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30 juillet 2019 2 30 /07 /juillet /2019 23:07
Nouvelles nationales sur Afrique Panorama
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Lu pour vous

 

« L’exemple centrafricain de résolution de crise va inspirer beaucoup de pays en conflit à travers l’accord de paix du 6 février 2019 » a déclaré le porte-parole de la présidence

 

https://afriquepanorama.com 30 juillet 2019 

 

Devant les préoccupations de certains hommes politiques véreux connus qui critique l’accord de paix et de réconciliation comme étant une violation de la loi fondamentale de la République, le ministre délégué conseiller en communication et porte-parole de la présidence de la République Albert Yaloké Mopkeme, a fait comprendre à l’opinion publique que la signature de l’accord de paix est historique marquant l’accomplissement d’un travail accompli par les panélistes et la communauté internationale et en particulier le soudan et la fédération de Russie. Pour lui, cet accord fait aujourd’hui la fierté des centrafricains à travers le rassemblement de tous les groupes armés autour de la table et une résolution pacifique de la crise centrafricaine qui va inspirer les autres pays en conflits.

C’est au cours d’une conférence de presse le vendredi dernier à Bangui à Bangui que le M. Mopkeme a situé l’opinion publique sur les actions menées par le président de la République Faustin Archange Touadéra pour le retour à une paix définitive.

Ainsi, la Présidence de la République centrafricaine coupe court aux multiples critiques sur l’accord de paix signé entre le gouvernement et les responsables des 14 groupes armés. Cet accord est qualifié de « honte » par certains leaders de l’opposition politique centrafricaine. Pour la présidence centrafricaine, l’accord de Khartoum est historique qui va inspirer d’autres pays en conflit. « L’accord de paix de 6 février est historique pour notre pays. Je pense que la République Centrafricaine va inspirer beaucoup de pays en conflit grâce à la manière que nous avons utilisée pour travailler et grâce aux thèmes de cet accord. Car chacun s’engage à respecter ce sur quoi on est tombé d’accord », a déclaré Albert Yaloké Mopkeme, ministre délégué et porte-parole de la présidence.

Autrement dit, selon le porte-parole de la présidence, ceux qui ont mal interprété cet accord n’ont pas compris les avantages et les biens fondés de cet accord pour le peuple centrafricain. D’après lui, l’accord a reçu l’approbation de la Cour Constitutionnelle qui a validé la conformité avec la loi nationale. « Il a eu beaucoup de critiques. Ceux qui ont, dans leurs interprétations, ont émis des critiques. C’est vrai, on peut critiquer. Mais ce qu’il faut savoir, c’est que les thèmes de cet accord sont passés devant les constitutionnalistes qui se sont prononcés. La Cour constitutionnelle a validé la constitutionnalité de cet accord par rapport à la constitution », a-t-il ajouté.

Pour mettre fin aux souffrances de la population et pacifier le pays, le gouvernement avait engagé de janvier au février dernier à Khartoum, des pourparlers avec les responsables principaux des 14 groupes rebelles qui occupent une bonne partie du territoire centrafricain.

Ces pourparlers soutenus par la communauté internationale dont la Russie et le gouvernement soudanais, ont permis d’obtenir un accord politique de paix et de la réconciliation définitif en Centrafrique grâce à leadership éclairé du président de la République Faustin Archange Touadéra

Jérémie Walanda

 

 

Centrafrique : un nouveau parti politique dénommé ARECA a vu le jour

 

https://afriquepanorama.com 30 juillet 2019

 

La classe politique centrafricaine  s’agrandit avec la naissance de l’« Alliance pour la Renaissance et l’Emergence de la Centrafrique (ARECA) » qui a vu le jour  lundi 29 juillet 2019 à l’hôtel Ledger Plaza de Bangui. Ce parti politique a été créé dans le but de corriger les imperfections nationales du passé de la République Centrafricaine axé sur la mauvaise gouvernance, consécutive de la crise militaro-politique de 2013.

Son président fondateur, M. Bertrand Kemba avait à ses côtés le président de la délégation spéciale de la ville de Bangui, Emile Gros Nakombo et de l’ancien parlementaire, Clotaire Saulet Surungba.

Sept raisons sont à l’origine de la création de ce nouveau-né des partis politiques en Centrafrique : absence d’espace d’expression pour la diaspora à travers une institution reconnue au pays ; difficultés et entraves de tous genres pour mener des projets au pays, alors que partout ailleurs, dans une situation post-conflit, la diaspora, vecteur d’échanges entre les pays d’accueil, constitue une force de propositions et d’actions dans tous les domaines possibles ; vu les difficultés d’interventions en association ou individuelle, la création d’un parti devenait nécessaire pour solliciter le suffrage du peuple au même titre que les partis politiques ; absence d’un  parti des Centrafricains de l’extérieur par rapport à ceux du pays mais un mélange des deux entités avec leurs compétences et expertises respectives et beaucoup de projets seront présentés pour le relèvement de notre pays. Cela n’est possible qu’en ayant un nombre significatif d’élus à l’Assemblée pour peser sur les grandes décisions et orientations du pays.

