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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 00:49

 

 

 

Bozizé en Chine

 

 

Li Keqiang assistera à un forum commercial et économique international à Yinchuan (nord-ouest)


BEIJING, 10 septembre (Xinhua) -- Le vice-Premier ministre chinois Li Keqiang assistera à la cérémonie d'ouverture d'un forum commercial et économique international qui aura lieu à Yinchuan, capitale de la région autonome Hui du Ningxia (nord-ouest).

 

La Foire internationale de l'investissement et du commerce de Chine (Ningxia), ainsi que le 3e Forum économique et commercial entre la Chine et les pays arabes, se tiendront du 12 au 16 septembre à Yinchuan.

 

Plusieurs dirigeants étrangers, dont le président centrafricain, François Bozizé, le président des Etats fédérés de Micronésie, Emanuel Mori, et le Premier ministre de Papouasie-Nouvelle-Guinée, Michael Thomas Somare, assisteront à la foire sur l'invitation du comité d'organisation.

 

 

 

Li Keqiang met l'accent sur le nouveau partenariat stratégique sino-africain lors de sa rencontre avec le président centrafricain


2012-09-11 20:13:24 (xinhua) - Le vice-Premier ministre chinois Li Keqiang a annoncé ce mardi à Yinchuan (la capitale de la Région autonome Hui du Ningxia) que la Chine veut renforcer la confiance politique mutuelle, dynamiser la coopération économique et commerciale et promouvoir les échanges culturels et humains avec tous les pays africains, dont la République centrafricaine. Il a souligné que le gouvernement chinois envisage d'élever le nouveau partenariat stratégique sino-africain via la coordination et le soutien mutuel.

 

Le vice-Premier ministre chinois a fait ces remarques lors de sa rencontre avec le président centrafricain François Bozizé, venu participer à l'ouverture du troisième Forum économique et commercial sino-arabe.

 


 

NDLR : La RCA est-elle devenue un pays arabe ? Un président de République qui s’entretient avec un vice-premier ministre ! Avec Bozizé, on aura tout vu.

 

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Centrafrique-Presse.com - dans Relations Internationales
12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 00:16

 

 

 

femme-forme-ivoirienne.jpg

 

 

 

http://www.lepopulaire.fr  11/09/12 - 19h24


Mis en examen pour viol et agressions sexuelles sur mineur de 15 ans et sur mineurs de plus de quinze ans, un prêtre de Riom, âgé de 43 ans, a été placé en détention provisoire, jeudi 6 septembre, à Saint-Etienne.

Pour ces faits qui se seraient déroulés en Centrafrique entre 2007 et juillet 2010, où il avait été envoyé comme prêtre, il s’est lui-même dénoncé à la justice, sur les recommandations de l’archevêque de Clermont, Mgr Hippolyte Simon. Et ce, en adressant un courrier au procureur de la République de Clermont le 31 janvier 2011, six mois après son retour en France, en juillet 2010.

 

Saisi en avril 2011, l’Office central pour la répression des violences aux personnes basé à Nanterre, a mené une longue investigation en Centrafrique. Elle aurait permis d’identifier trois victimes, des mineurs, dont une victime de viol.


Le prêtre a été entendu par les enquêteurs le mardi 4 septembre dernier. Placé en garde à vue 48 heures durant, au cours desquelles il a confirmé les faits, il a été transféré à Clermont-Ferrand, le jeudi, devant un juge d’instruction, puis un juge des libertés et de la détention, qui a décidé de le placer en détention provisoire. Vendredi dernier, son avocat a fait appel de cette ordonnance de placement en détention provisoire.

 

Prêtre dans la diocèse de Clermont depuis 1995, à Issoire d’abord puis à Clermont où il s’est occupé des aumôneries des jeunes, il était prêtre coopérateur à la paroisse Notre-Dame des Sources au Pays Riomois depuis le 1er septembre 2011. Les paroissiens ont été avertis, le week-end dernier, de la procédure visant ce prêtre à travers un communiqué du diocèse de Clermont, lu au cours des offices.

 

Dans ce communiqué, l’Eglise rappelle que, depuis l’envoi par le prêtre de sa lettre de dénonciation, « la justice est saisie de l’affaire. C’est à elle et à elle seule qu’il appartient de se prononcer ».

 

« Durant ces deux années, explique le diocèse de Clermont, il est d’abord resté un an à Paris, sans avoir de ministère actif, et il a commencé un accompagnement personnel pour surmonter ses difficultés. Mais en attendant que la justice se prononce, le diocèse a respecté la présomption d’innocence, en tenant compte du fait que ce prêtre avait lui-même procédé à une démarche personnelle en alertant la justice ». D’où la décision de le nommer le 1er septembre 2011 dans la paroisse de Riom, sous l’autorité d’un curé considéré comme « solide ».


