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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 22:00

 

 

NOTE D’INFORMATION

 

 

Bangui, le 8 septembre 2015 – La visite officielle en République centrafricaine du Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix des Nations Unies, Hervé Ladsous, a pris fin ce 8 septembre. A la faveur d’une conférence de presse, M. Ladsous a donné ses impressions sur ce quatrième séjour en terre centrafricaine, suite aux rencontres qu’il a eu avec les autorités de transition.

 

Sa visite intervient un an après le transfert d’autorité de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA) à la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA). Elle a ainsi été l’occasion de faire une évaluation à mi-chemin et de sensibiliser tous les partenaires aux nouvelles échéances électorales, à savoir, le referendum sur la nouvelle Constitution en octobre et les élections générales.

 

Au sujet du respect du calendrier, Hervé Ladsous a été catégorique. «Nous sommes clairement sur la dernière ligne droite. Ces élections doivent se tenir à bonne date, avant la fin de l’année et correctement» a-t-martelé. Les autorités de transition, y compris au sommet, ont donné à M. Ladsous l’assurance que ces échéances seront tenues. Les questions liées au projet de constitution et à la participation des réfugiés au vote étant résolues, Hervé Ladsous a déclaré «qu’il n’y aura pas de troisième transition ». Il a rappelé l’existence d’un calendrier confirmé par la Médiation, les pays de la région et les autorités du Conseil de sécurité prévoyant la fin de la transition le 30 décembre 2015.

 

Se félicitant de la mobilisation continue de la communauté internationale, Hervé Ladsous a annoncé la tenue le 1er octobre 2015 à New York d’une réunion de haut niveau dédiée à la Centrafrique, en marge de l’Assemblée générale des Nations Unies. A l’initiative du Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, elle sera l’occasion de «confirmer les engagements qui ont été pris pour soutenir les processus en cours ». Hervé Ladsous s’est particulièrement félicité du soutien et de la contribution apportés par le Médiateur de la crise centrafricaine, Président de la République du Congo, l’Union africaine et l’Union Européenne. Les Nations Unies, a-t-il annoncé, ont exceptionnellement décidé de débloquer un million de dollars pour contribuer au financement des élections pour combler le gap financier qui demeure.

 

Ces partenaires souhaitent que «la Centrafrique sorte du cycle d’instabilité, qu’enfin des autorités élus par le peuple mettent en place un programme de développement économique et social». Pour sortir de ce cycle infernal de crises à répétition, M. Ladsous a souligné l’importance de l’implication de toutes les constituantes de la République centrafricaine mais aussi celle des groupes armés signataires de l’accord de DDR du Forum de Bangui de s’associer et de faciliter le processus électoral. Sur ce dernier point, il a rappelé que les groupes armés ont aussi la responsabilité de protéger les populations et de faciliter le travail de protection des civils des forces internationales. Il a pu constater ce besoin lors de sa visite à Bambari où la population a unanimement fait part de ses craintes pour sa sécurité.

 

A ceux qui ne se rangent pas du côté de la paix, il a rappelé que le Conseil de sécurité et la Cour Pénale Internationale sont prêts à agir si nécessaire. Dans le même temps, il a mis en garde les populations contre les manipulations des groupes armes. «Chrétiens et musulmans ont toujours vécus ensemble en Centrafrique et cela devrait continuer ainsi » a-t-il dit.

 

A propos de cette reconstruction tant souhaitée, M. Ladsous a affirmé entendre «l’appel des autorités de la Centrafrique pour la remise sur pied des Forces armées centrafricaines (FACA) ». Les Nations unies travailleront «de concert avec les autorités pour une armée professionnelle, représentative et équilibrée ».

 

Cette conférence de presse a été l’occasion pour Hervé Ladsous de rendre hommage à l’ancien Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies, Babacar Gaye, qui «s’est investi sans relâche dans la stabilisation de la Centrafrique. Il n’a épargné aucun effort pour soutenir les autorités et mobiliser les partenaires autour de la Centrafrique ».

 

Après ce tour d’horizon, malgré les défis qui demeurent avec quelques poches d’insécurité, Hervé Ladsous s’est félicité de la situation largement positive. En atteste la stabilisation de Bangui et la reprise visible d’activités sociales et commerciales. Les élections constituent une «opportunité pour tous les centrafricains de se prononcer sur l’avenir de leur pays. Il faut la saisir » a-t-il conclu.

