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21 janvier 2018 7 21 /01 /janvier /2018 12:37

 

 

 

https://senepeople.com  Par Cheikh Adama Gueye  20 janvier 2018

 

Il urge, pour les Sénégalais, de faire bloc autour du chef de l’Etat du Sénégal qui a interdit un congrès de 600 francs-maçons au Sénégal. L’annonce est du président de l’Ong Jamra, imam Massamba Diop.

 

Après l’interdiction du congrès qui devait regrouper à Dakar 600 francs-maçons, les 2 et 3 février prochains, l’essentiel du sermon de l’imam Massamba Diop, Président de l’Ong Jamra, a été axé, hier, sur cette question, lors de la prière du vendredi qu’il a dirigée à Pikine. ‘’Nous avions l’information, il y a de cela 3 mois. Mais, dernièrement, les choses se sont précipitées. Ainsi, 26 Ong et organisations islamiques des différentes régions du Sénégal se sont réunies et ont fait bloc pour contrecarrer ce mouvement. Je disais que des jeunes étaient prêts à s’immoler, à mourir et ou tendre des embuscades à l’hôtel qui devait abriter la rencontre. Dieu merci, le président de la République a pris la décision d’écouter son peuple, en annulant ledit congrès. Nous nous devons de le remercier et de prier pour lui’’, a dit d’emblée, hier, l’imam.

 

Pour lui, quand François Bozizé, qui fut président de la République de Centrafrique, avait dit non à un projet de légalisation de l’homosexualité, le Fmi et la Banque mondiale lui avaient ‘’fermé le robinet’’. ‘’Quelque temps après, ils ont compris qu’il a été lâché par son peuple. C’est un coup d’Etat qui l’a fait partir de son poste de président. Nous ne voulons pas que cela arrive au président Macky Sall. C’est pour cela que j’ai demandé aux musulmans de faire bloc autour de lui pour ce problème-ci et de prier pour lui, parce qu’il a posé un acte important et fort’’, a lancé l’imam Diop.

 

Selon qui le combat va continuer, car il a appris, par la suite, qu’ils devaient se rabattre sur Saly. Mais, poursuit-il, selon leurs derniers renseignements, ils sont partis vers le Congo. ‘’Ils sont libres de partir où ils veulent, mais nous sommes vigilants. Le combat continue. Etant les sentinelles de l’islam, nous n’allons jamais accepter que la franc-maçonnerie ou l’homosexualité puissent être érigées en règle ici dans un pays où reposent des saints de la religion musulmane. Nous sommes partis pour voir le nouveau khalife des mourides, avant de faire une visite dans les autres foyers religieux du pays. Ils voulaient le faire en 1985, puis en 2007, avant de venir en 2018. Mais nous saurons toujours faire face’’, a promis Massamba Diop.

Introduction de l’éducation religieuse dans les écoles

 

Pour faire face à cette nouvelle pratique qu’aucune religion n’accepte, l’imam Diop prône l’introduction de l’éducation religieuse dans le système scolaire. Selon lui, il faut faire la différence entre l’enseignement et l’éducation religieuse. Le premier se limite à donner un savoir ; le second va mouler un Sénégalais tout neuf, nouveau, qui, dès le bas-âge, à partir de 3 ans, saura comment vivait Seydina Mouhamed (Psl). Il saura qu’il ne doit voler, mentir et bannir l’homosexualité. ‘’Un tel enfant, s’il gère les deniers publics, il n’aura pas besoin de recevoir les inspecteurs généraux d’Etat, car il saura que l’inspecteur général des inspecteurs généraux, que le Maitre de l’univers veille sur lui. Il ne va rien prendre, sauf ce qui est licite’’, espère Massamba Diop.

 

CHEIKH THIAM

 

Lu pour vous : CONGRES AVORTE DES FRANCS-MAÇONS A DAKAR Les révélations de l’imam Massamba Diop
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Centrafrique-Presse.com
20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 03:24

 

 

 

https://lavoixdelacentrafrique.wordpress.com  19 janvier 2018

 

Trois ministres centrafricains ont été reçus le 18 janvier par celui de la Défense camerounaise. Le partage d’expérience en matière de sécurité et le renforcement de la coopération dans ce secteur clé ont été au centre de l’entretien entre ces personnalités.

 

Les Ministres centrafricains de la Justice, des Droits de l’Homme et Garde des Sceaux, Mr Flavien Mbata ainsi que le Général de brigade, Henri Linguissara-Wanze, ministre de l’Intérieur, chargé de la sécurité publique, conduits par celle de la Défense Nationale, Mme Marie-Noëlle Koyara, étaient l’hôte de Mr Joseph Beti Assomo, Ministre délégué camerounais auprès de la Présidence de la République chargé de la Défense. Une visite qui intervient après l’arrestation au Cameroun de mercenaires centrafricains et d’autres nationalités accusés de vouloir déstabiliser la Guinée Equatoriale.

