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  • : informations générales sur la république centrafricaine et l'Afrique centrale
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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 21:33

 

 

Le général Moussa Assimeh a quitté Bangui

 

Bangui 20 oct (CAP) -  Le célèbre général Moussa Assimeh naguère basé avec ses éléments à la caserne des sapeurs pompiers, a quitté Bangui par avion ce dimanche matin pour Birao d'où il regagnera ensuite le Soudan sa destination

 

 

 

Bangui: un français expulsé de Centrafrique

 

Radio nationale/TVCA, 17/10/2013 16h11

 

Aux termes d’un arrêté signé le 15 octobre dernier par Josué Binoua ministre de la sécurité, de l’Immigration-émigration et de l’ordre public, Armand Ianarelli, de nationalité française et Directeur général de la société SODIF, est expulsé du territoire centrafricain. Motif: «atteinte à la sureté intérieure de l’Etat». 

 

 

 

Bouar : la Commercial Bank Centrafrique (CBCA) rouvre ses portes

 

Radio Ndeke Luka, 17/10/2013 16h05

 

La société bancaire a rouvert ses portes dans la ville de Bouar, après 7 mois de fermeture suite aux évènements militaro-politiques dans le pays. Les clients de ladite banque ne seront plus obligés d’aller à Bangui pour leurs opérations. La sécurité de la CBCA sera assurée par les éléments de la FOMAC basés à Bouar et ceux de la Gendarmerie nationale.

Nouvelles nationales en bref
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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 18:50

 

 

 

 

 

BANGUI (AFP) — La population de Centrafrique, livrée aux exactions de bandes armées et à des violences intercommunaitaires, "vit une tragédie", a estimé samedi une mission d'urgence des agences d'aide des Nations unies dépêchée dans le pays pour établir un bilan humanitaire de la situation.

 

De son côté, le président de transition centrafricain, Michel Djotodia, a appelé les jeunes de son pays à dire "non aux manipulations" visant à inciter les habitants à prendre les armes "les uns contre les autres", au cours d'une réunion publique à Bangui.

 

"La situation humanitaire s'est une fois de plus dégradée (...) C'est une tragédie que vit le peuple centrafricain. On ne peut la laisser perdurer", a déclaré au cours d'une conférence de presse de presse à Bangui, un des responsables de cette mission, John King de l'office des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA), à l'issue d'une visite de 48 heures.

 

"D'abord il faut qu'il y ait la sécurité pour les civils afin qu'ils puissent rentrer chez eux. Nous devons tous être réalistes: les problèmes sont plus graves que ceux des années précédentes", a ajouté M. King, en référence aux crises, troubles et coups d’État qui ont secoué le pays depuis son indépendance en 1960.

 

Arrivée jeudi soir à Bangui, la mission onusienne s'est rendue notamment vendredi à Bossangoa (250 km au nord-ouest de Bangui), où des affrontements entre combattants de l'ex-rébellion Séléka - qui a renversé le régime du président François Bozizé le 24 mars - et des groupes d'autodéfense ont fait plus de 100 morts en septembre et des dizaines de milliers de déplacés.

 

La Centrafrique est plongée dans le chaos depuis le renversement de François Bozizé par la coalition Séléka, aujourd'hui officiellement dissoute par son chef, Michel Djotodia, investi comme président de transition le 18 août.

 

"Lourd tribut de la jeunesse"

 

Depuis, le pays est livré à des chefs de bande et des mercenaires, l'État s'est effondré et les violences menacent de prendre un tour religieux entre chrétiens - qui constituent la grande majorité des près de cinq millions d'habitants - et musulmans. Les combattants qui formaient les rangs de l'ex-rébellion se revendiquent de confession musulmane et M. Djotodia est le premier président musulman de l'histoire du pays.

 

"Je veux que la jeunesse (...) dise non aux manipulations tendant à dresser les uns contre les autres, à faire en sorte que les jeunes prennent les armes, les machettes, les bâtons, pour mettre la vie de leur prochain en danger", a lancé le président pendant une "rencontre avec la jeunesse" dans le centre de la capitale.

 

"Des faits graves se produisent encore dans nos provinces", a-t-il rappelé en référence aux exactions et violences intercommunautaires qui se développent dans le pays.

 

"Nous refusons que la jeunesse soit instrumentalisée. C'est elle qui paie le lourd tribut" de ces violences, a-t-il ajouté.

 

"Pour le rétablissement de l'Etat et l'organisation des futures élections, la sécurité et la stabilité sont indispensables", a-t-il souligné, en affirmant vouloir confier un rôle de premier plan aux chefs traditionnels pour sortir le pays de la spirale de la violence.

 

"Nous devons également nous appuyer sur les chefs traditionnels et toutes les ethnies pour assurer la victoire vers la démocratie. Nous devons nous appuyer sur le système traditionnel qui seul permet de faire remonter la voix du peuple auprès des dirigeants", a-t-il estimé.

 

Près de 10% de la population du pays a été déplacée par les violences. Une force africaine, en cours de déploiement, tente de désarmer les combattants et les pillards et de rétablir la sécurité. La France, ancienne puissance coloniale, a un contingent de 400 soldats qui tient l'aéroport de Bangui et plaide au conseil de sécurité de l'ONU pour une action "urgente" en Centrafrique.

 

Copyright © AFP 2013. Tous droits réservés

Centrafrique: la population vit une "tragédie", selon l'ONU
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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 18:42

 

 

 

 

BANGUI, République centrafricaine Samedi, 19 Octobre 2013 10:02 – (AFP) - Le président de transition centrafricain, Michel Djotodia, a appelé samedi les jeunes de son pays à dire "non aux manipulations" visant à inciter les habitants à prendre les armes "les uns contre les autres", au cours d'une réunion publique à Bangui.