 

 

 

INVITÉ AFRIQUE SOIR

 

Hervé Ladsous: «La Minusca n’est pas affaiblie»

 

Par Pierre Pinto  RFI  mardi 8 septembre 2015

 

En Centrafrique, après les scandales répétés de viols commis par des casques bleus, et qui ont couté sa place le mois dernier à l'ancien chef de la mission onusienne, Babacar Gaye, la Minusca est dans la tourmente. Par ailleurs, depuis quelques semaines, certaines zones comme celle de Bambari connaissent un regain de violences dues aux groupes armés. Le tout dans un contexte d'important retard dans l'organisation des élections. Hervé Ladsous, secrétaire général adjoint des Nations unies chargé des opérations de maintien de la paix, achève une visite de quatre jours en Centrafrique. Il répond aux questions de Pierre Pinto.

 

« La Minusca n’est pas affaiblie. J’ai rencontré les personnels militaires et les personnels civils. Clairement, il y a des mesures à prendre pour faire en sorte que de tels écarts, de tels abus, qui sont inacceptables, ne se reproduisent pas. Des procédures sont en cours pour enquêter et pour, s’il y a lieu, avancer sur des sanctions. Les règles fixées par les Etats membres des Nations unies sont que les investigations et les poursuites sont du ressort des états membres. Mais nos personnels doivent impérativement rendre compte de leurs actes...».

IL N’Y AURA PAS DE TROISIEME TRANSITION EN RCA, INSISTE HERVE LADSOUS (ONU)
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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 18:52
Nouvelles nationales sur RJDH et RNL
Nouvelles nationales sur RJDH et RNL
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La population demande aux Nations Unies de désarmer de force les groupes armés de Bambari

 

http://rjdh.org/  PAR BABIKIR OUSMANE LE 7 SEPTEMBRE 2015

 

La persistance de l’insécurité inquiète une partie de la population de Bambari. Elle demande le désarment des forces non conventionnelles et le rétablissement des éléments des FACA. Un besoin exprimé dimanche 6 septembre, lors d’une visite éclaire secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix des Nations Unies, Hervé Ladsous.

 

En déplorant le fait que depuis deux ans les enfants n’ont pas accès à l’école, Ivonne Margueritte,  une participante à la réunion, a fait savoir que les femmes et les enfants sont beaucoup plus touchés dans cette crise. « Nous  souhaitons un désarmement forcé des groupes armés et le rétablissement de nos forces armées », a-t-elle martelé.

 

Matikpata, maire de la ville, la ville  de Bambari a regretté des vains  efforts  fournis pour la paix dans la ville de Bambari.  « D’une manière générale, la population  avait déploré et condamné les actes barbares, qui ont  fait qu’augmenter la souffrance de la population. Tous les  efforts que nous avons déployés pour ramener la paix sont  réduits à néant. Enfin la mise en œuvre du processus DDR et  du pré-DDR », constat fait par

 

« Le 19 mai, nous étions parvenu à une réconciliation entre la communauté musulmane et chrétienne. Cette réconciliation avait favorisé le retour massif des  déplacés dans les quartiers, mais le plaisir de cette paix n’a été que de courte durée », a-t-il ajouté.

 

Selon l’autorité communale, le dernier regain de violence et fait suite à l’assassinat  d’un taximan musulman le 20 août  sur l’axe chimbolo, « nous avons assisté à des représailles sur des pauvres innocents qui ne sont nullement impliqué  dans cet affaire ».

 

En réponse, Hervé Ladsous a fait savoir que le processus de désarment  demandé sera mis en œuvre tout en spécifiant qu’il ne sera par d’un désarmement forcé mais une activité qui sera discutée avec les consternés qui sont les groupes non conventionnels.

 

Cette mission intervient au moment où une partie de la population de Bambari, ceux de quartier CTRO, Kidigra ont pris les violences pour se réfugiés sur le site des déplacés

 

Nouvelle incursion d'hommes armés à Batangafo

 

http://www.radiondekeluka.org/  mardi 8 septembre 2015 07:40

 

Des hommes lourdement armés présentés comme des peuls appartenant d'une part, à l'ancien chef rebelle tchadien Baba Laddé et, d'autre part venant d'ailleurs, ont multiplié leur présence dans plusieurs villages de la sous préfecture de Batangafo dans l'Ouham (nord de la République Centrafricaine). 


Selon les habitants de Batangafo, cela fait plusieurs semaines que ces hommes armés règnent en maîtres dans les champs des villageois.  Cette situation a poussé les villageois à abandonner leurs parcelles pour se réfugier à Batangafo-centre où ils vivent dans des conditions difficiles. 