 

Sur cette rencontre, la Ministre, Mme Marie-Noël Koyara a précisé à la presse que « nous venons rencontrer notre frère et collègue pour échanger et profiter de l’expérience de ce pays frère ». Elle a rappelé la contribution du Cameroun pour la levée de l’embargo sur les armes en Centrafrique. « Au-delà de la formation, le Cameroun a beaucoup fait pour nous pendant la crise. C’est avec l’appui du Cameroun que le comité de sanctions a pu lever celles-ci pour que nous ayons accès aux armes et munitions bien conservées par ce pays frère », a complimenté la Ministre centrafricain de la Défense.

 

A cette rencontre, avait aussi pris part le Chef d’Etat-Major de l’Armée Camerounaise, le Général René Paul Meka.

 

Fleury Agou

CENTRAFRIQUE – CAMEROUN : RENFORCEMENT DE LA COOPÉRATION SÉCURITAIRE ET PARTAGE D’EXPÉRIENCE
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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 03:12
Info RFI. RCA: deux Congolais s'évadent d'une prison de Bangui

 

 

Info RFI. RCA: deux Congolais s'évadent d'une prison de Bangui

 

Par RFI Publié le 20-01-2018 Modifié le 20-01-2018 à 01:26

 

En Centrafrique, deux ressortissants congolais, détenus depuis juin dernier à Bangui, se sont évadés mercredi 18 janvier. Freddy Libeba et Alexandre Mitshiabu du mouvement politico-militaire FCCPD de John Tshibangu avaient été arrêtés sur des soupçons de recrutement de mercenaires et de contacts avec certains groupes armés centrafricains. En Centrafrique, ils faisaient l'objet d'une information pour association de malfaiteurs.

 

Les deux Congolais étaient détenus au Camp de Roux à Bangui, réputé plus sûr que la prison de Ngaragba souvent qualifiée de « passoire ». De source judiciaire, l'évasion de Freddy Libeba et Alexandre Mitshiabu a nécessairement été rendue possible grâce à des complicités. Selon une autre source, proche de l'enquête, les deux hommes ont pu sortir de leur prison pour un examen de santé,  accompagné par un médecin militaire et une escorte. Le médecin aurait renvoyé les gardes et les Congolais se seraient fait la belle dans des circonstances qui restent à éclaircir.

 

Freddy Libeba et Alexandre Mitshiabu étaient respectivement chargés des opérations et directeur du renseignement du FCCPD de John Tshibangu lui-même, un temps proche du M23. Les deux hommes avaient été arrêtés le 9 juin lors d'une opération conduite par le ministre de l'Intérieur de l'époque en personne, Jean-Serge Bokassa. Trois jours plus tard, le ministère congolais de la Défense adressait à Bangui une note verbale demandant « la remise de ces deux terroristes aux autorités militaires de la RDC, suivant des modalités à prendre de commun accord ».

 

Plus de six mois après, aucune extradition, malgré l'insistance de Kinshasa. Cette évasion est intervenue par ailleurs au moment où le colonel Tshibangu est réapparu dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux et dans laquelle, au milieu d'une vingtaine d'hommes en armes, il donne 45 jours à Joseph Kabila avant de le chasser du pouvoir.

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 03:09
Nouvelles nationales sur RJDH
Nouvelles nationales sur RJDH
Nouvelles nationales sur RJDH

 

 

Centrafrique : Des groupes armés divisés sur le procès Andjilo

 

PAR BIENVENUE MARINA MOULOU-GNATHO LE 19 JANVIER 2018

 

BANGUI, 19 Janvier 2018(RJDH)— Des groupes armés interrogés sur le procès de Rodrigue Ngaïbona alias «général Andjilo» sont divisés dans leurs appréciations. Pour certains, la justice est souveraine pour réprimer les criminels, alors que d’autres parlent d’une crise communautaire que seule la justice internationale est compétente pour la juger. Propos exprimés ce jour lors des entretiens avec le RJDH.

 

La réaction des groupes armés par rapport au procès du général Andjilo intervient après le réquisitoire  du ministère public qui demande la peine de travaux forcés à perpétuité contre l’accusé Rodrigue Ngaïbona alias général Andjilo poursuivi pour 6 chefs d’accusation.

 

Abdoulkasim Algoni Tidjani, porte-parole du mouvement armé MPC du général Alkatim, pense que la justice est souveraine pour réprimer les criminels, «nous ne pouvons pas refuser le jugement. Si la personne a commis des crimes, c’est normal qu’elle soit jugée parce que la justice est faite pour juger les criminels. Si la justice lui reproche quelque chose, c’est normal qu’il soit jugé. Nous voulons tous la justice mais dès lors que les gens ont encore les armes, comment cela peut-il se faire?» s’interroge-t-il.