« Il faut que nous disions la vérité tout le temps, et que nous restions toujours crédibles parce que nous ne l’avons pas caché », justifie Mgr Hippolyte Simon, en indiquant l’avoir « nommé il y a un an dans le respect de la présomption d’innocence. Si je ne l’avais pas fait, on m’aurait demandé pourquoi. On m’aurait demandé s’il n’était plus libre de confiance ».


« Il faut le juger sur les actes », insiste l’archevêque de Clermont, en précisant qu’il s’agit d’une affaire de « droit commun », convaincu que l’Eglise a fait tout ce qu’il était possible pour l’aider à trouver la paix intérieure. « Je souhaite que la justice fasse son travail équitablement en tenant compte qu’il a pris les devants », conclut Mgr Hippolyte Simon.

 

Plus d'informations dans La Montagne du 12 septembre


Cécile Bergougnoux et Cédric Gourin

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Centrafrique-Presse.com - dans Annonces et divers
11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 22:31

 

 

 

 

Une embuscade de la LRA tue 1 FACA à Obo


 

RCA sud Est

 

 

Radio Ndéké Luka Mardi, 11 Septembre 2012 14:30

 

1 élément des Forces Armées Centrafricaines (FACA) tué et 5 autres grièvement blessés au village Gbandji situé à 160 kilomètres de Obo (est). C’est le bilan d’une embuscade tendue le 10 septembre 2012, par les rebelles de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) contre le convoi de 4 véhicules des FACA en provenance de Bangui. Un convoi qui part en complément d’effectif aux autres forces loyalistes en pleine traque des éléments de Joseph Koni, sous mandat d’arrêt international.


Selon le correspondant de Radio Ndeke Luka qui a relayé l’information ce mardi, après plusieurs échanges de tirs, les assaillants se sont aussitôt retranchés dans la brousse où ils sont basés.


Un témoin de l’évènement, que la Rédaction de Radio Ndeke Luka a joint depuis Zémio dans la mi-journée, a raconté que « l’attaque a eu lieu à 25 kilomètres de Zémio (est) alors que le convoi militaire se dirigeait vers Obo. Elle a d’abord visé le 1er véhicule qui est celui du commandant de la troupe, avant d’atteindre les 3 autres ».


« L’équipage a donc essuyé des tirs nourris. Plusieurs cas de chocs ont été soldés par 1 mort et 5 blessés. Les victimes, dont la mort, ont été ramenées à Zémio. 3 des blessés seront évacués à Bangui et 2 resteront surplace », a-t-il déclaré.


Le même témoin a aussi indiqué que « samedi dernier, 2 chasseurs sur 3 ont été tués au même endroit par ces hors la loi. L’un d’entre eux qui avait eu la vie sauve, avait alerté le village. Et les villageois avaient effectué un déplacement sur les lieux et ont ramené les corps pour inhumation ».


Il faut dire la LRA a intensifié ces derniers temps ses attaques suite à une offensive de la Force tripartite le 24 août dernier contre la base de leur numéro III, Dominic Ongwen, responsable des opérations militaires. L’attaque avait complément détruit ladite base et dispersé les rebelles dans la forêt du Haut Mbomou (est).


Le 1er septembre dernier 52 personnes prises en otage lors des attaques perpétrées par la LRA aux villages Mabingué, Balifondo et Zombo Mbari dans la circonscription de Bangassou II ont été libérés. Une libération initiée par les rebelles eux-mêmes, après que leurs otages leur aient servis de porteurs de butins de leur forfait.


Cela fait plus de 4 ans que les rebelles de la LRA tuent, pillent, violent les populations de l’Est de la République Centrafricaine. Des exactions commises malgré l’intervention des Forces centrafricaines, ougandaises et américaines dans la région.

 

 

La RCA alertée contre la fièvre hémorragique Ebola


Radio Ndéké Luka Mardi, 11 Septembre 2012 14:37

 

 « La fièvre hémorragique Ebola se trouve actuellement à la porte de la République Centrafricaine mais elle n’est pas encore signalée dans le pays ». C’est ce que déclare le Chef de Service de la Surveillance Epidémiologique au ministère centrafricain de la Santé Publique, Dominique Senekian, ce 11 septembre à Radio Ndeke Luka.