Les régions de la République Centrafricaine constituent les principales préoccupations et priorités de l’ARECA. Et chaque Centrafricain doit penser au développement de sa région d’origine. C’est pourquoi, l’ARECA sera toute proche des populations dans les régions pour connaître leurs problèmes et leurs difficultés afin de les remonter au niveau de l’organe central pour être étudiés afin d’y trouver des solutions adéquates.

Jérémie Walanda

 

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30 juillet 2019 2 30 /07 /juillet /2019 22:53
RCA : le taux de réussite au premier tour du baccalauréat 2019 s'élève à 10,24%,

 

https://www.radiondekeluka.org mardi 30 juillet 2019 14:29

 

Les résultats du premier groupe du baccalauréat 2019 ont été rendus publics ce lundi 29 juillet 2019. Le taux de réussite est de 10,24% selon Ruffin Bissaolo, Directeur des Examens et Concours.

Les candidats ayant composé le baccalauréat session de juin 2019 dans toutes les séries sont désormais fixés sur leur sort. Les résultats ont été publiés dans la soirée.  Sur les "21.301 candidats" qui ont composé, seulement "2.183 sont déclarés définitivement admis, soit un taux de réussite de 10,24%", a fait savoir Ruffin Bissaolo.

Selon le Directeur des Examens et Concours, "1912 candidats des séries générales sont admis au premier groupe et 271 pour les séries techniques". Le baccalauréat 2019 a connu la participation de "22.069 candidats" qui se sont inscrits. Seulement, "21.301 candidats ont réellement composé", d'après ce cadre du Ministère de l'Education.

Ruffin Bissaolo a également mentionné que "768 candidats" n'ont pas pu composer les épreuves écrites.

Ce faible taux de réussite témoigne non seulement de la baisse de niveau des élèves en Centrafrique, mais aussi de la rigueur appliquée dans la correction des épreuves.

Le premier groupe du baccalauréat 2019 s'est déroulé du 17 au 21 juin 2019.

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30 juillet 2019 2 30 /07 /juillet /2019 22:38
 Les auteurs du massacre de Paoua seront jugés par la Cour pénale spéciale
 Les auteurs du massacre de Paoua seront jugés par la Cour pénale spéciale

 

Par  Le Figaro avec AFP  le 30/07/2019 à 21:29

 

Les auteurs présumés du massacre de Paoua, qui avait coûté la vie à 46 civils le 21 mai, seront traduits devant la Cour pénale spéciale (CPS), créée pour juger les auteurs de violations graves des droits humains en Centrafrique, a annoncé mardi le procureur général de la cour d'appel de Bangui, Eric Didier Tambo.

Lundi, le parquet général de Bangui avait transmis le dossier à la CPS et déféré les trois suspects auprès du procureur de la CPS. «C'est un crime de masse qui relève de la compétence de cette cour», a indiqué à l'AFP le procureur général Tambo.

Le 21 mai, des éléments du groupe armé 3R (Retour, réclamation, réconciliation) avaient lancé une série d'attaques contre la ville de Paoua, située dans le nord du pays. 46 civils avaient été tués dans ces attaques, selon l'ONG Human Rights Watch (HRW). Après un ultimatum de la mission de l'ONU (Minusca) et du gouvernement centrafricain au leader du groupe 3R, Sidiki Abass (aussi connu sous le nom de Bi Sidi Souleymane), trois coupables présumés avaient été livrés par le groupe aux autorités judiciaires du pays.

A ce jour, ces trois suspects sont les seuls mis en cause dans l'affaire. Mais l'enquête de la CPS pourrait remonter jusqu'au leader des 3R, selon une source proche du dossier. Un rapport de HRW publié le 18 juillet avait en effet souligné la responsabilité de Sidiki Abass dans les attaques de Paoua.

Le chef des 3R avait été nommé «conseiller spécial militaire» auprès du premier ministre après la signature, le 6 février, d'un accord de paix entre le gouvernement et 14 groupes armés qui contrôlent une grande partie de la Centrafrique.

En juin, le ministre de la justice Flavien Mbata avait rappelé que l'accord de Khartoum «ne limite pas les compétences de la CPS». Jusqu'à cette annonce, aucune information n'avait filtré sur le contenu des dossiers instruits par la CPS, créée par décret en 2015, inaugurée en octobre 2018 et composée de juges nationaux et internationaux.