« Depuis quelques semaines, on a noté la présence de certains peuls Séléka et il y a aussi la présence d'autres groupes de peuls armés qui saccagent les champs des paysans dans les alentours de Batangafo. Sur la ville, on a noté une accalmie ces derniers jours, mais en périphérie et surtout dans les champs, c'est une autre réalité. Si vous quittez Batangafo pour aller sur 14 kilomètres, la population des villages Bolom, Boyo, Tounda et autres s'est vidée au profit de Batangafo. Si vous prenez l'axe Kabo, à 9 kilomètres, la population de Gofo s'est vidée pour être à Batangafo. Ils sont sans assistance », a témoigné Dieudonné Yanseibona, curé de l'église catholique de Batangafo. 


Le prélat interpelle par la même occasion les autorités  de Bangui et la Minusca sur la présence de ces hommes armés qui selon lui devient inquiétante.


« Depuis quelques jours, il y a des informations qui passent mais cela ne suscite aucune réaction de la part de nos autorités. Nous aimerions que la gendarmerie et la police viennent et que la Minusca soit renforcée. Nous n'avons qu'une poignée d'éléments de la Minusca qui n'est pas bien équipée. La dernière fois, ces casques bleus ont été pris à partie sur un check point par les hommes de la Séléka. Pourquoi l'ONU n'envoie pas de renfort, pourquoi ça tarde et ils n'ont que deux véhicules », s'est indigné l'homme de Dieu.


La population locale, prise de panique, lance un appel aux autorités de Bangui et à la Minusca.

 

 

La CPI annonce l’audience de confirmation des charges de Ongwen le 21 janvier 2016

 

http://rjdh.org/  PAR VIRGINIE BERO LE 8 SEPTEMBRE 2015

 

Le bureau du procureur de la Cour Pénale Internationale annonce l’ouverture de l’audience de confirmation des charges le 21 janvier 2016. Selon Alhadji Abdallah porte parole de la CPI, c’est à l’issue de cette audience que les juges décideront d’envoyer ou non l’affaire Ongwen en procès.

 

Le 16 janvier 2015, Dominique Ongwen est détenu à la CPI et sa première comparution a eu lieu le 26 janvier 2015, suite à quoi l’accusation a commencé la divulgation des éléments de preuves à la défense.« L’audience de confirmation de charge serait le 21 janvier 2016 et les juges de la CPI se décideront s’il y a ou non les preuves suffisantes pour renvoyer l’affaire à l’encontre de Dominique Ongwen en procès », dit-il.

 

A en croire le porte-parole de la CPI, Dominique Ongwen est suspecté de trois chefs de crimes contre l’humanité et de quatre chefs de crimes de guerre, exactement commis le 20 mai 2004, au camp des déplacés de Lokodi en Ouganda.

 

Il a indiqué que le mandat d’arrêt de la CPI contre Ongwen ne concerne pas la République Centrafricaine, au stade actuel de la procédure. «Le bureau du Procureur peut encore ajouter d’autres affaires pour couvrir les crimes potentiellement commis en RCA », projette-t-il.

 

Il a également fait la demande suivante, «si toutes personnes qui ont des informations précises sur des crimes éventuellement commis par M. Ongwen ailleurs que dans le nord de l’Ouganda àfaire parvenir au bureau du Procureur de la CPI ».

 

Dominique Ongwen était commandant de la brigade de l’armée de résistance du seigneur. Il a été transféré au quartier pénitentiaire de la Cour pénale internationale (CPI) le 21 janvier 2015, suite à un mandat d’arrêt délivré contre lui.

 

 

Des habitants de Sica II manifestent pour réclamer l’électricité

 

http://rjdh.org/ PAR SAMSON ANDJOUKARA LE 8 SEPTEMBRE 2015

 

La circulation est perturbée ce matin sur l’avenue de France, à la hauteur de la Paroisse Saint Sauveur, dans le deuxième arrondissement de Bangui. Certains habitants sont descendus dans la rue pour réclamer l’électricité qui depuis trois semaines ne serait pas disponible dans leur secteur.

 

Un des manifestants  a confié sous l’anonymat que leurs manifestations visent à dénoncer le non-respect du planning de délestage « l’ENERCA (Energie Centrafricaine) a mis en place un planning de délestage dans la ville de Bangui.Force est de constater que depuis trois semaines nous n’avons pas d’électricité. Nous dénonçons ici le non-respect de ce planning ».