Selon cet épidémiologiste centrafricain, la présence du virus Ebola a été signalée dans deux pays situés à quelques milliers de kilomètres de la République Centrafricaine et que celle-ci se trouve en situation d’alerte. Il précise que des cas de la fièvre hémorragique dus au virus de Ebola ont été signalés en Ouganda et en République Démocratique du Congo en juillet dernier.


De par sa position géographique avec la RDC, la RCA se trouve dans une situation d’alerte principalement dans le sud du pays. Malgré ses accointances frontalières avec le Congo Démocratique, « jusqu’ici, aucun cas de fièvre hémorragique virale n’est déclaré en Centrafrique », rassure l’épidémiologiste, Dominique Senekian.


Toutefois,  il recommande à la population d’avoir un comportement préventif mais surtout, d’être en mesure de reconnaitre les symptômes de la fièvre hémorragique de Ebola. Ce responsable sanitaire souligne de plus que c’est  une maladie très grave, qui se manifeste par une fièvre, des céphalées et par des lombalgies. Au bout d’un temps,  elle peut aussi se présenter par des saignements au niveau des orifices naturels comme le nez, la bouche et la voie anale.


Or, « si la contagion n’est pas maîtrisée à temps, elle risque de s’étendre aux pays voisins dont la Centrafrique. La récurrence des épidémies dans la région est liée à l’absence de traitements antiviraux efficaces et à la permanence de certaines pratiques rituelles », a signalé le site la croix.com le 31 juillet dernier.


Le Ministère Centrafricain de la Santé Publique a laissé entendre il ya moins de 3 mois que des dispositions de surveillance des épidémies efficaces ont déjà été prises. Seulement, il faut que les centrafricains évitent de toucher ou de consommer les animaux retrouvés morts dans la brousse. Aussi, de se laver les mains avant de manger quoi que ce soit pour ne pas être en proie à cette maladie.


Il est à rappeler que,  l’origine précise d’Ebola reste jusqu’aujourd’hui un mystère pour les biologistes. Il a été identifié pour la première fois en 1976 après la survenue d’épidémies importantes au Soudan et dans le nord du Zaïre (actuelle RDC).

 

 

 

Un milliard FCFA pour entretenir le Bassin Congo-Oubangui-Sangha


Radio Ndéké Luka Mardi, 11 Septembre 2012 14:35

 

Les 5 ministres des pays membres de la Commission Internationale du Bassin Congo-Oubangui-Sangha (CICOS) ont arrêté à hauteur de 1 milliard 535 million de francs CFA (environs 2339939,02 euros),  le budget pour des travaux en 2013. Ce fonds a été décidé lors d’un atelier qu’ils ont tenu à Bangui ce 10 septembre.


Cette somme servira à l’entretien du régime fluvial commun du Bassin Congo Oubangui-Sangha et aussi à la réalisation de quelques projets de la CICOS en marge de  l’année 2013. Ledit atelier s'inscrit dans le cadre de la réforme organisationnelle de la CICOS qui se fait chaque année dans l’un des pays membres.

Ont pris part à cet atelier, au siège de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), les 5 ministres, quelques experts des pays concernés et des bailleurs de fonds.


La rencontre a également permis aux participants de choisir un nouveau président pour  le relais de la gestion des travaux arrêtés pour le compte de l’année prochaine. Il s’agit du ministre congolais Martin Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, qui a été choisi par ces pairs comme président en exercice de la CICOS.

 

Son homologue centrafricain, Léopold Mboli Fatran, le président sortant, s’est dit satisfait du déroulement de ces travaux. «  Ma satisfaction est due à la réussite de la mission que la République Centrafricaine a effectuée avec tact. Aussi du fait que la Centrafrique vient de passer le relais à la République du Congo », a conclu le président sortant de la CICOS.


Il convient de rappeler que la question des arriérés de contribution de certains pays membres de ladite institution a été aussi débattue au cours de cette rencontre. La prochaine session aura lieu en 2013 au Congo Brazza.


La Commission Internationale du Bassin du Congo Oubangui et de la Sangha (CICOS) se propose d’assurer la gestion durable des bassins du Congo, de l’Oubangui et de la Sangha. Elle a aussi pour mission d’accompagner  les quatre pays membres qui la composent afin de réduire la pauvreté et d’atteindre les objectifs du milliaire pour le développement.

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Centrafrique-Presse.com - dans Nation
11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 22:24

 

 

 

 

Réseau des journalistes pour les Droits de l’homme en République Centrafricaine (RJDH-RCA)

 

 

 

Zémio : Une attaque de la LRA fait un mort et sept blessés

 

 

Kony fri

 

Zémio, 11 sept. (RJDH)–Un élément des Forces armées centrafricaines (FACA) a été tué et sept autres ont été blessés  dans une embuscade des éléments de la LRA de Joseph Kony, le lundi 10 septembre, à 35 kilomètres d’Obo (sud-est) sur l’axe Zémio. L’on ignore le bilan du côté de la LRA.