Huit mois après son inauguration, la CPS a instruit quatre dossiers. Trois autres font l'objet d'une enquête préliminaire. Au total, 27 plaintes ont été déposées. La Centrafrique est déchirée par de fortes violences depuis le renversement en 2013 du président François Bozizé. Les civils sont particulièrement vulnérables aux attaques des groupes armés, et près d'un quart des 4,5 millions d'habitants ont fui leur domicile.

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30 juillet 2019 2 30 /07 /juillet /2019 19:19
L’accident de la limousine présidentielle qui a failli tuer Macky Sall
L’accident de la limousine présidentielle qui a failli tuer Macky Sall

 

Lu pour vous

 

https://mondafrique.com By Aza Boukhris 30 juillet 2019

 

Le 17 juillet 2019, la luxueuse limousine présidentielle de Macky Sall avec également à son bord le président malien, Ibrahima Boubacar Keita, surnommé IBK, prit feu. Une tragédie évitée de justesse.


Le président sénégalais Macky Sall avait accueilli à l’Aéroport international Blaise Diagne son homologue malien, Ibrahima Boubacar Diagne afin de se rendre aux cérémonies funéraires de feu Ousmane Tanor Dieng, ancien disciple de Senghor et d’Abdou Diouf, inamovible Secrétaire général du PS sénégalais et personnalité nationale majeure. Les funérailles avaient lieu à Nguéniène, village natal du défunt situé à environ 60 km de l’aéroport. Arrivée à destination, au centre du village, la voiture présidentielle s’enflamma avec les deux illustres personnalités à son bord. On devine la stupeur des intéressés.

La version officielle met en cause un dos d’âne qui aurait été heurté par le véhicule brisant le carter d’huile occasionnant l’embrasement du véhicule. Devant une foule médusée et un service de sécurité présidentiel tétanisé, les deux chefs de l’État ont heureusement pu être extirpés de la limousine la plus chère au monde.

Une limousine hors normes

La Mercedes Maybach S600 Pullman Guard a été reconditionnée par l’entreprise belge Carat-Duchtelet. Les blindages sont hors normes. Ils doivent résister aux tirs de fusil d’assaut automatique et aux explosifs les plus puissants.

L’allongement de la berline est de 6,5 mètres. Le moteur V12 de 530 chevaux permet d’atteindre la vitesse de 160 kmh en dépit du poids de ce bunker roulant. Son plancher est blindé pour résister aux explosions au sol ou aux côtés. Pourtant, il n’aura pas résisté à un dos d’âne d’une route secondaire sénégalaise. Le coût de cette limousine revient à plus d’un million d’euros.

Le dos d’âne a bon dos

Les Sénégalais ont fait connaissance avec la Mercedes Maybach S600 Pullman Guard acquise en avril dernier par Macky Sall. Partie en fumée quelques mois après son acquisition, elle ne manquera pas d’alimenter la polémique. Ce véhicule exceptionnel n’a que de rares propriétaires, situés essentiellement au Moyen-Orient et en Asie. En Afrique, il semblerait que seul le président congolais Sassou Nguesso n’ait pas résisté à l’achat  de ce « carosse doré ».

Au Sénégal, tout événement fait l’objet d’interprétations multiples. La combustion de la limousine à proximité du lieu de la cérémonie funéraire fait débat et les exégèses ne manquent pas. A Dakar, certains disent également que le dos d’âne a bon dos.
Une visite présidentielle se prépare aussi de nombreuses déficiences ont été relevées dans cet incident exceptionnel. Des enquêtes et mises en cause ont été lancées. De même, des interrogations sont posées sur la fiabilité du blindage du plancher de la limousine. Le patron de la société liégeoise Carat-Duchatelet a été convoqué à Dakar.

La Limousine de trop

Les réseaux sociaux ont réagi très négativement à cet achat d’une limousine hors normes par la présidence sénégalaise. Sous le titre « Macky Sall s’offre un bijou à un milliard de francs CFA, un site sénégalais conclut: « Le Chef de l’Etat tient à sa sécurité car il sait que son peuple vit de graves moments de détresse due à sa gestion et à son manque d’audace, qui peuvent conduire à des révoltes qu’aucune force de l’ordre ne pourrait contenir. La pénurie d’eau, les délestages fréquents, la famine, la mauvaise prise en charge médicale et l’enseignement qui marche avec des béquilles, sont les maux qui étranglent notre pays. Macky Sall au vu de cette situation désastreuse, n’a pas hésité à s’offrir une limousine blindée de plus de 5 tonnes ».

L’incident de la limousine présidentielle vient à un moment où la popularité du président Macky Sall est en chute libre. De surcroît, avec la disparition d’Ousmane Tanor Dieng, héritier putatif de Senghor et d’Abdou Diouf,  il perd l’un de ses plus importants soutiens politiques.

