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  • : centrafrique-presse
  • : informations générales sur la république centrafricaine et l'Afrique centrale
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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 04:55

 

 

 

Bangui centre ville encombré

 

 

ALLIANCE POUR LA DEMOCRATIE ET LE PROGRES


Liberté – Travail - Progrès

 

 


Le 24 mars 2013, la Séléka qui avait  commencé son offensive le 10 décembre 2012 a pris Bangui. Le 25 mars 2013, le président de la coalition armée s’est proclamé Président de la République. Une fois de plus, le pays a été pillé, saccagé et le petit commerce détruit.


Ce coup de force constitue un grand recul démocratique pour notre pays. En effet, le nouveau Président détient tous les pouvoirs sans contrepartie parce qu’il a suspendu la constitution et légifèrera désormais par ordonnances.


Le coup d’Etat, la suspension de la constitution et la dissolution de l’Assemblée  nationale ont changé la donne. En outre, le délai fixé pour l’élection présidentielle correspondait avec la fin du mandat de l’ancien Président de la république.


La situation actuelle est nouvelle et nécessite un accord adapté même si la ligne directrice devra rester l’accord de Libreville.


L’opposition centrafricaine ne doit pas se précipiter pour accepter ce nouveau pouvoir et entrer dans  un gouvernement sans garanties démocratiques. Ce serait une fois de plus une faute politique comme la participation aux  élections générales truquées de 2011 aux résultats connus d’avance ou les accords précipités de Libreville qui n’ont pas posé la problématique de la détention des pouvoirs réglementaires par le Premier Ministre de la transition.


 Notre peuple est déjà  meurtri à cause des comportements infantiles et bassement matérialistes de ses propres fils et filles.


La fédération de l’Alliance pour la Démocratie et le Progrès (ADP), attachée aux principes fondamentaux de la démocratie :


Demande la tenue d’une Rencontre nationale qui définira la feuille de route du nouveau gouvernement et l’institution d’un conseil national de transition, contre-pouvoir nécessaire au pouvoir exécutif.


Affirme que toute collaboration au pouvoir actuel sans consensus programmatique préalable est une trahison, qu’elle  ouvre une voie royale à d’autres souffrances du peuple centrafricain, et  à la confiscation des libertés fondamentales par le nouveau pouvoir.                      

                                                                                                      Fait à Paris, le 26 mars 2013

                                         

 

 

   LE   BUREAU FEDERAL

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 18:41

 

 

 

 

Gerddes-Afrique-1.JPGGerddes-Afrique-2.JPG

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 18:29

 

 

Eglise-Orthodoxe-d-Europe.JPG

 

 

Communiqué aux nouvelles autorités de Centrafrique

 

 

Nous sommes des chrétiens orthodoxes et notre sens humanitaire est de vivre avec et dans la fraternité du peuple de Centrafrique en se respectant les uns les autres sans distinction de race, de clan ou d’ethnie.


Ce que je regrette le plus, ce sont les tensions religieuses… comme si les dirigeants religieux ne savaient pas que les juifs, les musulmans et les chrétiens ont pour Pères Abraham, Isaac et Jacob.


Nous sommes tous frères même si nous prions différemment, Dieu n’a jamais demandé de s’insulter ou de se tuer. L’Amour doit présider à la destinée de notre peuple.


Nous, orthodoxes, n’intervenons pas dans le domaine politique mais il est de coutume de prier pour ceux qui nous dirigent :


Prions : Pour ce temple, cette ville et ses habitants, pour notre pays et ceux qui le gouvernent, en particulier pour les serviteurs de Dieu (Michel Djododia) notre président et (Nicolas Tiangaye) chef de notre gouvernement, pour que Dieu leur donne la sagesse afin que nous vivions dans la paix et la tranquillité, prions le Seigneur.


Puisque Dieu a permis que vous soyez appelés aux plus hautes fonctions, nous nous plaisons à penser que c’est pour le meilleur en ce qui concerne la plénitude de vie de notre peuple.


Nous vous accordons donc nos prières et vous donnons la bénédiction afin que les Anges vous assistent dans chacune de vos décisions en vous rappelant que vous devenez « serviteurs » des centrafricains et centrafricaines.