Les victimes faisaient partie d’un contingent d’une centaine d’hommes qui en provenance de Bangui où ils allaient installer la cinquième région militaire d’Obo. « Nous avions passé la nuit du dimanche  dans la ville de  Zémio, c’est lorsque nous avons repris la route le lendemain que nous sommes tombés dans une embuscade de la LRA, à 35 kilomètres de la ville », a témoigné un élément de FACA qui faisait partie du contingent et qui a requis l’anonymat.


La victime est une femme militaire. Elle a trouvé la mort après plusieurs échanges de tirs entre les deux forces. Son corps et les sept autres blessés  viennent d’être transférés à Bangui.


Depuis le début du mois de septembre on assiste à plusieurs attaques des éléments de Joseph Kony dans la région du sud-est de la République centrafricaine. L’Armée ougandaise avait signalé la présence du général, n°3 de la LRA, Dominic Ongwen dans la zone.

 


 

Kabo : 20 personnes attaquées et dépouillées par une bande armée

 

Kabo, 11 sept. (RJDH)–Une vingtaine de passagers remorqués sur sept taxi-motos ont été attaqués, le dimanche 9 septembre et dépouillés de tous leurs biens par un groupe d’hommes armés dans un village déserté, situé à 40 kilomètres de la ville de Kabo (nord). La population soupçonne les  éléments du groupe armé du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC), d’Abdoulaye Miskine.


D’après le témoignage d’un des conducteurs du taxi-moto, ces hommes étaient au nombre de six et détenaient tous des armes de marque Kalachnikov. « Quand ils sont sortis de la brousse, ils nous ont arrêtés  et nous ont conduits à quelques mètres dans la brousse. Ils nous  ont fouillés et ont  pris  tout ce que nous avions. On peut estimer à environ deux millions de FCFA, la somme qu’ils ont emportée. Les passagers qui voulaient résister ont été battus », a-t-il relaté.


La même source explique que les victimes de cet acte de banditisme ont été libérées par  deux éléments de Forces armées centrafricaines qui assuraient la sécurité d’un véhicule qui venait de la ville de  Moyen-Sido. Lorsqu’ils ont aperçu des motos  au bord de la route, ils se sont arrêtés, et c’est leur mouvement qui a fait disperser les malfrats.


D’après la population, ces hommes seraient  des éléments du FDPC qui se seraient retirés dans des  villages reculés pour braquer des personnes.

 


 

Kabo : Des routes en état de dégradation avancée

 

Kabo, 11 sept. (RJDH)–La  route qui relie la ville de Kabo et les autres villes du pays est en état de dégradation avancée avec  la pluie qui ne cesse de tomber sur la ville. Des centaines de passagers passent plusieurs jours en route avant de se rendre à Bangui vendre leur produits agricoles, parce que les véhicules sont souvent immobilisés dans la boue.


Il s’agit des véhicules qui assurent l’écoulement des marchandises, notamment des sacs d’arachide sur les marchés de Bangui. « Nous sommes en période de récolte, c’est malheureux de voir des personnes passer la nuit dans la brousse exposées à l’insécurité et à des maladies  », a déploré le sous-préfet de la ville de Kabo, Albert Mbongo, qui a effectué une descente sur les lieux.


Il a par ailleurs précisé que des demandes d’aide afin de réhabilité ce tronçon ont été lancées auprès des autorités compétentes, mais aucune réponse n’est encore donnée à cette préoccupation. L’axe Kabo-Ouandago a été réhabilité en 1984. Depuis cette date, il n’a connu aucun autre travail.

 


 

Bria : Des latrines et des puits améliorés en construction

 

Bria, 11 sept. (RJDH)–Au total 12  latrines  et  six  puits améliorés sont en cours de construction, à l’initiative de l’ONG ‘’Vitalité Plus’’, sur un financement de l’Unicef, dans les centres de santé et les écoles de quatre localités.


 Il s’agit des villages d’Awalawa, Mbiyi, Ngoulia et Yalinga situés respectivement  à  80, 90, 100 et 170 km de la ville de Bria. Le but de ce projet est d’améliorer l’accès de la population à l’eau potable et l’assainissement.


Le projet a été initié à cause du constat selon lequel les écoles et les centres de santé de ces localités manquent de latrines et de points d’eau. De sorte que les élèves se déplacent plus loin dans la brousse pour s’approvisionner en eau de source.


