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16 mai 2008 5 16 /05 /mai /2008 23:38



 

Décision N° 04/UFDR/PR Portant Nomination des Responsables Militaires de l’Etat Major


(Communiqués 16/05/2008)



                   Zakaria Damane

Décision N° 03/UFDR/PR

Portant Radiation du Chef d’Etat Major

De l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement

Le Bureau Politique de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement : (U.F.D.R),

Vu les statuts de création de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement en date du 14 Septembre 2006 à Kigali au Rwanda;

Vu les Articles 59 et 60 du Règlement intérieur de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement en date du 14 septembre 2006 à Kigali au Rwanda;

Vu l’Acte constitutif du Bureau politique de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement en date du 15 septembre 2006 à Kigali au Rwanda,


Décide :


Article 1er : Monsieur Damane Zakaria, précédemment Chef d’Etat Major de l’U.F.D.R,

est radié de ses fonctions et exclus de ladite Organisation.

Article 2 : La présente décision prend effet pour compter de la date de sa signature,

sera enregistrée et communiquée partout où besoin sera.


Cotonou, le 15 Mai 2008


Le Président Fondateur de l’U.F.D.R

Monsieur Michel Am Nondroko Djotodia



==================================================================

Décision N° 04/UFDR/PR

Portant Nomination des Responsables Militaires de l’Etat Major


De l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement


Le Bureau Politique de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement : (U.F.D.R),

Vu les statuts de création de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement en date du 14 Septembre 2006 à Kigali au Rwanda;

Vu le Règlement intérieur de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement en date du 14 septembre 2006 à Kigali au Rwanda;

Vu l’Acte constitutif du Bureau politique de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement en date du 15 septembre 2006 à Kigali au Rwanda,


Décide :

Article 1er : Les Autorités Civile et Militaires dont les Noms suivent, sont nommés ci-après :

Colonel Oumar Younouss : Chef d’Etat Major

Commandant Zoundéko Joseph : Chef d’Etat Major Adjoint

Monsieur Achmane Sélémane : Porte Parole de l’Etat Major.

Article 2 : La présente décision prend effet pour compter de la date de sa signature,

sera enregistrée et communiquée partout où besoin sera.


Cotonou, le 15 Mai 2008


Le Président Fondateur de l’U.F.D.R

Monsieur Michel Am Nondroko Djotodia

© Copyright Communiqués

 

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15 mai 2008 4 15 /05 /mai /2008 01:52




UFDR - Décision N° 02/UFDR/PR Portant désignation de Charles MASSI comme
Coordonnateur politique de l’U.F.D.R


L’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement,

Vu les statuts de création de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement en date du 14 Septembre 2006 à Kigali au Rwanda;

Vu les règlements intérieurs de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement en date du 14 septembre 2006 à Kigali au Rwanda;

Vu l’Acte constitutif du Bureau politique de l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement en date du 15 septembre 2006 à Kigali au Rwanda,

Décide :

Article 1er : Le Colonel Charles Massi, Ancien Ministre d’Etat est désigné Es Qualité,
Coordonnateur politique.

Article 2 : Le Coordonnateur politique a pour prérogatives :

• De rallier toutes les forces vives centrafricaines : Partis politiques, Société Civile et autres groupes politico-militaires pour le dialogue et la réconciliation nationale ;


• D’être dans toutes les missions officielles de l’U.F.D.R liées à ses prérogatives;


• De prendre des contacts officiels avec les décideurs politiques nationaux comme internationaux sur mandat préalable du Président de l’U.F.D.R.

Article 3 : La présente décision sera enregistrée et communiquée partout
où besoin sera.

Cotonou, le 12 Mai 2008

Le Président de l’U.F.D.R

Monsieur Michel Am Nondroko Djotodia



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12 mars 2008 3 12 /03 /mars /2008 16:34
Empoisonnement au centre d'instruction de Bouar
 
