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8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 23:23
Centrafrique : Deuxième livraison d’armes par la Russie

 

Lu pour vous

 

https://afriquepanorama.com 7 août 2019

 

La coopération entre le pays du Centrafrique et la Fédération de la Russie va bon train. La Centrafrique n’a pas trouvé que de la crise et de l’instabilité depuis très longtemps, mais trouve toujours des issues pour s’en sortir. Grâce à la collaboration avec la Russie, le but pourra être atteint.

La Fédération de la Russie a obtenu pour la deuxième fois l’autorisation du Conseil de sécurité de l’ONU pour sa deuxième livraison d’armes aux armées centrafricaines FACA. Pour un petit rappel, la Russie a déjà envoyé la première cargaison d’armes à Bangui vers la fin du mois de Janvier dernier.

L’Ambassadeur de la Russie en Centrafrique, Vladimir Titorenko a affirmé que l’engagement de la Russie est de soutenir le gouvernement centrafricain dans le processus de la reconstruction nationale pour sortir définitivement de la crise, et pour que la paix règne infiniment dans ce pays. Dans ce cas, Mr Vladimir Titorenko a avoué que grâce à l’autorisation de l’ONU, la deuxième cargaison d’armes sera livrée à la Centrafrique en vue de la réhabilitation des Forces Armées Centrafricaines ou FACA. La Russie est alors déjà prête pour cette livraison afin de soutenir les Centrafricains à retrouver la paix totale.

Après l’arrivée d’une première livraison d’armes russes à Bangui (Centrafrique), la Fédération de la Russie prépare actuellement sa deuxième cargaison d’armes pour ce pays.

 

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Centrafrique-Presse.com
8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 23:21
RCA: le Programme alimentaire mondial tire la sonnette d’alarme

 

Par RFI Publié le 07-08-2019 Modifié le 07-08-2019 à 01:43

 

Le mois d’août est la période de l’année la plus difficile. Selon le PAM, plus de 40% de la population est actuellement en situation d’insécurité alimentaire en Centrafrique.

1,8 millions de personnes souffre d’insécurité alimentaire grave et 465 000 sont en situation d’urgence dans les zones les plus touchées, dénonce le PAM dans un communiqué. Une situation liée à la période de soudure (période précédant les premières récoltes et où le grain de la récolte précédente peut venir à manquer) mais pas seulement.

Le conflit a de forts impacts sur la situation alimentaire, souligne l’organisation. Les groupes armés poursuivent leurs « incursions » sur les principales routes d’approvisionnement et autour des grandes villes. Plus de 600 000 personnes sont déplacées dans le pays perturbant leurs moyens de subsistance, poursuit le PAM. Les déplacements sont limités, la chasse et l’accès aux cultures rendus difficiles par l’insécurité. En conséquence, le prix des denrées alimentaire est en hausse. À Bangui, le prix de la cuvette de manioc a doublé.

Actuellement, le PAM fournit chaque mois une aide alimentaire à 600 000 personnes. L’organisation espère porter ce soutien à 800 000 personnes d’ici la fin de l’année mais pour cela elle a besoin de 35,5 millions de dollars supplémentaires.

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Centrafrique-Presse.com
8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 23:19
Le Chef de la Minusca Mankeur Ndiaye fait le point avec Macky Sall
Le Chef de la Minusca Mankeur Ndiaye fait le point avec Macky Sall

 

Lu pour vous

 

RCA: Mankeur Ndiaye et Balla Keïta sollicitent de Macky Sall, l’envoi de troupes supplémentaires

 

https://www.leral.net par leral.net le Jeudi 8 Août 2019 à 12:48

 

Le président de la République Macky Sall a reçu ce mercredi (hier), le représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies en Centrafrique. Mankeur Ndiaye était accompagné du Général Balla Keita, chef de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation en Centrafrique (MINUSCA). 

Les deux hommes ont présenté au chef de l'Etat, l'évolution de la situation et la contribution du Sénégal dans la stabilisation de ce pays. Ils ont également sollicité, selon le Général Keïta, l’envoi par le Sénégal de troupes supplémentaires pour aider le peuple centrafricain à sortir de la guerre.

 

 

Situation en Centrafrique : Le Chef de la Minusca Mankeur Ndiaye fait le point avec Macky Sall

 

https://www.dakaractu.com 08/08/2019

 

L’ancien Ministre des affaires étrangères, M. Mankeur Ndiaye, à la tête de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) a été reçu hier après-midi par le Chef de l’Etat Macky Sall.

