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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 01:58

 

 

Bozizé fait du sport

 

 

 

Centrafrique : La Séléka défie la CEEAC

 

PAR BOULKINDI COULDIATI, Le Pays  14 MARS 2013

 

Les choses vont trop vite en République centrafricaine. En effet, comme des fruits murs, des villes tombent, les unes après les autres entre les mains de la Séléka.

 

En moins d'une semaine, cette redoutable rébellion a mis trois villes sous son contrôle, créant ainsi un Etat dans l'Etat centrafricain. C'est dire donc que les lendemains s'annoncent encore sombres pour ce pays qui n'a jamais soufflé pendant longtemps le vent de la stabilité. L'histoire donne malheureusement raison à tous ceux qui ne croyaient pas aux accords de Libreville, signés des mains des protagonistes dont l'insincérité se révèle aujourd'hui. Le retour à la case départ, longtemps redouté, est aujourd'hui une réalité. Il n'y a point encore de doute à se faire, il n'y avait que l'aile modérée de la rébellion qui avait signé ces accords de Libreville qui volent aujourd'hui en éclat.

 

Que veulent-t-ils encore ces rebelles récalcitrants qui font crépiter les armes au moment où la Centrafrique a son gouvernement d'union nationale qui, visiblement, fonctionne sans conac majeur. Cherchent-ils seulement la peau de Bozizé comme certains le pensent ? Toujours est-il qu'on se perd en conjectures quand on essaie de s'interroger sur les raisons de leur combat actuel, si ce n'est le départ du n°1 centrafricain. Denis Sassou Nguesso, mandaté par ses homologues de la CEEAC pour jouer le médiateur, a de quoi s'inquiéter. A la vérité, le camp qui se sentirait lésé après les accords de Libreville devait revenir à lui pour se faire rétablir dans ses droits. Cela éviterait de réveiller les vieux démons. Mais de ce sacro-saint principe des médiations, la Séléka n'en a cure. La relance subite de la guerre prouve que l'objectif inavoué de cette rébellion est loin d'être atteint.

 

Que faire maintenant dans la mesure où cette rébellion se moque même du médiateur Sassou Nguesso et défie la CEEAC (Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale) qui l'avait pourtant mise en garde contre toute velléité de reprise des armes ? Les pays membres de la CEEAC n'ont pas intérêt à laisser les rebelles avancer un peu plus. Il ne faut surtout pas attendre qu'ils prennent Bangui pour commencer à s'émouvoir. Cet attentisme est d'autant plus à craindre que les rebelles avancent sans coup férir malgré la présence de forces d'interposition, envoyées en Centrafrique au début du conflit. Ils sont d'ailleurs inspirés par d'autres rebelles qui écument les Grands Lacs et qui sont des « tombeurs » professionnels de régimes. L'armée centrafricaine se s'étant montrée impuissante, il urge d'agir vite pour que l'histoire ne se répète dans ce pays.

 

 

 

 

Centrafrique: Instabilité en RCA - Retour à la case départ ?

 

PAR ABDOULAYE BARRO, 12 MARS 2013  Le PAYS

 

ANALYSE

 

Depuis les accords de Libreville, signés entre les rebelles de la Séléka et le régime Bozizé, sous l'égide du médiateur Sassou Nguesso, le peuple centrafricain s'était enfin mis à rêver d'un retour à une paix durable.


Son optimisme pacifique était nourri par la solution politique qui avait abouti à un partage du pouvoir entre les parties en conflit. Et tout le monde s'était vite empressé de louer, à Bangui, et en Afrique, les qualités et les vertus de conviction, de loyauté du chef de ce gouvernement de compromis, Me Nicolas Tiangaye, un homme sérieux, de bonne volonté, surtout déterminé.


Malheureusement, en Centrafrique, l'on n'arrive pas à discipliner et à éduquer l'agressivité humaine. L'aile radicale de la Séléka, qui n'a jamais digéré qu'on lui ait barré, à l'époque, la route de Bangui, vient de faire parler de nouveau, le canon. Des localités sont vite tombées sous leur coupe, comme dans un jeu d'enfants. En vérité, à Bangui, on assiste à un jeu de cache-cache entre le régime Bozizé et l'équipe gouvernementale actuelle. Pourquoi ? Et quand est-ce que les Centrafricains décideront enfin, entre eux, de pratiquer un peu la confiance et la sincérité ?