 
Les éléments des différents mouvements de rébellion qui ont commis l'erreur de se rallier à Bozizé à la suite des différents accords signés avec Damane et Miskine sont l'objet d'empoisonnement dans les repas au Centre d'instruction de Bouar.
Onze d'entre eux ont réussi à fuir mais seulement 7 ont pu arriver dans une base de l'APRD qui les a aussitôt pris en charge en leur apportant des soins.
Il s'agit de :
Sergent  NDOMON Jean-Pierre né le 23/11/69 à Kabo fils de Ndomon Marc et Ganguenon
Sergent  NDOINOUA Patrick né vers 1983  à  Kabo
Caporal chef NOIMBARA François né le 17 mars 1972 à Kabo
caporal  MIRANGAÏ Joseph  né vers 1974 a Tchad
2è classe MOITAM Wilfrid né le 0/12/73 à kabo
2è calsse ZEKEMA Alexis  né vers 1978 à Kabo
2è classe TORONGAI Aubin  né vers 1977 à Kabo
 
Les fuyards ont déclaré que beaucoup d'entre eux ont fui vers le Cameroun et ceux qui sont restés au centre sont dans un état de santé précaire. Le centre enregistrerait deux à trois décès par jour.
 
Partis au nombre de 11 seul les 7 précités ont pu rejoindre l'APRD deux auraient été abattus par les FACA et deux autres sont portés disparus probablement morts en brousse par épuisement à cause de leur état de santé.
L'APRD en appelle au CICR pour leur rendre visite et  informe par la même occasion les responsables des mouvements qui ont signé des accords avec Bozize sur les mauvais traitements infligés à leurs éléments.


Paoua le 12 mars 2008
 
Le Porte-parole chargé de la communication
 
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Le Capitaine Laurent Djim-Woï 
 
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3 mars 2008 1 03 /03 /mars /2008 15:24
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Communiqué de presse du Groupe de la banque Africaine de Développement (BAD)


de 67 millions de dollars pour faciliter le transport routier
 
Tunis, le 29 février 2007 – Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) a signé vendredi à Tunis trois accords de don estimés à 41,8 millions d’unités de compte (UC*), équivalant à 66,68 millions de dollars avec la République centrafricaine et la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (CEMAC) pour le financement des couloirs routiers Douala-Bangui et Douala Ndjamena qui relient le Cameroun, la RCA et le Tchad.
 
Les accords ont été signés pour la BAD par son vice-président chargé de l’infrastructure, du secteur privé et de l’intégration régionale, M. Mandla Gantsho. Le ministre centrafricain de l’économie, du plan et de la coopération internationale, M. Slyvain Miliko, a signé au nom de son pays, et le président de la CEMAC, M. Antoine Ntsimi, a signé pour son organisation.
 
M. Gantsho a expliqué lors de la signature des accords que les deux dons, ainsi qu’un prêt de 48 millions d’UC accordés au Cameroun la semaine dernière et un don de 19 millions d’UC approuvé au profit du Tchad, représentent une contribution de la BAD d’un montant global de 174 millions de dollars destinée au programme de facilitation routière pour les couloirs routiers reliant Douala-Bangui et Douala N’Djamena.
 
Les deux objectifs principaux de ce programme multinational financé par le Fonds africain développement (FAD), le guichet concessionnel de la BAD, sont de « contribuer à la croissance du commerce inter-régional et entre les pays de la CEMAC », a déclaré M. Gantsho. Il a par ailleurs ajouté que cette opération permettra également « d’augmenter l’efficacité du réseau routier, y compris les infrastructures routières, les chemins de fer et l’accès maritime tout au long des couloirs Douala-Ndjamena et Douala-Bangui».
 
« Le programme multinational s’inscrit dans le cadre du NEPAD qui vise à créer des couloirs économiquement et commercialement viables sans barrières, formalités et contrôles routiers inutiles qui sont à l’origine des retards inutiles et des augmentations des coûts de transactions dans ces couloirs », a-t-il expliqué.
Il a fait remarquer que la contribution de 174 millions de dollars de la part de la BAD sous forme de prêts et de dons provient de son guichet multinational dans le cadre du FAD-X pour le projet de facilitation routière estimé à 410 millions de dollars.
 
Le ministre centrafricain de l’économie, du plan et de la coopération internationale, Sylvain Maliko, a souligné, pour sa part, l’importance de la contribution du programme de la facilitation routière aux efforts d’intégration régionale des pays membres de la CEMAC. Il a aussi loué la BAD pour son soutien indéfectible aux pays de la sous-région et leurs projets d’intégration.
Le président de la CEMAC, M. Antoine Ntsimi, a noté, quant a lui, que les capitales des pays de la sous-région ne sont pas reliées par des routes bitumées en bon état bien que le transport routier devienne de plus en plus important pour la région.
 
