Façade et entrée du 10, rue Philibert Delorme à Joué les Tours(Indre et Loire)
de l'immeuble où se trouve au 6è étage l'appartement acheté par Firmin Feindiro
O F F I C E
Jacques MONMARCHE Jacques VAUTIER
N O T A R I A L
Christian LE CLEZIO Jean Michel COQUEMA
2. Avenue du Général de Gaulle ***
BP 341
Notaires Associés
37303 JOUELES TOURS Cedex
Téléphone: 0247681515
Télécopie 0247681516
AF
AQ
VERSION 2000
N° 24433
Le 13/04/2005
ATTESTATION AVEC INDICATION DU PRIX
JE SOUSSIGNE Maître Jacques MONMARCHE Notaire Associé de la Société Civile Professionnelle «Jacques MONMARCHE, Jacques VAUTIER, Christian LE CLEZIO, Jean-Michel COQUEMA et ***, Notaires Associés»
titulaire d'un Office Notarial à JOUE-LES-TOURS, 2, avenue du Général de Gaulle, certifie et atteste avoir reçu le 28 octobre 2008 la vente,
Par:
Monsieur Pascal Nestor Philippe Roland BOISGARD, agent de fabrication, demeurant à JOUE-LES-TOURS (37300) 10 rue Philibert Delorme.
Né à ABILLY (37160), le 19 mai 1966.
Célibataire.
Au profit de :
Monsieur Firmin FINDIRO, Magistrat, et Madame Léocadie NGON DJEN ECK,
Médecin, son épouse, demeurant ensemble à BANGUI REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE, BP 2224.
Nés savoir:
Monsieur FINDIRO à KEMBE REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE, le 24 septembre 1969,
Madame FINDIRO à DOUALA CAMEROUN, le 18 novembre 1965.
DESIGNATION
Désignation de L'ENSEMBLE IMMOBILIER dont dépendent les BIENS:
Un ensemble immobilier situé à JOUE-LES-TOURS (INDRE-ET-LOIRE) 37300 10, Rue Philibert DELORME.
Cadastré:
Section
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N°
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Lieudit
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Surface
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BC
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311
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LA ROTIERE
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00 ha05 a 63 ca
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Désignation des BIENS :
Lot numéro trente (30):
Un appartement situé au sixième étage comprenant une entrée, une cuisine, une salle de bains, WC, salle de séjour, deux chambres, dégagement et rangements.
Et les cent quatre-vingt neuf /dix millièmes de la propriété du sol et des parties communes générales.
Lot numéro quatre-vinqt deux· (82) :
Une cave située au sous sol
Et les trois /dix millièmes de la propriété du sol et des parties communes générales.
Andrésy, Arras, Avallon-Bourgogne, Bordeaux, Bourg en Bresse, Cholet, Dinard, Epinal-
Fort-de-Françe, Gardanne (Marseille), Joué les Tours, La Ferté Bernard (Le Mans), Le Vésinet, Lille, Montpellier, Nérac (Agen), Nouméa, Paris, Reims,
Rennes, Rodez, Saint Priest (Lyon), Toulouse, Trans en Provence, Troyes, Uzès, Correspondants étrangers: Algérie. Allemagne. Belgique. Bénin. Cameroun. Canada. Danemark. Espagne. Grande Bretagne,
Luxembourg. Maroc. Pays-Bas. Sénégal. Suisse. Togo.
L’ACQUEREUR est propriétaire des BIENS vendus à compter de la signature.
Il en a eu la jouissance dès avant ce jour par la prise de possession réelle depuis le 1er octobre 2008.
PRIX
La vente a été conclue moyennant le prix de QUATRE-VINGT TROIS MILLE EUROS (83.000.00 EUR)
Ce prix a été payé comptant et quittancé audit acte.
EN FOI DE QUOI la présente attestation est délivrée pour servir et valoir ce que de droit.
FAIT A JOUE – LES – TOURS (Indre-et-Loire)
Le 28 octobre 2008
NOTAIRES ASSOCIES
Enquête
Les ennuis politico-judiciaires que vit actuellement un certain Aristide-Briand Reboas qui fut, il n’y a pas encore longtemps Directeur du Bureau National de la
Documentation (BND), le service de renseignement de Bozizé, ont un parfum de règlement de compte mafieux entre le parrain du gang qui n’est
autre que sieur Firmin Feindiro, véritable demi-dieu du régime de Bangui et indéboulonnable Procureur de la République près le tribunal de
grande instance de Bangui depuis le coup d’Etat du 15 mars 2003, et les autres membres du clan, en l’occurrence les frères Reboas.