Et moi, évêque Joseph Yorowandji, avec les orthodoxes de Centrafrique, vous assurons de notre bienveillance et de notre soutien pour votre action de Paix.

 

Monseigneur Joseph Yorowandji

Evêque de Bangui

Exarque Patriarcal pour la Centrafrique

Eglise Orthodoxe d’Europe

Correspondance : eveque.joseph@gmail.com

 

 

 Secrétariat patriarcal de l’Eglise Orthodoxe d’Europe : 2 rue Clouet 75015 PARIS Tel : 01.43.06.19.34 Mail : secretariat.patriarcal@gmail.com

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 03:33

 

 

 

logo MDES

 

MOUVEMENT POUR LA DEMOCRATIE

ET L’EVOLUTION SOCIALE

********

Solidarité – Justice - Travail

BUREAU EXECUTIF NATIONAL

********

SECRETARIAT EXECUTIF

 

 

 

Le Bureau Exécutif national du Mouvement pour la Démocratie et l’Évolution Sociale (MDES) a tenu ce lundi 25 mars 2013 à Bangui une réunion extraordinaire des cadres du parti. Cette réunion s’inscrit dans sa stratégie d’information de ses militants sur l’accord politique de sortie de crise signé, vendredi 11 janvier 2013, entre les différents belligérants de la crise centrafricaine et qui constitue la base pour une transition démocratique, aussi de porter à l’opinion nationale et internationale sa proposition sur l’organisation de ladite transition pour une durée de dix huit (18) mois.

 

La proposition du Mouvement pour la Démocratie et l’Évolution Sociale est le résultat de l’analyse minutieuse de cet accord et à partir des taches spécifiques que dégage ledit accord.

 

La réflexion des cadres du parti MDES sur la transition démocratique s’est portée essentiellement sur les points suivants :

 

- Le délai et le chronogramme de la transition;

- La mise en place du gouvernement de transition et les institutions nationales de transition

- De la révision du code et fichiers électoraux;

- Les modalités d'organisation des élections visant à la normalisation définitive de la situation ;

 

Pour le Bureau politique du parti, l’accord de Libreville a prévu une durée de trois (3) ans de transition et avec le General François Bozize comme Président de ladite transition. Vu le départ en exil du Président Bozize et conscient de la situation politique actuelle, le MDES propose une transition politique plus courte de vingt quatre mois (24) pour éviter que le nouveau régime prenne gout du pouvoir. Cette période de 24 mois porte trois parties :

 

- La première partie porte sur une période de trois mois consacrée essentiellement à la mise en place d’un gouvernement de transition représentatif et de nouvelles Institutions Nationales;

 

- La deuxième partie consacrée essentiellement, pour une période de douze mois (18), à la sécurisation de tout le pays et aussi la révision du code et fichiers électoraux;

 

- Enfin la troisième partie est consacrée essentiellement aux élections et la remise du pouvoir au civil;

 

Le deuxième point consiste à la composition du gouvernement de transition et des Institutions de transition. L’accord de Libreville prévoit la formation d’un gouvernement d’union nationale de transition composé des partis politiques de l’opposition démocratique, société civile, mouvements politico-militaires non-combattants, coalition Séléka et la majorité présidentielle. Or, depuis dimanche 24 mars 2013, nous avons assisté à un changement brutal du paysage politique de notre pays entrainant la disparition de certains groupes comme Le majorité présidentielle, mouvements politico-militaires non combattants… Pour cette raison, le MDES propose la convocation d’une conférence élargie à tous les partis politique du pays, société civile, les forces armées ainsi qu’à la diaspora centrafricaine avant la formation d’un nouveau gouvernement représentatif national et une assemblée nationale de transition.

 

Sur les deux derniers points concernant la révision du code et fichier électoraux ainsi qu’aux modalités d'organisation des élections visant à la normalisation définitive de la situation, le MDES juge important que ces points seront débattus à la nouvelle Assemblée nationale de transition et propose tout de même un calendrier pour les prochaines élections présidentielle et législative. Les prochaines élections, selon le MDES, devraient être couplées Législative ⁄ Presidentielle, et ce, pour un dimanche de la première quinzaine du mois d’octobre 2014.

