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27 juillet 2016 3 27 /07 /juillet /2016 11:33

 

 

APA- 26/07/16 Bangui (Centrafrique) - Le Conseil d’administration du Fonds monétaire international, au terme d’une mission de l’institution financière effectuée au mai dernier en Centrafrique, a validé le programme financier du pays en mettant à la disposition des nouvelles autorités une enveloppe de 60 milliards de FCFA, a annoncé, mardi à Bangui, le directeur de cabinet du ministère des Finances, Guy Samuel Nganatoua.

 

Pendant son séjour, la mission a tenu à s’assurer de l’amélioration de la compétitivité de l’économie centrafricaine et de la manière dont est promue la bonne gouvernance dans les finances publiques après plusieurs mois de crise humanitaire très couteuse.

 

Des recommandations ont été formulées par la mission en vue d’aider la Centrafrique à retrouver le chemin de la bonne gestion des finances publiques afin de prétendre à d’autres finances des partenaires.

 

L’approbation du programme financier du gouvernement par le FMI ouvre la voie à d’autres partenaires de Centrafrique de le soutenir financièrement dans l’avenir.

 

Cependant cette approbation démontre également la capacité du gouvernement à mettre en œuvre les recommandations du FMI.

 

Ainsi la table ronde des bailleurs de fonds de Centrafrique qui aura lieu à Bruxelles en Belgique au mois de novembre prochain augure de bonnes perspectives pour l’économie centrafricaine.

Le FMI valide le programme financier du gouvernement centrafricain
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Centrafrique-Presse.com
27 juillet 2016 3 27 /07 /juillet /2016 11:06

 

 

http://www.toulouse7.com/  27 Juil 2016

 

Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté mardi à l’unanimité une résolution prorogeant jusqu’au 15 novembre 2017 le mandat de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) et adaptant son mandat aux nouvelles circonstances qui prévalent dans le pays.

 

Dans cette résolution 2301, les 15 membres décident que le mandat de la MINUSCA devrait être exécuté sur la base d’une hiérarchisation des tâches établies et, le cas échéant, par étapes.

 

Selon cette hiérarchisation, le mandat de la MINUSCA comptera désormais des tâches prioritaires urgentes relatives à la protection des civiles, à la promotion et à la protection des droits de l’homme, et d’aide à la mise en place de conditions de sûretés favorables à l’acheminement de l’aide humanitaire.

 

 

Le Conseil de sécurité proroge le mandat de la MINUSCA en Centrafrique

 

French.china.org.cn  27-07-2016

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté mardi une résolution prorogeant jusqu'au 15 novembre 2017 le mandat de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA).

 

La résolution 2301, adoptée à l'unanimité par les 15 membres du conseil, adapte également le mandat de la MINUSCA aux nouvelles circonstances qui prévalent dans le pays africain. Le conseil décide que le mandat devrait être exécuté sur la base d'une hiérarchisation des tâches établies et, le cas échéant, par étapes, a précisé le conseil dans un communiqué de presse.

 

Selon cette hiérarchisation, le mandat de la MINUSCA comptera désormais des tâches prioritaires urgentes relatives à la protection des civiles, à la promotion et à la protection des droits de l'Homme, et d'aide à la mise en place de conditions de sûretés favorables à l'acheminement de l'aide humanitaire, ajoute le communiqué.

 

Source: Agence de presse Xinhua

 

 

Centrafrique: l'ONU adapte le mandat des Casques bleus après la transition

 

27/07/16 (AFP)

 

Le Conseil de sécurité a prolongé mardi le mandat des Casques bleus en République centrafricaine en l'adaptant pour tenir compte de l'élection du nouveau président Faustin-Archange Touadéra et de la fin prochaine de l'opération militaire française Sangaris.

 

Aux termes d'une résolution proposée par la France et adoptée à l'unanimité, le mandat de la Minusca (mission de l'ONU en République centrafricaine) est prolongé jusqu'au 15 novembre 2017 avec le même niveau d'effectifs soit près de 13.000 soldats et policiers.

