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  • : centrafrique-presse
  • : informations générales sur la république centrafricaine et l'Afrique centrale
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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 18:30

 

 

 

BANGUI : UNE SITUATION D’AMBIGÜITÉ À LA PÉDIATRIE

 

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Bangui, 11 mars 2013 (RJDH) – Le personnel d’appui de l’hôpital pédiatrique de Bangui est entré en grève pour une durée de 8 jours ce lundi 11 février, pour réclamer du gouvernement le payement de quatre mois d’arriéré de salaire.


Des feuilles de palmes ont été attachées partout dans les locaux du complexe pédiatrique par les grévistes en signe de protestation et du mécontentement. Selon Grégoire Soukandogo, délégué adjoint du personnel contractuel de cet hôpital, les manifestants ont respecté toutes les procédures juridiques d’entrer en grève.


« Nous nous soucions des enfants qui sont admis ici. Il y a des obligations de service, c’est normal, mais il y a aussi nos droits qui ne sont pas respectés. La responsabilité est partagée », a dit Ulrich- Matthieu Goyéko, chef de service de maintenance au complexe pédiatrique de Bangui.


Face à cette situation, Jean-Chrysostome Godi, directeur de l’hôpital complexe pédiatrique s’est entretenu ce matin avec les grévistes pour leur expliquer les conséquences de cette grève.


« Les conséquences de cette grève seront graves sur les enfants,  au cas où il  y aura un délestage, quel serait le sort des enfants qui sont sous oxygène puisqu’il n’y aura personne au service de maintenance pour faire fonctionner le générateur ? », s’est inquiété Jean-Chrysostome Godi.


Il a par ailleurs demandé aux délégués des contractuels afin de mettre en place un service minimum pour la maintenance, la caisse et l’accueil des enfants malades. Un compromis a été trouvé et les grévistes ont mis en place ce service minimum.

 


 

NDÉLÉ : LA POPULATION MANQUE DE L’EAU POTABLE

 

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Ndélé

 

 

Ndélé, 11 mars 2013 (RJDH) – Les habitants  de la ville Ndélé (nord-est), l’une des localités occupées par les éléments de la coalition Séléka n’ont pas accès à l’eau potable de la Société de distribution d’eau en Centrafrique SODECA, depuis trois jours.

 

D’après les témoignages recueillis ce lundi 11 mars par le RJDH auprès de la population de cette localité, les femmes sont obligées  de parcourir plus de trois kilomètres afin de s’approvisionner  en eau de source. Mais la quantité n’est pas toujours suffisante pour les activités domestiques et l’insécurité pèse dans la zone

 

Selon les informations reçues,  le technicien qui s’occupait  de l’entretien d’eau au service de la SODECA,  a quitté la ville à cause des hostilités grandissantes dans la localité. Après son départ, le service est assuré par  les quelques volontaires de la Croix-Rouge locale.


Il faut signaler  que dans les localités  occupées par la  coalition Séléka, le personnel des services publics  ont tous quitté pour des raisons de sécurité. Ceux-ci sont souvent la première cible des exactions des rebelles.

 

 

MBAÏKI : L’OFCA PORTE PLAINTE CONTRE UN PRÉSUMÉ AGRESSEUR

 

Mbaïki, 11 mars 2013 (RJDH) La présidente de l’Organisation des femmes centrafricaines (OFCA) de Mbaïki, Susanne Malonga a porté plainte contre un homme qui a battu son épouse le 8 mars, alors que celle-ci était avec ses paires en train de célébrer la journée internationale de la femme.


Le chef d’antenne de l’ONG Conseil danois pour les réfugiés (DRC) de Mbaïki,  Euloge Ibrahim, a fait savoir que l’incident s’est produit dans la nuit du vendredi  8 mars à  20 heures,  pendant que certaines femmes continuaient de fêter la journée internationale de la femme. Le présumé agresseur  a battu son épouse qu’il aurait soupçonné d’adultère.


La victime  a reçu des blessures partout sur le corps, elle est restée les deux yeux fermés car le présumé agresseur a failli lui crever les yeux.


Indigné par cet acte de violence, le collectif des femmes de l’OFCA, représenté par Susanne Malonga a porté plainte contre le mari à la gendarmerie de Mbaïki.