Pour le maire de la commune de Yalinga, Bernard Bangara« ce projet permettra de réduire sensiblement les cas de contaminations chez les élèves», car l’accès à l’eau potable et la pratique de l’hygiène de base restent un problème réel au sein de la communauté.


Une mission de suivi-évaluation du projet s’est rendue dans la région du 9 au 10 septembre. Le constat est que six latrines sur douze et un puits sur six ont été réalisés. Mais les travaux doivent être suspendus à cause de la saison des pluies qui rend les activités difficiles. Il faudra attendre la saison sèche pour reprendre les travaux.

 


 

Kabo : Deux personnes mortes dans un accident de circulation

 

Kabo, 11 sept. (RJDH)–Deux personnes ont trouvé la mort dans un accident de circulation de taxi-moto, le lundi 10 septembre, sur l’axe Ouandago-Kabo (nord).


D’après les faits rapportés, le conducteur remorquait un homme âgé de 40 ans et une femme d’une trentaine à destination de Ouandago, à 58 kilomètres de la ville de Kabo. En voulant éviter un obstacle, le conducteur du taxi-moto a perdu le contrôle du guidon ; c’est ainsi qu’ils se sont heurtés à un véhicule gros porteur, tombé en panne et stationné au bord de la route. Le conducteur et l’homme âgé d’une quarantaine sont morts sur le coup et la femme a été transférée à l’hôpital de Kabo pour des soins.


Le diagnostic du médecin révèle que les victimes ont succombé à des fractures au niveau du cou et du  crâne.

 


 

Bangui : Le comité de rapatriement des éléments de Baba-Laddé est mis en place

 

 

Baba-Ladde1

 

 

Bangui, 11 septembre 2012 (RJDH) – Un comité chargé du rapatriement des éléments de la rébellion tchadienne du Front populaire pour le redressement (FPR) vient d’être mis en place ce 11 septembre à Bangui. Composé de plusieurs entités, le comité a un mois pour organiser le retour de plus de 3000 ex-rebelles du FPR vers le Tchad.


Le comité est présidé par le médiateur de la République, Mgr Paulin Pomodimo, appuyés par  le Bureau intégré des Nations Unies en Centrafrique (Binuca), du Haut-commissariat des Nations-Unies  aux réfugiés (HCR) et du Comité international de la Croix-Rouge (CICR). D’autres institutions comme le ministère de la défense nationale, celui de la sécurité publique et également celui de l’administration du territoire appuierons le comité dans cette opération. La force multinationale de la CEMAC est chargée de son aspect pratique.


« Selon les documents signés à Ndjamena, l’opération ne doit pas excéder le délai d’un mois. Avec la conviction des entités impliquées dans ce processus, nous sommes convaincus que nous allons tenir ce délai », a affirmé Ferreira Firmhino, directeur de cabinet du médiateur de la République, interrogé par le RJDH.


Des appels ont été déjà lancés à l’endroit de ces éléments. Le directeur de cabinet du médiateur a affirmé que la ville d’Ippy a été choisie pour le regroupement de ces éléments. « Ndjamena a décidé de garantir la sécurité de tout le monde. Nous nous engageons également à assurer la réinsertion des centrafricains enrôlés dans cette rébellion. Ceux qui s’entêtent à rester dans la brousse pourraient être considérés comme des cibles militaires et encourir tous les risques », a-t-il prévenu.


Le comité va se réunir jeudi prochaine pour préciser les apports des entités impliquées dans le processus, leur modalité et le délai de réalisation des opérations de rapatriement des éléments de Baba-Laddé.

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Centrafrique-Presse.com - dans Dépêches
11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 18:27

 

 

 

Sans commentaires

 

 

 

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pont-Langbassi-un-an-apres-7.JPG

 

 

 

 

ci-dessous, le canal de SICA 3 obstrué de d'ordures et d'herbes folles

 

canal-SICA-3.JPG

 

 

 

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Centrafrique-Presse.com - dans Nation
11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 14:58

 

 

 

 

Autre preuve de l’incapacité et la démission totale du pouvoir de Bozizé à s’occuper des conditions de vie des Centrafricains, voici quelques images parlantes et consternantes de  la célèbre avenue de France de Bangui qui est sectionnée en deux à la hauteur de l’église St Sauveur au quartier SICA 2. On ne compte plus le nombre d’accidents de circulation souvent mortels qu’occasionnent ces ponts effondrés devenus de véritables pièges pour les automobilistes. Les principaux axes routiers de la capitale sont totalement laissés à l’abandon, ce qui rajoute à la misère déjà indescriptible de la population. On ne sait plus quoi dire.