A l'heure actuelle, on ne peut pas dire que les accords de paix conclus à Libreville entre Bozizé et la Sékéka, ou « pax gabonia », sont une réalité sociale pour le peuple centrafricain. Et, tout montre qu'il est fort probable que ce pays entame une nouvelle rechute dans le désordre et l'anarchie. Si la situation militaire continue à se détériorer, le pays repartira à la case départ, c'est-à-dire à la reprise de nouveaux affrontements armés. Au fond, cette instabilité chronique qui menace constamment ce pays est liée, du fait des rébellions répétitives, à l'enracinement d'une culture politique où le recours à la force est considéré comme la seule option possible. La force, et non la paix, devient ici un besoin ontologique. Certes, la force et la légitimité restent les deux seules sources de pouvoir. Mais comme a su bien le rappeler Robert Cooper, « la force sans la légitimité engendre le chaos ; la légitimité sans la force sera inévitablement renversée ».


En Centrafrique, ce pays plongé dans une pénombre belliciste récurrente, le recours à la force signifie un échec total de la politique. Car, ici, l'intérêt national ne détermine pas du tout le jeu politique. D'où ces rébellions sans limites et sans merci, semant le drame et la ruine de la société centrafricaine. L'histoire nous enseigne également que quand l'Etat est trop faible, d'autres acteurs non-étatiques prennent de l'importance. Mais tous les contentieux et problèmes qui furent la cause de la rébellion ont-ils été véritablement abordés à Libreville ? Ce qui est très inquiétant, mais paradoxal, c'est que la Centrafrique n'a jamais connu une guerre civile au sens strict, et que les différentes rébellions n'ont jamais réussi à recueillir un large soutien du peuple. Avec cette nouvelle menace d'un retour à la case départ, on a la curieuse impression que ce pays n'est nullement préoccupé par son développement économique, encore moins par le maintien de son unité nationale. Pourtant, ce petit Etat aux immenses richesses a besoin de tous ses enfants pour se reconstruire. La meilleure guerre reste celle qu'on ne doit jamais commencer. Car, cette nouvelle instabilité risque encore de propager le mal plutôt que de l'éradiquer. Et pour l'éviter, les Centrafricains doivent chercher à s'échapper, individuellement et collectivement, de cet épais brouillard de méfiance et de duperie réciproques.

 

N'existe-t-il pas en Sango, langue nationale de ce pays, un mot pour désigner la sincérité ? Et s'il n'existe pas, il leur appartient de l'inventer et, très vite, de le mettre en pratique. Sinon, on continuera à dire dès qu'il s'agit de la Centrafrique : quel pays déroutant !

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 01:55

 

 

cantonemt Séléka

 

 

Par Source: Xinhua - 14/03/2013


Ils refusent leur cantonnement, contre l'avis de leur leader Michel Am Nondokro Djotodia, nommé vice-Premier ministre, ministre de la Défense nationale

 

Lors d'une visite le 21 février à Vangué, localité proche de Damara, ville du Centre du pays décrétée «ligne rouge» par la Force multinationale de l'Afrique centrale (FOMAC) pour protéger la capitale Bangui contre l'avancée rebelle, Michel Djotodia, qui participe au gouvernement d’union nationale avec quatre autres membres de la rébellion, a exhorté les troupes à favoriser la réalisation du programme démobilisation, désarmement et réinsertion prévue sur trois sites : Kaga-Bandoro (Centre- Nord), Bria et Ndélé (Nord-Est) et visant à enterrer la hache de guerre et revenir sur les voies de la pacification. «Nous avons choisi ces villes parce que les bases de la FOMAC sont présentes dans ces localités, pour que vous bénéficierez des meilleures conditions de vie. Si aujourd'hui nous acceptons de signer l'accord de paix de Libreville, alors respectons nos engagements. Car, la communauté internationale a les yeux rivés sur nous», a lancé l'ancien fonctionnaire du ministère centrafricain des Affaires étrangères précédemment aussi consul à Nyalla, au Soudan. Comme avec la formation du gouvernement d'union nationale où ils réclamaient sept postes ministériels contre les cinq obtenus, les chefs militaires de Séléka n'approuvent pas cette position. A la suite du général Mahamat al Katime, commandant des opérations à Damara, le colonel Michel Narkoyo, un des porte-parole de la rébellion, est formel: pas de cantonnement et de désarmement tant que les revendications ne sont pas satisfaites.