La victime se trouve encore à l’hôpital de cette localité pour des soins médicaux et le présumé agresseur est maintenu à la gendarmerie pour des fins d’enquête.

 

 

 

 

BOALI : LES CULTIVATRICES REÇOIVENT DU MATÉRIEL

 

 

Boali, 11 mars 2013 (RJDH) Les associations des femmes du village de Bogoula, situé à 60 kilomètres de Bangui dans la commune de Boali (sud-ouest), ont reçu le dimanche 9 mars, des outils agricoles et des vivres de la part  du ministre du Développement rural, Aimée Dorothée Malénzapa à l’occasion de  la journée internationale de la femme.


Ces matériels sont composés entre autres des brouettes, des râteaux, des houes, des sacs du sucre et des cartons de savon.


Aimée Dorothée Malénzapa a souligné que ces matériels vont permettre à ces femmes de faire face à un certain nombre de problèmes matériels que leur association rencontre. Elle a  également déploré les violences exercées sur les femmes dans les villes occupées par les rebelles de la Séléka.


Le député de Boali, Bertin Béa, a de son côté justifié le choix de cette localité pour la célébration de la journée internationale de la femme comme  une manière de  montrer aux habitants de ce village en général et les femmes en particulier qu’ils ne sont pas exclus du système social.


C’était le dimanche 10 mars que les femmes de la ville de Boali ont célébré la journée internationale de la femme. La journée a été marquée par un grand défilé qui a vu la participation de  toutes les couches sociales féminines de cette localité.

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Centrafrique-Presse.com - dans Dépêches
11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 18:08

 

 

 

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Bangassou, 11 mars 2013 (RJDH) – La ville de Bangassou est finalement tombée entre les mains des rebelles de la coalition Séléka, après un rude combat qui les a opposés aux éléments des forces armées centrafricaines (FACA). Après ce coup, ces éléments rebelles se dirigeraient vers la ville de Rafaï, à une centaine de kilomètres de cette importante ville. Les humanitaires présents dans cette zone, commencent à évacuer la localité.


Bangassou est attaquée depuis ce matin par les rebelles de la coalition Séléka. La présence de ces éléments a été signalée depuis 5 jours dans la localité de Dimbi, proche de cette ville. Les chefs de la Séléka qui ont intégré le gouvernement d’Union nationale ont vigoureusement condamné cette attaque par le biais d’un communiqué lu à la radio nationale.


D’après des informations rapportées au RJDH, le combat a duré plusieurs heures et aurait fait plusieurs victimes dans les deux camps. Des civils auraient été également tués. Les FACA, en rupture de munitions auraient quitté la ville en direction de Rafaï. C’est ainsi que les rebelles se sont donc lancés à leur poursuite vers cette localité déjà en proie aux exactions des rebelles ougandais de l’Armée de résistance du seigneur (LRA) de Joseph Kony.


D’après des informations rapportées ce matin au RJDH, l’essentiel du combat de Bangassou s’était concentré dans la localité du pont de Mbari, situé à cinq kilomètres de la ville, depuis les premières heures de la matinée.


Un religieux de Bangassou a fait savoir que des éléments rebelles qui ont fait tomber Bangassou, sont des éléments dissidents de la Séléka, qui ont déserté les rangs de la rébellion en milieu de la semaine dernière à Bambari (Centre), pour attaquer Mobaye vendredi. La thèse est confirmée par le communiqué de la Séléka.


Sur l’attaque de la ville de Mobaye, on annonce trois morts dans les rangs de l’armée centrafricaine et un civil tué. On ignore le bilan humain du côté des rebelles, car ceux-ci évacuent au fur et à mesure leurs blessés et mort, dans des destinations inconnues, d’après des sources militaires.


A l’écoute du communiqué des leaders de la Séléka, la population de la ville de Bangui s’inquiète de la reprise des hostilités. Cette population ne croit plus aux bons termes des accords signés le 11 janvier à Libreville.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 17:31

 

 

 

Séléka à Damara

 

 

BANGUI AFP / 11 mars 2013 16h30 - Des éléments de la coalition rebelle Séléka, qui participe au gouvernement d'union nationale à Bangui, ont attaqué lundi matin les villes de Gambo et de Bangassou (sud), mettant en déroute l'armée centrafricaine, a appris l'AFP de source militaire.