Une occasion de faire avec lui le point sur la situation difficile en Centrafrique, mais aussi sur les activités de la MINUSCA, a indiqué M Ndiaye. « Le Président Sall a appuyé la mise en œuvre de l’accord politique de paix et de réconciliation qui a été signé le 6 Février 2019 », a-t-il laissé entendre. 
 

Le nouveau Représentant spécial du Secrétaire général pour la République centrafricaine (RCA), Mankeur Ndiaye, a rappelé que concernant la situation sur le terrain en Centrafrique, des progrès ont été réalisés, mais qu'il existe quelques contraintes. « Nous avons un accord, mais malgré tout, les groupes armés continuent à le violer mais aussi, à exercer des exactions contre les populations civiles », fera-t-il savoir à sa sortie d’audience. 

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Centrafrique-Presse.com
8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 23:15
Centrafrique : la paix tarde toujours à revenir
Centrafrique : la paix tarde toujours à revenir
Centrafrique : la paix tarde toujours à revenir

 

http://www.adiac-congo.com Mercredi 7 Août 2019 - 16:30

 

Six mois après la signature de l’Accord de Khartoum par quatorze groupes armés, les attaques contre la population civile, les affrontements entre groupes armés rivaux et trafics d’armes se poursuivent à travers le pays, selon un récent rapport des experts de l’ONU.

Des efforts déjà consentis tardent à se concrétiser dans l’arrière-pays, toujours contrôlé à 80% par les groupes rebelles. Et tout cela prouve que la tâche reste immense dans un Etat déchiré par les crises sécuritaires où treize accords se sont succédé en dix ans. Pourtant « aucun des cinq autres accords signés depuis le début de la crise, à la fin 2012, n’avait mobilisé autant d’efforts de la part des protagonistes nationaux et internationaux », souligne le texte.

Si la situation militaire s’est stabilisée, depuis février, il convient de signaler que dans certaines provinces, les combats entre groupes armés et les attaques sur la population civile n’ont nullement cessé. S’y ajoutent meurtres, viols, braquages, détentions arbitraires, attaques sur les personnels humanitaires, alors qu’entre dix et soixante-dix violations de l’accord sont enregistrées chaque semaine par la mission de l’ONU en République centrafricaine.

Les experts de l’ONU notent aussi que « rien ou presque ne vient prouver que les combattants aient véritablement changé de comportement ou que leurs chefs aient entrepris d’identifier et de sanctionner les coupables ». « Les principaux groupes armés, en particulier les groupes de l’ex-Séléka, ont non seulement conservé leurs postes de contrôle, mais également renforcé leur mainmise sur certains territoires et acheté des armes », affirment les experts.

S’agissant du Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique d’Abdoulaye Hissène et l'Union pour la paix en Centrafrique d’Ali Darassa, ils avancent que les deux groupes armés continuent de s’approvisionner en matériel de guerre aux frontières du Tchad et du Soudan, malgré l’embargo imposé au pays, et les promesses faites à Khartoum.

Des exactions signalées et bien d’autres problèmes sont décriés alors que la Minusca, seule force capable de se déployer rapidement dans le pays pour s’opposer aux violences, se contente de privilégier le « dialogue » à l’action militaire depuis de début de la mise en œuvre de l’accord.

A Bangui, la capitale, ainsi que dans les provinces, la population dénonce l’attitude actuelle de la force onusienne, soulignant que sa position actuelle est difficile à concilier avec son mandat de protection des populations civiles. Elle fait ce constat sans oublier que les troupes de la force internationale étaient intervenues pour  dégager le corridor économique Cameroun-RCA, qui était temporairement bloqué par les miliciens du FPDC d’Abdoulaye Miskine. La population déplore également le fait que la Minusca n’a pas utilisé la force contre les éléments du groupe 3R, responsables du massacre de quarante-six civils, le 22 mai, à Paoua, dans le nord du pays. Ce qui avait suscité l’incompréhension de nombreux Centrafricains, qui attendent des mesures plus fermes pour mettre un terme aux exactions.