 

Le Conseil se réserve néanmoins la possibilité de réviser ces effectifs à tout moment. Il souligne que "la situation de sécurité s'est améliorée mais reste fragile en raison de la présence de groupes armés".

 

Avec la réduction des forces françaises Sangaris à 350 hommes -- contre 2.500 au plus fort de la crise -- la Minusca se retrouve en première ligne pour assurer la sécurité en attendant que l'armée centrafricaine redevienne efficace, une perspective encore lointaine.

 

Jusqu'à la fin de l'opération Sangaris prévue en octobre, les 350 soldats français continueront de constituer une réserve tactique, autorisée à prêter main forte à la Minusca en cas de besoin.

 

"La transition réussie, il faut maintenant réussir la stabilisation", a déclaré l'ambassadeur français François Delattre. "La tâche est lourde mais la Minusca (...) a les moyens de la relever". La mission "devra établir sa crédibilité à l'égard des groupes armés", a-t-il expliqué.

 

La résolution détaille en 16 pages les priorités des Casques bleus maintenant que la transition politique est arrivée à son terme avec l'élection en février du nouveau président.

 

La priorité numéro un reste la protection des civils. La Minusca est invitée pour cela à adopter "une posture souple et mobile" et à "patrouiller de manière active".

 

Le Conseil demande aux pays fournissant des Casques bleus de mieux les entraîner et les équiper et de leur donner des capacités en matière de renseignement pour anticiper les attaques.

 

Parmi les autres tâches essentielles figurent la promotion des droits de l'homme, la sécurisation de l'aide humanitaire et une assistance apportée au nouveau gouvernement centrafricain afin qu'il mène "un dialogue national inclusif" et qu'il "étende rapidement l'autorité de l'Etat sur l'ensemble du territoire.

 

Après le renversement du président François Bozizé et la prise du pouvoir en mars 2013 par la coalition rebelle Séléka, la Centrafrique a sombré dans une crise sans précédent opposant milices principalement chrétiennes, les anti-balaka, aux rebelles Séléka, essentiellement musulmans.

 

La crise a fait plusieurs milliers de morts et des centaines de milliers de déplacés, selon l'ONU. L'opération française Sangaris avait été déployée en décembre 2013 pour stopper les massacres intercommunautaires. La Minusca a ensuite pris le relais

Les casques bleus restent en Centrafrique avec de nouvelles missions
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26 juillet 2016 2 26 /07 /juillet /2016 16:59
Nouvelles nationales sur RJDH
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Centrafrique : Le procureur spécial de la Cour Pénale Spéciale sera nommé en décembre 2016

 

http://rjdh.org/ PAR JEAN FERNAND KOENA LE 26 JUILLET 2016

 

BANGUI, 26 juillet 2016 (RJDH)—Le procureur de la Cour Pénale Spéciale sera nommé le mois de décembre suivi des juges d’instructions et la formation des policiers et gendarmes le mois de janvier 2017. L’annonce est faite ce mardi 26 juillet lors du point de presse du ministre de la Justice, Flavien Mbata.

 

Pour le Ministre de la Justice, la mise en place de la Cour Pénale Spéciale est conditionnée par la sélection des magistrats nationaux et internationaux, « la Minusca s’occupe des magistrats internationaux et nous avons le dossier. La partie nationale s’occupe de la sélection des magistrats nationaux » a indiqué le ministre Flavien Mbata.

 

Il a annoncé l’appui financier des partenaires à savoir la France, les Pays Bas, les Etats unis et bien d’autres pour soutenir la mise en place de cette Cour Pénale  Spéciale  et le gouvernement a déjà trouvé un local pouvant abriter cette Cour.

 

Pour le ministre, la société civile doit jouer son rôle, « nous pensons qu’il faut mettre en place la commission nationale des droits de l’homme conformément aux recommandations du Forum de Bangui. Pour cela, la société civile doit être impliquée pour la défense des droits de l’homme », a souligné le membre du gouvernement.

