui-ci poursuit sa politique de  musellement de la presse privée indépendante qui reste le seul espace de liberté et de débat dans ce pays, après l’exclusion de  l’opposition des institutions de la nation suite au hold-up électoral de janvier 2011.

La liste de ces violations est longue et les méthodes utilisées pour « museler » la presse privée indépendante et « bâillonner » tout un peuple sont très éloquentes :

-          L’arrestation et la condamnation hier et avant-hier  des journalistes Maka Gbossokoto, Michel Alkaly Ngadi, Cyrus Emmanuel Sandy et Faustin BAMBOU, qui continue aujourd’hui avec ceux de Ferdinand SAMBA et de Patrick AGOUNDOU.

-          L’instrumentalisation quotidienne des médias publics, et plus particulièrement de la « Radio Centrafrique » rebaptisée par la population « La Radio des Mille Collines » en allusion au concours d’injures publiques quotidiennement organisé en langue sango par cette radio d’Etat contre tous ceux et toutes celles qui, centrafricains ou étrangers, ont le malheur de ne pas penser comme François BOZIZE.

-           Le Haut Conseil de la Communication censée réguler le secteur de la communication et promouvoir son développement tout en sauvegardant la pluralité des opinions a démonté à plusieurs reprises son impuissance face aux pratiques décriées plus haut. D’ailleurs la publication d’un article par l’un de ses membres à la gloire du KNK  dans un  journal proche du pouvoir en dit long sur l’indépendance supposée de cette institution.

-          Le Ministre de la Communication, lui-même impuissant devant cette situation de monolithisme et de terrorisme de l’information publique, perpétuant et appliquant le mot d’ordre du pouvoir d’interdiction de l’accès des partis politiques de l’opposition aux médias d’Etat.

   L’opposition étant désormais délibérément et de manière planifiée exclue des institutions, l’Assemblée prétendument nationale étant devenue aphone y compris en période de confrontation armée dans le pays, la justice mise au pas après avoir été vidée de ses magistrats indésirables, nous sommes arrivés donc à la « démocratie » du silence absolu et de la pensée unique.

Devant cette situation, le FARE-2011, dans sa lutte pour l’instauration d’une vraie démocratie en République centrafricaine :

-          Condamne sans réserve l’emprisonnement de Monsieur Ferdinand SAMBA,  et la fermeture illégale de son journal en violation flagrante de l’ordonnance  N° 05.002.

-          Exige  sa libération immédiate,

-          Interpelle la justice centrafricaine pour qu’elle continue, malgré les pressions politiques notoires, à s’opposer au retour de la loi de la jungle, et à imposer la force du droit au droit de la force,

-          Appelle le Haut Conseil de la Communication au respect scrupuleux de sa mission institutionnelle, de préserver sa neutralité et d’œuvrer avec courage pour préserver la liberté de la presse en RCA ;

-          Demande au Ministre en charge de la Communication de faire appliquer les textes relatifs à l’accès des partis politiques aux médias d’Etat, car la voix et l’image de la RCA  qu’il souhaite « mettre sur satellite » ne doivent pas uniquement être ceux d’une personne ou d’un groupe de personnes.

 

                                               Fait à Bangui, le 03 Février 2012

                                               Pour le FARE-2011

Le Porte Parole

 

 

Gabriel Jean Edouard KOYAMBOUNOU

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Centrafrique-Presse.com - dans Droits de l'Homme et Liberté de Presse
6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 01:03

 

 

 

 

 

Ferdinand Samba

 

Pour signer cliquez sur ce lien :

 

http://www.gopetition.com/petitions/liberez-ferdinand-samba.html

Voilà une semaine déjà que Centrafrique-Presse a lancé une pétition pour exiger que Ferdinand Samba journaliste et Directeur de Publication du quotidien banguissois Le DEMOCRATE puisse retrouver la liberté. Il a en effet été arbitrairement et lourdement condamné le 26 janvier dernier par le tribunal correctionnel de Bangui à 10 mois d’emprisonnement ferme et à verser la somme de 10 millions FCFA de dommages et intérêts à M. Sylvain Ndoutingaï, ci-devant ministre d’Etat chargé des finances et du budget qui a engagé les poursuites judiciaires contre lui pour « diffamation, injures et d’incitation à la haine ». Curieux verdicts dans un pays dont les dirigeants prétendent avoir dépénalisé les délits de presse.

En outre le tribunal a ordonné la fermeture du journal pour une année pleine.

