Paris, le 08/09/2013 (CAP) - L’image du clergé centrafricain ne va sans doute pas s’améliorer avec les turpitudes d’un de ses membres, un sulfureux abbé dont les frasques défrayent régulièrement la chronique ces temps derniers. Il n’y a pas longtemps une charrette de prêtres centrafricains avaient été suspendus par le Pape Benoît XVI. Malgré les efforts de la Nonciature de Bangui et du nouveau patron de l’épiscopat centrafricain, Mgr Dieudonné Nzapalainga.
L’abbé Marc Belicassa, c’est de lui qu’il s’agit, Curé de la paroisse ST-SAUVEUR, officiellement à Brazzaville pour ses paroissiens mais en réalité en France pour des soins médicaux aux frais de sa paroisse, s’est encore fait parler de lui après ses frasques de Brazzaville (République du Congo) en se faisant frapper par un compatriote centrafricaine lors d’une cérémonie du quarantième de deuil de Mme PSIMHIS à Noisy-le-Sec (Département de St-Denis- / France).
Ce religieux, emblème du renouveau charismatique, s’est lancé depuis quelques années de prêtrise dans une croisade sexuelle vis-à-vis de ses adeptes. Après des ravages à la Paroisse de MOUKASSA (Foyer de Charité de Bangui), la Paroisse de la TRINITE (Castors Bangui) et ST SAUVEUR (SICA 2), il est depuis quelques mois en tournée africaine et européenne dans sa mission religieuse mais aussi en quête de nouvelles proies (femmes ou hommes croyants perdus ou égarés, recherchant une vision éclairée)
Cette fois-ci, l’Abbé Belicassa est tombé sur un os dur qui lui a infligé une correction punitive ce samedi 07 septembre 2013 lors d’une cérémonie familiale. Ce pseudo-guérisseur entretenait des relations intimes avec une dame vivant en couple en France depuis 2009. Il l’a fait partir plusieurs fois à Bangui et ‘entretenait des relations intimes avec cette dernière.
La nommée Arlette B... pouvait bénéficier d’une mise à disposition de véhicules et autres avantages matériels sur place. Une fois en Europe, notre fameux religieux continuait cette relation charnelle qu’il appréciait tant avec cette charmante dame dont le compagnon, Antoine B., a fini par être informé de l’existence des agissements du prélat avec sa compagne et d’après des proches, s’est promis de corriger publiquement l’imposteur. Après s'être fait agresser, Bélikassa était sorti une première fois de la salle en compagnie des organisateurs de la veillée de ce samedi soir ainsi que le "cocu" pour des explications simultanées dans le but d'éviter que cette histoire ne vienne perturber la veillée et attirer l'attention de l'assistance.
Des témoins de la scène disent avoir ensuite l’abbé Bélikassa et sa suite sortir de nouveau de la salle, apparemment une bonne heure après, pour s'en aller mais il était visiblement mal en point, un pan de sa chemise déchiré et maculé de sang ainsi que ses lunettes tordues... On apprendra aussi plus tard qu’il devrait regagner Bangui ce mercredi Bangui tout en déclarant qu'il pardonnait à son agresseur son acte à son égard.
D’après nos informations, l’Archevêque de Bangui aurait été tenu informé dans un message téléphonique ainsi que le Conseil épiscopal centrafricain.