 

Deux exigences fondamentales


Deux exigences fondamentales sont formulées: le départ de la RCA des soldats sud-africains et ougandais chargés de prêter main forte au régime du président Bozizé et puis la libération des détenus politiques en relation avec la crise. «Nous attendons toujours la réaction du gouvernement. A Libreville, on a signé beaucoup de papiers. Jusqu'à présent, ni les Sud-africains, ni les Ougandais, personne n'a quitté notre pays. On se demande pourquoi le président Bozizé garde encore ces forces étrangères dans notre pays», a souligné Narkoyo, ex-soldat de deuxième classe de la gendarmerie nationale devenu colonel dans la rébellion. Selon lui, ce retrait devait avoir lieu une semaine après la signature des accords de Libreville. «Nous sommes prêts pour le cantonnement, nous ne sommes pas résistants. On ne peut pas aller au cantonnement alors que nos frères restent en détention», a-t- il en outre mentionné, faisant valoir que s'il y a blocage dans l'application des accords de paix, c'est du côté du camp de François Bozizé, accusé de «manque de volonté politique» pour faire avancer le processus.

 

A l'en croire, ce blocage ne permet pas au «président Djotodia de contrôler totalement la situation en tant que ministre de la Défense. Il n'a pas le contrôle de l'armée. Le président Bozizé aurait même augmenté le nombre des Sud- africains et des Ougandais. Son fils qui fut ministre de la Défense serait allé récemment à l'extérieur chercher des avions et des pilotes. Ils auraient monté des hélicoptères et des avions de guerre.» Ces mêmes accusations avaient été entendues à l'approche de l'ouverture du dialogue politique tenu en janvier dans la capitale gabonaise, sous l'égide des chefs d'Etat de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC, à laquelle la RCA appartient). Elles sont aussi reprises par Eric Massi, porte- parole international de Séléka à Paris en France, qui a exigé que «le président Bozizé exécute de bonne foi les engagements qu'il a pris à Libreville». «Il n'y a pas de divergences. Nous sommes d'accord pour la mise en oeuvre des accords. C'est les modalités qui restent à définir. Nous considérons que le processus ne peut pas être unilatéral. Nous avons arrêté notre offensive, nous sommes allés au dialogue à Libreville, nous avons accepté de signer l'accord de cessez-le-feu, nous avons accepté que le président Djotodia et les autres entrent au gouvernement malgré que la composition de ce gouvernement ne nous convient pas», a-t-il ajouté. Eric Massi, dont les propos rejoignent ceux des chefs militaires de la coalition rebelle, a appelé la Commission des droits de l'homme des Nations Unies à se rendre en RCA pour «aller visiter les prisons et s'enquérir de leur situation afin qu'ils soient libérés». «Les arrestations doivent cesser, car, actuellement à Bangui les arrestations continuent», a-t-il poursuivi.

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 01:39

 

 

BANGUI : DES ÉLÉMENTS ‘’INCONTRÔLÉS’’ DE LA SÉLÉKA DOIVENT ÊTRE TRADUITS DEVANT LA JUSTICE, SELON LA SOCIÉTÉ CIVILE

 

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Bangui, 15 mars 2013 (RJDH) – Le groupe de travail de la société civile se dit prêt à porter plainte contre les dissidents de la coalition Séléka, qui continuent de commettre des exactions à l’intérieur du pays. Une déclaration faite  par un des responsables, Gervais Lakosso, à l’issue d’une réunion de bilan des activités dans le cadre de la consolidation de la paix.


« Il ne faut pas que les rebelles de la Séléka  se cachent derrière les Accords politiques pour se disculper. Les hommes de la coalition Séléka et leurs leaders vont répondre devant la justice centrafricaine et devant la Cour pénale internationale, parce qu’il n’y a pas de raisons que les accords ont été signés, pour que des gens prennent encore des armes pour des raisons que les centrafricains ignorent », a-t-il martelé.


Gervais Lakosso, poursuit en disant que « la République centrafricaine a déjà accédé à la démocratie, au multipartisme. La seule voie pour accéder au pouvoir reste les élections démocratiques. Et, les oppressions qui sont en train d’être exercées sur le peuple centrafricain ne resteront jamais impunies. C’est le message que la société civile lance à l’endroit des éléments de la Séléka et de leurs leaders ».


Selon la même source, les revendications de la Séléka sont en cours de traitement par le comité de suivi des accords de Libreville. Et, celle-ci n’est pas la seule à avoir des problèmes dans ce pays. « Tous les centrafricains vivent dans la misère et ils n’ont jamais pris les armes pour une quelconque revendication. Et voilà qu’ils sont agressés par des politiciens », a-t-il ajouté.


A l’issue de cette assise, le groupe de travail a fait le point sur les activités menées dans le cadre de campagne de la consolidation de la paix. Le rapporteur général Brice Kevin Kakpayen, a souligné que  plusieurs activités ont été réalisées entre autre, le renforcement de capacité des activistes sur les techniques de prévention de la consolidation de la paix, l’organisation de la caravane dans les différentes arrondissements de Bangui, la production des émissions  à la télévision à la Radio Notre dame, la sensibilisation des jeunes à l’école nationale des arts, la rencontre avec les acteurs politiques signataires des accords  de Libreville.