"Les éléments du Séléka ont lancé tôt vers 6H00 une première attaque contre la ville de Gambo à une soixantaine de kilomètres de Bangassou. Ils n'ont rencontré aucune résistance car nos éléments qui s'y trouvaient se sont repliés sur Bangassou", selon cette source militaire s'exprimant sous couvert d'anonymat.


"La seconde attaque a eu lieu peu avant 8h00 (7H00 GMT) contre la ville de Bangassou. Il y a eu des échanges de tirs puis les forces de défense et de sécurité ont opéré un repli", a poursuivi la même source.


"Le bilan de ces attaques n'est pas encore connu, mais il est difficile d'entrer en communication avec ces deux villes car toutes les liaisons téléphoniques ont été coupées", a-t-elle précisé.


Ces nouvelles attaques surviennent après celle fin février de la localité de Sido (nord), ensuite vivement critiquée par deux figures de la rébellion, ministres dans le gouvernement d'union nationale, le Général Mohamed Dhaffane et Christophe Ghazam Betty.


Mi-décembre, les rebelles du Séléka avaient pris les armes contre le régime du président Bozizé, menaçant la capitale Bangui. Après avoir signé un accord de paix le 11 janvier à Libreville, la coalition rebelle a accepté de participer à un gouvernement d'union nationale.


La rébellion, qui se refuse pour le moment à cantonner ses troupes comme cela était prévu par l'accord de Libreville, a régulièrement critiqué le gouvernement, reprochant notamment au président François Bozizé d'avoir mis en place un "shadow cabinet" (cabinet de l'ombre), dans lequel les ministres issus de l'opposition et de la rébellion sont flanqués de ministres délégués proches du pouvoir.


Les rebelles continuent d'exiger la libération des prisonniers politiques et le départ des troupes étrangères, en particulier sud-africaines. Coalition formée fin 2012, le Séléka est composé de deux principaux groupes rebelles, et de plusieurs petits groupes armés.


Depuis le début de l'offensive mi-décembre, l'armée centrafricaine n'a opposé quasiment aucune résistance aux rebelles, fuyant régulièrement leurs positions dès les premiers coups de feu.

 

(©)

 

 

 

NDLR : C'est malheureusement le seul langage que comprend le général président François BOZIZE YANGOUVONDA !!!!

 

 

 

 

BANGASSOU : LA VILLE ATTAQUÉE PAR LES ÉLÉMENTS DE LA SÉLÉKA

 

 

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Bangui, 11 mars 2013 (RJDH) La ville de Bangassou est attaquée depuis ce matin par les rebelles de la coalition Séléka. La présence de ces éléments a été signalée depuis 5 jours dans la localité de Dimbi, proche de cette ville. Aucune confirmation pour l’instant du côté du gouvernement et la ville est coupée du réseau téléphonique.


Les premières informations faisant état de cette attaque émanaient des ONG humanitaires présentes dans la ville, qui avaient alerté très tôt ce matin leurs coordinations à Bangui. Puis, le réseau téléphonique a été coupé.


Une source anonyme a fait savoir au RJDH que sept véhicules de la Séléka, qui se positionnaient depuis quelques jours dans la localité de Dimbi, avaient traversé hier après-midi, la ville de Gambo, à grande vitesse à destination de Bangassou.


Une autre source a fait savoir que les rebelles seraient stoppés dans leur course vers Bangassou à 1 heure du matin de ce lundi, dans la localité du pont de Mbari, à cinq kilomètres de la ville de Bangassou.


C’est dans cette localité que se concentre de violents combats entre les éléments des forces armées centrafricaines et ces rebelles. Difficile d’avoir la version officielle de toutes ces informations.


Un religieux de Bangassou a fait savoir que des éléments rebelles qui sont en train de faire tomber Bangassou, sont des éléments dissidents de la Séléka, qui ont déserté les rangs de la rébellion en milieu de la semaine dernière à Bambari (Centre), pour attaquer Mobaye vendredi et Bangassou en ce moment.


Sur l’attaque de la ville de Mobaye, on annonce trois morts dans les rangs de l’armée centrafricaine et un civil tué. On ignore le bilan humain du côté des rebelles, car ceux-ci évacuent au fur et à mesure leur blessé et mort, dans des destinations inconnues, d’après des sources militaires.


