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  • : informations générales sur la république centrafricaine et l'Afrique centrale
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11 août 2012 6 11 /08 /août /2012 22:33

 

 

 

 

logo FARE 2011

 

 

 

Suite à une longue lutte menée par de vaillants fils africains, la loi-cadre Defferre accorda en 1956 l’autonomie interne à des gouvernements territoriaux africains. Avec la constitution de 1958, le général De Gaulle a fait des anciennes colonies des « Etats associés » dans la Communauté Française mettant ainsi fin à un passé difficile pour les peuples colonisés. En 1960, l'indépendance était accordée à quinze Etats africains restant liés à la France par la Coopération. L’indépendance de la République Centrafricaine a été proclamée le 13 Aout 1960 et tous les Présidents de la RCA commémorent chaque année avec le peuple Centrafricain cette fête  sans provocation et dans la paix.

Le FARE 2011, groupement des partis politiques d’opposition mis en place suite à la mascarade électorale du 23 janvier 2011 pour demander l’Annulation et la Reprise des dits Elections sujettes à caution et pour sensibiliser le peuple dans la défense de la constitution, vient d’apprendre avec amertume que le général François Bozize, sa clique et son parti politique le KNK viennent célébrer le 13 Août 2012, 52ème anniversaire de l’indépendance de la République centrafricaine à Paris, capitale de la République Française, ancien colonisateur de la République Centrafricaine.

Le FARE 2011 France rappelle aux peuples africains et centrafricain, particulièrement à la Diaspora centrafricaine en France, que cette décision saugrenue constitue un affront et une honte à la mémoire de tous les vaillants fils et filles du continent et du pays qui ont œuvré à l’obtention de cette indépendance. Le général François Bozizé excelle dans la provocation des Africains et précisément du peuple centrafricain qui souffre depuis le 15 MARS 2003 d’insécurité, de manque d’eau et d’électricité (délestages chroniques), d’abandon de la jeunesse (évènements du 2 Août 12) et de l’incapacité des différents gouvernements de François Bozizé à faire face aux problèmes des Centrafricains malgré les nombreuses aides des institutions financières internationales et états amis de la RCA.

Alors que la jeunesse, les filles et les fils meurtris de la nation centrafricaine aspirent à une amélioration de leurs conditions de vie et à un mieux-être, François Bozizé choisit de venir célébrer cette journée si importante et plein de symbole de liberté pour les Africains et les Centrafricains sur le territoire de l’ancien colonisateur devant une minorité de ses partisans de la diaspora en France.

Le FARE 2011 France dénonce énergiquement cette démarche politique qui n’a pas de précédent dans l’histoire des peuples. Il appelle les Centrafricains qui ont été invités par la Représentation Diplomatique à marquer leur refus pour cet acte honteux qui n’honore ni la République Centrafricaine, ni l’Afrique ni aussi la République Française,

Le FARE 2011 France prend à témoin l’opinion nationale française sur la gravité de cet acte de forfaiture de la part du général Bozizé et de son Assemblée Nationale composé à 90% des représentants de son parti le KNK, acte  susceptible de compromettre les relations historiques entre les deux pays

Il interpelle le peuple Centrafricain qu’il ne viendra sûrement à l’idée d’aucun des chefs d’Etat des quinze Etats africains qui fêtent aussi l’indépendance de leur pays de venir festoyer en France. Pour cette raison, le FARE 2011 France demande aux députés Centrafricains de faire preuve de patriotisme en demandant au président de leur parti de sursoir à cette démarche grave pour l’histoire de notre pays et de rester célébrer cette fête avec les Centrafricains dans leur misère quotidienne sur le territoire national.

Fait à Paris le 11 Août 2012

 

Pour le FARE 2011 France, ont signé

 

CRPS

MLPC

RDC

Daniel

MAKOURI

Gilles

BOMILA-KORADJIM

Henri

ASSANGOU

 

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Centrafrique-Presse.com - dans Politique
11 août 2012 6 11 /08 /août /2012 01:27

 

 

 

empereur-Bozize.JPG

Tous les centrafricains de France sont conviés à l'hôtel Hilton de Roissy Charles de Gaulle le lundi 13 aout pour fêter les 52 ans d'indépendance de leur pays. Telle est la teneur du communiqué de presse publié sur le journal Centrafrique presse par M Djento Ouambo chargé de mission de la diaspora centrafricaine.

Hasard du calendrier, cette annonce surprise suscite l'émoi des centrafricains qui attendaient plutôt la conférence de presse de l'ancien ministre des recherches scientifiques le célèbre professeur des mathématiques de l'université de Baltimore aux USA M Mandata NGUEREKATA âgé de 60ans.