 

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30 juillet 2019 2 30 /07 /juillet /2019 19:06
Centrafrique : l'accord de Bangui et les blocages

 

Lu pour vous

 

Alwihda Info | Par Arsène-Jonathan Mosseavo - 30 Juillet 2019 modifié le 30 Juillet 2019 - 13:17

 

Le 6 Aout 2019, l’Accord Politique pour la Paix et la Réconciliation en République Centrafricaine (APPR-RCA) signé le 6 février 2019 à Bangui – va totaliser 6 mois. Le Gouvernement centrafricain - les groupes armés et la communauté internationale peinent à mettre en œuvre les dispositions qui concernent chacune des parties. 

Six mois après, des blocages sont constatés y compris un manque de volonté pour la mise en œuvre conformément à l’article 23 de l’APPR-RCA qui stipule : « accompagner les parties dans la mise en œuvre effective de cet Accord, notamment à travers un soutien politique, sécuritaire, technique et financier ». A ce jour, aucune partie principalement le gouvernement et la communauté internationale (Union Africaine et la CEEAC) ne peuvent prouver que cette disposition de l’article 23 est respectée. Le temps passe. 

Certains groupes armés tels que le FPRC (Front Populaire pour la Renaissance de Centrafrique) procèdent au démantèlement des barrières or les taxes versées servent aussi de primes aux combattants. « Avec quelle ressource allons-nous assurer la prise en charge des combattants si rien n’est proposé après le démantèlement des barrières ? », s’interroge Djafar Adoum Assakine – coordonnateur général du FPRC. Dans un tel contexte, il faut qu’il y ait des garanties pour éviter que des combattants lésés se lancent dans le banditisme et la criminalité. 

Autre blocage : la divulgation de l’Accord auprès des populations. La manière dont les sensibilisations sont faites n’est pas la bonne méthode. Des zones sont ciblées au détriment des autres par certains partenaires qui préfèrent passer par des groupes signataires moins influents pour sensibiliser sur l’Accord auprès des populations, ce qui n’est pas normal. Les groupes armés les plus influents (FPRC- UPC –MPC – FDPC) devraient être mis à contribution dans le cadre de la campagne de sensibilisation afin que cela ait un impact. Présentement, le gouvernement centrafricain n’est pas en mesure de contrôler l’ensemble du territoire national vu ses moyens très limités.

L’APPR-RCA a prévu en son article 16 la mise en place des Unités Spéciales mixtes de Sécurité (USMS) pour une période transitoire initiale de 24 mois, placées sous la supervision de l’Etat-Major des Forces de Défense. Elles pourront solliciter l’appui technique de la MINUSCA. L’article 17 parle de l’entrée de plein droit en fonction des USMS 60 jours après la signature de l’APPR-RCA. Cela fait pourtant six mois déjà qu’aucune initiative n’est prise du côté du gouvernement. 

Le FPRC dans un communiqué de presse publié le 10 Juillet 2019 a demandé au gouvernement avec insistance le déploiement progressif des forces de sécurité et de défense (FSD) dans les zones sous son contrôle en vue de l’effectivité du Comité Technique de Sécurité (CTS) et, également, de la mise en place et de l’opérationnalité des Unités Spéciales Mixtes de Sécurité (USMS), avant octobre 2019. La mise en place rapide des USMS sera un bel exemple de la réconciliation et de la culture de la cohésion sociale entre les forces armées centrafricaines et les combattants des groupes armés – les USMS favoriseraient aussi le désarmement progressif des groupes armés.

Il est donc urgent pour le gouvernement centrafricain de saisir cette occasion pour déployer des Forces de défense dans les zones sous contrôle des groupes armés conformément aux missions assignées aux USMS. Cela permettra aux USMS d’avoir un contrôle efficace du territoire national. 

Six mois après la signature de l’APPR-RCA, les parties prenantes doivent d’asseoir pour faire un bilan à mi-parcours. De l’avis d’un représentant d’un groupe armé influent qui s’est exprimé sous l’anonymat, il n'y a pas de cohérence entre les engagements du gouvernement et ceux du chef de l’Etat centrafricain, Faustin Archange Touadera : « Nous apprécions les initiatives du président de la République pour faire avancer le processus de mise en œuvre de l’APPR-RCA –mais nous déplorons l’attitude du gouvernement qui brille par une lenteur ». C’est un appel à la sincérité pour booster l’APPR-RCA sinon tous les efforts consentis par les signataires ne seront qu’un coup d’épée dans l’eau. 

Autre constat : le gouvernement est entrain de pousser deux leviers à la fois : les préparatifs des futures élections et la mise en œuvre de l’Accord de Bangui. Comment organiser des élections dans un contexte apaisé si l’Accord de Bangui n’est pas respecté ? 