Outre ces activés réalisées, le groupe de travail de la société civile a tenu des campagnes de sensibilisations dans les églises et mosquées de Bangui et a distribué 15000 prospectus  des accords de paix et de cessez-le-feu de Libreville, à la population centrafricaine.

 

 

 

BANGUI : JEAN JACQUES DÉMAFOUTH N’EST PAS POURSUIVI PAR LA JUSTICE, D’APRÈS LES AUTORITÉS

 

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Bangui, 15 mars 2013 (RJDH) L’ancien ministre de la Défense Jacques Démafouth et leader du mouvement de l’Armée populaire pour la restauration de la démocratie (APRD), a été déclaré persona non grata et sommé de quitter le territoire tchadien, où il « demande protection ». A Bangui, les autorités politiques ont fait savoir qu’aucune procédure n’est enclenchée contre lui.


De source proche de la présidence tchadienne, Jean Jacques Démafouth a été déclaré persona non grata et sommé de quitter le territoire par les autorités de ce pays qui d’ailleurs président la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) et par conséquent, ils sont également garants des accords de paix signés à Libreville.


L’ancien ministre de la Défense Jacques Démafouth a profité d’une mission du programme de Désarmement, démobilisation et réinsertion qu’il a effectué à Paoua (Nord) pour traverser la frontière et demandant l’asile politique aux autorités tchadiennes, prétextant qu’il est menacé et poursuivi par Bangui.


Le ministre de la Communication Christophe Gazam-Betty, a souligné que le leader de  l’ancien groupe armé APRD, ne fait l’objet d’aucune poursuite ni de menaces quelconques à son encontre à Bangui.


« Personne n’a donné l’ordre pour arrêter Jean Jacques Démafouth. Le gouvernement n‘est pas là pour arrêter les gens. Et aussi, personne n’est au courant d’une procédure quelconque à son encontre. Son problème est qu’il veut entrer dans le gouvernement au poste du ministre de la défense. Il pense qu’aucun Centrafricain ne peut assumer cette fonction mieux que lui. Le gouvernement n’est pas extensif à volonté », a-t-il signifié.


Il s’est insurgé contre ce fait par ces termes : « Cela ne grandit pas les hommes politiques de Centrafrique. C’est un comportement enfantin. Ce n’est pas une bonne manière d’agir, le fait qu’il se prend toujours pour une victime, alors qu’il n’y a aucune procédure contre lui » a-t-il conclu.

 

 

 

KAGA-BANDORO : UN VÉHICULE DU CICR PRIS DE FORCE PAR LES REBELLES DE LA SÉLÉKA

 

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Kaga-Bandoro, 15 mars 2013 (RJDH) Un véhicule du Comité international de la Croix-Rouge  (CICR)  a été pris de force dans la nuit du jeudi au vendredi 15 mars, dans la ville de Kaga-Bandoro (centre-nord) par les rebelles de la coalition Séléka. L’information a été confirmée par Vincent Pouget, délégué à la communication de cette structure.


« C’est ce matin que nous avons appris que l’un de nos véhicules dans la ville de Kaga-Bandoro a été pris de force par les rebelles de la Séléka, qui l’ont emporté vers une destination inconnue. Nous avons alerté les leaders de ce mouvement et les éléments des forces multinationales de cette situation », a déclaré Vincent Pouget.


La même source a par ailleurs déploré ce cas de vol  sur le CICR. « Notre objectif est d’aider la population qui vit dans une situation de détresse. Il est inadmissible que le CICR soit une cible de quiconque, alors que nous avons un très bon contact avec les autorités du pays et de la rébellion de la Séléka », a ajouté le délégué à la communication du CICR.


Un habitant de la ville de Kabo (nord) joint ce matin par le RJDH, a affirmé avoir aperçu le véhicule du CICR entre les mains des éléments de la Séléka à destination de la ville de Sido.


L’informateur a également fait savoir que la population de la ville de Kabo est toujours victime des exactions des rebelles de la Séléka. « Les gens se demandent ici, si nous sommes déjà abonnés par les autorités de notre pays. Depuis que ces rebelles ont occupé notre ville, il ne se passe pas un jour sans que ces derniers commettent des exactions sur la population », a-t-il dit.


Le 25 février dernier, un véhicule d’une ONG humanitaire a été également pris de force par les rebelles de la Séléka dans la ville de Kabo.