Ce brillant professeur formé au Canada et aux USA a symboliquement choisi le jour du 13 aout qui commémore habituellement l'anniversaire de l'acquisition de l'indépendance de la RCA pour parler de ses ambitions présidentielles. Du côté du gouvernement, c'est une improvisation comme Bozizé aime bien le faire depuis 9 ans qu'il dirige ce pays. Un adage français dit pourtant «  gouverner c'est prévoir, » mais avec Kangara c'est le désordre et la cacophonie en permanence.

Car, comment comprendre qu'un soit disant chargé de mission qui n'a pas de bureau pour recevoir et traiter les nombreux problèmes de ses compatriotes puisse se permettre de les inviter à moins d'une semaine de ces festivités?

Quelle légitimité possède-t-il lorsqu'il observe ses nombreux Centrafricains qui sont obligés de débourser 2000 à 3000e pour se rendre à Bangui à la recherche des passeports biométriques?

La France est-elle devenue une province de la République centrafricaine pour qu' elle y délocalise un évènement si cher ?

Est-ce logique de refuser de payer les 90000e représentant les arriérés de salaire de l'entraîneur de l'équipe de football annihilant au passage l'avenir radieux des joueurs centrafricains et de venir dépenser inutilement en France leur argent?

La fortune de ce déplacement avec sa nombreuse délégation n'aurait-elle pas été utile à l'achat des lits ou de l'entretien du complexe pédiatrique devenu un mouroir?

Et les ponts qui s'écroulent, les routes qui se dégradent à mesure que le temps passe, le manque d'infrastructures, l'occupation du territoire par des groupes armés demeurera tant que Bozizé sera président?

Toutes ces questions ont des réponses négatives vu l'ampleur de la misère quotidienne des centrafricains.

Bozizé qui a traité les centrafricains de la diaspora et surtout ses partisans du Kobè Na Kobè ( KNK) de tous les noms, cherche à se racheter. Grand pourvoyeur des bénis-oui oui comme le premier ministre M. Faustin Touadera et le président de l'assemblée nationale M. Gaombalet, il est sans doute à la recherche d'autres opportunistes pour combler le vide laissé par ses parents NDOUTINGAI et FINDIRO qu'il a pulvérisés récemment pour tentative de déstabilisation du régime selon leur dire.

Les Centrafricains de France ont sans doute l'occasion de démontrer à Bozizé qu'on ne peut pas acheter leur conscience en boycottant ce grand-messe. Mais au vu des rencontres précédentes entre la diaspora et ce dernier, c'est fort possible que des pseudos intellectuels vont faire des pieds et des nez pour des postes juteux.

Le champagne qui va couler à flot et toutes les beuveries risquent d'attirer les partisans véreux du KNK et certains opportunistes, qui pour des intérêts égoïstes peuvent oublier leurs parents qui sont en souffrance en Centrafrique.

Les jeunes candidats au recrutement de l'armée ont démontré la rage qu'un homme peut avoir lorsqu'on le prive de ses ambitions. C'est bien un exemple que les centrafricains d'Europe et de France pourraient prendre s'ils refusaient d'honorer de leur présence à ce festin.

WILFRIED MAURICE SEBIRO

 

NDLR : Selon nos informations, Bozizé aurait personnellement téléphoné au chanteur BB Matou pour lui proposer de venir chanter en sa présence au Hilton moyennant un intéressant cachet. La réponse de l’artiste est sans hésitation favorable comme on pouvait s’en douter.  

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Centrafrique-Presse.com - dans Opinion
11 août 2012 6 11 /08 /août /2012 00:55

 

 

 

anneaux-olympiques

Radio Ndéké Luka Vendredi, 10 Août 2012 15:01

Les 6 athlètes centrafricains qui ont quitté Bangui pour les compétitions de Londres, débuté le 27 juillet, ont tous été éliminés des compétitions. Ils rentreront donc bredouille au pays.

Malgré leurs défaites, « ils ont l’air d’avoir été contents de leurs performances », a déclaré l’Assistante Technique de la Délégation Centrafricaine, Cécile Gordan, ce 10 août sur les ondes de Radio Ndeke Luka.

Le dernier centrafricain à être écarté des jeux ce 9 août 2012 est l’athlète  Patrick Boui du taekwondo qui a été battu par un iranien dans la catégorie des 68 kilogrammes sur un score de 7 contre 2. Patrick Boui a été repêché pour la médaille de bronze contre l’Afghan Nikpah Rohullah. Celui-ci l’a battu 14 contre 2.Sur les ondes d’une chaine internationale, Patrick a reconnu sa défaite en évoquant « un manque d’expérience » en dépit d’intenses préparations au préalable en Belgique et en Corée du Sud.

Dans cette même discipline, la Championne d’Afrique de la catégorie des 49 kilogrammes, Catherine Kang, de nationalité centrafricaine, a été battue par une Croate sur le score de 14 à 0. C’est au second round que Kang a été battue ce 8 aout 2012.