 

Il a en outre déploré la faiblesse de la chaine pénale « bon nombre des maisons pénitentiaires ne sont pas opérationnelles en dehors de celle de Mbaïki, Berberati et celles de Bangui », a-t-il déploré, avant d’envisager la réforme de l’administration pénitentiaire dans le respect des détenus et des condamnés en suggérant l’uniforme pour les détenus.

 

La loi mettant en place la Cour Pénale Spéciale est votée par le Conseil National de Transition avant d’être promulguée  et comprend les magistrats nationaux et internationaux.

 

 

Centrafrique : 9 groupes armés demandent leur implication dans le comité technique du DDRR et de la RSS

 

http://rjdh.org/ PAR BIENVENUE MARINA MOULOU-GNATHO LE 26 JUILLET 2016

 

BANGUI, 26 JUILLET 2016(RJDH) — Les neuf (9) groupes armés signataires de l’accord de cessation des hostilités du Forum  National de Bangui, ont demandé leur implication au sein du comité technique  du Désarmement, Démobilisation, Réinsertion et Rapatriement (DDRR) et de la Réforme du Secteur de Sécurité (RSS), pour la réussite de ces processus. Une demande exprimée lors d’une conférence de presse tenue ce lundi 25 juillet à Bangui.

 

Ces neuf groupes armés sont MLCJ, l’UFR, la Séléka, le MPC, l’UPC, les Anti-Balaka, la RJ, la FDPC et la Séléka Rénovée. Ces derniers s’engagent pour la paix, et la réconciliation nationale.

 

Selon le porte-parole de ces groupes armés Nordine Mahalba, le gouvernement n’a pas pris en compte les recommandations du Forum National de Bangui, « le gouvernement a mis en place la coordination du DDRR sans impliqué pleinement les groupes armés dans ce processus et c’est un danger. Nous sommes représentés seulement au niveau du comité consultatif et de suivi, alors que, dans le comité technique il n’y a pas un groupe armé même au niveau de la Reforme de Secteur de Sécurité. Quel sera le sort de nos agents sur le terrain », s’est-il interrogé au nom du groupe.

 

Pour ce dernier, un meilleur désarmement doit se passer par les groupes armés. Nordine Mahalba interpelle le gouvernement pour l’implication des groupes armés afin de permettre la réussite de ces processus, « nous avons la bonne volonté de la réussite de ces processus, c’est pourquoi nous allons envoyer la liste des représentants des groupes armés à la présidence. Nous souhaiterons que le gouvernement prenne en compte nos demandes, non seulement pour la vie de nos éléments sur le terrain mais aussi pour le bien de la population centrafricaine qui n’espère qu’à la paix», souhaite-il.

 

Cette réaction des 9 groupes armés intervient après la mise en place de la coordination nationale pour le processus DDRR, RSS. Les groupes armés  sont représentés dans le comité dit Consultatif et de suivi. Plusieurs autres fractions rebelles réclamaient aussi la présence des représentants des groupes armés au gouvernement.

 

Les députés, lors de la clôture de la cession du 1er juillet 2016 ont recommandé que les processus du DDRR et de la RSS soient pilotés par le gouvernement au lieu de la présidence, pour permettre à l’Assemblée Nationale d’avoir un contrôle démocratique.

 

 

Centrafrique : Inquiétude de la population de Niem-Yelewa face à la présence massive des miliciens Anti-Balaka

 

http://rjdh.org/ PAR CONSTANT NDOLO-BABOU LE 26 JUILLET 2016

 

BOUAR, 26 juillet (RJDH) — les habitants de la commune d’élevage de Niem-Yelewa, située à au moins 105 km de Bouar, s’inquiètent de la présence des miliciens Anti-Balaka, qui ont fait leur entrée depuis trois jours.