 

CENTRAFRICAINS, REVOLTEZ-VOUS EN EXIGEANT LA DEMISSION DE CES INCAPABLES AU POUVOIR ! CE N'EST PLUS SUPPORTABLE !


La Rédaction de CAP

 

 

 

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Centrafrique-Presse.com - dans Nation
11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 12:29

 

 

 

 

 

Theophile-GANRO.JPG

 

 

 

LES OBSEQUES DU DEPUTE THEOPHILE GANRO DECEDE LE 05 SEPTEMBRE 2012

 

 

Samedi 08 septembre 2012

09 h, visite au FUNERARIUM

D’ORLEANS Rue de la Poule

45000 Orléans

 

Lundi 10 septembre 2012

14 h, visite au FUNERARIUM

D’ORLEANS Rue de la poule

45000 Orléans

 

Mardi 11 septembre 2012

21 h 30 mn, Veillée de prières à

domicile 44 Rue Maurice Thorez

45400 Fleury les Aubrais

 

Mercredi 12 septembre 2012

13 h 30, Mise en bière

14 h, culte religieux

14 h 30, départ pour le cimetière des IFS

1251 Rue de Pimelin

45770 SARAN

 

15h, arrivée au cimetière et Prières

15 h 15, inhumation

16 h, retour domicile: rafraichissements

44 rue Maurice THOREZ

45400 Fleury les Aubrais

 

Samedi 15 septembre 2012

21 h, Veillée de clôture à domicile

44 Rue Maurice THOREZ

45400 Fleury les Aubrais.

 

Apoc : 14 : 13


« Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur (…), afin qu’ils se reposent de leurs travaux, car leurs oeuvres les suivent ».

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Centrafrique-Presse.com - dans Nécrologie
11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 02:05

 

 

 

 

 

 

trous-de-l-avenue-de-la-honte-devant-le-MAE.JPG

 

à gauche, le ministère des affaires étrangères à Bangui

 

 

 

trous-de-l-avenue-de-la-honte-2.JPG

 ici, devant la faculté des sciences de la santé

 

 


 

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L’indifférence inexplicable de Bozizé, du Premier ministre et des ministres devant la dégradation inqualifiable des rues et avenues dans la ville de Bangui, notamment celle des Martyrs qui passe pourtant devant le cabinet du Premier ministre et du ministère des affaires étrangères et qui conduit Bozizé à l’aéroport de Bangui pour effectuer ses nombreux, inutiles et onéreux voyages à l’étranger, consacre la démission totale du gouvernement et la fiction d’un Etat centrafricain qu’ils prétendent encore gérer.


A tel point que les rôles et les obligations entre le gouvernement, les citoyens et les associations privées s’en trouvent dangereusement inversés. C’est ainsi qu’après le syndicat des taxis et bus qui a pris sur lui et ses propres deniers pour faire combler les nombreux nids de poule sur l’avenue de France qui la rendent impraticable, le directeur général de l’hôtel du Centre (Etat), vient à son tour et à ses frais, dit-il, d’offrir six bennes de caillasse à la municipalité de Bangui pour la même finalité.


Une troisième catégorie d’intervenants en lieu et place du gouvernement, sont les jeunes désœuvrés dont le mode opératoire consiste à ériger une barrage sur la voie et d’y combler les nids de poule avec tout de la terre et ce qu’ils trouvent, et perçoivent quelques pièces en guise de taxes des mains des automobilistes et motocyclistes qui s’aventurent encore sur ce qui reste de ces chaussées. Le comble de cette pratique a été franchie lorsque les jeunes ont érigé ce type de barrage devant l’Hôpital communautaire de Bangui, sur l’avenue des Martyrs il y a seulement quelques jours.


Ces pratiques qui rendent indignes Bozizé, son Premier ministre et ses ministres, quant à leur aptitude à gérer ce qui reste de l’Etat qu’ils ont méthodiquement contribué par leurs vols, détournements, politisation et leur incompétence, à fragiliser au point de ne plus lui permettre aujourd’hui de faire face à ses obligations.


Tout discours, comme celui de M. Guénéfeï Yalanga, maire de Bangui, tendant à inviter les autres concitoyens à agir et à s’interroger, non pas sur ce qu’ils attendent de l’Etat mais sur ce qu’ils doivent faire pour l’Etat, alors qu’il recevait les six bennes de caillasse gracieusement offertes par le directeur de l’Hôtel du Centre, est une grosse escroquerie qui ne saurait dédouaner et disculper les responsables qu’ils sont de cette situation, c’est-à-dire incompétents, malhonnêtes et qui ne s’assument pas.