A en croire, Djafar Adoum Assakine, coordonnateur général du FPRC, l’APPR-RCA est un outil de travail, de paix et de relance économique, une opportunité pour sortir la RCA de sa léthargie. Le peuple doit tirer profit de l’Accord pour pouvoir circuler librement et vivre en paix dans le pays. 

Seul le bilan à mi-parcours souhaité va déterminer l’issue favorable à donner à l’APPR-RCA.

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30 juillet 2019 2 30 /07 /juillet /2019 18:56
Centrafrique : le procès des auteurs des massacres de Bocaranga et de Paoua confié à la CPS
Centrafrique : le procès des auteurs des massacres de Bocaranga et de Paoua confié à la CPS
Centrafrique : le procès des auteurs des massacres de Bocaranga et de Paoua confié à la CPS

 

French.china.org.cn | Mis à jour le 31-07-2019

 

Le procès des trois présumés auteurs des massacres dans les villages situées dans le nord-ouest de la République centrafricaine (RCA) est confié à la Cour pénale spéciale (CPS), a annoncé lundi soir Eric Didier Tambo, le procureur général près de la cour d'appel de Bangui, la capitale centrafricaine.

M. Tambo a signifié que les faits reprochés aux auteurs des massacres, que ce soit ceux qui ont été livrés où ceux qui sont encore en fuite, sont graves et constitutifs des crimes de guerre.

D'après le procureur, une enquête avait été ouverte par le parquet de la Bouar (nord-ouest), ayant permis à des magistrats et une équipe de la police de la mission onusienne en Centrafrique MINUSCA de se rendre sur le terrain et constater les faits, qui aujourd'hui, relèveraient de la compétence de la CPS.

Pour rappel, le 21 mai dernier, des éléments du groupe armé 3R (Retour, réclamation, réconciliation) ont investi trois villages dans les villes centrafricaines de Bocaranga et de Paoua (nord-ouest) et ont tué 46 personnes. Sous la pression du gouvernement et de la MINUSCA, le groupe armé a livré trois présumés auteurs, signalant par ailleurs que bien d'autres sont en cavale.

Les autres présumés auteurs, coauteurs et complices qui sont en fuite seront poursuivis jusque dans leur dernier retranchement, se fondant sur les accords de coopérations judiciaires dans la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) et les pays de la région des Grands lacs, a souligné M. Tambo.

La CPS est une juridiction spéciale et hybride composée à la fois de magistrats internationaux et nationaux mise en place en 2015 pour juger les crimes contre l'humanité et les crimes de guerre commis en République centrafricaine à compter de janvier 2003. F

 

Source: Agence de presse Xinhua

 

 

RCA : le Parquet de Bangui renvoie le dossier "crimes commis à Paoua" devant la CPS

 

https://www.radiondekeluka.org mardi 30 juillet 2019 14:24

 

Le parquet général de Bangui a déféré lundi 29 juillet  les crimes de masse commis dans les villages Koundjili, Lemouna et Bohong dans les sous préfectures de Paoua et Bocaranga le 21 mai 2019 à la Cour pénale spéciale (CPS). L'annonce a été faite par Eric Didier Tambo, Procureur général près la Cour d'appel de Bangui.

Selon le parquet général, après investigation, ces faits graves relèvent de la compétence de la CPS. Ce dessaisissement selon le parquet, est conforme à l'article 3 de la loi organique portant création, organisation et fonctionnement de cette cour hybride.

"Après investigations, des faits extrêmement graves qui relèvent de la compétence de la Cour pénale spéciale, le Procureur général près la Cour d'Appel de Bangui a déféré la procédure ainsi que les trois suspects au Procureur spécial près la Cour pénal spéciale qui est désormais chargé d'instruire et de traquer activement les présumés auteurs, co-auteurs, complices et même ceux qui seraient en fuite", a déclaré Eric Didier Tambo, Procureur général près la Cour d'appel de Bangui.

Eric Didier Tambo appelle les centrafricains à faire confiance à la justice centrafricaine. Il promet que les présumés auteurs et co-auteurs de ces crimes seront recherchés et répondront de leurs actes devant les juridictions compétentes.

"Les présumés auteurs qui sont connus de tous et pour l'intérêt de la justice et du secret de l'instruction, nous taisons les noms, seront traqués jusqu'à leur dernier retranchement par la justice", a précisé le magistrat qui prévient que "forces doit rester et restera à la loi".

Les massacres de Koundjili, Lemouna et Bohong avaient fait 46 morts et plusieurs blessés graves, des maisons pillées et incendiées. Ces crimes sont considérés comme crime de guerre, d'assassinat, d'association de malfaiteurs. Un rapport de Human Right Watch publié ce mois de Juillet a mis en cause les 3R de Abass Sidiki dans ce massacre.