 

Pour finir, le MDES demande formellement au nouveau régime de transition de garantir l’accès des partis politiques aux médias Publics, le libre exercice des activités des partis politiques et des medias, et la neutralité de l’administration.

 

Fait à Bangui, le 24 mars 2013

 

Le Secrétaire Exécutif national

 

Jean NGUEMANDJI

 

Tel : 75 28 03 13

75 03 71 18

Email : mdescentrafrique@yahoo.fr

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 02:42

 

 

 

 

 

rebelles-Seleka-vers-Damara.jpg

 


COMMUNIQUE OFFICIEL

 


La coordination politique de la coalition SELEKA, composée de centrafricains de tout bord, demande à la population centrafricaine de garder son calme et de se préparer à accueillir les forces révolutionnaires de la SELEKA.


La coordination politique informe l’opinion nationale et internationale que le départ de Monsieur François BOZIZE, ancien président de la République centrafricaine, entérine de fait les accords de Libreville.


Elle exprime son attachement à une dynamique inclusive pouvant présider à la conduite de la transition qui s’annonce et rappelle à l’opinion dans son ensemble qu’elle mettra tout en oeuvre pour vouer à l’échec toute entreprise de vengeance et d’exclusion.


Fort de cette malheureuse expérience et dans le souci de préserver la paix et la concorde nationale, la coordination politique de la SELEKA, demande au peuple et à tous les acteurs politiques centrafricains, de se mobiliser, aux fins d’organiser la grande concertation politique nationale pour jeter les jalons d’une politique saine de développement tant attendu par le peuple.

Par la même occasion, elle exhorte les ressortissants étrangers résidents en Centrafrique à garder leur calme et leur sérénité car toutes les mesures sont prises pour assurer leur sécurité dans une Centrafrique nouvelle qui fait de la coexistence pacifique son crédo.


Aux partenaires de la Centrafrique, la coordination politique se tient à leur disposition pour qu’ensemble nous envisagions la dynamique de partenariat concernant l’avenir de notre patrie et satisfaire leurs différentes attentes à son égard.


Mesdames, Messieurs, la Centrafrique vient d’ouvrir une nouvelle page de son histoire pour cela, la coordination politique de la SELEKA vous invite à vous préparer à faire entrer notre cher et beau pays dans le panthéon de l’histoire de humanité.


De ce fait, la coordination politique de la SELEKA attend de votre part un minimum de détachement passionnel afin d’empêcher que la nation toute entière puisse basculer dans le chaos.


La coordination soumettra très prochainement à l’approbation de tous les acteurs de la vie politique nationale et des centrafricains les textes de base pour la relance de l’économie nationale.


Fait à Bangui le 24 Mars 2013


Justin KOMBO MOUSTAPHA


Secrétaire Général de la Séléka


É-mail : zokoyzosozola@yahoo.com

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 01:55

 

 

 

logo-MDES.JPG

 

 

MOUVEMENT POUR LA DEMOCRATIE

ET L’EVOLUTION SOCIALE

********

Solidarité – Justice - Travail

PRESIDENCE EXECUTIVE

********

SECRETARIAT EXECUTIF

 

 

Réunis en urgence ce dimanche 24 mars 2013 au siège du parti, les membres du bureau exécutif national du Mouvement pour la Démocratie et l’Évolution Sociale (MDES) se sont largement penchés sur la grave situation politique que traverse actuellement notre pays la Centrafrique. Pendant plusieurs heures d’échange, il a été convenu de faire le communiqué suivant afin de faire savoir notre position sur la situation.


 

COMMUNIQUE N* 250313

 

Ce dimanche, 24 mars 2013, les combattants de la rébellion SELEKA ont mis fin au régime du General François Bozizé. Ce changement de régime est intervenu dans un moment difficile que vit notre pays du fait de ses dirigeants et en particuliers d’une gouvernance incompétente, opaque, corrompue et irresponsable, a suscité beaucoup d’espoir au sein de la population centrafricaine dans sa grande majorité.