 

 « Nous relevons qu’une partie de Sica II, précisément au niveau du terrain de foot ball, les habitants ont l’électricité 24 heures sur 24, pendant que l’autre partie est sans électricité durant des semaines, c’est de l’injustice appliquée par la société », a dit un autre manifestant.

 

Rosette une habitante, déplore la perte des réserves pendant cette période de délestage prolongé. « Faute de l’électricité durant cette période, nos réserves sont avariées et nous ne savons quoi faire » regrette-t-elle.

 

Le RJDH est entré en contact avec l’Enerca qui a promis réagir sauf qu’au moment où nous mettons sous presse, nous n’avons pas encore cette réaction.

 

La manifestation était encadrée par la gendarmerie qui a installé des dispositifs pour prévenir tout débordement.

 

 

Fin des opérations de recensement électoral à Kabo malgré les difficultés enregistrées

 

http://rjdh.org/ PAR SANDRINE MBAGNA LE 8 SEPTEMBRE 2015

 

Les opérations de recensement électoral  ont pris fin le lundi 07 Septembre dans la sous-préfecture de Kabo  malgré  des difficultés enregistrées.

 

Selon  Sillas Ngartouloum, président de l’autorité  sous préfectorale de Kabo,  la plupart des appareils  photos  sont tombés en pannes et les  formulaires  d’inscription sont insuffisants  pour couvrir l’opération dans la zone.

 

Dans les différents centres d’enrôlement, installés dans les villages environnants, le constat est similaire, « Plusieurs électeurs ont été  enregistrés sans avoir été filmés. D’autres ne sont pas encore enregistrés par manque de formulaire ».

 

L’autorité sous préfectorale de Kabo lance un appel à l’ANE de Bangui afin d’envoyer des formulaires,  des appareils  photo et de prolonger la date pour la bonne marche de ces opérations.

 

Ces opérations de recensement sur la liste électorale ont débuté dans la sous préfecture de Kabo le 19 Aout dernier.

 

Des problèmes techniques freinent la délibération du Bac selon l’inspecteur général de l’enseignement

 

http://rjdh.org/  PAR BIENVENUE MARINA MOULOU-GNATHO LE 8 SEPTEMBRE 2015

 

L’insuffisance des ordinateurs et le délestage sont les raisons évoquées par Noël Ramadan, inspecteur général de l’enseignement, pour justifier le retard pris dans la proclamation des résultats du Baccalauréat. Ces résultats, selon la même source devraient être publiés le weekend dernier.

 

« Le secteur dans lequel se déroule le travail de traitement des notes n’a pas l’électricité le jour. A cela s’ajoute le nombre insuffisant des ordinateurs  pour faciliter l’assemblage des notes», a-t-il avancé.

 

En appelant les candidats qui s’impatientent à se calmer Noël Ramandan a signalé que les difficultés ont été résolues, « C’était le dimanche 6 septembre  que nous avons reçu un groupe  électrogène et les travaux avancent bien en ce moment ».

 

Face à l’inquiétude de certains parents, l’inspecteur général de l’enseignement a fait savoir qu’il s’agit d’un travail qui demande beaucoup de prudence afin d’éviter des erreurs. Il sollicite la patience des parents et des candidats sans donner la prochaine date de la délibération et de la proclamation des examens.

 

Les examens du baccalauréat session d’aout 2015 ont eu lieu du 18 au 21 dernier. Jusqu’à présent les résultats ne sont pas encore rendues publics.

 

 

 

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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 18:50

 

 

 

Bangui, le 8 septembre 2015 - Le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix des Nations Unies, Hervé Ladsous, a annoncé l’établissement d’une «zone sans arme » à Bambari effective dès aujourd’hui, 8 septembre 2015, à partir de 17h00.

 

La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) «a pris la décision d’établir une zone sans arme à Bambari afin d’assurer l’intégrité physique et la libre circulation de la population civile, ainsi que l’accès des travailleurs humanitaires aux populations vulnérables » a-t-il déclaré.

 

Cette décision fait suite à l’appel que la population de Bambari a lancé le dimanche 6 septembre à M. Ladsous pour davantage de protection contre les groupes armes sans distinction qui sévissent dans cette région.

 

«La MINUSCA accueille l’engagement des groupes armes à respecter cette mesure comme moyen concret d’améliorer la sécurité de la population a Bambari, créer les conditions favorables au retour des personnes déplacées, et permettre le début de l’enregistrement des électeurs sur Bambari qui doit commencer le 14 septembre » s’est félicité M. Ladsous. La MINUSCA veillera à l’application de cette mesure.