 

 

 

 

BANGUI : LE 16 MARS SOUS LE SIGNE DE L’INTÉGRATION DANS L’ESPACE CEMAC

 

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Bangui, 15 mars 2013 (RJDH) La journée de la communauté économique et monétaire des états de l’Afrique Centrale (CEMAC) va être célébrée ce samedi 16 mars. Le RJDH s’est entretenu avec le directeur de la communication de la commission de la CEMAC à Bangui et le chef de projet, chargé de l’enseignement et de la recherche de l’institution.


David Yalingra, le directeur de la communication, a expliqué que la célébration de cette journée marque la date de la signature du traité, instituant la CEMAC. Selon lui, « la journée du 16 mars a été instituée pour rappeler l’historique  de cette institution. La date de la signature du traité instituant la CEMAC en 1994, par  les chefs des états des six pays membres qui ont décidé de transformer l’Union Douanière Economique de l’Afrique  Centrale (UDEAC) en Communauté Economique monétaire de l’Afrique  Centrale (CEMAC) ».


Cette cinquième édition est placée par le nouveau gouvernement de la commission sous le thème de l’intégration accélérée, pour une CEMAC émergeante. « Cela veut dire qu’il y a eu des avancées dans l’organisation. Il y a des choses que nous devions faire un peu plus vite que d’habitude pour faire en sorte que la CEMAC devient plus tangible et rentre dans les vécus quotidiens des citoyens de la communauté », a-t-il dit.


Il a précisé que, « si il y a une intégration, une libre circulation, de collaboration entre nos Etats, nous pensons que la CEMAC fera mieux et nos Etats s’en sortiront mieux à travers leurs programmes de développement. Donc une intégration accélérée pour une CEMAC accélérant. Accélérons les chantiers de l’intégration, faisons en sorte que les projets intégrateurs s’exécutent rapidement pour que nos pays en profitent ».


En s’exprimant sur la libre circulation des personnes dans l’espace CEMAC, le directeur de communication de la CEMAC est conscient qu’« il est vrai que pour aller dans certains Etats de la sous-région, il y  a encore de difficulté, mais je dis encore une fois de plus que la libre circulation est une réalité. La libre circulation des capitaux, des biens, de service dans l’espace CEMAC, est une avancée incontestable ».


Apollinaire Sélézilo, chef de projet chargé de l’enseignement et de la recherche de la CEMAC précise sur cette journée qu’« exceptionnellement, cette année est marquée par une ferme détermination des autorités de la commission de  poser un acte spécifique en direction des peuples de la communauté notamment ceux de la République centrafricaine, pour les aider à sortir de l’actuelle crise dans le pays ».


« La CEMAC veut prouver qu’elle est avec le peuple centrafricain. A  ce titre, le président de la communauté a décidé d’être avec le peuple centrafricain dans des différentes manifestations, touchant toutes les couches sociales », a-t-il raconté.


Le programme des festivités prévoit une cérémonie de levée de couleur qui va rassembler toute la communauté des six Etats de la sous régions et une manifestation sportives et culturelles. Il y aura également des actions sociales avec la distribution des dons, constitués des produits médicaux et de quelques produits de première nécessité.

 

 

 

 

BATANGAFO : DES MAISONS INCENDIÉES PAR DES ÉLEVEURS ARMÉS

 

 

Batangafo, 15 mars 2013 (RJDH) – Trois villages dans la commune de Nana Bakassa ont fait l’objet d’une attaque des éleveurs peulhs armés, venus du Tchad le  jeudi 14 mars. Des maisons dont on ignore encore le nombre ont été incendiées.  Il s’agit des villages de Koro, de Kamakota et de Kpara, respectueusement à 16 Kilomètres, 58 kilomètres et 103 Kilomètres de la ville de Batangafo (nord).


D’après les témoignages recueillis par le correspondant du RJDH, les victimes de cette attaque ont passé la nuit sous les arbres et sont dépossédés de tous leurs biens.  Des autorités  communales de la localité  se sont rendus sur les lieux afin d’évaluer le bilan des dégâts.


Des éléments des Forces  armées centrafricaines basés dans la ville de Batangafo multiplient  des  patrouilles dans cette zone affectée. Ces éleveurs  armés venus du Tchad ont installé une base non loin de la ville de Kabo et de Sido. Une zone  sous contrôle des éléments de la coalition Séléka.


Le mercredi 6 mars, deux personnes ont été tuées, une grièvement blessée et une dizaine d’autres enlevées à la suite d’une attaque du village de Koro situé à 103 Kilomètres de Batangafo. L’attaque a été attribuée par la population à ces mêmes éleveurs peuhls.