Tandis qu’en athlétisme, Victoire Mandaba a occupé la 6ème place sur les 7 concurrentes aux 800 mètres Dames. Toutefois, elle a réalisé une belle performance relativement au record national en faisant 2 minutes 12 secondes 53 centièmes.  L’athlète Mandaba qui s’est préparée à Bangui, a remporté la médaille d’Argent au meeting de Brazzaville au mois de juin dernier dans les 400 mètres Dames.

En 100 mètres hommes, Béranger Bossé a d’abord enregistré un succès en première série avant d’être éliminé en seconde série. Béranger a réalisé quant à lui 10 secondes et 55 centièmes, une performance qui est loin de lui offrir une chance avec les 9 secondes 63 centièmes réalisés récemment par le meilleur sprinter du monde, le jamaïcain Usain Bolt.

Médaillé d’argent et vice-championne d’Afrique de lutte, Sylvie Ngbonga a été mise dos sur le tapis par une mongole dès le 1er tour. Les expériences techniques acquises à Thiès au Sénégal n’ont pas permis à la lutteuse centrafricaine de remporter une médaille dans les jeux de Londres.

Une autre défaite qui s’ajoute aux premières est celle du jeune centrafricain, Christian Nassif, qui n’a pas pu franchir le 2ème tour de la natation malgré sa victoire en 50 mètres de nage libre. Par contre, Christian a amélioré sa performance. Au lieu de 29 secondes comme exploit national, le jeune homme a effectué 28 secondes 04 centièmes aux Jeux Olympiques de Londres.

Parti avec l’espoir de sauver les couleurs du drapeau national, les réalités des terrains de jeux ont montré que la République Centrafricaine a encore du pain sur la planche dans le domaine des sports. Les chances de remporter des médailles sont très moindres pour la RCA si l’on se réfère à l’effectif des athlètes  centrafricains alignés à Londres afin de défendre la patrie.

Les 6 athlètes vont devoir quitter Londres le 13 août pour Bangui la capitale centrafricaine. Ils reviendront sans doute avec quelques expériences pouvant les servir très prochainement.

Signalons toutefois que les jeux de Londres n’ont pas laissé libre court aux africains de se distinguer dans cette grande rencontre sportive internationale.

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11 août 2012 6 11 /08 /août /2012 00:34

 

 

 

basketball-fauves.jpg

Djodjo-Bozize-casque-aux-oreilles.JPG

                           le délinquant Joseph François Bozizé alias Djodjo

 

 

Bangui 10 août (C.A.P) - L'ambassade de France à Bangui a refusé de délivrer un visa d'entrée sur son territoire français à Joseph François Bozizé alias Djodjo pour venir procéder au rassemblement des fauves évoluant en Europe pour le tournoi de la Zone 4 comptant pour l'Afrobasket 2013.

Le visa sollicité a aussi été refusé à Oumarou Sanda, Secrétaire Général de la dite fédération qui devrait piloter le rassemblement des fauves en France puisque Frédéric Goporo le DTN choisi par Djodjo Bozizé a refusé de prendre ses fonctions et n'est jamais descendu à Bangui depuis sa nomination vu que les conditions qu'il a posées pour remplir sa mission n'ont pas été satisfaites à ce jour.

L'avenir s'assombrit donc de jour en jour pour le Basket centrafricain qui risque l'élimination lors de ce tournoi, ce qui serait inédit puisque c'est la RCA qui est le pays hôte. Djodjo voulait donc se servir de la couverture de la fédération pour revenir en France sur les lieux de ses crimes, narguer les autorités françaises en faisant étalage de sa puissance et sa richesse devant ceux-qui jadis, l’ont malmené. Il n’a pas toujours compris qu’il est grillé en France pour un bon moment. Heureusement, il y a une justice.....

Il ne sert à rien, sachant qu’il est définitivement cramé en France en raison de ses nombreux faits de délinquance caractérisée, que Djodjo Bozizé ait fait tout ce forcing pour s’emparer de la présidence de la Fédération de Basketball. Non seulement il est venu souiller l’honneur et le prestige du basket centrafricain mais on voit maintenant où il voulait en venir. C’était d’utiliser le titre et la Fédé pour tenter de revenir faire le malin en France. C’est peine perdue…

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 22:59

 

 

 

 

entête MLPC 2012

 

DECLARATION

relative au recrutement dans les Forces Armées Centrafricaines

et à l’organisation des concours et examens nationaux

 

        Le Bureau Politique du Mouvement de Libération du Peuple Centrafricain (MLPC), conformément aux dispositions de l’Ordonnance n°005.007du 02 Juin 2005 relative aux Partis politiques et au Statut de l’Opposition a l’honneur de déclarer ce qui suit :

la restructuration des forces de défense et de sécurité dont le renforcement des effectifs constitue un volet donne lieu, depuis le 15 mars 2003, à une volonté manifeste du Général François Bozizé et de son fils Francis, les seuls en charge de la sécurité en Centrafrique, de privatiser ces forces tout en s’enrichissant de façon éhontée au passage.