 

Un avis contraire à celui du FPRC, contacté depuis la ville de Birao. Ali Sidik Aboubakar porte-parole du mouvement pense qu’Andjilo ne devrait pas être jugé seul. Cela est un non événement pour le FPRC, «Andjilo est un petit criminel qui s’est retrouvé devant la barre mais ceux qui sont derrière Andjilo  sont encore libres », regrette-t-il.

 

Il réclame par la même occasion l’implication de la justice internationale pour que la justice soit rendue, «la crise que nous traversons est communautaire. On ne peut pas accepter qu’un Centrafricain puisse juger un autre car nous avons tous les mains liées. Donc pour notre part, il faut l’implication de la justice internationale », a-t-il souhaité.

 

Les groupes Anti-Balaka et l’UPC joints sur la question se sont réservés de tout commentaire. Depuis le démarrage du procès le 11 Janvier 2018, Rodrigue Ngaïbona alias « Général Andjilo » a nié tous les faits qui lui sont reprochés. Son procès est un avant-goût et intervient au moment où deux juges internationaux de la Cour Pénale Spéciale viennent d’être nommés notamment un togolais et un béninois.

 

 

Centrafrique : Les leaders politiques saluent l’audience de la Cour d’appel

 

Par RJDH Centrafrique - 19/01/2018

 

La réaction des leaders d’opinion fait suite à quelques jours de procès avec en toile de fond la réquisition du Procureur général qui requiert la prison à perpétuité avec travaux forcés.

 

Les leaders politiques sont unanimes pour saluer l’audience de la session criminelle mais la variation réside au fait que certains accusés circulent librement dans Bangui tandis que des voix s’élèvent pour demander que d’autres bourreaux présumés puissent aussi comparaitre comme Andjilo.



La réaction des leaders d’opinion fait suite à quelques jours de procès avec en toile de fond la réquisition du Procureur général qui requiert la prison à perpétuité avec travaux forcés. Un procès qui donne le sentiment de dégoût selon acteurs de la vie publique du pays.



Le Député Augustin Agou salue l’audience de la session criminelle «les problèmes de pauvreté de ce pays, et l’impunité en fait partie, d’abord il faut mettre un termes définitif à l’impunité. On se rend compte que les mêmes causes produisent les mêmes effets. L’idéal c’est de sanctionner tout manquement parce que nous sommes un pays démocratique. Hélas je regrette, car j’ai l’impression que le dossier n’est pas bien ficelé. L’accusé est né en province ; il y a grandi. Comment a-t-il fait pour parvenir jusqu’à la capitale ? Certainement, il avait des complices» a-t-il lâché.

 

Anicet George Dologuelé, chef de fil de l’opposition souhaite que ce processus puisse aller jusqu’au bout. «Je pense qu’il faut applaudir cela. Car il y a eu des crimes graves commis sur des Centrafricains. Je pense qu’il court beaucoup plus de criminels en dehors des tribunaux qu’aujourd’hui devant les tribunaux. Le fait est que l’on en ait jugé quelques-uns. J’espère que les autres qui sont en liberté connaitront leur sort » a t- il souhaité.

Marcel Djimassé, ancien candidat malheureux aux élections présidentielles de 2015-2016, n’est pas choqué de la ligne de défense des Avocats d’Andjilo. «Chacun doit définir sa stratégie de défense mais, il appartient à la justice, aux juges, aux magistrats de faire jaillir la vérité».

Rodrigue Ngaïbona alias Andjilo refuse de parler au moment où les Centrafricains attendent beaucoup de la responsabilité et de l’implication des politiques dans la crise qui a endeuillé le pays.

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 03:06
Nouvelles nationales sur Xinhua
Nouvelles nationales sur Xinhua

 

 

Centrafrique : un groupe armé menace de séquestrer des écoliers et leurs enseignants

 

French.china.org.cn | Mis à jour le 20-01-2018

 

Le chef du groupe rebelle Mouvement national pour la libération de Centrafrique (MNLC), Mahamat Bahar, a exigé depuis trois jours à des parents de la ville centrafricaine de Ngaoundaye (nord-ouest) de cotiser 2.500 francs CFA pour chaque écolier et 5.000 francs CFA par enseignant, sans quoi il les prendrait en otage, a appris Xinhua vendredi d'une source locale.

 

"Effrayés par cette menace, les parents ont retiré leurs enfants de l'école incriminée tandis que les enseignants, eux, sont sur le qui-vive", a déploré le député de Ngaoundaye, Bernard Dillah, demandant au gouvernement et à la mission onusienne en Centrafrique MINUSCA de débarrasser les populations de ce chef rebelle.