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 01:35

 

 

 

 

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 01:27

 

 

 

Lévy Lakité

 

 

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 01:18

 

 

 

bozize-2

 

 

« Bonne Fête Mr. Le président avec ta nouvelle  équipe »

 

Le 15 Mars continue à être Fêté comme il se doit ! Comme si depuis cette date, il n’y a pas eu un passage à l’urne deux fois. Certains continuent de se réclamer de l’opposition démocratique, Fêtent cet état de fait, à travers leur silence avec Mr. Le Général président BOZIZE. Rien de plus étonnant dans ce Pays, soi-disant les hommes politiques qui s’autoproclament démocrates, trompent les Centrafricains(es), avec leurs mensonges, avec leur soit disant intellectualisme notoires qui manque cruellement de cohérences dans les positionnements.

 

Une petite phrase d’un politicien en herbe, si innocent du haute de sa jeunesse :

 

 Reprise de Radio Ndeke Luka ci-dessous

 

 « il y a eu des combats, mais les Forces Armées Centrafricaines (FACA) ont du battre en retraite pour céder les villes aux rebelles » La population de ces localités a été livrée aux pires exactions des hors la loi.

 

Je voulais dire, Monsieur le porte parole du GUN, vous siégez avec les Patrons de ces rebelles, faites gaffe à vos arrières, on ne sait jamais !

 

Surtout ne démultipliez pas les camouflées des échecs qui se profilent pour votre mission.

 

L’heureuse histoire dans cette affaire, vous tous, maintenant vous avez un poste ministériel, de surcroit de confrérie maçonnique, avec le Président de la République, vous êtes maintenant de la majorité présidentielle Bravo ! Pour les marchés de dupes sur le dos des Centrafricains(es).

 

Cette fois le peuple Centrafricaine, la Diaspora, s’organisera dans tout les cas, vous tous répondrez de cette trahison un jour. Ceux qui pensent aussi que le boulevard s’ouvre à eux, parce que monsieur BOZIZE dit qu’il ne se représenterait pas en 2016, peuvent se frotter les mains.

 

Je vois cela d’ici ! Comme dit l’autre, les promesses n’engagent que ceux qui veulent bien y croire.

 

                                                                                                                 Diaspora, le 15-03-2013

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 05:27

 

 

 

 

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Bozizé et sa maîtresse favorite Mlle Renée Madeleine Sambo Bafatoro en plein bonheur

 


15 mars 2003 – 15 mars 2013, voilà dix ans que François Bozizé surnommé par Nicolas Sarkozy,  l’ « autiste de Bangui », a renversé par coup d’état le défunt président Ange-Félix Patassé pour s’emparer du pouvoir.  Il avait prétendu au début que c’était juste pour mettre de l’ordre dans le pays qui était mal géré par le président agronome et puis l’appétit venant en mangeant, Bozizé Yangouvonda s’est incrusté au pouvoir jusqu’aujourd’hui.


Entre temps, il a organisé deux mascarades électorales en 2005 puis en 2011 qu’il a prétendu avoir gagnées et se prépare à briguer un troisième mandat après 2016 lorsque la rébellion de Séléka est venue faire vaciller son pouvoir en décembre dernier, le contraignant actuellement à une cohabitation politique dont on ne sait pas encore très bien sur quoi cela débouchera.


A la faveur de l’avancée fulgurante de Séléka en décembre vers la capitale Bangui, et surtout le caillassage des ambassades de France, des USA et du Tchad que Bozizé a commandité à ses partisans, la République centrafricaine et particulièrement le régime du général président, a fait la une de l’actualité dans la presse internationale un mois durant, avant que l’intervention de l’armée française au nord Mali ne vienne les détrôner.


Pour une fois, c’est sans détours et sans retenue diplomatique que les autorités françaises ont  eu à qualifier le général président. A peine a-t-il osé solliciter à François Hollande l’aide de l’armée française pour stopper les rebelles de Séléka que le président français lui répondra que le temps de ce genre d’aide était désormais « terminé ».


Laurent Fabius a décroché son téléphone pour mettre en garde Bozizé sur la sécurité des ressortissants français vivant dans son pays. Mme Elisabeth Guigou n’a pas hésité à qualifier Bozizé de président « incompétent ». Le bouquet final sera enfin le coup de fil de François Hollande en personne au même Bozizé le 31 décembre 2012 sans doute pas pour lui souhaiter la bonne année 2013.  


Tout cela pour dire qu’après être devenu une véritable calamité pour ses propres compatriotes qui en en ont vu et continuent encore d’en voir de toutes les couleurs avec lui, les dirigeants socialistes français se sont fait une exacte idée de l’individu dont les Centrafricains endurent la gestion à la tête du pays depuis le 15 mars 2003. Lors d’un des anniversaires de son putsch à Mbaiki, il avait osé déclarer qu’étant arrivé au pouvoir par la force des armes, il ne concevait pas d’en partir autrement. En clair, tout ceux qui aspirent à accéder au pouvoir, devraient faire comme lui. 