Rédaction CAP

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Centrafrique-Presse.com - dans Politique
10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 23:55

 

 

 

 

 

passeport

 

 

Après le concert des voix qui se sont élevées pour exiger que les autorités de Bangui trouvent une solution à l’épineux problème de délivrance des passeports biométriques aux Centrafricains de l’étranger et notamment ceux de France, les autorités de la bozizie annoncent la venue à Paris d’une mission officielle afin de procéder au relevé d’empreintes digitales et autres photos indispensables à la délivrance des passeports biométriques. Cette mission est conduite par le Ministre de la Justice et président du comité de délivrance des passeports biométriques, M. Jacques Mbosso qui estaccompagné du personnel technique de ce service. Elle séjournera du 13 au 15 septembre 2012 pour accomplir ce travail.


Première anomalie : La venue de la mission a été tout d’abord annoncée sur le web par une association inconnue jusqu’ici, SDENOS (Solidarité et Développement Durable Nord- Sud) dont le responsable n’est autre que le fils même du chef de mission, qui a grillé ainsi la politesse aux autorités officielles de l’ambassade de la RCA à Paris.Confusion de sgenres.


Seconde étrangeté : D’après les enquêtes de la rédaction de CAP, même si la mission du ministre Mbosso est bien confirmée par l’intéressé lui-même et dans son entourage, personne au ministère des affaires étrangères à Bangui n’est en mesure de dire quoi que ce soit au sujet de cette mission dont on dit tout ignorer.  Que vient chercher M. Mbosso en France alors qu'un agent administratif aurait pu effectuer ce voyage ? Après la bamboula présidentielle de Roissy Charles de Gaulle du 13 août dernier, le gouvernement a préféré envoyé un poids lourd qui plus est Ministre de la Justice, alors que ce service est sous la tutelle du Ministère de le Sécurité Publique.


Quel intérêt y-a-t-il à faire venir à Paris un Ministre, fût-il de la Justice, pour délivrer des passeports biométriques aux Centrafricains de France ? Dans tous les pays qui se respectent, la délivrance des passeports ou tout autre document administratif aux ressortissants d’un pays vivant à l’étranger relève des services consulaires de ce pays. Pourquoi la RCA doit-elle faire exception ? Ne serait-il pas plus économique de déléguer (fut-ce temporairement) les pouvoirs de signature de ces documents aux représentants de l'Etat centrafricain en France et de leur procurer le matériel nécessaire pour délivrer ces documents de voyage ?


Il y a un manque de respect évident des citoyens centrafricains de France lorsque sans consultation, on leur impose des dates impératives alors que tous les Centrafricains ne résident pas qu'à Paris et sa banlieue. Ceux qui habitent à Marseille, Montpellier, Perpignan Toulouse Bordeaux ou Nantes et Lille devraient prendre en compte les prix exorbitants des titres de transports, car on paye toujours chère son voyage en France lorsqu'on s'acquitte du titre en urgence. Les travailleurs auront également des soucis avec leurs employeurs pour n'avoir pas prévu ces grands rendez-vous suffisamment longtemps.


Les étudiants, les élèves ainsi que les enfants de l'école maternelle qui viennent à peine de reprendre leurs activités seront sans doute les grands perdants faute du délai fixé et de la période de la mission. Ce service étant d'utilité publique, le gouvernement ne devrait pas fixer un délai impératif, c'est un droit pour tous les citoyens de posséder un passeport. C'est un devoir pour l'État centrafricain, ce n'est pas une faveur. Une organisation républicaine doit être irréprochable et indépendante au service de ses citoyens. Cette expédition gouvernementale a sans doute une visée plus politique que citoyenne.


Paris est décidément le principal centre d'intérêt du pouvoir banguissois. Les Centrafricains des USA, du Maroc, d'Égypte, de la Côte d'Ivoire, du Sénégal, du Burkina, du Bénin, du Togo, de la Tunisie etc... où résident aussi des centaines d'étudiants et de travailleurs sont-ils sacrifiés par rapport à leurs compatriotes de la France.


Du côté de l'ambassade de Centrafrique à Paris, on ignore si le pouvoir exécutif de Bangui est décidé ou non à installer durablement une antenne du service de délivrance des passeports biométriques dans leurs locaux. L’acquisition d’un kit pour relever des empreintes digitales et prendre des photos numériques aux normes biométriques, n’est quand même pas la mer à boire pour un Etat qui se respecte. Pourquoi confier ce service à des amis libanais de Bozizé et ne pas vouloir doter les services consulaires du matériel nécessaire ?