 

          C’est ainsi qu’après les recrutements dans la Police et la Gendarmerie en 2010 et 2011, ceux au profit de l’Armée pour cette année 2012 ont permis non seulement de mettre à nu l’incapacité de ces deux hauts responsables de l’Etat – dont l’un agit sous serment constitutionnel – à conduire de façon sincère, neutre et désintéressée une telle réforme mais surtout leur incurie et leur collusion avec les caciques du parti KNK, du régime, du clan et de l’ethnie du général François Bozizé.

 

          Peut-on expliquer autrement que par l’incurie que pour seulement environ Huit cent (800) recrutements à faire, plus de Neuf mille (9.000) dossiers et leurs frais afférents fixés à 5.000 Fcfa aient été acceptés ? A ces frais officiels, il faut rajouter ceux plus officieux d’un montant élastique variant entre 50.000 à 200.000 Fcfa perçus par celles et ceux qui se sont engagés à garantir le recrutement de certains poulains.

 

         A l’arrivée, c’est donc très logiquement que cette opération qui s’est révélée être une arnaque d’une ampleur sans précédent a débouché sur les manifestations qui ont atteint leur point d’orgue le jeudi 2 août 2012, d’abord à l’Ecole de la gendarmerie à Kolongo dans le 6ème arrondissement de Bangui, puis au Jardin du Cinquantenaire dans le 4ème arrondissement où le buste du Général François Bozizé a été déboulonné et enfin dans le 7ème arrondissement où la maison d’arrêt a été ouverte et pillée, permettant l’évasion de tous ses pensionnaires.

 

          Ces événements pourtant prévisibles vont surprendre les tenants du pouvoir et plus particulièrement le Ministre Délégué à la Défense dont la montée en première et la déclaration irresponsable le soir même des événements apparaît à bien des égards comme un aveu de culpabilité et l’offre de sortie de crise qu’il a fait comme un marché de dupes.

 

        Il n’en fallait pas tant pour que sa maman, depuis Paris, lui emboîte le pas à travers une déclaration relayée par la Ministre des Affaires Sociales. Cette déclaration prie les manifestants d’arrêter les casses et enjoint le gouvernement d’ouvrir immédiatement un dialogue avec ces derniers en vue de rétablir la paix.

 

         Cette auto-intrusion de la Première Dame dans la gestion des affaires de l’Etat confirme d’une part la méconnaissance de son rôle et met en évidence sa vision maternelle et donc familiale au sommet de l’Etat d’autre part.

 

      Toutefois, il importe de noter que tout cela se passe devant un silence coupable et gêné du Chef Suprême des Armées et Ministre de la Défense le Général François Bozizé dont le fils Francis Bozizé donne, à travers cette crise qu’il a engendrée, toute la mesure de son incapacité à diriger ce secteur.

 

       Cette affaire de recrutement dans l’armée et des incidents qu’elle a engendrés a au moins le mérite de mettre sur la place publique la gestion clanique que le régime du Général Bozizé fait des concours et examens nationaux depuis le 15 mars 2003.

 

        Il est à craindre que prochainement l’organisation des concours et examens à venir, notamment le baccalauréat, et les nombreux mécontents qu’elle fait débouche sur des manifestations similaires sur l’ensemble du territoire national si un terme n’est pas immédiatement mis aux pratiques mafieuses et iniques tendant à ne favoriser que les ressortissants de l’ethnie du Président François Bozizé et pour leurs auteurs à s’enrichir.

 

          Le Mouvement de Libération du Peuple Centrafricain (MLPC) qui se bat aux côtés des couches populaires et laborieuses pour l’amélioration de leurs conditions de vie, leur sécurité et la paix fait de la justice et de l’égalité des chances son crédo.

 

         Pour le MLPC donc, la mission première des forces de défense et de sécurité en général, celle de l’Armée nationale en particulier – dans le contexte qui est celui de la République Centrafricaine aujourd’hui – est une question tellement sérieuse et sensible pour être traitée uniquement par papa, maman et le fils qui, par leur comportement, font des Centrafricains leurs otages et de l’Armée nationale leur propriété.