Pour cela, notre Parti Mouvement pour la Démocratie et l’Évolution Sociale (MDES) crée en 2003 prend acte de ce changement et apporte son soutien aux nouvelles autorités.


Le MDES exprime son attachement aux valeurs démocratiques, au respect des droits de l’homme et s’adresse tout particulièrement aux responsables politiques, diplomatiques en particuliers aux Représentants des Organisations Sous-Régionales, Régionales et Internationales, telles que la CEMAC, l’UA’ l’UE et l’ONU de peser de tout leur poids pour faciliter une transition pacifique et démocratique en Centrafrique et d’exiger toutes les conditions permettant l’alternative politique à l’issue de cette transition.


Le MDES attire l’attention du nouveau régime sur la résolution immédiate de problème de sécurité de notre pays afin de permettre le retour effectif des milliers des centrafricains déplacés et réfugiés dans les pays voisins.


Le MDES exhorte de ce fait les nouvelles autorités à respecter les engagements pris vis-à-vis du peuple centrafricain qui consistent à redresser la démocratie et à restaurer l’autorité de l’État. Cette restauration de l’État se traduit aussi par une bonne justice et une redynamisation de la diplomatie au service des centrafricains à l’intérieur et à l’extérieur de notre pays.


Le MDES exhorte l’ensemble des forces vives de la nation à apporter leur soutien au nouveau régime de transition pour la réussite des objectifs qu’il s’est assigné.


Fait à Bangui, le 24 mars 2013

 

Pour le Président Exécutif

Le Secrétaire Exécutif


Jean NGUEMANDJI


Tel : 75 2 03 13

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 00:29

 

 

 

 

combattants Séléka près de Damara

 

 

 

 

 


COMMUNIQUE


 

Le bilan du régime qui a dirigé la République Centrafricaine depuis 2003 a été désastreux, caractérisé par la mauvaise gouvernance, l’appauvrissement du pays, la corruption endémique, l’insécurité permanente des Centrafricains, la réduction des populations à l’état de mendicité portant atteinte aux conditions de vie de leur écrasante majorité. De ce fait notre pays continue à vivre les moments les plus sombres de son histoire.

 

Le processus démocratique a été un immense leurre. Le constat est affligeant dans la mesure où, dix ans après, il n’existe aucun parti politique d’opposition pouvant constituer une alternative crédible pour les Centrafricains. L’expérience démocratique  dans notre pays est un échec total. Le régime a organisé des manœuvres de diversion pour entretenir l’illusion de démocratie auprès de l’opinion internationale et nationale.

 

Les populations centrafricaines ont été martyrisées par un régime irresponsable, par les multiples rébellions sévissant sur le territoire et par les bandits de grand chemin. Le pouvoir de François BOZIZE a détruit les conditions de vie des populations centrafricaines : les résultats sont catastrophiques en matière de santé, d’accès à l’eau potable, d’éducation, et de respect des droits de l’homme, notamment. Ce peuple a été soumis à un pouvoir despotique, arrogant et incapable, il attend toujours la démocratie.

 

De nombreux dirigeants des partis politiques centrafricains, incapables d’apporter une solution pour notre pays, se sont compromis avec le pouvoir de BOZIZE ainsi qu’avec la coalition SELEKA.

 

Comme d’habitude le peuple Centrafricain est pris en otage par la horde de la coalition rebelle SELEKA qui commet des exactions, pille et tue la paisible population.  

 

QUI NOUS SOMMES :

 

Nous sommes des enfants du pays, un front centrafricain multiethnique. Nous représentons toutes les composantes de la population centrafricaine, et nous voulons le rassemblement pour un véritable changement dans notre pays ;

Notre territoire est infesté de groupes islamistes mus par l’appât du gain aux dépens des populations centrafricaines. La RCA n’a plus d’armée digne de ce nom, les frontières ne sont pas sécurisées. Nous craignons l’introduction de l’islamisme radical dans notre pays et nous devons réagir pour empêcher cela ; 

Nous avons conscience que la violence et toutes formes d’extrémisme ne produisent que des champs de ruine ;

Nous menons un combat pour notre pays, pour la défense des intérêts du peuple centrafricain, et non pour réclamer des intérêts matériels personnels ;

Nos combattants sont disciplinés, formés à l’art de la guerre ; nous avons dans nos rangs des officiers militaires spécialistes de l’armement et dont certains ont fait l’école de guerre.