 

M. Dillah a signalé que le chef du MNLC règne à Ngaoundaye en maître absolu, semant la désolation et la mort. Ce qui l'empêcherait d'avoir une oreille attentive aux pourparlers initiés depuis l'ultimatum par les autorités locales.

 

La MINUSCA, dans un communiqué du 18 janvier, a condamné "la poursuite des violences entre les groupes Révolution et justice (RJ), répondant à l'autorité d'Armel Ningatoloum Sayo, et le MNLC sous le commandement de Mahamat Bahar".

 

"Les enquêtes préliminaires menées par la MINUSCA, d'après le communiqué, indiquent que les éléments du groupe RJ ont intentionnellement attaqué et tué des civils. Par ailleurs, le MNLC serait responsable de la destruction de plusieurs villages au nord de Paoua, brûlant des centaines de maisons et provoquant la mort et le déplacement forcé des populations de ces zones".

 

La MINUSCA a rappelé à MM. Sayo et Bahar leur responsabilité de commandement pour les crimes graves commis par des éléments sous leur autorité. Fin

 

Source: Agence de presse Xinhua

 

 

Centrafrique : une journée sans commerce dans un quartier musulman à Bangui contre l'insécurité

 

French.china.org.cn | Mis à jour le 20-01-2018

 

Un quartier musulman dans la capitale centrafricaine de Bangui a eu vendredi une "journée sans commerce", afin de protester contre la reprise de l'insécurité, a constaté un témoin à Xinhua.

 

Mercredi dernier, une altercation sur un terrain de football entre des "groupes d'autodéfense" a dégénéré et s'est transposée dans le quartier musulman du Kilomètre 5, occasionnant des morts et des blessés, ainsi que l'incendie d'une quinzaine de boutiques et de dépôts.

 

"De nombreux commerçants du Kilomètre 5 se retrouvent aujourd'hui sans boutique. Les pertes engendrées par l'incendie de mercredi sont énormes", a ajouté la même source.

 

Elle a révélé que les commerçants ont aussi dénoncé ces groupes de malfaiteurs pour les racketter ou leur imposer périodiquement des contributions.

 

Réunis jeudi à la mairie du 3ème Arrondissement de Bangui, les commerçants du Kilomètres 5 ont réclamé la dissolution pure et simple des "groupes d'autodéfense".

 

Le ministre centrafricain de la Communication et porte-parole du gouvernement, Ange-Maxime Kazagui, a condamné jeudi "ces agissements criminels", exprimant "le ferme engagement du gouvernement à ne ménager aucun effort pour identifier les auteurs et les traduire en justice".

 

Il a demandé aux forces de sécurité et celles de la mission onusienne en Centrafrique MINUSCA de prendre toutes les mesures appropriées pour faire face à de tels agissements. F

 

Source: Agence de presse Xinhua

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 03:04

 

 

                                                                                                                  

 

La tentative de coup d’état en Guinée équatoriale continue de faire couler l’encre et alimente les conversations politiques de la sous-région de l’Afrique centrale. Le pouvoir équato-guinéen semble déterminer pour traquer les auteurs et co-auteurs de cette tentative de putsch jusqu’à leur dernier retranchement. Il sollicite à travers un point de presse une étroite collaboration judiciaire des États voisins sans oublier la métropole française au point de polluer l’ambiance qui animait jadis les rapports des chefs d’Etat.

 

Logiquement, le président centrafricain n’est ni de près, ni de loin impliqué dans un quelconque complot car ses priorités sont ailleurs mais c’est sa proximité avec un personnage trouble, un délinquant multirécidiviste et habitué des milieux carcéraux qui jette un discrédit sur son intégrité, son honnêteté et surtout la véracité de ses arguments de défense. Par la force des choses et au nom de la profondeur de leurs amitiés, l’élu de la nation centrafricaine s’est fait embarquer dans un navire dont il ne connaît pas la destination. Visiblement, le chef de l’Etat est dans la merde telle que évoquée par le président américain lors d’une récente déclaration sur les migrants.

 

Agacé par les agitations et tracasseries autour de cette tentative de coup d’état qui fait de l’ombre aux problèmes et priorités nationaux, le citoyen lambda qui a constaté que son président se préoccupe majoritairement d’autres problèmes que des siens s’interroge : Comment un Président de la République démocratiquement élu peut-il être ami à un délinquant multirécidiviste ? Comment comprendre qu’un repris de justice, spécialiste des milieux carcéraux puisse graviter aussi facilement et sans résistance autour d’un Président de la République ? La proximité du chef de l’Etat avec ce délinquant justifie t-il son appartenance à un trafic en bande organisée ? Dans la négative, le Président de la République est-il seulement l’usufruitier du trafic ? Qui a nommé l’homme de la mafia Président du conseil d’administration du bureau d’affrètement routier ? En avait-il les qualités et compétences requises pour occuper ce poste tant stratégique ?