 

Le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix des Nations Unies termine ce 8 septembre une visite de quatre en République centrafricaine pour réitérer le soutien des Nations Unies à la veille d’un rendez-vous aussi important que les élections générales prévues en octobre 2015.

HERVE LADSOUS ANNONCE L’ETABLISSEMENT D’UNE ZONE SANS ARME A BAMBARI
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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 18:47

 

 

NOTE D’INFORMATION 

 

 

 

Bangui, le 7 septembre 2015 – La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) est endeuillée par le décès du soldat de première classe Adil Khtira, casque bleu du bataillon marocain suite à un accident de la circulation survenu le 7 septembre près de Sibut, Préfecture de Kemo (Sud du pays).

 

Agé de 23 ans, Adil Khtira est le quinzième casque bleu qui perd la vie dans la recherche de la paix en République centrafricaine.

 

L’accident a aussi fait un blessé grave qui a été évacué vers Bangui. La Mission lui souhaite un prompt rétablissement.

 

La MINUSCA exprime ses plus sincères condoléances à la famille du défunt, ainsi qu’au Royaume du Maroc. En saluant l’importante contribution du Maroc à la MINUSCA, la Mission partage la douleur du contingent marocain et lui exprime toute sa sympathie en ces moments difficiles.

LA MINUSCA ENDEUILLEE PAR LE DECES D’UN CASQUE BLEU DU BATAILLON MAROCAIN
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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 23:11

 

       

 

APA Brazzaville (Congo) 2015-09-07 21:15:10 Le calendrier électoral en Centrafrique subira quelques modifications, en vue de parfaire les listes électorales, a indiqué, lundi à Brazzaville, l'ambassadeur centrafricain au Congo, Charlotte Fayanga, dans une déclaration à la presse à l’issue d'un entretien avec le nouveau ministre congolais des Affaires étrangères, Jean Claude Gakosso.


"Le calendrier électoral pourra subir quelques modifications, afin que les listes soient harmonisées", a indiqué la diplomate centrafricaine, ajoutant que les élections vont se tenir aux dates arrêtées mais pas le référendum.


Le référendum ne pourra se tenir comme prévu, les listes ne sont prêtes, a-t-elle dit, précisant qu'à Brazzaville par exemple le recensement va débuter mardi.


"Il faut être réaliste", a ajouté Charlotte Fayanga. Le calendrier électoral en Centrafrique prévoit l'organisation d'un référendum en octobre prochain.

 

http://apanews.net/news/fr/article.php?id=833193#sthash.M8YVfNH2.dpuf

Centrafrique : Le calendrier électoral subira quelques modifications (diplomate)
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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 23:07

 

      

 

APA- Dakar (Sénégal) 2015-09-07 13:15:24 - Des proches de l’ex-président tchadien dont son fils ont été interpellés pour trouble d’audience lors du procès de Hissène Habré qui a été conduit de force devant la Cour d'Assises des Chambres africaines extraordinaires ( Cae ) où son procès pour ‘’crimes de guerre, crimes contre l'humanité, et de torture’’ a repris ce lundi à Dakar.



Au Sénégal, le délit de trouble d'audience peut être puni jusqu'à deux ans de prison. 
Les personnes interpellées n'ont pas supporté la comparution forcée de Hissein Habré et ont demandé aux Cae d'«arrêtez cette mascarade».


"C'est inhumain, ils sont en train de le maltraiter", a lancé une jeune fille qui a été expulsée de la salle d'audience de même que certains des sympathisants de Habré qui ont tenté d'opposer une vive résistance aux gendarmes.


Devant le refus de l'ex président tchadien de comparaître devant la CAE une juridiction spéciale créée par l'Union Africaine (UA) en vue de la tenue de son procès au Sénégal, le président de la Cour ordonné son extraction de force de sa cellule.

Habré se trouve actuellement dans la salle du tribunal mais reste maintenu sur sa chaise par des éléments du Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN).

Sa présence étant requise par le tribunal pour le déroutement normal du procès. 

Solidement maintenu sur sa chaise par ses gardes, Habré ne cesse de marmonner des paroles inintelligibles et tente en vain de se débattre.


L'ex homme fort de Ndjamena a récusé CAE et les trois nouveaux avocats commis d'office par les Chambres pour le défendre. 