 

En conséquence de tout ce qui précède, le Bureau Politique du MLPC :

-          dénonce l’arnaque en bande organisée conduite par le Ministre Délégué à la Défense contre la Jeunesse centrafricain à travers une opération pompeusement appelée « recrutement dans l’armée nationale » ;

-          demande l’annulation pure et simple de ce recrutement véritable source de menace à la paix et à la cohésion sociale ;

-          exige la mise en place d’une véritable politique  de l’emploi au lieu de faire du recrutement dans l’armée une alternative à cette politique ;

-          dénonce l’intrusion intempestive de la Première Dame dans cette crise ;

-          condamne l’attitude coupable du Président de la République, Chef Suprême des Armées qui par ce fait viole son serment et se rend passible d’une traduction devant la Haute Cour de Justice qu’il renonce à mettre en place depuis 2005 ;

-          exige l’ouverture d’une enquête parlementaire sur cette affaire ;

-          exige la mise en place d’une Commission Nationale de Recrutement ;

-          exige le remboursement intégral et immédiat à tous les candidats des frais de dossier et frais annexes officieux versés par ceux-ci ;

-          apporte tout son soutien à cette frange de la jeunesse centrafricaine désespérée par le chômage et dont le Général François  Bozizé, son fils et son épouse abuse.

 

                                                                                   Fait à Bangui, le 6 Août 2012

 

signature JGE Koyambounou

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 22:48

 

 

 

 

Boziz--31-d-c-07.jpg

 

Tout se passe comme si Bozizé est en train de fuir les odeurs de ses chiures en presque 10 ans de pouvoir en République Centrafricaine. Comme le chat cache sa chiures après s’être déféqué en la couvrant de sable, Bozizé fuit le courroux de la jeunesse centrafricaine et le ras-le-bol du peuple centrafricain qui l’a déjà vomi après tant d’années aux affaires publiques sans contenu, pour aller fêter dans un autre pays. Il doit savoir que tout ce qu’il va utiliser comme services dans ce pays hôte est fruit du dur labeur d’un peuple.

Mais le temps est venu. Les plumes ont fait couler beaucoup d’ancre. Les bouches ont fait couler beaucoup de salive. Maintenant le peuple est sur le point de dire NON. La fin de règne de Bozizé a sonné. Le glas de son prochain départ en exil est imminent. La fête de l’indépendance de la République Centrafricaine qu’il va faire à Paris en France avec la diaspora bozizéenne c'est-à-dire sa diaspora et non celle de la République Centrafricaine est un signe avant-coureur de son éviction du pouvoir. Car l’on ne peut pas se dire Etat souverain et se permettre de fouler aux pieds cette liberté acquise au prix du sang de tout le peuple centrafricain du Nord au Sud et de l’Ouest à l’Est, sous la tyrannie et des traitements inhumains. Cette conquête pour la liberté et la souveraineté pour laquelle feu Président fondateur Barthélémy Boganda a couronné par son sang. J’observe un d’une minute silence en mémoire de ces illustres disparus pour lesquels j’ai une pensée pieuse sur cette terre d’exil où je suis et je vis à cause de la liberté et la dignité humaine et j’entonne l’hymne national :

 

LA RENAISSANCE

Ô Centrafrique, Ô berceau des Bantous !

Reprends ton droit au respect, à la vie !

Longtemps soumis, longtemps brimé par tous,

Mais de ce jour brisant la tyrannie.

Dans le travail, l'ordre et la dignité,

Tu reconquiers ton droit, ton unité,

Et pour franchir cette étape nouvelle,

De nos ancêtres la voix nous appelle :

Au travail dans l'ordre et la dignité,

Dans le respect du droit, dans l'unité,

Brisant la misère et la tyrannie,

Brandissant l'étendard de la Patrie.

 

E ZINGO


Bêafrîka, mbeso tî âBantu

Kîri mo gbû gîgî tî mo-mvenî

Mo bâa pâsi na gbe tî âzo kûê

Me fadësô, mo ke na kürü gô

Mo sö benda, mo bûngbi kûê ôko

Na kusâra ngâ na nëngö-terê

Tî tö ndâ tî finî dutï tî ë sô

E mä gbegô tî_âkötarä tî ë

E gbû kua nzönî na nëngö-terê

E kpë ndiä nzönî na mängö-terê

E kinda wasïöbê, ë tomba pâsi

E yâa bandêra tî ködrö tî ë!      