 

L’embarras est visible et Malabo ne veut pas lâcher l’affaire...ainsi, comment faire pour se défaire d’une équation équato-guinéenne quand on sait qu’un des mercenaires centrafricain qui jouit d’un patronyme d’un proche du pouvoir organisait la sécurité du Président lors de ses différents déplacements en France ? Qui a associé ce patronyme de luxe au titre honorifique « d’ambassadrice de la paix »? Décidément le pouvoir centrafricain a un lien étroit qui en dit long avec cette famille. Pour laver l’affront, le Président de la République doit-il lâcher son protégé en le sommant de démissionner ? Doit-il le livrer à la justice ? Ce dernier lors d’une conférence de presse organisée à ses soins, a maladroitement avoué à demi-mot avoir tenté en vain d’alerter ses réseaux équato-guinéen pour foirer la tentative de coup d’état. Il était en conséquence au courant du projet de putsch.

 

Quand le président équato-guinéen affirme sur les ondes de radio France internationale que son homologue centrafricain ne contrôle pas territoire, l’opinion publique peut-il l’interpréter cela comme une excuse ? D’aucuns l’assimileront à une faiblesse synonyme d’un aveu d’impuissance et d’incompétence. Des vagues d’arrestations ont été enregistrées à Malabo, N’Djamena, Yaoundé et bientôt Paris emboîtera le pas sur demande explicite du guide équato-guinéen...mais qu’attend Bangui pour procéder à des auditions et éventuellement des arrestations ? La réticence et la nonchalance du pouvoir centrafricain confirme t-elle la règle « nemo auditur propriam turpitudinem allegans »? Cette règle veut simplement dire que « nul ne peut évoquer sa propre turpitude ».

 

Nous saisissons l’opportunité pour vous rappeler que le guide équato-guinéen au pouvoir depuis 1979 est un  officier de l’armée, politiquement et financièrement assis. En tout état de cause et au delà de toutes spéculations, le pouvoir centrafricain payera très chère la facture de cette mésaventure équato-guinéenne. Pour éviter à l’avenir ce genre de problème, nous proposons au gouvernement de mettre en place un code de déontologie qui doit définir les devoirs, obligations, pratiques, comportements du chef de l’Etat ainsi que les membres du gouvernement.

 

La haute autorité chargée de la bonne gouvernance avec l’appui des groupes d’experts proposera un projet qui sera soumis à l’appréciation des parlementaires. La constitution du 30 mars 2016 étant muette sur ce sujet et n’énumère que les incompatibilités liées à l’exercice du pouvoir exécutif. Dorénavant, avant de nouer des amitiés démocratiques et non mafieuses, le président de la république doit apprécier le curriculum vitae et le casier judiciaire ou le bulletin nº 3 de l’intéressé avant de s’offrir ses services. Mais attention, ne le dites à personne. Si on vous demande, ne dites pas que c’est moi.                                   

 

Paris le 19 janvier 2018

 

Bernard SELEMBY DOUDOU

 

Juriste, Administrateur des Elections.   

 

CENTRAFRIQUE : LA MERDE DES ÉTATS AFRICAINS S’INVITE AU SOMMET DU POUVOIR ET UN CODE DE DÉONTOLOGIE POUR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE S’IMPOSE. par Bernard Selemby Doudou
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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 10:23
Lu pour vous : Cameroun - Centrafrique: on parle sécurité
Lu pour vous : Cameroun - Centrafrique: on parle sécurité
Lu pour vous : Cameroun - Centrafrique: on parle sécurité

 

 

 

https://www.cameroon-tribune.cm  Alexandra TCHUILEU N. | 19-01-2018 09:23

 

 

 Joseph Beti Assomo a reçu hier son homologue de la République centrafricaine, ainsi que ses collègues de la Justice et de l’Intérieur.

 

Hier matin, trois ministres venant de la République centrafricaine (RCA) ont été reçus par le ministre délégué auprès de la présidence de la République chargé de la Défense. Joseph Beti Assomo a discuté des relations entre le Cameroun et ce pays voisin.

 

La délégation était constituée de Marie-Noëlle Koyara, ministre centrafricain de la Défense nationale et de la Restructuration de l’armée, de Flavien Mbata, ministre de la Justice, des Droits de l’Homme et Garde des Sceaux, ainsi que du général de brigade Henri Linguissara-Wanze, ministre de l’Intérieur, chargé de la sécurité publique.

 

Au menu des échanges, un round-up de la collaboration entre les deux pays dans le domaine de la sécurité. Mais aussi, l’expérience des forces de défense camerounaises que les autorités centrafricaines souhaitent partager.