« Bangassou est la dernière grande ville de la Centrafrique. C’est une région militaire. Si les rebelles arrivent à s’emparer de cette ville, ce serait un grand échec pour l’armée et un nouveau revirement dans la situation actuelle en Centrafrique, vu que l’armée a renforcé sa position en hommes et en armes de guerre ces derniers temps dans cette localité », a fait savoir un religieux, qui a réussi à regagner la ville de Bangui, il y a deux jours.


A Bangui, côté du pouvoir, ni de leaders rebelles qui ont intégré le gouvernement d’Union nationale, personne ne veut se prononcer sur cette situation. Alors que dans les rues, l’information commence à faire peur à la population, qui ne croit plus aux accords signés le 11 janvier à Libreville.

 

 

Par Hippolyte Donossio

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 16:23

 

 

 

Pascal Bida Koyagbélé

 



Bangui, 11 mars 2013 (CAP) - Ce négrier des temps modernes qui se dit patron de société et opérateur économique, expulsé  de France pour escroquerie, poursuit dans la même voie dans son propre pays. Avec au moins un trimestre d’arriérés de salaires dû à son personnel, la société de Pascal Koyagbélé bat le record des sociétés les plus endettées de Bangui mais ce dernier est incapable d’y faire malgré la protection de Socrate Bozizé. Maintenant c’est sur de pauvres femmes qui font le commerce d’huile de palme qu’il se retourne. Ainsi, on voit au quotidien de longues queues de ces vendeuses d’huile de palme devant son bureau pour réclamer leurs dus.

 

Selon des sources proches de la société de cet énergumène, certaines vendeuses au détail veulent d’huile de palme qui veulent en importer de Zongo en RDC, passent par Pascal Koyagbélé et sa société et payent un gros montant mais ces pauvres dames attendrons en vain d’être livrées. Obligées de réclamer le remboursement de ce qu’elles ont préalablement versé au truand sans obtenir satisfaction, ses dames se font régulièrement tourner en bourrique avec  même, cerise sur le gâteau, des menaces de se faire arrêter à la clé.

 

Et avec cela, quand Centrafrique-Presse en fait état pour informer l’opinion, son Directeur de Publication devient l’ennemi numéro 1 et l’homme à abattre de Pascal Koyagbélé qui n’hésite pas instrumentaliser et financer maintenant des journalistes afin qu’ils s’en prennent et dénigrent le Directeur de publication de Centrafrique-Presse.

 

Quel dignité et grandeur y-a-t-il à tenir des conférences de presse pour cibler uniquement Prosper N’douba ou seulement pour jeter en pâture aux journalistes et à Socrate Bozizé les noms de ses concurrents du marché du km 5 à abattre, conférences de presse à la fin desquelles Pascal Koyagbélé distribue aux journalistes des savonnettes et de l’huile de palme pour qu’ils salissent le nom de Prosper N’douba !
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Centrafrique-Presse.com - dans Annonces et divers
11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 15:21

 

 

 

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Bangassou

 

 

Depuis l’aube, une colonne de sept véhicules composée d’éléments de la SELEKA tente de prendre le contrôle de la ville de Bangassou, chef-lieu de la préfecture du Mbomou. Des combats opposent pour le moment ces derniers aux Forces Armées Centrafricaines (FACA).

 

Le Rassemblement Démocratique Centrafricain condamne avec la dernière rigueur cette attaque de Bangassou et exige le retrait immédiat des assaillants. Il rappelle aux responsables de la SELEKA l’engagement de Libreville et leur responsabilité.

 

Le Rassemblement Démocratique Centrafricain appelle le gouvernement à prendre toutes les dispositions nécessaires pour que cessent les insupportables entorses aux accords de Libreville, causant une grande souffrance à nos populations et hypothéquant dangereusement la République. Il rappelle la nécessité d’utiliser les mécanismes post-conflits prévus par les accords de Libreville pour régler les différends nés de leur application qu’importe la provenance.