Dès lors, pourquoi s’étonne-t-il de l’apparition de la rébellion de Séléka qui n’a pas fait mystère de son intention de le renverser du pouvoir ? C’est peu que de d’affirmer que François Bozizé Yangouvonda est le mal absolu pour son pays et ses compatriotes. Son départ du pouvoir est la seule solution pour que ce pays appelé République centrafricaine puisse avoir la moindre chance de décoller. Tant qu’il sera à la tête du pays, aucune élection transparente, démocratique et crédible ne peut se dérouler dans le pays. Il a réduit à néant les Centrafricains surtout ceux de la classe politique dont la plupart sont obligés de manger dans le creux de sa main.


En dix ans de gestion du pays, Bozizé a mis la RCA sens dessus dessous ; la RCA est à feu et à sang. Il n’y a plus d’état, plus d’armée, plus assez à manger, plus de pays quasiment. La misère et la pauvreté sont le lot quotidien des fils du pays. Le territoire est mis en coupe réglée et dépecé par des bandes armées étrangères, ougandaises, soudanaises, tchadiennes, sud-africaines et j’en passe et des meilleurs. Que fait encore un tel individu à la tête du pays ?


Son pouvoir est réduit à juste quelques km carrés de la capitale et se limite autour de ses enfants, ses maîtresses et ses parents. Avec un tel bilan, son départ du pouvoir est une impérieuse nécessité pour tous les patriotes centrafricains qui doivent se faire violence et faire preuve d’imagination et de sacrifice pour se débarrasser au plus vite de ce mal absolu qui ne doit plus demeurer à la tête de leur pays jusqu’en 2016. La RCA ne s’en relèverait pas… ! Arrêtons les frais au plus tôt… !

 

La Rédaction 

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Centrafrique-Presse.com - dans Editorial
15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 02:28

 

 

 

ruban sida

 

 


WASHINGTON AFP / 14 mars 2013 22h16 - Une petite fille américaine et 14 adultes en France sont parvenus à contrôler l'infection du sida malgré l'arrêt des médicaments: des virologues français publient de nouveaux détails sur ces guérisons apparentes prometteuses, résultat d'une thérapie précoce. 


Des patients contaminés en France par le virus du sida (VIH) et mis rapidement sous antirétroviraux (dix semaines après l'infection) continuent sept ans et demi après avoir cessé de prendre ces médicaments de contenir naturellement leur infection.


Ces chercheurs français avaient révélé les résultats de cette étude dite de Visconti en juillet dernier à Washington à la conférence internationale sur le sida.


Ils publient jeudi dans la revue américaine PloS Pathogens, davantage de détails sur ces guérisons. Certains de ces patients, expliquent-ils, ont vu diminuer le nombre de cellules infectées circulant dans leur sang ces quatre dernières année malgré l'absence d'antirétroviraux

Ces cellules contaminées dormantes relancent l'infection chez la plupart des personnes séropositives quelques semaines après l'arrêt des antirétroviraux.


Début mars, des virologues américains avaient annoncé la guérison apparente d'une petite fille contaminée à la naissance avec le VIH transmis par sa mère séropositive non traitée. Il s'agit du premier enfant connu capable de contrôler son infection sans traitement.


Comme pour les patients du groupe de Visconti, le virus n'a pas été totalement éradiqué mais sa présence est tellement faible que le système immunitaire de l'organisme peut le contrôler sans thérapie anti-virale.


La jeune enfant avait reçu des antirétroviraux moins de 30 heures après sa naissance, soit beaucoup plus tôt que ce qui est normalement fait pour les nouveaux-nés à haut risque d'être contaminés.

Elle a été traitée jusqu'à 18 mois, âge à partir duquel les médecins ont perdu sa trace pendant dix mois et durant lesquels elle n'a eu aucun traitement.


Aucun des tests sanguins effectués ensuite n'a détecté la présence du VIH. Seules des traces du virus ont été détectées par des analyses génétiques mais pas suffisantes pour sa réplication.

Dans le cas des patients de Visconti, ils ont arrêté les antirétroviraux après trois ans. La présence virale reste indécelable.


Le traitement précoce a probablement contenu les réservoirs viraux, et préservé les réponses immunitaires, combinaison qui a certainement pu favoriser le contrôle de l'infection après l'arrêt du traitement, explique le Pr Christine Rouzioux, de l'hôpital Necker à Paris qui a coordonné la recherche.