Hissène Habré, 73 ans, s'est réfugié au Sénégal depuis le renversement de son régime en 1990 par l'actuel président tchadien, Idriss Déby. 


M. Habré a dirigé son pays entre 1982 et 1990, période au cours de laquelle des milliers d'assassinats auraient été perpétrés par son régime. Il a été inculpé et placé sous mandat de dépôt depuis 2013, à Dakar. 

 

http://apanews.net/news/fr/article.php?id=833133#sthash.tQPSRpGu.dpuf

Interpellation des proches de Hissène Habré dont son fils pour trouble d'audience
Interpellation des proches de Hissène Habré dont son fils pour trouble d'audience
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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 19:04

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

CP/SPK#039/2015

 

 

Bangui, le 7 septembre 2015 – La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA), condamne fermement l’incendie de l’Eglise évangélique de la Pentecôte Centre 1 de Bria, chef-lieu de la Haute Kotto.

 

Cet acte irresponsable et répréhensible constitue un affront aux avancées enregistrées dans la réconciliation et la cohésion sociale à Bria. La MINUSCA appelle la population de Bria à mettre les valeurs de tolérance, de respect de la différence au-dessus de toute autre considération et l’exhorte à ne céder ni à la provocation ni à la manipulation pouvant entraîner une nouvelle flambée de violence.

 

La MINUSCA appelle les leaders des différentes communautés à privilégier les messages de paix. Elle apprécie les efforts déjà déployés par certains responsables communautaires en vue de faire baisser la tension et la violence.

 

La MINUSCA réitère son engagement à accompagner et appuyer le processus politique en République centrafricaine en vue d’une sortie de crise définitive.

 

LA MINUSCA CONDAMNE FERMEMENT L’INCENDIE DE L’EGLISE EVANGELIQUE DE LA PENTECOTE DE BRIA
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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 18:54

 

 

         

APA-Bangui (Centrafrique) 2015-09-07 15:09:10 Le Collectif des Centrafricains pour la réconciliation, qui regroupe des leaders des milices chrétiennes anti Balakas et des ex-rebelles Sélékas, a dénoncé la présence massive des peuls dans certaines régions de la Centrafrique, lors d’un point de presse lundi à Bangui.


Le président du collectif, Sébastien Wénézoui, actuel ministre de l'Environnement, ancien porte-parole des anti Balakas, a accusé les peulhs membres des ex-Sélékas d'être responsables du regain de violence dans certaines régions de la République centrafricaine.

Selon M. Wénézoui, la présence massive des peuls armés sur le territoire national est le fait du mercenaire Ali Ndaras.


Non seulement ce mercenaire est responsable de l'insécurité dans les régions centre de la RCA mais il prépare une nouvelle invasion du pays avec d'autres mercenaires? comme par le passé, a expliqué Sébastien Wénézoui, qui a averti que les membres de son association ne resteront pas les bras croisés devant cette situation.

M. Wénézoui a menacé ouvertement d'aller en guerre contre Ndaras, membre des ex-Sélékas s'il n'arrêtait pas ses troupes.


Ces derniers temps, les populations des régions centre et nord de la RCA se plaignent des violences perpétrées contre elles par les peulhs armés qui écument leurs champs.


Faute d'équipements et en raison de l'insuffisance de leurs effectifs, les forces de l'ordre sont incapables d'enrayer ces violences.


Au sujet de la Transition, Le collectif des Centrafricains pour la réconciliation, a invité les responsables politiques qui demandent une troisième transition dans le pays à abandonner cette idée et à soutenir l'actuelle transition pour qu'elle organise rapidement les élections, afin de sortir le pays de ses difficultés. 

 

http://apanews.net/news/fr/article.php?id=833135#sthash.aqJy6sNq.dpuf

Centrafrique : Une association dénonce la présence massive des peuls dans certaines régions
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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 18:47
Nouvelles nationales sur RJDH

 

 

Mgr Dieudonné Nzapalainga dénonce et propose le report des élections en Centrafrique

 

http://rjdh.org/  PAR NAÏM-KAÉLIN ZAMANE LE 7 SEPTEMBRE 2015

 

Mgr Dieudonné Nzapalainga a réagi à l’actualité centrafricaine. Il a appelé les autorités de la transition et la communauté internationale à prendre leurs responsabilités dans les violences de Bambari et a proposé le report des élections, compte tenu des difficultés rencontrées. Des réactions livrées au RJDH le week end dernier.