 

 Arnauld Iya, secrétaire général de ces miliciens Anti-Balaka explique les raisons de leur présence à Yélewa, « les groupes armés qui sévissent depuis un certain temps dans cette localité ne cessent de créer des hostilités et de traumatiser la population. C’est suite à ces multiples cas d’agression que nous avons décidé mettre un terme à cela. Nous ne sommes pas dans cette localité pour créer des ennuis. L’heure est à la paix. Qu’ils laissent le temps à la population de vaguer librement à leurs occupations », a-t-il expliqué.

 

Selon les informations du RJDH, ces Anti-Balaka ont mis leur base sur l’axe Yelewa-Bouar. Pour Arnauld Iya,  là où ils se sont installés, la circulation est fluide, « mais du côté des ex- Séléka qui sont de l’autre côté, la population ne peut pas circuler librement. Donc, nous sommes en train de voir avec nos confrères d’arme comment faire pour que la paix revienne définitivement dans cette commune sans faire de combat », a-t-il souligné.

 

Arnauld Iya  souhaite à ce que le gouvernement puisse déployer les éléments de la gendarmerie et que la Minusca multiplie les patrouilles dans le secteur.

 

Cette information est confirmée par le maire de Niem-Yelewa, Issa bi Hamadou, « quand ces Anti-Balaka étaient arrivés,  ils ont dit qu’ils sont là pour attendre le DDR. Mais, cette opération ne peut pas s’effectuer dans la commune de Niem-Yelewa. Et leur présence a fait  que les éleveurs peulhs qui sont dans la localité ne peuvent pas paître leurs bœufs. Pour le moment, la commune s’inquiète de cette situation et vit dans la psychose » a-t-il dit.

 

Cette situation a fait qu’une partie de la population de la commune de Niem-Yelewa a regagné la ville de Bouar ces deux derniers jours. La commune de Niem-Yelewa a été le théâtre des hommes armés durant les deux dernières années.

 

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Centrafrique-Presse.com
26 juillet 2016 2 26 /07 /juillet /2016 14:16

 

 

Par RFI  25-07-2016 Modifié le 25-07-2016 à 11:59

 

En Centrafrique, dialogues et tractations sont toujours en cours pour faire adhérer les groupes armés au processus de désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR) mené par le nouveau pouvoir. En parallèle, les opérations du pré-DDR pilotées par les Nations unies se prolongent et viennent d’enregistrer le cap de 3 000 adhérents au processus.

 

Désarmer, démobiliser et réinsérer les ex-combattants, tel est l’enjeu capital pour les nouvelles autorités centrafricaines. Sur le papier, le principe du DDR est simple : celui qui possède une arme de guerre, et admet avoir fait partie d’un groupe armé, doit déposer les armes. En échange, l’ex-combattant est ensuite incorporé dans des travaux d’utilité publique ou peut recevoir une formation professionnelle. Avec nourriture et salaire à la clef.

 

Seulement, le concept reste pour le moment au stade du concept. En effet, les autorités centrafricaines poursuivent toujours les tractations avec les groupes armés et peinent à trouver les financements. Le nouveau pouvoir est aussi en proie aux interrogations de l’opinion publique, alors qu’une partie de la presse du pays parle de « prime à l’impunité ».

 

Petit succès du pré-DDR de l’ONU

 

Pendant ce temps, un pré-DDR a été lancé par la mission onusienne dans le pays. Il est basé sur le même processus d’échange d’arme contre activité rémunérée et concerne les ex-combattants qui ont pris les armes sans être dans un groupe armé constitué.

 

Au total, depuis octobre 2015, plus de 3 000 ex-combattants se sont enregistrés à ce programme des Nations unies pour un coût de six millions de dollars. « Un bilan satisfaisant », dit la Minusca, qui se garde néanmoins de tout triomphalisme. Depuis le mois de juin, la RCA connaît une recrudescence des violences et des affrontements.

RCA: le DDR peine à se mettre en place, mais le pré-DDR connaît un petit succès
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26 juillet 2016 2 26 /07 /juillet /2016 12:52

 

 

http://www.africtelegraph.com/  LAZARD OBIANG 25 JUILLET 2016

 

La localité de Ngakobo située à 30 Km de Bambari a été victime d’une attaque meurtrière samedi. Celle-ci revendiquée par les ex-rebelles Seleka et des peuls armées, a fait trois (3) morts et de nombreux blessés.