Juste avant Ferdinand Samba, en juin  dernier, Faustin Bambou et Cyrus Emmanuel Sandy, également journalistes et directeurs de publication de deux autres titres de la presse banguissoise, avaient également été poursuivis par le ministre délégué à la défense et fils de son père, Francis Bozizé et condamnés par le même tribunal de grande instance de Bangui pour quasiment les mêmes accusations.

Face à cet acharnement et ces tentatives de museler les journalistes et la presse privée en Centrafrique, la seule réaction de leur corporation à travers le GEPPIC est d’observer une « journée sans journaux » ce qui est louable. Seulement, depuis lors, plus rien !

Centrafrique-Presse a pris l’initiative de recueillir en ligne les signatures de tous les démocrates et ceux qui tiennent à l’indépendance et la liberté d’expression et de presse en Centrafrique  afin de prouver aux liberticides du régime actuel de Bangui qu’ils doivent cesser avec leur volonté dictatoriale de détruire ces libertés en mettant fin à la traque des journalistes qui ne font pourtant que leur métier et qui ne doivent pas servir de pushing-ball entre Sylvain Ndoutingaï et Jean-Francis Bozizé dans leurs querelles fratricides pour prendre la succession de François Bozizé.

Malheureusement, nous sommes désolés de constater que les journalistes centrafricains et autres responsables de journaux de Bangui qui auraient dû être les premiers à signer la pétition ne se bousculent pas au portillon pour la signer alors que nous avons déjà recueillis des signatures de presque tous les pays du monde ainsi que des non Centrafricains démocrates de différents pays amis de la liberté de la presse en RCA.

Démocrates, journalistes et responsables de journaux centrafricains, qu’attendez-vous pour signer la pétition ?   Que craignez-vous ? SOYONS NOMBREUX A SIGNER !

Il suffit de cliquer sur le lien suivant :

 http://www.gopetition.com/petitions/liberez-ferdinand-samba.html

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Centrafrique-Presse.com - dans Droits de l'Homme et Liberté de Presse
4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 02:25

 

 

 

Ferdinand Samba

 

 

SIGNEZ EN LIGNE LA PETITION POUR EXIGER LA LIBERATION DE FERDINAND SAMBA

http://www.gopetition.com/petitions/liberez-ferdinand-samba.html

 

Depuis le week-end dernier, Centrafrique-Presse a pris l’initiative de faire signer en ligne une pétition pour exiger la libération de Ferdinand Samba journaliste et Directeur de Publication du quotidien « LE DEMOCRATE », arbitrairement condamné à 10 mois d’emprisonnement ferme et 11 millions de F CFA d’amendes à verser à celui-là même qui l’a poursuivi pour « diffamation » en l’occurrence, le demi-dieu de Bangui et l’argentier de Bozizé, son ministre d’Etat aux finances et au budget, Sylvain Ndoutingaï. 

Par cette pétition, le groupe Centrafrique-Presse entendait dénoncer et condamner les nombreuses et régulières atteintes à la liberté d’expression et de la presse en République centrafricaine et la traque des journalistes, particulièrement ceux du privé indépendant, par le régime dictatorial de Bozizé, Findiro et Ndoutingaï.

Malheureusement force est de constater que parmi les premiers signataires déjà enregistrés en quelques jours, peu de journalistes et responsables de la presse indépendante et privée centrafricaine en font partie. Que craignent-ils eux dont les noms figurent déjà sur la black liste des ennemis de la liberté et de la démocratie actuellement au pouvoir en Centrafrique ?

De même, on n’y voit pas encore les noms de certains compatriotes qui aiment qu’on les prenne pour des démocrates avec une grande fibre patriotique et toujours prompts à formuler souvent des critiques véhémentes contre l’opposition.  

Plus nous serons nombreux à signer, plus fort sera le message qui sera ainsi délivré à Bozizé et sa clique pour qu’ils comprennent qu’ils ne doivent pas jouer ainsi avec les libertés en Centrafrique et surtout celle de la presse dont ils prétendent avoir dépénalisé les délits.