 

Quelle honte pour Bozizé de se permettre d’aller célébrer une fête nationale sur la terre d’autres ancêtre ! Cet hymne qui sera fredonné  en présence de l’étendard de la patrie en République Française. Oh c’est fini pour le peuple centrafricain avec le stupide de Bozizé qui sonne la cloche de l’humiliation du citoyen centrafricain. Comme si toutes les gaffes commises au Sommet de l’Etat ne suffisent pas, il faut encore expatrier une fête qui fait la fierté de la population centrafricaine et lui rappelle les souvenirs de ses frontières. D’ailleurs nous autres, exilés et de la vraie diaspora centrafricaine, lorsque nous faisons cette commémoration hors de nos frontières, de nos terroirs pour de raisons diverses d’une personne à un autre, nous ressentons une fierté nationale. Même le peuple israélite déporté hors de ses frontières à Babylone sous le roi Naboukodosor, n’a pas oublié ses racines puisque lorsqu’il chante et prie les psaumes, il se souvient de ses racines Sion (Cf Baruch 1 et suivants). Mais quel déshonore pour un Président de la République de se rendre dans un autre pays pour célébrer la mémoire de ses martyrs et cette diaspora qui s’attire cette bassesse ! Quel serait le plaisir de cette diaspora à qui le Président fait l’honneur de les faire revenir au pays afin d’honorer nos martyrs !

Oui, je remercie Bozizé puisqu’il donne la preuve ici que la liberté du peuple centrafricain est encore loin de voir le bout du tunnel. Les jeunes sont descendus dans les rues pour manifester leur mécontentement suite un concours d’entrer dans les rangs des Forces Armées Centrafricaines (FACA), comme si Bozizé, pour former sa rébellion composée pseudo libérateurs, il a besoin d’organiser un concours ; encore plus faire payer des frais à ses combattants. Qu’il n’ignore pas que de la même que cette jeunesse que l’on pensait dupe, que l’on pensait amorphe, que l’on pensait inapte, ne l’est plus. De la même manière que les jeunes ont vendu leurs âmes, bravant ses ceintures de sécurité et les manœuvres d’intimidation de toutes formes pour manifester leur ras-le-bol, ils te feront partir du pouvoir. Le spectre de la victoire de la jeunesse n’est pas loin.

Tenez, la douleur, la galère que vit la jeunesse centrafricaine dans sa chair, dans ses os, dans son âme et esprit ne sont pas à comparer avec ce que vit la diaspora. Cette jeunesse est au front devant les armes de Bozizé et son armée tournées contre le peuple. Qu’on cesse de se comporter comme des moutons de panurge ou de jouer ce jeu qui ne grandit personne. Si Bozizé a des comptes à rendre, c’est à la jeunesse centrafricaine. Ce n’est nullement à cette diaspora qui devrait d’ailleurs dire NON et rabrouiller Bozizé et sa suite au front avec la jeunesse. Nous savons qu’il use de toutes les stratégies pour la diviser afin de régner. Mais s’il veut jouer au Bachar El Assad de Centrafrique, la jeunesse ne lui lâchera pas prise. ADIEU BOZIZE. Wait and see…

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 13:34

 

 

 

 

 

Ziguélé. s'adresse aux militants du quartier Yas-copie-1

Vendredi, 10 Août 2012 08:44

De retour au pays après un séjour relativement long en France, le Président du Mouvement de Libération du Peuple Centrafricain Martin Ziguélé fait le point de la situation du pays dans une interview sur Radio Ndéké Luka

Lien pour écouter l’interview :

http://radiondekeluka.org/templates/fh_rnl/wp_popup.php?soundFile=http://radiondekeluka.org/audio/2012-08-10invite.mp3&title=Martin%20Zigu%C3%A9l%C3%A9

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 12:59

 

 

 

afp patasse

Radio Ndéké Luka Jeudi, 09 Août 2012 13:51

Le Mouvement de Libération Démocratique MLD vient de démissionner ce 6 août 2012 du Front pour l’Annulation et la Reprise des Elections de 2011 (FARE-2011).

La décision a été prise au cours d’une assemblée générale tenue par les militants de ce parti politique issu de la tendance du défunt président de la République Ange-Félix Patassé.

Interrogé sur le sujet par Radio Ndeke Luka, Jacques Boniba, président de cette mouvance s’est justifié en ces termes : « le MLD avait fait partie du FARE-2011 en tant qu’un comité de soutien pour l’annulation effective des élections du 23 janvier 2011. Or il s’avère qu’au fil du temps, cette annulation ne pourrait en être question : le président de la République et les institutions issues de ces consultations populaires sont en place. Face à cette situation, il a fallu entamer un dialogue ».

Aussi, a-t-il poursuivi, « nous avions enregistré des divergences politiques entre notre parti et celui du Mouvement de Libération du Peuple Centrafricain (MLPC). Car, le MLPC n’avait cessé de déclarer de manière intempestive que bon nombre de nos militants le rejoignaient ».

Quant à maître Nicolas Tiangaye, coordonnateur du FARE-2011 joint au téléphone par Radio Ndeke Luka,  il a répondu qu’« il n’a pas de déclaration à faire à ce sujet car, l’adhésion et le retrait du FARE-2011 sont libres, selon les textes statutaires du mouvement ».