Comme dans le cas de l'enfant, la mise sous traitement antirétroviral très tôt n'a pas permis de savoir si les patients de Visconti n'auraient pas contrôlé spontanément leur infection.

Moins d'un pourcent de la population dit de contrôleurs naturels peut contenir le VIH sans jamais prendre d'antirétroviraux.


Mais dans le cas des 14 patients français, la plupart n'avaient pas le profil génétique ni le même type de réponses immunitaires observées chez ces contrôleurs, affirment ces chercheurs.

Selon le Dr Laurent Hocqueloux, de l'hôpital Orléans-La Source en France, un des membres de la recherche sur le groupe Visconti, on estime à environ 10% la prévalence des personnes similaires à celles de la cohorte de Visconti dans la population chez qui on a pas observé de caractéristiques génétiques particulières.


Ces cas offrent un espoir de découvrir de nouveaux mécanismes permettant de contrôler l'infection, a-t-il dit à l'AFP dans un entretien téléphonique.


Pour tenter de faire avancer cette recherche, l'Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS) va coordonner dans les prochain mois un groupe plus étendu de patients similaires à ceux de Visconti au niveau européen.


La seule guérison complète officielle du sida reconnue au monde est celle de l'Américain Timothy Brown, dit le patient de Berlin.


Il a été déclaré guéri après une greffe de moelle osseuse d'un donneur présentant une mutation génétique rare empêchant le virus de pénétrer dans les cellules. Cette greffe visait à traiter une leucémie.


(©) 

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 02:11

 

 

 

Steve Yambété

 


Bangui, 14 mars 2013 CAP) - Décidément il se passe des choses très louches que les centrafricains auront de la peine à oublier sous le régime de Bozize. Le très spécial chargé de mission au ministère gbayatisé de la jeunesse, des sports, des arts et de la culture, Stève Yambété qui s’est d’ailleurs autoproclamé vice-ministre, n’a cessé de s’enrichir sur le dos d’une jeunesse aveuglée et manipulée qu’il continue de duper.

 

Selon des sources proches du trésor public, le très sulfureux chargé de mission Steve Yambété qui a désormais une mainmise sur le Conseil national de la jeunesse en l’absence de Christian Guénébem, a bénéficié d’un ordre de Bozizé l’autorisant à encaisser une coquette somme de 100 millions de F CFA au trésor public pour les festivités du 15 mars, date anniversaire du coup d’état de ce dernier.

 

Selon notre source, celui qui s’est fait nommer président du comité d’organisation des festivités marquant le 15 mars, a donc justifié la demande de cet argent pour l’organisation d’une conférence avec la jeunesse qu’il doit d’ailleurs soudoyer. Mais notre source nous précise que l’ordre du paiement des 100 millions de F CFA est ni vu ni connu du ministre des finances qui n’est autre que le chef du gouvernement d’union nationale.

 

A cette bande de truands, Bozizé est capable de lâcher facilement des centaines de millions sachant que c’est pour sa cause. Et pourtant, 60 enseignants de l’université réclament le paiement de leurs frais de vacations, le personnel d’appui au Complexe pédiatrique de Bangui est toujours en grève pour le paiement de ses 4 mois d’arriérés de salaires, les fonctionnaires retraités et veuves ont manifesté pour demander le paiement de leurs arriérés de pensions, d’autres retraités réclament le paiement de leur DVA. Mais Bozizé lui, s’en fiche pas mal.

 

Pour la commémoration du 18 janvier dernier, il avait déjà remis plus de 43 millions de F CFA à son neveu Christian Guenebem qui s’est enfui avec en France jusqu’à ce jour, laissant seulement après lui 8 millions de F CFA que Steve Yambété est venu retrouver et a bouffé tranquillement. Maintenant, ces profito-situationnistes utilisent la jeunesse pour endormir Bozizé et lui soutirer le maximum d’argent qui ne servira d’ailleurs pas à la cause pour laquelle l’argent a été demandé. Et cette jeunesse continue toujours de faire confiance à des gens de la trempe de Steve Yambété et Jean Félix Riva

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 01:38

 

 

 

Michel-Djotodia-Am-Nondroko.JPG

 

 

Bangui, 14 mars 2013 (CAP) - Le Vice-Premier Ministre, ministre de la défense Michel DJOTODIA AM NONDROKO vient de rentrer à Bangui  aux environs de 16 h (heure de Bangui) en provenance de Libreville où il avait été évacué et admis à l’hôpital d’instruction des armées pour des soins que son état nécessitait. On avait craint qu'il n'ait été empoisonné dans la nourriture ou la boisson.


A sa descente d’avion, il paraissait en forme, détendu et serein mais n’a pas souhaité faire de déclaration à la presse. 

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