Centrafrique : le procès des auteurs des massacres de Bocaranga et de Paoua confié à la CPS
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30 juillet 2019 2 30 /07 /juillet /2019 18:47
Nouvelles nationales sur RJDH
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Centrafrique : « Le climat général est à la très grande corruption à tous les niveaux de l’Etat », dixit Anicet Georges Dologuele

BANGUI, 30 juillet 2019 (RJDH)--- « Le climat général est à la très grande corruption à tous les niveaux de l’Etat », c’est en ces propos que Anicet Georges Dologuele s’exprime sur la prise de position du gouvernement qui estime que le rapport d’enquête parlementaire relève de la manipulation politique. Pour le chef de file de l’opposition démocratique, le gouvernement centrafricain est dans le déni et affiche une attitude de mépris vis-à-vis du peuple. Il était l’invité de l’émission politique du RJDH « Actualité et Nous » de ce mardi 30 juillet 2019.

Le gouvernement a récusé, par la voix du ministre des mines le samedi 27 juillet dernier, les conclusions d’une enquête parlementaire sur l’exploitation aurifère à Bozoum, en le qualifiant d’un « rapport politique ».

Une sortie qui ne passe pas chez Anicet Georges Dologuele en rappelant que les députés de l’Ouham-Pende avaient sollicité une audience avec le Ministre des mines qui a délibérément refusé de les recevoir pour évoquer le sujet, « vous savez quand ce dossier a commencé, nous députés de l’Ouham-Pende, nous nous sommes réunis après avoir écouté les collègues qui étaient sur le terrain avant d’organiser une mission pour aller nous-mêmes constaté les choses sur le terrain. Nous avons demandé à voir le ministre des mines. Un rendez-vous nous avait été fixé, nous nous sommes rendus à  son cabinet et il a refusé de venir nous recevoir. Nous avons compris cela. Ensuite, y a eu ce rapport à la hâte faite par les techniciens du ministère », a-t-il indiqué d’entrée de jeu.

Pour le député de Bocaranga 1, le gouvernement a le devoir de veiller à ce que les intérêts du peuple soient protégés. « C’est à nous de veiller à ce que les intérêts du pays soient protégés. Le rapport des députés est un rapport qui me parait correct, parce que c’est un rapport qui constate. Le gouvernement s’enfonce dans le déni, et c’est cela qui est grave, c’est-à-dire nous avons un gouvernement qui estime maintenant qu’il n’a jamais tort. Tous ceux qui le critiquent ne sont pas des patriotes et donc, il y a ce déni qui se met en place dans tous les domaines et qui fait qu’on nous demande d’applaudir quand le pays est détruit », s’indigne-t-il.

« Le climat général est à la très grande corruption à tous les niveaux de l’Etat et avec un cynisme consommé. Aujourd’hui, le gouvernement aux centrafricains de se taire et d’applaudir quand il s’amuse avec les deniers de l’Etat », a conclu Anicet Georges Dologuele.

Le feuilleton sur le dossier à soubresaut de Bozoum est loin de connaitre un épilogue avec la dernière prise de position du gouvernement balayant de revers de main les conclusions du rapport d’enquête parlementaire.

Vianney Ingasso

 

 

Centrafrique : Les leaders religieux centrafricains attendus à l’Assemblée Mondiale des Religions pour la paix en Allemagne 

BANGUI, 30 juillet 2019 (RJDH) --- L’organisation pour la paix, le réseau des artisans de la paix et Finn Church Aïd se sont réunies du 30 au 1er aout pour préparer les prochaines rencontres de l’Assemblée Mondiale pour la paix en Allemagne en s’imprégnant de l’Accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique.  

Cette table ronde est une première étape dans la mise en place d’une feuille de route et d’une coordination renforcée entre les acteurs religieux de la Centrafrique, afin de faciliter le dialogue multireligieux et la réconciliation entre les acteurs religieux dans la mise en œuvre de l’Accord politique pour la paix en RCA.

William Renoux, coordonnateur programme Droit à la paix à Finn Church Aid, estime que la participation des acteurs religieux centrafricains dans le processus de reconstruction de la paix sur le plan national, « les acteurs religieux deviennent des acteurs de la stabilité de la paix dans le pays, c’est l’idée qui se plaçait au-dessus de toute reconsidération politique et d’instrumentalisation afin de pouvoir favoriser un environnement stable durable, qui permet la reconstruction du tissu social et de la paix en Centrafrique. Cet atelier permet aux leaders religieux centrafricains d’établir une feuille de route puissent connaitre les messages qu’ils vont porter auprès des autres leaders religieux lors de l’Assemblée Mondiale des religions en Allemagne », a précisé le coordonnateur programme de Droit à la paix, William Renoux.