Une chose est sûre, 10% seulement des recettes générées par la délivrance des passeports biométriques reviendraient au gouvernement centrafricain. Où vont les 90% et à qui profitent-ils ? Sur place au pays il est exigé la somme de 50.000 F CFA (85euros) et la mission Mbosso demande 120 euros. Comment peut-on justifier cette différence sinon que de prendre leurs compatriotes de France pour des moutons qu’on veut tondre.

   

La Rédaction CAP

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 22:58

 

 

 

 

médicaments

 

 

Plus de 2.000.000 F CFA, telle est la valeur des produits pharmaceutiques périmés de l'Hôpital Régional Universitaire de Berberati qui ont été détruits par incinération le 4 Aout dernier en présence des autorités politico administratives, judiciaires et des forces de  l'ordre avec à leur tête le Préfet de la Mambéré-Kadei , Rémy Féidangamo.


Consternation de la population qui a appris cette triste nouvelle.


Tous ces produits étaient-ils réellement périmés? Et pourquoi les avoir gardés ou conservés  jusqu'à leur expiration? N'y avait-il pas de maladies adaptées à ces médicaments ? L'homme de la rue se pose mille et une questions. En réalité parmi ces produits brûlés ce 4 Aout il y avait:


1-des antipaludiques telle que la Quinine. Tout le monde sait que Berberati est dans une zone endémique. La Pédiatrie de l’Hôpital Régional Universitaire de Berberati enregistre nuit et jour des cas de palu chez les enfants. Les adultes aussi ne sont pas épargnés… Certains cas sont aigus chez les enfants. Pourquoi ne pas donner ces produits gratuitement aux parents pauvres de ces enfants malades de palu au lieu de les garder jusqu'à leur expiration ?

2-Parmi ces produits dits périmés  qui ont été brûlés, il y avait aussi  3 cartons contenant chacun 50 flacons de sérum dont la date de péremption est 2013. Alors, pourquoi les brûler ???


3- Pis encore, des matériels de chirurgie qui sont recherchés, coûteux très utiles pour la population sont partis en fumée. Nous pouvons citer par exemples des pinces, des paires de ciseaux, des attelles pour immobiliser la jambe en cas de fracture, des éprouvettes en verre de 1000 ml, des béchers de 600 ml et 100ml, des tubes secs, des cuves de laboratoire, etc. Est-ce que ce genre de matériels est expirable???

 

4- Des bandes et des compresses en grande quantité qui dont la date de validité devait expirer en 2011 et 2012 se sont retrouvées dans le lot. Or l'inventaire de ces produits a été fait en Aout 2010 sous la supervision du Secrétaire Général de la Préfecture de la Mambéré-Kadeî Thierry BEBONA. Pourquoi ne pas mettre à la disposition de l'Hôpital Régional Universitaire de Berberati ces produits encore très utiles à cette époque pour soigner la population au lieu de les garder jusqu'à l’expiration du délai de validité ? Ne peut-on pas les désinfecter, se demande le profane.

 

5- Des rouleaux de skaï vert sont passés par le feu ce jour. Sont-ils aussi des produits assujettis à des questions de délai de validité ?


6- Un carton d'appareils d'ophtalmologie a été balancé dans le feu ce jour.
 

A qui profite cette destruction ? Est-ce un règlement de compte? Tout s'est déroulé sous la supervision du Préfet de la Mambéré-Kadeî Mr FEIDANGAMO. A ses côtés le SG de la Préfecture Mr BEBONA, le Procureur près le Tribunal de Grande Instance de Berberati, le Commandant de la Compagnie de Gendarmerie, sans obier le Directeur de la Région Sanitaire n°2 Dr TEMBETI et le Médecin Chef de l'Hôpital Régional Universitaire de Berberati. Toutes les explications du Médecin Chef pour sauver certains produits et matériels comptabilisés par erreur dans le lot se sont heurtées à l'opposition farouche du SG de la Préfecture. Tous ceux qui voulaient hausser la voix pour soutenir le Médecin Chef étaient rabroués par le SG de la Préfecture.


 "Je dois tout détruire. Ce n'est pas mon problème "clamait-il haut et fort pour intimider  tout Avocat.

Les dégâts sont énormes .Nous avons présenté ici la partie visible de l'iceberg. Pauvre population de la Région Sanitaire n°2 qui fréquente cet hôpital de référence à Berberati. L'Etat aura-il les moyens financiers de doter l'Hôpital Régional Universitaire de Berberati avec ces matériels  de chirurgie, fruits du partenariat international? Alors que certaines langues disent que même les Grands Hôpitaux de Bangui en manquent ?


Correspondance particulière de Berbérati pour CAP

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