Il a remercié, entre autres, la BAD, l’Union européenne, la Banque mondiale et le Japon pour leur soutien.
« A fin juillet 2005, la BAD avait approuvé 250 opérations au profit des pays membres de la CEMAC avec un engagement total de 3,1 milliards de dollars. L’allégement de la dette dans le cadre de l’initiative PPTE s’élève à 139,9 millions de dollars », a-t-il expliqué.
 
Il s’est servi de l’occasion pour exprimer la gratitude de son gouvernement à l’Union européenne, à l’Agence française de développement et à la Banque mondiale pour leurs contributions au programme.
Le programme permettra d’améliorer l’accès au port de Douala pour le Tchad et la RCA. Il permettra également de réduire la pauvreté et d’améliorer les conditions de vie des populations, notamment celles de femmes.
 
* 1 UC = 1,59527 US$ = 703,717 XOF au 29/ 02/2008
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Centrafrique-Presse.com - dans Communiqués
3 mars 2008 1 03 /03 /mars /2008 04:00
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RFI, depuis ce matin diffuse dans ses bulletins d’information concernant l’entretien que le député tchadien de l’opposition, Ngarlejy Yorongar, a accordé en exclusivité au bimensuel Afrique Education, que celui-ci aurait plutôt été « accordé à un député (et) a été publié hier vendredi dans un magazine africain ». Plusieurs choses :
  1. D’abord, ce « magazine africain » sans nom s’appelle « Afrique Education ». L’interview en question a été publiée dans le numéro 247 du 1er au 15 mars 2008 en kiosque depuis samedi.
  2. Contrairement à ce que dit RFI, cette interview n’a pas été accordée à un « député (avant d’être) publiée « dans un magazine africain ». Si tel est le cas, que RFI donne le nom de ce député et le parti auquel il appartient. C’est très important.
  3. Afrique Education est en contact avec le député Ngarlejy Yorongar qui a bien voulu lui accorder une interview en exclusivité depuis son lieu d’exil camerounais. Cette interview sera sur le site internet du magazine (www.afriqueeducation.com) dès demain ou après-demain.
  4. Monsieur Ngarlejy Yorongar a rédigé un communiqué en date du 26 février 2008 pour résumer ses propos diffusés dans Afrique Education. Ce communiqué a fait l’objet d’une large diffusion y compris auprès de RFI. A la fin de ce communiqué (qui n’est bien évidemment pas une interview), le député Ngarlejy Yorongar prend le soin de renvoyer les lecteurs à son interview exclusive diffusée dans Afrique Education. Le directeur du bimensuel Afrique Education qui a réalisé cette interview a demandé à RFI de corriger son papier sur ce point. Et l’incident sera clos.
  5. Afrique Education persiste et signe : l’interview du député Ngarlejy Yorongar a bien été recueillie par téléphone en exclusivité pour le magazine. Le député le précisera ultérieurement quand il sera en mesure de parler à l’ensemble de la presse internationale.
Le directeur du bimensuel
Paul TEDGA
Cell. 06.19.41.17.06
 
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Centrafrique-Presse.com - dans Communiqués
29 février 2008 5 29 /02 /février /2008 14:27

undefinedCommuniqué de Presse du FDPC

Le Front Démocratique du Peuple Centrafricain a appris avec satisfaction la libération des responsables de l’UFDR détenus à Cotonou au BENIN et remercie la Communauté Internationale des efforts qu’elle ne cesse de déployer et dont l’aboutissement  a été cette libération.
Alors que le peuple Centrafricain salut cet acte courageux de la Justice Béninoise, le Président François BOZIZE vient de poser deux actes qui remettent en cause d’une part l’accord de paix de Syrte , signé le 02 Février 2007 entre le FDPC et le Gouvernement , et d’autre part le processus de dialogue politique inclusif en cours.
 
1-     Le Samedi 16 Février 2008, les soldats de la Garde Présidentielle ont attaqué les positions des éléments du FDPC dans les environs de la localité de KABO. Le bilan est d’un blessé léger.
 
2-     Le Samedi 16 Février 2008, à la demande du Président François BOZIZE, la Cour Criminelle de Bangui est convoquée en session extraordinaire pour juger l’affaire dite de KEMBE dont Monsieur Jean-Jacques DEMAFOUTH, ancien Ministre de la Défense, est accusé de complicité.
 