Cette conférence rassemblera tous les acteurs religieux mondiaux, à en croire William Renoux, « cette conférence est une conférence qui se tient à peu près tous les 6 ans. Elle va rassembler plus de 800 acteurs religieux mondiaux.  Lors de cette rencontre, il y’aura une session spéciale sur la Centrafrique, et comment les leaders religieux centrafricains peuvent partager leur expérience politique avec les autres leaders présents à cette rencontre. Il est essentiel que les leaders religieux s’impliquent dans le processus de l’Accord politique pour la paix e la Réconciliation et les efforts de dialogue. Malheureusement, c’est un effort de volonté de tout un chacun et on essaie à travers de cet atelier de rassembler les énergies des différents acteurs religieux afin qu’ils puissent contribuer et impulser une bonne dynamique de la paix », souligne William Renoux de Finn Church Aid.

C’est la première que les acteurs religieux nationaux soient associés par une ONG internationale quant à la mise en œuvre de l’Accord de paix de Khartoum. Les conclusions de table-ronde des religieux seront présentées à la 10ème Assemblée Mondiale des religions pour la paix, qui se tiendra du 20 au 23 Août 2019 à Lindau en Allemagne avec plus de 800 leaders religieux du monde. 

Paméla Dounian-Doté

 

Centrafrique : Les musulmans centrafricains participent de moins en moins au pèlerinage à la Mecque

BANGUI, 30 juillet 2019 (RJDH) --- Le comité national d’organisation de pèlerinage a déploré la faible participation des pèlerins au détriment des autres pays limitrophes de la RCA. Ce faible engouement se justifie, selon le comité, par plusieurs facteurs exogènes et endogènes.

Le pèlerinage est un acte suprême de foi pour les croyants musulmans. Contrairement aux autres nations, l’on constate que de moins en moins les musulmans centrafricains se rendent à la Mecque pour le pèlerinage. Les raisons, à en croire les membres du comité d’organisation, sont multiples.

Pour Youssouf Naminguena, Secrétaire Général du comité d’organisation, la crise militaro-politique n’en est pas aussi étrangère, et cela a favorisé considérablement la baisse des pèlerins centrafricains, « l’organisation d’un pèlerinage est subordonnée à la sécurité et la stabilité d’un pays, mais compte tenu de la crise que traverse le pays, la plupart de nos frères sont en exil sans oublier ceux qui quittent les provinces pour venir à Bangui afin de participer au pèlerinage car, les routes de nos villes intérieures sont désuètes. C’est pourquoi, l’année passée nous avons enregistré moins de 100 pèlerins. Et pourtant l’Arabie Saoudite a réservé à la RCA un quota de 675 pèlerins. Pour cette année, nous avons projeté à 250 personnes, malheureusement nous nous sommes retrouvés qu’avec 150 pèlerins et 12 encadreurs ce qui nous donne au total un nombre de 162 pèlerins », a-t-il ainsi justifié cette baisse.

Il a, par-ailleurs, indiqué que les autres Etats financent aussi le voyage des pèlerins et souhaite que le gouvernement centrafricain en fasse autant pour faciliter à certains compatriotes d’accomplir leur acte de foi. « Certains pays limitrophes de la RCA ont financé leurs comités d’organisation de pèlerinage à hauteur de 2 milliards de FCA, ce qui a favorisé également le déplacement massif de certains de nos compatriotes dans ces pays, car le tarif du pèlerinage a connu une baisse considérable dans ces pays. Je demande à tous les musulmans centrafricains de se préparer en conséquence pour l’année prochaine. Nous souhaitons à ce que le drapeau de la RCA soit hissé au plus haut point avec un grand nombre » conclut-il.

Le pèlerinage à la Mecque est l’une des plus grandes obligations de l’Islam, considéré comme le 4e pilier du livre Saint, que chaque adepte doit réaliser au nom de la foi au Prophète.

Carlos Watou

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29 juillet 2019 1 29 /07 /juillet /2019 19:33
Côte d’Ivoire: les deux ex-présidents Gbagbo et Bédié se sont rencontrés

 

Par RFI Publié le 29-07-2019 Modifié le 29-07-2019 à 19:08

 

Les retrouvailles entre les deux ténors de la politique ivoirienne ont eu lieu, ce lundi 29 juillet, à Bruxelles, la capitale belge. Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo se sont rencontrés pour la première fois, depuis la crise post-électorale de 2010-2011, à un an de la présidentielle de 2020. L'entourage des deux anciens chefs d'État parle d'une visite placée sous le signe de la fraternité, mais les deux personnalités qui dirigent respectivement le PDCI et le FPI ont également fait un large tour d'horizon de la situation politique en Côte d'Ivoire.