 

NDLR : A un moment où la RCA est plus que jamais dans l’impasse et que le pouvoir bozizéen est complètement à bout de souffle, il est vraiment dommage que certains compatriotes et partis de l’opposition posent des actes pour affaiblir celle-ci apportant ainsi de l’eau au moulin de Bozizé. Ce n’est pas parce que le pouvoir issu des consultations populaires frauduleuses de janvier 2011 est bien en place que celui-ci est légitime. Quand des élections sont volées, jusqu’au bout, le pouvoir qui en résulte est illégitime. Le MLD vient de trahir sa mémoire et est indigne de l’héritage de feu Patassé dont il se réclame.Un détail qui prouve que le MLD fait fausse route, c'est d'adresser à Bozizé une ampliation de sa démission du FARE-2011. Tout un symbole ! 

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 12:36

 

 

 

 

Bozizé Y 

 

Il est bien établi que le ridicule ne tue pas et qu'il ne faut pas se moquer des morts. La fumée de l'information qui a circulé depuis deux ou trois jours sur le déplacement de l'homme fort de BANGUI pour célébrer le 13 AOUT avec la diaspora centrafricaine de FRANCE a fini par se transformer en feu. Par un communiqué de presse non daté, le chargé de mission de  la diaspora a rendu officielle cette délocalisation.

 

Pour ne pas faire ce que certains prendraient pour de la surenchère, en effet, il n'y a qu'en CENTRAFRIQUE qu'on peut initier une telle pratique. Les souvenirs de la période où le berceau de BOGANDA s'était transformé en EMPIRE CENTRAFRICAIN  constitue une des preuves indélébiles.

 

Quel centrafricain de cette époque n'était pas couvert de honte au seul fait de se présenter à autrui sous les termes de ressortissant de l'EMPIRE CENTRAFRICAIN ? Bref ! Partout ailleurs, aucun chef d'État n'a quitté son pays pour aller célébrer la fête nationale ailleurs, sous le prétexte de le faire avec ses compatriotes du lieu. Quand il y a eu des événements majeurs, on a vu des ministres se déplacer au nom du chef de l'État pour honorer de leur présence l'amour, la proximité du pays avec les ressortissants concernés. Le chef de l'État peut effectuer le déplacement, mais à une date décalée de celle d'une célébration nationale.

 

Que vient donc faire à PARIS l'homme fort de BANGUI un 13 AOUT ?

 

Au moment où l'ex-président du BURUNDI, médiateur  de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) arrive à BANGUI à la tête d'une délégation chargée de s'enquérir de l'évolution de la situation politique sécuritaire en CENTRAFRIQUE, après que le chef de l'État du TCHAD ait fait un passage  dans la même ville de BANGUI pour convaincre son homologue centrafricain  de la nécessité d'un dialogue avec les partis politiques de l'opposition pour sortir de l'impasse dans laquelle est plongé le CENTRAFRIQUE, et quand on sait qu'à cause d'une très mauvaise gouvernance mêlée de désaccords relationnels, des ministres ont été démis sans être remplacés au pied lever, il ne faut pas aller plus loin pour comprendre pourquoi l'homme fort de BANGUI fait le déplacement à PARIS. Il a usé toutes ses cartouches de BANGUI au point où, ne pouvant plus prendre ses sœurs, ses tantes, ses frères, ses oncles, ses filles et même ses « amies » pour en faire des ministres, il est obligé de courir à PARIS, avec l'espoir d'y trouver des opportunistes prêts à l'accompagner dans sa campagne de destruction du CENTRAFRIQUE.

 

Quelle âme encore sensée peut accepter de collaborer avec celui qui se montre indifférent aux souffrances des siens ?

 

Si l'homme fort de BANGUI n'était pas indifférent aux souffrances de ses frères centrafricains, c'est à BANGASSOU,  BIRAO, NDELE, KAKA-BANDORO pour ne pas parler de GAMBOULA, PAOUA ou SIBUT qu'il se serait rendu, pour partager la misère de ces populations désemparées et faire la preuve qu'il est leur digne père.

 

Quand une vingtaine de centrafricains meurent d'accident de route dans la région de la LOBAYE, l'homme fort de BANGUI s'est-il rendu sur les lieux ou a-t-il dépêché un de ses obscurs ministres pour s'enquérir de la situation ?  Déjà n'est-il pas incapable de savoir qu'à BANGUI même, des rues sont impraticables à cause des ponts effondrés ? Sait-il que la malnutrition ronge quotidiennement ces pauvres âmes de centrafricains dont il se prétend être le président, le père ?

 

Les centrafricains de FRANCE doivent comprendre que la danse du ventre de l'homme fort de BANGUI ne doit nullement les charmer. Aller à son banquet c'est aller boire le sang de ceux qui, parmi nos parents,  ont perdu leurs vies sur les routes, sous l'attaque des pirates de route ou tout simplement parce que l'équipe gouvernementale de ce pays n'a pas pu leur donner le cachet qui leur aurait permis d'éviter de succomber à leur maladie.