 

« Ce sont les trois ministres qui constituent le socle de la sécurité au niveau de notre pays. Notre pays est en crise. Nous sommes en pleine restructuration de notre armée. Nous sommes en train de mettre en place la réforme du secteur de la sécurité », a expliqué Marie-Noëlle Koyara.

 

Par ailleurs, la délégation centrafricaine s’est félicitée des fruits de la coopération entre les deux pays. « Au-delà de la formation, le Cameroun a beaucoup fait pour nous pendant la crise. C’est avec l’appui du Cameroun que le comité de sanctions a pu lever celles-ci pour que nous ayons accès aux armes et munitions bien conservées par ce pays frère », a ajouté le ministre centrafricain de la Défense.

 

Cette visite intervient dans un contexte où un pays de la sous-région Afrique centrale a récemment vécu une tentative de déstabilisation. Après la visite au Mindef, les trois ministres centrafricains se sont rendus au ministère des Relations extérieures, pour d’autres échanges.

 

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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 01:34

 

 

 

French.china.org.cn | Mis à jour le 19-01-2018

 

Le Front Populaire pour la Renaissance de Centrafrique (FPRC), un groupe armé en Centrafrique, a nommé des rebelles comme officiers et agents devant servir dans la police et la gendarmerie dans la ville centrafricaine de Bria (centre-nord), chose jugée "inadmissible" par la mission onusienne en Centrafrique MINUSCA, a appris Xinhua jeudi auprès de son porte-parole, Vladimir Monteiro.

 

"Il est hors de question qu'un groupe armé se substitue aux autorités légitimes", a déclaré M. Monteiro, proposant aux groupes armés "d'intégrer le processus du dialogue initié par le chef de l'Etat centrafricain Faustin-Archange Touadéra et le panel de l'Union africaine".

 

Outre ces conditions, M. Monteiro a signalé "des conséquences dramatiques pour les populations que les groupes armés sont censés défendre".

 

Dès l'installation du préfet de la Haute Kotto à Bria et le déploiement d'une section de la police et de la gendarmerie qui patrouille dans les quartiers de Bria, aux côtés des casques bleus, les principaux leaders du FPRC se sont retirés de la localité.

 

Seulement, pour gêner le dispositif du redéploiement progressif de l'autorité de l'Etat dans toutes les villes centrafricaines, les leaders du FPRC ont cru bien penser en proposant leurs éléments pour qu'ils opèrent aux côtés des forces de sécurité intérieure, ce qui a immédiatement courroucé le gouvernement et la mission onusienne en Centrafrique, ont fait remarquer des observateurs locaux. Fin

 

Source: Agence de presse Xinhua

Centrafrique : la MINUSCA refuse qu'un groupe armé se substitue aux autorités légitimes
Centrafrique : la MINUSCA refuse qu'un groupe armé se substitue aux autorités légitimes
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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 01:24
RCA : La MINUSCA fixe une ligne rouge aux groupes armés de Paoua
RCA : La MINUSCA fixe une ligne rouge aux groupes armés de Paoua

 

 

https://africanmanager.com  par African Manager - 18/01/2018 16:58

 

 

Suite aux violences dans la région de Paoua, en République centrafricaine (RCA), 100.000 personnes se retrouvent en besoin d’aide humanitaire urgente, selon le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA).

 

Au cours des trois dernières semaines quelques 60.000 personnes sont venues se réfugier dans cette ville du nord-ouest du pays fuyant les affrontements entre les groupes armés Révoltions Justice (RJ) et Mouvement national de libération de la Centrafrique (MNLC).

 

«Il est important de noter que Paoua, jusqu’à cet incident, était une région assez calme où nous avions commencé des actions de relèvement, et aujourd’hui, dans un rayon de 40km au nord et à l’est de Paoua, les villages se sont complètement vidés de leurs populations», a expliqué la Coordinatrice humanitaire de l’ONU dans le pays, Najat Rochdi, lors d’une interview à ONU Info mercredi.

 

Les déplacés ont été accueillis par la population locale, qui ont puisé dans leurs réserves pour les appuyer, et tous se retrouvent désormais à court d’aliments malgré le fait que la région soit un des greniers du pays.

 

Les besoins d’urgence prioritaires sont la sécurité alimentaire, l’accès aux soins de santé et l’accès à l’eau.

 

Au cours des 10 derniers jours le Programme alimentaire mondial (PAM) a distribué des rations alimentaires de sept jours à 20.000 familles et les distributions continuent à mesure que d’autres approvisionnements alimentaires sont reçus.

 

La plupart des personnes déplacées sont des femmes et des enfants, ce qui soulève des problèmes de protection spécifiques, à l’instar des cas de violence basée sur le genre qui ont été signalées ou l’appui aux plus de 100 femmes enceintes.