Nous ne voulons pas pour notre pays d’une situation de désintégration comme cela s’est produit dans un autre pays frère d’Afrique, le Mali.

 

CE QUE NOUS VOULONS : 

 

Le FDC veut contribuer positivement et réellement au changement qui doit s’opérer en République centrafricaine ;

Le FDC veut que notre pays retrouve sa liberté et sa dignité dans un véritable Etat de droit.  Avec le peuple centrafricain et l’aide des pays amis de la CEEAC, nous voulons prendre notre destin commun en main ;

Le FDC travaille pour l’instauration d’un gouvernement démocratique rassemblant de véritables compétences du pays, qui pourra restaurer la confiance des pays voisins, de l’Union africaine, de l’Union européenne, de tous nos partenaires internationaux et de la Communauté internationale ;

Le FDC lutte pour la démocratie, le rassemblement, la paix durable et la cohésion nationale;

Le FDC veut que notre population, surtout les jeunes et les femmes, bénéficient de l’éducation, du travail et des soins médicaux ;

Le FDC veut que notre pays puisse jouir de ses ressources naturelles et de ses ressources humaines pour se développer ;

Le FDC veut assurer la paix et la sécurité sur toute l’étendue du territoire ; pour ce faire, nous appelons tous les membres des forces armées centrafricaines (FACA) à se joindre à nous pour relancer la reconstruction de l’armée nationale.

Le FDC appelle la population à se mobiliser pour défendre notre territoire face à la menace certaine d’une hégémonie idéologique.

Le FDC considère que la prise de pouvoir par le SELEKA  ne peut conduire à la paix. Il ne reconnait pas la légitimité d’un tel régime.

Le FDC exhorte les centrafricains à se mobiliser autour des idéaux de paix, d’unité, de sécurité, de liberté et de justice sociale pour qu’ensemble nous nous mettions à l’œuvre pour construire et développer notre pays.

Le pays doit être rapidement nettoyé grâce à ses citoyens, aussi bien en province qu’à Bangui, sinon notre pays va disparaître

 

 

 

Bangui le  24 Mars 2013

 

Pour le FDC, le porte parole  


 

 

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 00:22

 

 

 

 

carte_centrafrique_432.gif


 

Face à cette situation qui prévaut en République Centrafricaine, suite à l'entrée de la Séléka dans la Capitale Bangui d'une part, et d'autre le départ précipité du président François BOZIZE, la diapora centrafricaine prend acte de cette nouvelle donne qui s'impose malgré les accords de Libreville.

 

Mais que nous réserve l’avenir ? L’exemple de la Tunisie et de bien d’autres pays doit nous inciter à la réserve et à la plus grande vigilance !

 

Nous rappelons que notre pays a trop souffert des hommes qui arrivent en libérateurs et se transforment en dictateurs en confisquant le pouvoir avec des élections truquées jusqu’à ce qu’une autre révolte s'impose. C’est un cercle vicieux que nous devons absolument briser pour libérer notre pays.

 

Nous lançons un appel pressant et solennel aux nouvelles autorités militaires quelles qu’elles soient,  de ne pas céder à la tentation de perpétuer cette pratique récurrente.

 

Nous leur demandons de prendre dès à présent, toutes les mesures qui s’imposent pour ramener la paix dans le pays, sécuriser les routes, protéger les populations, les biens meubles et immeubles, les étrangers, les structures économiques de notre pays, les organisations nationales et internationales installées sur notre territoire.