 

Le Rassemblement Démocratique Centrafricain rappelle à tous, le Chef de l’État, le Premier Ministre, le Gouvernement, la Majorité Présidentielle, l’Opposition Démocratique et la Seleka ; la nécessité d’oeuvrer pour pacifier le pays et permettre le retour de l’autorité de l’état sur l’ensemble du territoire national et la reprise des activités économiques et scolaires ainsi que l’organisation des élections législatives de 2014 dans d’excellentes conditions. Il rappelle à tous les acteurs de taire les égoïsmes et de sauver l’essentiel en épargnant à nos populations des souffrances inutiles.

 

La Cellule Communication

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Centrafrique-Presse.com - dans Communiqués
11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 02:45

 

 

 

 

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Elie DOTE, ici sur le bateau de l'invraisemblable croisière sur l'Oubangui de Parfait MBAY 

 

 

 

Voilà déjà plusieurs années que la famille MAGALE se bat contre vents et marées pour pouvoir conserver le droit de propriété d’une villa construite par le défunt général André Dieudonné MAGALE grâce à un prêt bancaire que lui a octroyé dans les années quatre-vingt  la BIAO devenue entretemps ECOBANK, maison située en face de la Direction de l’Elevage non loin de la Cathédrale en plein centre de Bangui.

 

Cette sombre affaire est la parfaite illustration du genre de magouille politico-financière à laquelle aiment se livrer certains dignitaires de la bozizie dont le sens de la prédation les pousse à vouloir faire feu de tout bois en  s’accaparer de tout, à détourner les deniers de l’état, à s’approprier à vils prix des voitures du parc automobile d’état réformés à tour de bras, à mettre la main sur certaines villas soit de l’état, soit d’autrui sous hypothèque bancaire ou revenu à l’état etc…C’est le un peu le cas de la villa du défunt général MAGALE dont il s’avèrera qu’une bonne partie des loyers destinée à rembourser l’emprunt du général a fait l’objet d’un  détournement au niveau de la BIAO reprise ensuite par ECOBANK.


Actuellement, celui qui habite dans cette villa depuis bientôt dix ans n’est autre que l’ancien premier ministre Elie DOTE qui comme par hasard, est celui-là aussi qui a favorisé la reprise de la BIAO par ECOBANK. Tout porte à croire que c’est pour remercier Elie DOTE pour ce service rendu à ECOBANK que cette villa a été affectée pour lui servir de résidence du premier ministre. On a fait croire à la famille MAGALE que le crédit de BIAO ayant servi à la construire n’était pas encore apuré donc la villa était une propriété en quelque sorte du repreneur de la BIAO, c’est-à-dire ECOBANK, alors que les loyers avaient été plutôt purement et simplement détournés, la famille MAGALE lèvera plus tard ce gros lièvre après des enquêtes fouillées et une grande détermination à faire éclater la vérité.


Manifestement tout avait été mis en œuvre par ECOBANK et Elie DOTE lui-même pour que non seulement Elie DOTE, alors premier ministre, continue d’occuper la villa mais surtout  puisse l’acheter et en devenir ainsi le nouveau propriétaire. A ce jour, Elie DOTE continue d’habiter dans cette maison sous prétexte qu’il l’aurait achetée alors que la famille MAGALE le considère comme un vulgaire « squatter » qui ne veut pas libérer les lieux d’autant plus que l’hypothèque bancaire en réalité, n’existe plus depuis belle lurette et que c’est maintenant ECOBANK qui doit une somme d’argent d’un montant astronomique à la famille MAGALE.


Un arrêt de la Cour de cassation vient en effet de donner raison à la requête de la famille MAGALE après plusieurs années de procédure judiciaire qui n’ont pas entamé ni la ferme détermination de la famille MAGALE de conserver la propriété de cette villa qui pour elle, est chargée d’une grande valeur affective, ni de faire éclater toute la vérité sur ce dossier scandaleux de tentative de prédation. Celle-ci a même sollicité mais en vain, la médiation de Mgr Paulin POMODIMO sur le dossier de cette villa. ECOBANK et Elie DOTE sont aujourd’hui très embêtés car tout leur plan pour que ce dernier puisse s’approprier la villa est tombé à l’eau.