 

Les problèmes d'une nation ne se règlent pas à l'étranger, à moins que la grande FRANCE soit devenue une préfecture ou une sous-préfecture du « pauvre » CENTRAFRIQUE. Le linge sale se lave en famille dit-on. Et quand on parle de famille, c'est d'un cadre bien défini, avec toutes les âmes qui le peuplent. Et le cadre familial des centrafricains, c'est le sol centrafricain. Que l'homme fort de BANGUI ouvre à BANGUI, de vrais pourparlers avec tous les partis politiques et la société civile de CENTRAFRIQUE (les volontaires de la diaspora ne sont pas exclus) pour sortir de l'impasse dans laquelle lui-même a jeté le pays. Et ce ne sera pas en organisant une rencontre avec la diaspora qu'il résoudra le problème. De toutes les manières, les choses ont toujours été aussi claires qu'on saura et qu'on verra, après coup,  ceux qui décideront de continuer à saccager ce pays, en acceptant de donner main forte à une politique qui ne conduit uniquement qu'à la ruine de toutes nos ressources, tant humaines que naturelles. Une bonne partie de ceux qui ont cru devoir collaborer avec l'homme fort de BANGUI, avec pour certains ( dont on ne citera pas les noms ) de bonnes intentions, ont eu à en subir l'amère expérience.

 

LE CENTRAFRIQUE MERITE MIEUX ET A BESOIN DE SE REDRESSER, IL FAUT POUR CELA UN CHANGEMENT DE POLITIQUE, QUI PASSE PAR LA TRANSPARENCE ET LE CONSENSUS.

 

KODRO TI I A BOUBA MINGUI

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 03:05

 

 

 

 

 

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Quotidien Mutations Par Ariane Cécile Mbock, 6 Août 2012

124 stagiaires ont reçu des parchemins à Awaé vendredi dernier après une formation d'un mois.

Une fois de plus le Centre de perfectionnement aux techniques de maintien de l'ordre a honoré sa vocation sous régionale. Il a procédé à la cérémonie de clôture de la formation d'un contingent de 124 stagiaires gendarmes, tous centrafricains arrivés en fin de formation.

C'était vendredi dernier, le 3 août 2012, à Awae dans le département de la Mefou et Afamba. Cette cérémonie de clôture de la formation d'une unité de sécurité intérieure centrafricaine, a été présidée par le général de brigade et commandant de l'Ecole internationale des forces de sécurité, Hamadiko Mohamadou.

Le colonel Abel Melemokosso, attaché de défense et représentant de l'ambassadeur de la République centrafricaine y était aussi. Le lieutenant-colonel, Nkoa Malla Valère, commandant le Centre de perfectionnement aux techniques de maintien de l'ordre, a prononcé un mot de bienvenue et a procédé à la présentation du stage. Ce stage avait pour objectif de former les stagiaires à lutter contre les troubles à l'ordre public et le grand banditisme.

Pendant ce stage effectué pendant quatre semaines, il leur a été appris la psychologie du commandement, la réaction à avoir à l'affront d'un gang et la gestion du stress lors d'une opération.

Cette présentation du stage à été enrichie par une démonstration de la formation faite par les stagiaires. L'assistance a été conduite vers le « village du maintien de l'ordre » (appelé Village Mo) où s'est effectuée la démonstration.

Dans une mise en scène bien organisée, il était prévu une protestation par un groupe de personnes revendiquant leurs salaires qui ne leur ont pas été versés depuis des mois. Alors, sur les pancartes on pouvait lire des slogans tels que : « payez nous ! », « trop c'est trop ! », « on veut mieux vivre ! »

Ces manifestants étaient armés de machettes et de gourdins. Tandis que d'autres posaient des barricades sur la route. Les forces de l'ordre ayant reçu l'alerte, sont descendues sur le terrain pour essayer de disperser les manifestants, qui à leur tour ripostaient par le jet de pierres.

Ces manoeuvres simulées avaient pour finalité de démontrer comment doivent se comporter les forces de l'ordre face à des manifestants armés sans toutefois attenter à leur vie.

Après cet exercice, le général de brigade Hamadiko Mohamadou, dans son allocution, a tenu à dire aux stagiaires que « si les connaissances acquises ne sont pas entretenues, elles seront à jamais perdues ».

Le représentant de l'ambassadeur de la République centrafricaine et attaché de défense, le colonel Abel Melemokosso, est convaincu que les éléments ont bien été formés et seront utiles à leur pays face aux menaces grandissantes. Arrivé en fin de formation, Paulin Badakara est un homme heureux de sa formation au moment où il s'apprête à regagner son pays.

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