 

Les personnes déplacées ont réclamé une protection afin de pouvoir regagner leurs foyers refusant clairement la création d’un site pour déplacés par crainte d’y rester longuement.

 

«Tous les déplacés sont des agriculteurs qui ont leur champs et leurs cultures qu’ils ont déjà lancé et il ne faut pas oublier que pour la plupart ces villages constituent le grenier de Paoua et de plusieurs autres villes voisines», a affirmé Najat Rochdi, ajoutant que la priorité pour les humanitaires était de pouvoir accompagner le retour de ces déplacés dès que les conditions sécuritaires étaient réunies.

 

A cet égard, la Mission des Nations Unies pour le pays (MINUSCA) a aujourd’hui donné un ultimatum aux groupes armés de 48 heures leur demandant de se retirer sur un rayon de 50 kilomètres, qui comprend tous les villages vidés et qui permettrait de sauver la saison agricole.

 

Les affrontements entre groupes armés rapportent aux deux raisons essentielles qui sous-tendent la plupart des confrontations dans le pays, notamment une guerre de contrôle de territoire et de taxation, et une guerre pour le contrôle des ressources naturelles.

 

«A partir du moment où vous avez des productions agricoles, à partir du moment où vous avez des éleveurs c’est aussi une source de taxes pour les groupes armés et donc une source de revenus», a expliqué la Coordonnatrice humanitaire, ajoutant qu’il en va de même pour l’exploitation des ressources naturelles.

 

Selon la cheffe du bureau humanitaire en RCA, le fait Paoua ait déjà été stabilisé et une ville phare au niveau des projets de relèvement qui ont permis à la population de «retrouver une vie calme et normale», devrait permettre de sortir de cette crise beaucoup rapidement «parce que nous avons une base sur laquelle nous pouvons capitaliser».

 

 

 

Centrafrique : les humanitaires apportent une assistance multiforme aux déplacés de Paoua

 

French.china.org.cn | Mis à jour le 19-01-2018

 

Les humanitaires ont décidé d'apporter une assistance multiforme aux personnes déplacées ainsi qu'aux familles d'accueil de la ville centrafricaine de Paoua (nord-ouest), selon un communiqué publié jeudi par le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA).

 

L'assistance se traduit par la distribution des vivres ainsi que des kits d'hygiène aux ménages, la fourniture des soins de santé gratuits et, depuis mercredi, la construction d'hangars communautaires pour loger temporairement les sans-abris.

 

Le gouvernement centrafricain pour sa part, a fait acheminer dans la localité du savon et des vêtements, a précisé le communiqué.

 

A compter de décembre dernier, de violents combats opposant les groupes armés rivaux autour de Paoua ont engendré le déplacement de plus de 60.000 personnes vers le centre-ville, sans compter "un nombre encore inconnu de personnes qui se sont réfugiées dans la brousse", selon l'OCHA.

 

A cause des affrontements, "plus de 15.000 autres personnes dans les environs de la ville centrafricaine de Markounda (nord-ouest) ont traversé la frontière vers le Tchad", a signalé le communiqué.

 

En conséquence, en quelques jours, la ville de Paoua a été submergée par un flot ininterrompu de déplacés et exposés à la grande promiscuité qui règne actuellement au sein des familles d'accueil.

 

Citée par le communiqué, la coordonnatrice humanitaire des Nations Unies en Centrafrique Najat Rochdi, a salué "la mobilisation et la réponse rapide que les acteurs humanitaires et le gouvernement centrafricain ont donné à cette crise tout en les encourageant à maintenir cet effort et à aller plus loin".

 

Elle a appelé "à la cessation des hostilités pour que les déplacés puissent rentrer chez eux, retrouver une vie normale et mettre fin au traumatisme que les enfants endurent". Fi

 

Source: Agence de presse Xinhua

 

 

LA COMMUNAUTE HUMANITAIRE MOBILISEE POUR APPORTER UNE REPONSE A LA CRISE A PAOUA

 

Bangui, le 18 janvier 2018 – Les civils en République centrafricaine paient à nouveau un lourd tribut aux affrontements entre groupes armés. Les combats qui opposent depuis la fin du mois de décembre 2017 les mouvements armés « Révolution Justice » (RJ) et le « Mouvement national de la libération de la Centrafrique » (MNLC) au Nord et à l’Est de la ville de Paoua (Préfecture de l’Ouham Pendé dans le Nord du pays) ont fait plus de 60 000 déplacés internes. Un nombre encore inconnu de personnes s’est réfugié dans la brousse alors que 15 000 autres aux environs de la ville de Markounda ont traversé la frontière vers le Tchad. En quelques jours, la ville de Paoua a été submergé par un flot ininterrompu de déplacés. Pour cause, à 50 kilomètres au nord de Paoua, les villages sont presque vides. Les combats continuent et d’autres vagues de déplacés sont attendus.