Pour le FDPC, l’attaque délibérée de ses éléments est une grave violation de l’accord de paix de Syrte et en appelle au Haut Médiateur Permanent de la CEN-SAD pour trouver un compromis. En outre, en cas de prochaine violation, le FDPC considéra l’accord comme caduque et prendra ses responsabilités.
 
Monsieur Jean-Jacques DEMAFOUTH est une figure importante de la vie politique Centrafricaine. Cette tentative de sa mise à l’écart du processus de dialogue politique inclusif en instrumentalisant la justice est contraire au principe démocratique. Ce qui montre clairement la volonté des autorités de Bangui de s’enfermer dans une dictature.
Par conséquent, de tout ce qui précède, le FDPC s’engagerait d’une part de retirer son représentant du Comité Préparatoire de dialogue politique inclusif si les attaques contre les positions de ses éléments sur le terrain se répètent. D’autre part le FDPC apporte son soutien à Monsieur Jean-Jacques DEMAFOUTH et suit de près l’évolution  de cette affaire dont l’issue permettra de maintenir ou non sa présence au Comité Préparatoire du dialogue.
 
Le FDPC en appelle à la bonne compréhension de toutes les filles et tous les fils de Centrafrique.
 
 
Fait le 19 Février 2008
 
Le Président du FDPC
         Général Abdoulaye MISKINEundefined
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28 février 2008 4 28 /02 /février /2008 18:21
2493apdr.jpgSuite à la rencontre de l’Armée populaire pour la restauration de la démocratie (APRD) avec le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies en Centrafrique M. François Lonsény Fall du BONUCA et au long entretien que notre délégation a eu avec ce dernier le samedi 16 février 2008, elle a choisi de s’accorder un bref temps de réflexion et de consultation des différentes unités à la base.
 
L’APRD est donc maintenant en mesure de porter à la connaissance de l’opinion nationale et internationale que si elle a décidé de prendre les armes, c’est précisément à cause de la mauvaise gouvernance du régime du général François Bozizé, en particulier de sa politique d’exclusion systématique de la vie nationale de certains fils du pays, notamment l’ancien président Ange Félix Patassé, ses anciens proches collaborateurs tels que l’ex ministre de la défense Jean Jacques Démafouth, son porte parole Prosper N’douba et bien d’autres cadres importants du pays aujourd’hui, arbitrairement contraints à vivre en exil depuis le coup d’Etat du 15 mars 2003.
 
Dès l’origine de la création de l’APRD, alors que le pouvoir de Bangui s’évertuait à nous traiter de « bandits de grand chemin » et de coupeurs de route ou « zarguinas », nous prônions et exigions la tenue d’un dialogue national sans exclusive afin que tous les fils de Centrafrique puissent rechercher ensemble les meilleures solutions pour restaurer une paix définitive et durable dans notre pays qui a tant souffert et continue de souffrir des méfaits et des conséquences des troubles politico-militaires. Aujourd’hui, après maintes hésitations et tergiversations et les pressions diverses exercées sur lui, le général Bozizé a fini par se résoudre à l’organisation de ce dialogue national inclusif. L’APRD ne peut que s’en féliciter.
 
Cependant, étant un mouvement militaire oeuvrant sur le terrain et pour d’évidentes raisons de sécurité, l’APRD ne saurait désigner un représentant au comité préparatoire de ce dialogue. Elle demande cependant au Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies en Centrafrique M. François Lonsény Fall du BONUCA de prendre contact avec ceux-là mêmes dont elle tient à ce qu’ils ne soient pas écartés du dialogue national à savoir, le président Ange Félix Patassé, son porte parole Prosper N’douba et l’ancien ministre de la défense Jean Jacques Demafouth pour les modalités de désignation d’un représentant de l’APRD au Comité Préparatoire du dialogue Inclusif.
 
Comme le général Bozizé l’a fait avec le FDPC du général Abdoulaye Miskine et l’UFDR, l’APRD exige quant à elle la signature non pas d’un accord de paix mais de cessez le feu avant la tenue du dialogue national inclusif qui doit se tenir à l’extérieur du pays sauf sur une zone démilitarisée sur le territoire national qui restera à définir sur la base des conditions à examiner avec le BONUCA et le comité d’organisation du dialogue.
 
Fait à Paoua, le 21 février 2008
 
Le porte parole chargé de la communication
 
Le capitaine Laurent DJIM-WOÏ
 
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