Dans les deux camps, on est formel. La question d'une alliance entre Henri Konan Bédié, désormais dans l'opposition, et Laurent Gbagbo, en liberté conditionnelle à Bruxelles après son acquittement devant la Cour pénale internationale, n'était pas à l'ordre du jour.

Les deux personnalités ont discuté pendant deux heures et ce fut une rencontre fraternelle en vue de renouer le contact, plus de huit ans après leur dernière entrevue, assure-t-on.

Ils ont aussi dénoncé les violations de l'état de droit, l'exil forcé de nombreux responsables politiques ou encore la question des prisonniers politiques.

Le président du PDCI-RDA et le fondateur du FPI regrettent « les atteintes portées contre les acquis démocratiques dans le pays » et appellent notamment au respect de « l'autonomie de fonctionnement des partis politiques et à la fin de l'ingérence du pouvoir exécutif ».

Autre cheval de bataille, celui de la réconciliation nationale. Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo appellent les partis politiques, la société civile et les communautés à œuvrer pour une « véritable » réconciliation dans le pays.

L'heure n'est pas encore à une alliance entre les deux partis, mais le rapprochement amorcé depuis plusieurs mois se poursuit. Les deux anciens chefs d'État ont par ailleurs appelé le gouvernement à réformer profondément la Commission électorale indépendante, très décriée par toute l'opposition ivoirienne.

L’alliance [entre le FPI et le PDCI] n’a pas été abordée. Ce n’était absolument pas l’objet de la rencontre. (…) Ils se sont assis, ils ont discuté, ils se sont embrassés, ils se sont salués et c’était ça l’objet de la rencontre.

Maître Habiba Touré

29-07-2019 - Par Esdras Ndikumana

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29 juillet 2019 1 29 /07 /juillet /2019 19:20
Le parquet de Bangui prêt à rendre les conclusions de l’enquête sur l’assassinat des journalistes Russes

Enquête sur l'assassinat des journalistes russes en Centrafrique

 

 

Le parquet de Bangui prêt à rendre les conclusions de l’enquête sur l’assassinat des journalistes Russes
Le parquet de Bangui prêt à rendre les conclusions de l’enquête sur l’assassinat des journalistes Russes
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29 juillet 2019 1 29 /07 /juillet /2019 19:18
CENTRAFRIQUE: TRADEX S'INSTALLE UN PEU PLUS EN RCA

 

 

https://www.camer.be

 

La station de Damara qui a été inaugurée est la sixième station-service en terre centrafricaine

Tradex ambitionne devenir sous peu le leader de la distribution des produits pétroliers en Centrafrique. Pour ce faire, elle a lancé en 2017 un programme de réhabilitation/ rénovation du réseau de stations-service en république centrafricaine. Ce programme vise à impulser une nouvelle dynamique dans les activités de Tradex en RCA.


L'inauguration ce jour (26 juillet ndlr) de la nouvelle station-service de Damara par le ministre du développement de l'énergie et des ressources hydrauliques Hubert Bertrand Djono Ahaba en présence de Jean Perial Nyodog le PCA de Tradex s'inscrit donc dans cette logique.

Située à 70 kilomètres de la capitale Bangui, la nouvelle station Tradex de Damara est l'unique station-service dans la ville de Damara. TRADEX Damara est ainsi construite sur une superficie de 1 200 m² et dotée d’une capacité de stockage de 25 000 litres de carburants, répartie en 10 000 litres de Super, 10 000 litres de Gasoil et 5 000 litres de Pétrole lampant. Elle dispose d’une capacité de stockage de 100 bouteilles de gaz. Ce nouveau point de vente est un concentré de technologies innovantes, protectrices de l’environnement et représente un investissement d’environ 360 millions de Francs CFA.

Cette réalisation qui intervient après les rénovations des stations-services de Mbaïki, Berbérati et LBB à Bangui vient porter à 6 le nombre de stations-service TRADEX opérationnelles en Centrafrique, un nombre qui passera à 9 dans quelques semaines, avec l’ouverture imminente des stations-service SOFITEL, GARE DU NORD et MARABENA. Le réseau compte terminer ainsi l’année avec 24 stations-service en terre centrafricaine.

C'est dans cette logique que réagissant à la suite de la cérémonie d’inauguration Perrial Jean NYODOG, Président du Conseil d’Administration de TRADEX CENTRAFRIQUE déclarera que : « Notre objectif en République Centrafricaine est d’être toujours plus proche de notre clientèle, de contribuer à la consolidation de la paix, à la lutte contre le chômage des jeunes et à un retour à la normale sur l’ensemble du territoire national. En mettant à la disposition des centrafricains où qu’ils se trouvent sur le territoire, des produits pétroliers de qualité, nous agissons en messagers de la paix, renforçant l’espérance d’une Centrafrique unie et triomphante».

 

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