 

Les accords de Libreville étant sujet à caution du fait du départ précipité du président François BOZIZE, nous exigeons la convocation sans délai d'une conférence nationale ouverte à toutes les composantes de la nation centrafricaine, aux observateurs étrangers représentant les organisations internationales et les pays amis, afin que soient arrêtées, d’un commun accord, les modalités et les organes dirigeants de la transition, ainsi qu’une feuille de route pour l’organisation d’élections présidentielles, législatives et municipales dans des délais raisonnables acceptés de tous.

 

Pour ce faire et en attendant la convocation de cette conférence nationale souveraine, la Séléka doit s'abstenir de désigner d'une manière unilatérale, le président de la transition.

 

Nous appelons toutes les forces vives de la nation centrafricaine à soutenir l’avènement de la démocratie, le processus de paix, de relayer cet appel, afin qu’ensemble nous arrivions à sauver notre pays du cercle vicieux décrit ci-dessus et à le doter définitivement d’institutions stables respectueuses du peuple.

 

Par ailleurs, la diaspora centrafricaine lance un vibrant appel à la France, aux Etats Unis d'Amérique, la Communauté Economique des Etats de l'Afrique Centrale, à l'Union Africaine, à l'Organisation Internationale de la Francophonie, à l'Union Européenne, au Conseil de Sécurité des Nations Unies d'appuyer et de contribuer à la recherche d'une solution durable en République Centrafricaine.

 

A paris, le 24 mars 2013

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24 mars 2013 7 24 /03 /mars /2013 04:33

 

 

 

 

COMMUNIQUE

*-*-*-*-*-*-*-*-*

 

 

 

 Chers compatriotes de la Diaspora en France!

Face à l’urgence de la situation qui prévaut chez nous en République Centrafricaine, une importante réunion se tiendra ce dimanche 24 Mars 2013 au 43, Avenue Pouchet 75017 Paris à 13 Heures. Métro Brochant ou porte de Clichy. La Présence de toutes et tous, partis politiques, associations, personnalités indépendantes, syndicalistes, société civile, forces armées centrafricaines, membres de la SELEKA……, est vivement souhaitée.


La ponctualité est de rigueur. Venons tous prendre  nos responsabilités dans un grand rassemblement des forces unies pour sauver la Nation en péril.

Patriotiquement vôtre.


DOROKOUMA MICHEL

 

Contact : 0647556483


NB :   Prévoir une contribution pour la location de la salle.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 02:52

 

 

 

éléments-de-la-séléka-sur-la-route-de-sibut-le-18-mars- 

 

 

Nous apprenons, par les médias, des informations erronées faisant état de profondes divisions, de dissidence, voire de dissension, par l’existence de deux factions rivales au sein de notre Coalition. Ces informations bien surprenantes, parce que montées de toutes pièces par ceux-là mêmes qui sont à la solde du Général François BOZIZÉ, sont préjudiciables à l’Unicité de notre Détermination.

 

La Coalition SÉLÉKA, surprise par de telles assertions, appelle la presse nationale et internationale à une plus grande vigilance, en l’exhortant à une prise d’informations à la source, par un rapprochement auprès de notre Porte-parole unique.

 

N’en déplaise à ses détracteurs, la Coalition SÉLÉKA demeure, depuis sa création opérationnelle, sous une Unique et Haute Coordination de ses Pères fondateurs, en occurrence les Principaux Responsables de Mouvements qui la composent.

 

Il en ressort son exercice dans une théorie dite du Champ Unitaire : par une Unicité d’actions, sous un Unique et Haut Commandement Militaire. Pour preuve, nos nombreux succès militaires sur le champ opérationnel, tout comme les récents éléments factuels et fort concluants dans le MBOMOU et OUHAM, qui prouvent à suffisance notre Unicité au sein du Conseil Suprême de notre Coalition SÉLÉKA, sous la direction de notre Président.

 

Aussi, La Coalition SÉLÉKA exprime ses vifs remerciements au Peuple Centrafricain, meurtri par 10 années de gestion calamiteuse de notre économie par le Général François BOZIZE, pour son soutien inconditionnel et son indéfectible attachement à notre Cause.

 

Fait à Kaga Bandoro le 22 Mars 2013

Justin KOMBO

Secrétaire Général - SÉLÉKA É-mail : zokoyzosozola@yahoo.com

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