Répondant à de nombreuses critiques, le représentant spécial de l’ONU en Centrafrique, Mankeur Ndiaye, a assuré : « Paoua ne sera pas oubliée (…). On y travaille, au quotidien en mettant les pressions qu’il faut sur les responsables et en essayant de connaître exactement qui sont les donneurs d’ordre pour les arrêter ». Ces propos semblent ne plus convaincre, puisque plusieurs chefs de groupes passibles de poursuites judiciaires ont été intégrés au nouveau gouvernement « inclusif », formé le 3 mars, comme s’y était engagé le pouvoir centrafricain à Khartoum. Or, certains de ces leaders se montrent peu enclins à respecter les dispositions prévues par l’Accord de Khartoum.

 Nestor N'Gampoula

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8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 23:14
Un habitant de Châteaubourg impliqué dans l’élection présidentielle en Centrafrique

Lu pour vous

 

https://actu.fr  Publié le 6 Août 19 à 10:25

 

Un habitant de Châteaubourg a reçu l’un des candidats à l’élection présidentielle en Centrafrique. Il le soutient en étant son coordinateur de la diaspora en Europe.

 

 

 

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8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 23:13
NOTE D’INFORMATION MINUSCA

 

 

BAISSE DES INCIDENTS D’ABUS ET VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME EN RCA DURANT LE PREMIER SEMESTRE 2019

 

Bangui, le 07 août 2019 - Une baisse du nombre d’incidents et de victimes des abus et violations des droits de l’homme et du droit international humanitaire a été enregistrée en République centrafricaine au cours du premier semestre 2019 par rapport à la même période en 2017 et 2018. L’information a été rendue publique mercredi en conférence de presse par Musa Gassama, directeur de la Division des Droits de l’Homme et Représentant du Haut-commissaire de l’ONU aux Droits de l’homme.

 

« 565 incidents d’abus et violations des droits de l’homme et du droit international humanitaire ayant affecté 1082 victimes ont été documentés par nos services », a déclaré Musa Gassama. Au premier trimestre 2018, « 1674 incidents occasionnant 2821 victimes avaient été constatés tandis qu’au premier trimestre 2017, il y a eu 1097 incidents et 1956 victimes », a-t-il poursuivi. Cette baisse du nombre d’incidents et de victimes s’explique par l’absence d’affrontements entre groupes armés rivaux et la réduction du nombre d’attaques massives contre les civils, « à l’exception des violences  graves par des éléments de 3 R dans les villages de Koundjili, Lemouna et Bohong, dans la préfecture de l’Ouham-Pendé, le 21 mai dernier. Selon ce responsable, les préfectures les plus affectées sont l’Ouham-Pendé, le Mbomou, la Ouaka et la Mambéré-Kadei.

 

Faisant le point sur les auteurs de ces abus et violations, le directeur de la Division des Droits de l’Homme, a indiqué que la majorité a été commise par des éléments des groupes armés. « Ils sont les premiers responsables des abus et des violations des droits de l’homme (536 sur 565). Les agents de l’Etat sont auteurs présumés de 29 violations », a indiqué ce responsable, ajoutant que « pour ce qui est des meurtres, il y a eu 241 civils tués par les groupes armés notamment le 35, l’UPC et le FPRC ».

 

En réaction aux préoccupations des journalistes sur les mesures prises par la division de droit de l’homme en vue d’empêcher les groupes armés de continuer de commettre ces violations sur la population civile, le directeur de la Division des Droits de l’Homme et Représentant du Haut-Commissaire de l’ONU aux Droits de l’homme, a indiqué que sa division continue de documenter les faits tout en formulant des recommandations au Gouvernement,  à la communauté internationale et aux groupes armés. «  Tous les deux/trois mois, je me réunis avec le Ministre de la Justice pour aborder ces questions. Concernant les groupes armés, nous partageons les données avec eux tout en les sensibilisant et en leur expliquant leurs responsabilités pour mettre fin à ces pratiques ».

 

Pour sa part, le porte-parole de la MINUSCA, Vladimir Monteiro, a annoncé la réhabilitation en cours du commissariat de 3eme arrondissement de Bangui,  sur financement de la composante Police de la MINUSCA, en vue de opérationnalisation.