 

Un officier de la gendarmerie Centrafricaine en poste à Ngakobo dans la région de Bambari qui a requis l’anonymat, a déclaré que des tirs ont retenti samedi dans la ville. « Au moins trois personnes sont mortes, et plusieurs autres blessés d’après un bilan provisoire », a-t-il argumenté. Des centaines d’habitants de la localité ont pris la fuite pour se refugier vers les villages voisins.

 

Isaac Gomoba, enseignant, a laissé entendre que les trois décédés sont : un enseignant et les employés du complexe sucrier Sucaf.

 

De son côté, Jean Pierre Azou, habitant de Ngakobo a dit ne pas comprendre ce qui a amené la Seleka à tirer sur la population. D’après plusieurs témoignages, les hommes armés étaient encore postés dans le village malgré les tirs qui avaient cessé dimanche.

 

La Centrafrique est de nouveau en proie à l’escalade avec des régions entières contrôlées par des groupes armées.

 

Déjà en 2013, le pays a frôlé le chaos avec le renversement de l’ex-président le Général François Bozize par la Seleka (coalition rebelle à dominante musulmane suscitant des milices chrétiennes anti-Balaka).

 

Quelques 12 000 casques bleus sont déployés dans les principales villes du pays avec pour mission essentielle : stabiliser définitivement la situation.

 

Le nouveau Président Faustin Archange Touadera arrivé au pouvoir il y a quelques mois seulement, a déploré le contrôle de certaines zones du pays par les milices armées.

 

En décembre 2013, l’ex colonisateur la France avait dépêché un contingent militaire sur place à Bangui pour stopper les massacres inter communautaire. Opération baptisée Sangaris, qui prendra d’ailleurs fin en octobre 2016.

Centrafrique : Plusieurs personnes tuées dans la région de Bambari
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25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 23:03

 

  

APA-Bangui(Centrafrique) -2016-07-25 14:35:27 ‘’Karinou Airlines’’, une compagnie aérienne basée en Centrafrique et qui dessert Bangui et la sous-région Afrique centrale, a décidé d’ajouter la destination Cotonou, la capitale économique du Benin, dans ses destinations à partir du mois d’aout, selon une source proche de cette compagnie contactée lundi à Bangui.


Deux fois par semaine, plus précisément chaque lundi et vendredi, Karinou Airlines quittera Bangui pour Cotonou via Douala au Cameroun, sans changement d’avion. 

Cette nouvelle liaison directe est une bouffée d’oxygène pour les opérateurs économiques centrafricains qui souffraient de ce manque dommageable pour leurs trafics.

Maintenant les marchandises qui circulent entre les deux pays ne vont plus souffrir à Douala comme par le passé.

Karinou est la deuxième compagnie après A Sky à desservir directement Bangui Cotonou.
 

http://apanews.net/news/fr/article.php?id=4858845#sthash.fW4YrK65.dpuf

La compagnie aérienne centrafricaine ''Karinou'' s'ouvre le ciel béninois
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25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 22:35

        

 

APA-Bangui (Centrafrique) -2016-07-25 17:34:29 Le sous-préfet de Baboua, Robert Tora, le maire de Baboua, David Mboka Barboi, et le pasteur Clotaire Mbosso qui ont retrouvé leur liberté depuis samedi, ont été reçus ce lundi au Palais de la République par le chef de l’Etat centrafricain, Faustin Archange Touadéra.


Avant cette audience, ils ont été reçus par le Premier Ministre Simplice Mathieu Sarandji. Rien n’a filtré de ces deux rencontres.

Arrêtés le 15 juillet 2015, ils ont été officiellement remis au préfet de la Nana Mambéré, Frédéric Ouagonda, samedi matin, dans un village sur l'axe Baboua-Gallo, vers l’ouest de Centrafrique.