Que tout le monde se dépêche de signer en ligne la pétition pour la liberté de Ferdinand Samba. Pour signer, il suffit de cliquer sur le lien suivant et de remplir le formulaire dédié :

http://www.gopetition.com/petitions/liberez-ferdinand-samba.html

 

Rédaction CENTRAFRIQU-PRESSE

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 01:23

 

 

 

Ferdinand Samba

 

 

http://www.gopetition.com/petitions/liberez-ferdinand-samba.html

SIGNEZ EN LIGNELA PETITION POUR EXIGER LA LIBERATION DE FERDINAND SAMBA

Depuis le week-end dernier, Centrafrique-Presse a pris l’initiative de faire signer en ligne une pétition pour exiger la libération de Ferdinand Samba journaliste et Directeur de Publication du quotidien « LE DEMOCRATE », arbitrairement condamné à 10 mois d’emprisonnement ferme et 11 millions de F CFA d’amendes à verser à celui-là même qui l’a poursuivi pour « diffamation » en l’occurrence, le demi-dieu de Bangui et l’argentier de Bozizé, son ministre d’Etat aux finances et au budget, Sylvain Ndoutingaï. 

Par cette pétition, le groupe Centrafrique-Presse entendait dénoncer et condamner les nombreuses et régulières atteintes à la liberté d’expression et de la presse en République centrafricaine et la traque des journalistes, particulièrement ceux du privé indépendant, par le régime dictatorial de Bozizé, Findiro et Ndoutingaï.

Malheureusement force est de constater que parmi les premiers signataires déjà enregistrés en quelques jours, peu de journalistes et responsables de la presse indépendante et privée centrafricaine en font partie. Que craignent-ils eux dont les noms figurent déjà sur la black liste des ennemis de la liberté et de la démocratie actuellement au pouvoir en Centrafrique ?

De même, on n’y voit pas encore les noms de certains compatriotes qui aiment qu’on les prenne pour des démocrates avec une grande fibre patriotique et toujours prompts à formuler souvent des critiques véhémentes contre l’opposition.  

Plus nous serons nombreux à signer, plus fort sera le message qui sera ainsi délivré à Bozizé et sa clique pour qu’ils comprennent qu’ils ne doivent pas jouer ainsi avec les libertés en Centrafrique et surtout celle de la presse dont ils prétendent avoir dépénalisé les délits.

Que tout le monde se dépêche de signer en ligne la pétition pour la liberté de Ferdinand Samba. Pour signer, il suffit de cliquer sur le lien suivant et de remplir le formulaire dédié :

http://www.gopetition.com/petitions/liberez-ferdinand-samba.html

 

Rédaction CENTRAFRIQU-PRESSE

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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 23:50

 

 

 

Ferdinand Samba

 

Ferdinand SAMBA, journaliste,

Directeur de Publication du quotidien "LE DEMOCRATE"

 

Depuis le week-end dernier, Centrafrique-Presse a pris l’initiative de faire signer en ligne une pétition pour exiger la libération de Ferdinand Samba journaliste et Directeur de Publication du quotidien « LE DEMOCRATE », arbitrairement condamné à 10 mois d’emprisonnement ferme et 11 millions de F CFA d’amendes à verser à celui-là même qui l’a poursuivi pour « diffamation » en l’occurrence, le demi-dieu de Bangui et l’argentier de Bozizé, son ministre d’Etat aux finances et au budget, Sylvain Ndoutingaï.  

Par cette pétition, le groupe Centrafrique-Presse entendait dénoncer et condamner les nombreuses et régulières atteintes à la liberté d’expression et de la presse en République centrafricaine et la traque des journalistes, particulièrement ceux du privé indépendant, par le régime dictatorial de Bozizé, Findiro et Ndoutingaï.

Malheureusement force est de constater que parmi les premiers signataires déjà enregistrés en quelques jours, peu de journalistes et responsables de la presse indépendante et privée centrafricaine en font partie. Que craignent-ils eux dont les noms figurent déjà sur la black liste des ennemis de la liberté et de la démocratie actuellement au pouvoir en Centrafrique ?

De même, on n’y voit pas encore les noms de certains compatriotes qui aiment qu’on les prenne pour des démocrates avec une grande fibre patriotique et toujours prompts à formuler souvent des critiques véhémentes contre l’opposition.   

Plus nous serons nombreux à signer, plus fort sera le message qui sera ainsi délivré à Bozizé et sa clique pour qu’ils comprennent qu’ils ne doivent pas jouer ainsi avec les libertés en Centrafrique et surtout celle de la presse dont ils prétendent avoir dépénalisé les délits.

Que tout le monde se dépêche de signer en ligne la pétition pour la liberté de Ferdinand Samba. Pour signer, il suffit de cliquer sur le lien suivant et de remplir le formulaire dédié :

http://www.gopetition.com/petitions/liberez-ferdinand-samba.html

 

SOYONS NOMBREUX A SIGNER LA PETITION EN LIGNE !

 

Rédaction CENTRAFRIQUE-PRESSE

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