Strategic Communication & Public Information Division

MINUSCA HQ, PK4 Avenue B. Boganda
BP : 3338, Bangui, Central African Republic
Mail : 
publicinformation-minusca@un.org
Website: https://minusca.unmissions.org │
Facebook https://www.facebook.com/minusca.unmissions/
Twitterhttps://twitter.com/@UN_CAR
Flickr https://www.flickr.com/photos/unminusca/

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Centrafrique-Presse.com
8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 23:09
Centrafrique :  des éléments rebelles condamnés à de lourdes peines de prison

 

French.china.org.cn | Mis à jour le 08-08-2019

 

Six ex-combattants d'un groupe armé ont écopé de lourdes peines d'emprisonnement mardi et mercredi lors de la session criminelle 2019 organisée par la Cour d'appel de la ville de Bouar (ouest) en Centrafrique.

Les condamnés sont des ex-éléments du Mouvement patriotique pour la Centrafrique (MPC) dans la ville centrafricaine de Ngaoundaye (extrême nord-ouest). Leurs peines varient entre dix et quinze ans pour association de malfaiteurs et détentions illégales d'armes et munitions de guerre, a indiqué mercredi le président de la Cour, Aimé Pascal Delimo.

M. Delimo a aussi fait mention de la confiscation des armes saisies au profit de l'Etat centrafricain.

La défense des condamnés dispose de trois jours, suivant la procédure, pour pourvoi en cassation. 

Source: Agence de presse Xinhua

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8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 23:09
Centrafrique :  des éléments rebelles condamnés à de lourdes peines de prison

 

French.china.org.cn | Mis à jour le 08-08-2019

 

Six ex-combattants d'un groupe armé ont écopé de lourdes peines d'emprisonnement mardi et mercredi lors de la session criminelle 2019 organisée par la Cour d'appel de la ville de Bouar (ouest) en Centrafrique.

Les condamnés sont des ex-éléments du Mouvement patriotique pour la Centrafrique (MPC) dans la ville centrafricaine de Ngaoundaye (extrême nord-ouest). Leurs peines varient entre dix et quinze ans pour association de malfaiteurs et détentions illégales d'armes et munitions de guerre, a indiqué mercredi le président de la Cour, Aimé Pascal Delimo.

M. Delimo a aussi fait mention de la confiscation des armes saisies au profit de l'Etat centrafricain.

La défense des condamnés dispose de trois jours, suivant la procédure, pour pourvoi en cassation. 

Source: Agence de presse Xinhua

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8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 23:09
Centrafrique :  des éléments rebelles condamnés à de lourdes peines de prison

 

French.china.org.cn | Mis à jour le 08-08-2019

 

Six ex-combattants d'un groupe armé ont écopé de lourdes peines d'emprisonnement mardi et mercredi lors de la session criminelle 2019 organisée par la Cour d'appel de la ville de Bouar (ouest) en Centrafrique.

Les condamnés sont des ex-éléments du Mouvement patriotique pour la Centrafrique (MPC) dans la ville centrafricaine de Ngaoundaye (extrême nord-ouest). Leurs peines varient entre dix et quinze ans pour association de malfaiteurs et détentions illégales d'armes et munitions de guerre, a indiqué mercredi le président de la Cour, Aimé Pascal Delimo.

M. Delimo a aussi fait mention de la confiscation des armes saisies au profit de l'Etat centrafricain.

La défense des condamnés dispose de trois jours, suivant la procédure, pour pourvoi en cassation. 

Source: Agence de presse Xinhua

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8 août 2019 4 08 /08 /août /2019 23:09
Centrafrique :  des éléments rebelles condamnés à de lourdes peines de prison

 

French.china.org.cn | Mis à jour le 08-08-2019

 

Six ex-combattants d'un groupe armé ont écopé de lourdes peines d'emprisonnement mardi et mercredi lors de la session criminelle 2019 organisée par la Cour d'appel de la ville de Bouar (ouest) en Centrafrique.

Les condamnés sont des ex-éléments du Mouvement patriotique pour la Centrafrique (MPC) dans la ville centrafricaine de Ngaoundaye (extrême nord-ouest). Leurs peines varient entre dix et quinze ans pour association de malfaiteurs et détentions illégales d'armes et munitions de guerre, a indiqué mercredi le président de la Cour, Aimé Pascal Delimo.

M. Delimo a aussi fait mention de la confiscation des armes saisies au profit de l'Etat centrafricain.

La défense des condamnés dispose de trois jours, suivant la procédure, pour pourvoi en cassation. 

Source: Agence de presse Xinhua

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