Tout commence sur les bords de la Loire dans la magnifique ville de Tours en France où réside toujours actuellement Roger Reboas qui
recommande un jour à son ami Firmin Feindiro, son frère cadet Aristide-Briand
Reboas qui, après une vie de galère à Bordeaux, échoue chez lui à Tours où il finit par se faire embaucher comme pompiste dans une station
service. C’est ainsi que compte tenu des relations de Feindiro avec Bozizé, il
n’éprouvera aucune difficulté à faire bombarder Aristide Briand Reboas dans les fonctions de directeur des services de renseignement.
Firmin Feindiro avait totalement confiance à Roger Reboas au point même de lui confier la gestion de certains de ses comptes bancaires à Tours ainsi que les revenus de ses douteuses affaires
d’enrichissement illicite. La preuve en est les informations sur le fonctionnement des dits comptes et l’acquisition par Feindiro à titre
onéreux d’un appartement dans la proche banlieue de Tours, précisément à Joué Les Tours, qui commencent à maintenant à transpirer dans la presse centrafricaine sur internet.
Tout serait parti selon nos informations, de l’utilisation abusive par Roger Reboas d’une bonne partie du magot d’origine douteuse déposé sur un des comptes bancaires de Firmin
Feindiro. Roger Reboas s’en serait servi pour acheter des véhicules dont des camions de transport qu’il aurait mis en circulation à
Bangui. Lorsque Feindiro s’en serait aperçu, il a vu rouge et aurait saisi la justice en France en déposant une plainte contre
Roger Reboas tout en déclenchant aussi sa foudre contre l’autre frère cadet, Aristide-Briand
Reboas du BND à Bangui. Ce dernier s’était aussi spécialisé entre temps dans divers trafics d’enrichissement sans cause, en particulier l’escroquerie des hommes d’affaires et surtout des
commerçants libanais de la place.
On comprend donc pourquoi après l’avoir fait arrêter, Firmin Feindiro a
également fait saisir tout les ordinateurs qu’utilisait Aristide-Briand Reboas au BND. Depuis quelques jours, c’est dans les geôles
réservées aux délinquants que ce dernier a été placé sans doute sur instructions de Feindiro visiblement déterminé à lui faire payer son
ingratitude à son égard.
A Tours, l’épouse d’Aristide Briand Reboas, met la pression par
des messages téléphoniques répétitifs sur un rejeton de Bozizé surnommé Papy - qui
commandait entre temps la police politique de son père en étroite collaboration avec Firmin Feindiro, le redoutable Service de recherche et d’Investigation (SRI) - qui vient lui aussi de s’installer dans la ville, de dire à son père de faire
libérer son mari.
S’agissant de Firmin Feindiro, est-il besoin de rappeler qu’il fut déjà
Procureur de la République auprès du tribunal de grande instance de Bangui sous le régime du président Patassé. Il fut sanctionné par le conseil supérieur de la magistrature pour corruption
aggravée. Il a trempé jusqu’au cou dans la grave affaire dite Zongo-Oil, une immense escroquerie et sur la fiscalité des produits pétroliers opérée par Sani Yalo sur le dos de l’Etat qui a suffisamment défrayé la chronique vers la fin du pouvoir de Patassé. Firmin Feindiro et l’épouse du ministre de la justice de l’époque ont été
« cadeautés » d’une voiture chacun par Sani Yalo. Le ministre impliqué a été muté à la fonction publique et Firmin Feindiro fut rétrogradé et muté au tribunal d’instance de Kaga-Bandoro dans la préfecture de la Nana-Gribizi.
C’est à la faveur du coup d’Etat de Bozizé du 15 mars 2003 que tribalisme
oblige, il a été nommé à nouveau Procureur de la République et exerce jusqu’à ce jour cette fonction qui lui permet de vivre un grand train de vie, de faire la pluie et le beau temps et de
s’enrichir sans frais sur le dos des musulmans, des commerçants libanais et autres opérateurs économiques. Il est totalement impensable que son salaire de Procureur lui permette d’acheter un
appartement à près de 100.000 euros en France et de disposer par ailleurs de plusieurs autres centaines de milliers d’euros sur des comptes bancaires toujours en France et sans doute aussi
ailleurs, au Cameroun notamment, pays d’origine de son épouse. Comme l’autre indéboulonnable et aussi corrompu ministre des mines Sylvain
Ndoutingai qui a déjà fêté en août 2007 son deuxième milliards de F CFA, le Procureur de la République « à vie » Firmin Feindiro fait également partie des piliers du régime de Bozizé, assurés de la protection et
impunité totales du dictateur sanguinaire de Bangui.
La Rédaction de C.A.P