Selon, le préfet Ouagonda, « les otages ont subi une première visite médicale à l'hôpital de Bouar ; une visite qui atteste qu'ils sont en bonne santé ».

Les otages de Baboua ont passé plus d'un an aux mains de leurs ravisseurs, un groupe armé dont on ignore l’appartenance. 

Leur libération aurait été facilitée par une opération armée dirigée depuis le Congo-Brazzaville par le général Abdoulaye Miskine, chef de file du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC).
 

http://apanews.net/news/fr/article.php?id=4858862#sthash.GLyIUvkv.dpuf

Libres, les otages centrafricains sont reçus par le président Touadéra
Libres, les otages centrafricains sont reçus par le président Touadéra
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25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 12:39
Un nouveau représentant pour la Minusca

 

CENTRAFRIQUE

 

http://www.lexpressiondz.com/   26 Juillet 2016

 

Le secrétaire général des Nations uies, Ban Ki-moon, a nommé vendredi le Chilien Fabrizio Hochschild, en tant que représentant spécial adjoint pour la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en République centrafricaine (Minusca).

 

M. Hochschild assumera également les fonctions de coordonnateur résident des Nations unies, de coordonnateur humanitaire et de représentant résident du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

 

M. Hochschild succède à Aurélien Agbénonci, du Bénin, qui a été nommé ministre des Affaires étrangères de son pays en avril 2016. Le secrétaire général de l'ONU a exprimé sa gratitude à M. Agbénonci pour sa contribution et son engagement indéfectible en vue de soutenir la transition politique en République centrafricaine, pendant la période critique de 2014 à 2016.

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25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 11:30

 

 

APA 25/07/16 -Douala (Cameroun) - Une session extraordinaire de la Conférence des chefs d’Etat de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) se tiendra le 30 juillet 2016 à Malabo, a appris lundi APA de source officielle.

 

Ce sommet se tient sur convocation du président en exercice, le Président de la République de la Guinée Equatoriale, Obiang Nguema Mbasogo.

 

Le communiqué signé par le directeur de la communication de la Commission de la CEMAC, David Yingra, et dont APA a reçu une copie, précise que « plusieurs points sont inscrits à l’ordre du jour de cette session ».

 

Il s’agit notamment l’accompagnement du relèvement politique et économique de la République Centrafricaine et l’état des négociations de l’Accord de partenariat économique (APE) entre la configuration Afrique Centrale et l’Union européenne.

 

Egalement au menu des échanges des dirigeants de la CEMAC, la conjoncture économique et financière à laquelle fait face les Etats de la sous région.

Sommet extraordinaire des chefs d'Etat de la CEMAC samedi prochain à Malabo
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25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 11:16
Bangui envahi par les chenilles !
Bangui envahi par les chenilles !

 

 

http://www.voaafrique.com/ 25 juillet 2016

 

Les chenilles, appelés Makongo en sango, sont très prisées en Centrafrique. Une vraie aubaine pour les vendeuses qui discutent sans relâche les prix avec leurs clients.

 

Les chenilles sont un met très prisé en Centrafrique. Cet aliment inonde les marchés de la capitale ce mois de juillet. Les centrafricains en raffolent. Les commerçantes font des bénéfices, mais les bouchers éprouvent des difficultés pour l’écoulement de leurs viandes.

 

Tous les marchés de Bangui sont inondés de chenilles ce mois de juillet. Pour ravitailler la capitale certaines vendeuses grossistes doivent se rendre dans la préfecture de la Lobaye à plusieurs centaines de kms au sud-ouest de Bangui. D’autres par contre en achètent au marché de Bimbo à 9 km à la sortie Sud de la capitale.

 

Les chenilles, appelés Makongo en sango sont très prisés en Centrafrique. Une vraie aubaine pour les vendeuses qui discutent sans relâche les prix avec leurs clients.

 

Pendant la saison des chenilles, les grands perdants sont parfois les bouchers qui comptent leurs clients au bout du doigt.

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