 

A la question de savoir si la plateforme regrette le regain de tensions à Bangui et en province, Mgr Dieudonné Nzapalainga a réagi en dénonçant. « Il faut que les autorités de ce pays prennent leurs responsabilités pour atténuer la souffrance des populations. La communauté internationale aussi qui est venue a également une responsabilité à prendre pour que la violence ne puisse pas être exponentielle mais réduite le plutôt possible. Or, on a l’impression parfois où on est passif ou on est incapable », explique-t-il.

 

Sur le processus électoral confronté au refus des hommes politiques et du gouvernement d’y prendre part, le prélat a souligné que si « l’ANE, chargée d’organiser des élections, nous dit qu’il n’est pas possible d’aller aux élections, il ne sert à rien de courir pour avoir plus tard des frustrations, des injustices où nous allons nous enfoncer davantage.».

 

Il propose une concertation beaucoup plus large pour définir un nouveau calendrier. « Il faut se mettre ensemble et définir un nouveau calendrier Je demande à ce que nous soyons réaliste, en regardant les choses, en les analysant pour nous dire que si nous n’avons pas tous les moyens, il va falloir que nous puissions honnêtement, raisonnablement et humainement reporter afin d'avoir des élections de sortie de crise », développe-t-il.

 

Le regain de tensions dans le centre de la RCA et le processus électoral sont deux sujets brulants de ces derniers jours.

 

 

L’insécurité perturbe le déroulement des opérations de recensement à Bakouma

 

http://rjdh.org/ PAR JEAN-MARI ANDIBIKOUNDA LE 7 SEPTEMBRE 2015

 

Les opérations du recensement électoral ne sont pas encore effectives à Bakouma, selon  Jean Noel Kinazounda, président de l’autorité sous préfectorale des élections. Une situation qu’il  déplore et évoque l’insécurité comme l’une des raisons de ce retard.

 

C’est depuis le  21 août dernier que la  formation des agents recenseurs a pris fin dans cette région. « Ce retard d’enregistrement est lié  à l’insécurité qui perdure sur l’axe Bangassou Bakouma. La plupart des matériels sont restés à Bangui », a relevé Jean Noël Kinazounda.

 

Sur 65 centres d’enregistrement que compte la sous préfecture de Bakouma, deux seulement sont opérationnels. La plupart des centres est  implantée au centre Nzacko et Bakouma centre.

 

« Une partie des formulaires d’inscription, déployée par l’équipe de formation, a servi l’enregistrement de quelques électeurs dans les villages  Zabin et Kitigra et ont le 1er Septembre.

 

Des cas d’agressions perpétrés par des hommes armés ont été signalés dans cette région. le dernier cas remonte au mardi 1er septembre où des hommes en arme, qui ne sont pas identifiés, ont aussi ouvert le feu sur des passants aux  villages périphérique de Bakouma

 

 

Des partis et associations politiques discutent de l’après 30 décembre

 

http://rjdh.org/  PAR NAÏM-KAÉLIN ZAMANE LE 7 SEPTEMBRE 2015

 

En République Centrafrique, la transition est censée prendre fin le 30 décembre 2015 avec l’organisation entre temps des élections législatives et présentielle. Des scrutins intenables selon les partis, associations politiques et personnalités politiques indépendantes qui ont initié depuis le samedi 05 septembre un schéma de sortie de crise. Un plan qui prévoit la refonte des institutions de la transition d’ici le 30 décembre prochain.

 

Le plan a fait l’objet d’une rencontre avec la presse ce 07 septembre 2015. Pour Elie Doté, ancien Premier Ministre et président du parti Kélémba, « il ne fait aucun doute, la transition est un échec. Les objectifs à lui assignés n’ont pas été réalisés. Le constat est fait par tout le monde et que les élections ne pourront avoir lieu aux dates indiquées. Raisons pour lesquelles, nous avons réfléchi et sorti ce schéma de sortie de crise ».

 

Crépin Mboli-Goumba, ancien Ministre d’État et président du Parti Africain pour la Transformation Radicale et l’Intégration des États lui a emboité le pas. D’après l’avocat, « j’ai été ministre d’un gouvernement d’union nationale. Nous avons été poussés à la démission parce que l’on nous reprochait d’avoir échoué. C’est le même cas de figure aujourd’hui : les mêmes causes produisent les mêmes effets ».