 

La communauté humanitaire s’est rapidement mobilisée afin de répondre à la crise engendrée par ces déplacements inédits. En effet, Paoua qui compte 40 000 habitants a vu sa population tripler en quelques semaines. Afin de répondre aux besoins, une assistance alimentaire a été mise à la disposition des familles déplacées dès les premiers jours de la crise. De même, pour alléger la pression exercée sur les familles d’accueil par un tel afflux, elles bénéficieront également de vivres dans les prochains jours. Dans le même élan, les soins de santé sont gratuits pour les déplacés et leurs hôtes. Afin de contenir la propagation de certaines maladies du fait de la grande promiscuité qui règne actuellement au sein des familles d’accueil, les acteurs humanitaires ont commencé une distribution à grande échelle de kits d’hygiène aux ménages. Pour sa part, le Gouvernement centrafricain a acheminé depuis Bangui du savon et des vêtements. Ce 17 janvier, les acteurs humanitaires ont débuté la construction d’hangars communautaires où les déplacés qui sont sans abris pourront se loger temporairement.

 

La Coordonnatrice humanitaire en République centrafricaine, Najat Rochdi, salue la mobilisation et la réponse rapide que les acteurs humanitaires et le Gouvernement centrafricain ont donné à cette crise, tout en les encourageant à maintenir cet effort et à aller plus loin. Paoua constitue en ce début d’année 2018, un des foyers de tension en Centrafrique.

 

Najat Rochdi appelle « à la cessation des hostilités pour que les déplacés puissent rentrer chez eux, retrouver une vie normale et mettre fin au traumatisme que les enfants endurent ».

 

 Virginie Bero

 

Public Information Associate |United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs (OCHA)

République Centrafricaine (RCA) | Central African Republic (CAR)

Email: berov@un.org|  Mob: +236 70 17 76 25| Skype : bvirginie22  

car.humanitarianresponse.info | unocha.org/car | humanitarian.id | reliefweb.int

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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 01:18
COMMUNIQUÉ DE PRESSE MINUSCA

 

 

 

La MINUSCA dénonce les violences entre le RJ et le MNLC ayant provoqué une crise humanitaire sans précédent dans la sous-préfecture de Paoua

 

Bangui, le 18 janvier 2018 - La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) condamne la poursuite des violences entre les groupes Révolution et Justice (RJ), répondant à l’autorité d’Armel Ningatoloum Sayo, et le Mouvement National de Libération de Centrafrique sous le commandement de Mahamat Bahar. Ces violences, déclenchées à la fin du mois de décembre, ont conduit à la déstabilisation de plusieurs localités autour de Paoua, engendrant le déplacement de 60.000 personnes et provoquant une grave crise humanitaire. Ce, malgré les appels du Gouvernement centrafricain, de l’Union africaine et de la MINUSCA aux deux groupes  en vue de la cessation des hostilités et la protection des civils.

 

Les enquêtes préliminaires menées par la MINUSCA indiquent que les éléments du groupe RJ ont intentionnellement attaqué et tué des civils, en visant particulièrement les communautés musulmanes et Peuhles. Par ailleurs, le MNLC serait responsable de la destruction de plusieurs villages au nord de Paoua, brûlant des centaines de maisons et provoquant la mort et le déplacement forcé des populations de ces zones. De nombreux civils seraient encore cachés en brousse, privés de toute assistance, en raison de l’occupation des axes par les groupes armés.

 

La MINUSCA conduit une opération visant à consolider un périmètre de sécurité sans groupes armés autour de la ville de Paoua, en vue de permettre le retour des déplacés.

 

La MINUSCA rappelle à Armel Ningatoloum Sayo et Mahamat Bahar leur responsabilité de commandement pour les crimes graves commis par des éléments sous leur autorité. 

 

La MINUSCA travaille en étroite collaboration avec le Gouvernement  centrafricain afin d’appuyer ses efforts dans la conduite d’enquêtes appropriées pour établir les faits et poursuivre les auteurs des violations, leurs commandants et supérieurs hiérarchiques.

 

 

United Nations Multidimensional Integrated Stabilization Mission in the Central African Republic

 

Vladimir Monteiro

Spokesperson/Porte-parole

 

MINUSCA - Avenue Barthélemy Boganda BP 3338 Bangui, Central African Republic

Cellphone: + 236 75980772 - 72259932 | Extension : (173) 5545/5506 | Tetra : 10874

E-mail: monteiro6@un.org | Skype : Vladimir.Monteiro4 | Twitter : @MonteVlad

https:// minusca.unmissions.org

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