L’acharnement d’Elie DOTE à mettre absolument la main sur cette villa d’autrui est d’autant plus incompréhensible que ce monsieur qui a un imposant patrimoine immobilier un peu partout dans le monde, serait également, selon nos informations, propriétaire d’une belle villa située sur la colline du Bas-Oubangui qui aurait appartenu au défunt président André KOLINGBA et qu’avait habitée entre temps son notaire, Me KOTUBA, revendue à 80 millions de F CFA semble-t-il. La mémoire du général MAGALE ne reposera en paix que le jour où Elie DOTE se décidera à libérer cette villa dont la veuve et les enfants MAGALE se souviennent qu’ils ont vu le défunt général la bâtir pierre après pierre…. !


Rédaction CAP 

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 02:42

 

 

 

denis denguess


 

RFI  dimanche 10 mars 2013

 

En 2016, Denis Sassou Nguesso aujourd'hui âgé de 69 ans arrivera au terme de son deuxième septennat. Il ne pourra pas se représenter pour un troisième mandat au regard de la Constitution qui limite à deux le nombre de mandats présidentiels. L'opposition accuse le pouvoir de préparer une modification de la Constitution. Un collectif constitué d'une douzaine de partis de l'opposition congolaise organisait ce samedi un grand meeting sur le boulevard Alfred Raoul de Brazzaville.

 

L’opposition congolaise réclame surtout la tenue «d'états généraux de la Nation» pour sortir le pays d’une «crise multidimensionnelle». La manifestation avait été autorisée et encadrée pour éviter des débordements. Les opposants soupçonnent le pouvoir de vouloir modifier la constitution de 2002, notamment en ses articles sur la limitation du nombre des mandats présidentiels à deux, et sur l’âge limite des candidats à 70 ans. Ils l’ont fait savoir donc samedi, au cours de ce meeting de près de 3 heures, devant quelque 2.000 militants. Reportage. 

 

« Les états généraux, ce n’est pas un coup d’Etat »

 

… Les dirigeants des partis, à l’instar de Mathias Dzon, le dernier à prendre la parole, ont réclamé des états généraux de la Nation, première condition pour leur participation aux élections locales de l’été prochain… L’opposition a surtout soupçonné le pouvoir de vouloir modifier la constitution de 2002, notamment ses articles qui limitent le nombre de mandats présidentiels à deux et l’âge des candidats à 70 ans…

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 02:14

 

 

 

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APA-Marrakech (Maroc)2013-03-10 15:41:21 - Le Camerounais Issa Hayatou, seul candidat à sa propre succession, a été élu au poste de président de la Confédération africaine de Football (CAF), ont révélé diverses sources au Maroc.


Lors du congrès de la CAF qui se poursuit dans la ville marocaine de Marrakech, M. Hayatou, actuellement âgé de 66 ans, a été élu pour un autre mandat de quatre ans qui, a-t-il déclaré, sera son dernier à la tête du football continental.


Issa Hayatou a été vivement ovationné par les délégués de la CAF suite à sa confirmation au poste de président de l'institution et a reçu un certificat spécial de la FIFA pour son jubilé d'argent en qualité de membre du Comité exécutif de l'organe dirigeant du football mondial.

La réélection de M. Hayatou, dont le premier mandat pour diriger le football africain remonte à 1988, a été brièvement contestée par Jacques Anouma de la Côte d'Ivoire lors du second tour du congrès, mais cette tentative a été gâchée par une modification de règles du jeu qui stipule que les personnes non membres du Comité exécutif de la CAF sont automatiquement éliminées de la course à la présidence.


Les arguments de M. Anouma ont été rejetés par le Tribunal arbitral du sport (TAS), qui venait ainsi de baliser le chemin pour un huitième mandat à Hayatou, faisant de lui l'inamovible président de la CAF depuis sa création en 1957.


Durant sa jeunesse, Hayatou qui vient de rempiler à la tête de la CAF, a pratiqué des disciplines sportives tels que l'athlétisme et le basketball.


Par ailleurs, le congrès de Marrakech doit également procéder à l'élection de quatre membres du Comité exécutif de la Confédération, mettant en compétition plusieurs candidats dont le principal organisateur de la Coupe du Monde de football de 2010 en Afrique du Sud, Danny Jordaan, qui va se battre pour le siège réservé à l'Afrique australe.