 

Il y a polémique sur le maintien ou non des acteurs actuels de la transition après le 30 décembre. Enoch Dérant Lakoué du Parti Social Démocrate (PSD), estime que les acteurs actuels pourront être éligibles pour la suite de la transition. « La dernière prorogation de la transition a fait mention d’ultime prolongation parce qu’aucune disposition de la Charte Constitutionnelle ne gère la suite de la transition. La transition sera donc achevée. Les personnes qui l’ont géré peuvent demander de nouveau le suffrage du parlement à venir pour pouvoir revenir aux affaires », souhaite-t-il contrairement à Bengué Bossin qui émet une restriction pour la cheffe de l’État de transition. « Les partis politiques peuvent être candidats ainsi que la société civile mais sauf Catherine Samba-Panza », dit-il.

 

L’Alliance des Forces Démocratiques pour la Transition, (AFDT) comprenant les poids lourds de la politique centrafricaine n’est pas signataire du document du schéma de sortie de crise.

 

 

Victoire des Fauves: de la liesse au drame

 

http://rjdh.org/  PAR ANNETTE MAÉLAINE MALEBINGUI LE 7 SEPTEMBRE 2015

 

Plusieurs cas d’accident de circulation, ont été enregistrés le dimanche 6 septembre après la victoire des Fauves de Bas Oubangui sur l’équipe de la République Démocratique du Congo. Un match qui s’est soldé par deux à zéro en faveur des Fauves.

 

D’après le constat fait par le RJDH dans  les grands hôpitaux de la place ce matin, plusieurs blessés ont été enregistrés. Il s’agit pour la plupart des accidents de taxi-moto. De l’hôpital Amitié en passant par l’hôpital communautaire, puis le centre Médecins Sans Frontière (MSF) de l’hôpital général, plusieurs  cas d’accident ont été relevés, avant, pendant, et après le match d’hier.

 

 « La journée d’hier était très pénible. Nous avons enregistré plusieurs cas de blessés graves et légers. Nombreux sont ceux qui étaient sur les engins à deux roues », a témoigné  un personnel soignant de l’hôpital Amitié.

 

Même son de cloche au niveau de  l’hôpital communautaire de Bangui et le centre MSF. «  Effectivement nous avons reçu hier des cas d’accidents de route, par rapport à ce match de football. Nous avons envoyé les données au niveau du directeur général, qui malheureusement n’est pas sur place », a noté le surveillant général de l’hôpital communautaire de Bangui.

 

Placide Ulrich Bondadé, rencontré dans la rue déplore la manière dont les banguissois ont exprimé leur joie hier.

 

« Oui c’est vrai, nous devons manifester pour la victoire des fauves. Mais à mon avis, ce n’est pas de cette manière.  Car aujourd’hui, plusieurs personnes se retrouvent à l’hôpital. En plus, les  femmes qui incarnent des êtres sacrés, ont exposé leur nudité dans les rues de la capitale. Ce n’est pas normal», a-t-il déploré.

 

Une autre source souhaite que «  les forces de l’ordre prennent très prochainement des dispositions afin d’éviter ce genre de choses. Nous devons être dignes et manifester en personne responsable».

 

Malgré ces incidents, ce match a été un moment de rencontre entre les chrétiens et les musulmans. Ces derniers étaient massivement présents au stade pour le match.

 

Le match  qui a opposé les fauves de la République Centrafricaine (RCA) et les Léopards de République Démocratique  du Congo (RDC), était le match Allé du tournoi qualificatif de la CAN 2017 au Gabon

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6 septembre 2015 7 06 /09 /septembre /2015 21:31
Centrafrique - RDCongo - Football CAN 2017

 

 

 

La RCA surclasse la RDC sur le score de 2 - 0  

 

APA Bangui (Centrafrique) 2015-09-06 16:30:55 Les fauves de bas Oubangui de Centrafrique ont battu ce samedi à Bangui, les Léopards de la RDCongo sur le score de 2 – 0, en match aller comptant pour la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football, dont la phase finale se disputera en 2017 au Gabon


Les deux buts centrafricains ont été marqués pendant la première partie par Vianney Mabindé sur pénalty à la 25ème minute et le second but est intervenu à la 33ème minute sur un tir à plus de 30 mètre par Junior Gourrier.


La RCA se relance après sa défaite de la première journée face à l'Angola 4 à 0 au mois de juin.

Les Centrafricains jouaient devant leur public après trois ans d'interdiction de disputer des matchs à domicile pour cause d'insécurité


La RCA est dans la même poule que le Madagascar, et Angola.

 

http://apanews.net/news/fr/article.php?id=833071#sthash.LJhquDT9.dpuf

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