Danny Jordaan avait échoué dans sa première tentative d'intégrer le Comité exécutif de la CAF, lors du congrès de l'organisation en 2011 au Soudan.

 

 

 

NDLR : La seule question qui vient à l'esprit est : ce monsieur, quelles que soient ses qualités, est-il si indispensable pour le développement et l'épanouissement du football africain? Le moins que l'on puisse dire est qu'il a envoyé un très mauvais signal à tous les chefs d'état africains qui font tout pour mourir au pouvoir, quitte à voler les élections  ou modifier les constitutions comme veut faire BOZIZE en Centrafrique

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 00:46

 

 

 

 

logo MLPC

 

 

 

BUREAU SOUS-FEDERAL DU SENEGAL

 

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE N°001

 


 

L’an deux mille treize et le 03 du mois de février à 16 Heures 00 , s’est tenue  à Dakar (Sénégal)  précisément à l’Université Amadou Hampate Ba (UAHB) de Dakar la réunion de l’Assemblée Sous Fédérale du M.L.P.C


Ordre du jour :


Rapport annuel  d’activité du Bureau Sous Fédéral de 2012

Election des nouveaux membres du Bureau

Etude et adoption des projets de sensibilisation dans la sous-région

Questions diverses.


Les membres cités ci-dessous ont été élus conformément à la disposition règlementaire et statutaire du parti


1. Président : Apollin Médard YAPENDE

  

2. 1er Vice Président : Clotaire TOYEN


3. 2ème Vice Président : Eloge Priva DOUNGOU


4. 3ième Vice Président : Crispin DOYEMET


5. Secrétaire Général : Gérard NGA BOUKANGA GONOGUELE


6. 1er Secrétaire Général : Rodrigue NINGATA


7.  2ième Secrétaire Général : Marie Laure NAKOE


8. Trésorier Général : Ulrich Klinsor NDOUBENOUE


9. Trésorier Général Adjoint : Yolande NGANAFIO


10. Conseiller Politique : Moustapha LY


11. Conseiller à l’Organisation et à l’animation : Kenny ZOUNGARANI

                                                                                                           

 

Pour le  BUREAU

 


Président : Apollin Médard YAPENDE                     Secrétaire Général : Gérard NGA BOUKANGA

                                                  

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 02:35

 

 

 

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Eugène NGAIKOISSET

 

 

Radio Ndéké Luka Samedi, 09 Mars 2013 16:03


Une scène de jalousie s’est produite dans la nuit du 8 mars  au Bar Château bleu dans le 5e Arrondissement de Bangui. Le drame s’est soldé par 3 morts et 2 blessés par balles.


Selon le reporter de Radio Ndeke Luka déporté sur les lieux du drame, Monsieur X, un Policier a été alerté que son épouse était en train de flirter avec un autre amant dans cette buvette. Il n’a pas hésité à débarquer sur les lieux muni de son arme. L’amant, ayant aperçu son rival arriver, a eu juste le temps de se sauver.


« Nous étions ensemble dans le bar avec la femme en train de prendre de la bière et subitement la femme s’est levée pour devancer son mari  qui traverse la route en venant vers elle. Ensuite, les deux sont repartis de l’autre côté de la route. Arrivés au niveau du Commissariat du 5e Arrondissement, ils commençaient à se disputer. Quelques temps après, le mari a ouvert 3 balles sur sa femme avant de se donner la mort lui- même », raconte un témoin des faits.


Dans les sommations de Monsieur X, une balle perdue a atteint 2 Policiers en service au niveau du Commissariat du 5eArrondissement situé juste à proximité des lieux du drame. Les 2 blessés sont admis la nuit même à l’Hôpital Communautaire où ils bénéficient encore des soins.


« Alerté de l’incident, un cortège de la Police a débarqué sur les lieux au même moment que le Capitaine Eugène Ngaïkoisset. Dès l’instant même, il tirait des balles en l’air pour dissuader la foule. Ces balles ont atteint un jeune qui était également sur les lieux et en tomba  mort sur le champ », a précisé cette même source.

 

 

 

NDLR : Il faut encore s'attendre à ce que le tristement célèbre capitaine Eugène NGAIKOISSET alias "le boucher de Paoua" puisse encore bénéficier d'une totale impunité malgré cet homicide. C'est la règle en bozizie.!

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