 

"Je veux que la jeunesse (...) dise non aux manipulations tendant à dresser les uns contre les autres, à faire en sorte que les jeunes prennent les armes, les machettes, les bâtons, pour mettre la vie de leur prochain en danger", a lancé le président pendant une "rencontre avec la jeunesse" dans le centre de la capitale.

 

"Des faits graves se produisent encore dans nos provinces", a-t-il rappelé en référence aux exactions de combattants de l'ancienne rébellion Séléka qui a renversé le régime de François Bozizé le 24 mars et des violences intercommunautaires qui se développent dans le pays.

 

"Nous refusons que la jeunesse soit instrumentalisée. C'est elle qui paie le lourd tribut" de ces violences, a-t-il ajouté.

 

"Pour le rétablissement de l'Etat et l'organisation des futures élections, la sécurité et la stabilité sont indispensables", a-t-il souligné, en affirmant vouloir confier un rôle de premier plan aux chefs traditionnels pour sortir le pays de la spirale de la violence.

 

"Nous devons également nous appuyer sur les chefs traditionnels et toutes les ethnies pour assurer la victoire vers la démocratie. Nous devons nous appuyer sur le système traditionnel qui seul permet de faire remonter la voix du peuple auprès des dirigeants", a-t-il estimé.

 

La Centrafrique est plongée dans le chaos depuis le renversement de François Bozizé par la coalition Séléka, aujourd'hui officiellement dissoute.

 

Depuis, le pays est livré à des chefs de bande et des mercenaires, l'État s'est effondré et les violences menacent de prendre un tour religieux entre chrétiens - qui constituent la grande majorité des près de cinq millions d'habitants - et musulmans.

Centrafrique : le président Djotodia appelle les jeunes à refuser les armes
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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 18:30

 

 

 

 

 

Les chefs d'Etat ou de gouvernement des dix pays membres de la Communauté économique des Etats d'Afrique centrale (CEEAC) tiennent lundi à N'Djamena un nouveau sommet extraordinaire consacré à la crise centrafricaine. 

 

20.10.2013  http://www.tv5.org  Avec l'AFP - La CEEAC qui  regroupe 10 Etats, dont la Centrafrique et tous ses voisins, à l'exception du Soudan, a annoncé qu'elle tiendra ce lundi dans la capitale tchadienne un sommet extraordinaire dédié entièrement à la Centrafrique.  Une initiative prise par le chef d'Etat tchadien Idriss Déby Itno, président en exercice de la CEEAC et dont le pays joue un rôle politique et militaire majeur chez son voisin centrafricain.

 

Selon le secrétariat général, « la Centrafrique est le principal objet du sommet de N'Djamena et c'est le cinquième sommet extraordinaire de la CEEAC » consacré à la situation en Centrafrique depuis le début de la crise qui a abouti au renversement du régime du président François Bozizé le 24 mars par la coalition rebelle Séléka dirigée par Michel Djotodia, investi président de transition le 18 août. 

 

Une force africaine (Misca), devant à terme compter 3.600 hommes, est en cours de déploiement dans le pays pour tenter d'y rétablir la sécurité et de désarmer les combattants incontrôlés qui sèment la terreur. 

 

De son côté, la France, l'ancienne puissance coloniale, a un contingent de 400 soldats qui contrôle l'aéroport de Bangui. Paris est également monté en première ligne au Conseil de sécurité de l'ONU pour obtenir un renforcement du mandat de la force africaine et se dit prêt à augmenter le nombre de ses troupes dans le pays. 

 

Une tragédie

 

Depuis le coup d'Etat, la population du pays est livrée aux exactions de bandes armées et à des violences intercommunautaires. Près de 10% des habitants ont été déplacés. 
                  
« La situation humanitaire s'est une fois de plus dégradée (...) C'est une tragédie que vit le peuple centrafricain. On ne peut la laisser perdurer », a déclaré au cours d'une conférence de presse de presse à Bangui, un des responsables de cette mission, John King, à l'issue d'une visite de 48 heures. 

 

« D'abord il faut qu'il y ait la sécurité pour les civils afin qu'ils puissent rentrer chez eux. Nous devons tous être réalistes: les problèmes sont plus graves que ceux des années précédentes », a ajouté M. King, en référence aux crises, troubles et coups d’État qui ont secoué le pays depuis son indépendance en 1960. 

 

Arrivée jeudi soir à Bangui, la mission onusienne s'est rendue notamment vendredi à Bossangoa (250 km au nord-ouest de Bangui), où des affrontements entre combattants de l'ex-rébellion Séléka et des groupes d'autodéfense ont fait plus de 100 morts en septembre et des dizaines de milliers de déplacés.

 

Centrafrique : nouveau sommet de l'Afrique centrale
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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 18:21

 

 

 

http://www.pressafrik.com

 

Alors que le Conseil de sécurité des Nations unies a voté, le 10 octobre, la première résolution sur la République centrafricaine depuis le renversement de l’ancien président François Bozizé, renforçant la présence de l’ONU sur place, des responsables d'agences des Nations unies sont en mission dans le pays depuis le jeudi 17 octobre. Ils font le point sur leurs priorités pour le pays.

 

Le directeur de la coordination des Affaires Humanitaires de l'ONU appelle les nouvelles autorités à redoubler d’effort pour la reconstruction du pays. John Ging,  de l'Unocha,  basée à New York, qui effectue une mission de travail dans le pays depuis jeudi dernier, a appelé les nouvelles autorités à doubler d’effort, pour la reconstruction du pays. «Nous, la communauté internationale et les organismes internationaux, nous ne pouvons pas nous substituer au gouvernement. Il faudrait qu’il prenne ses responsabilités et fasse ce qu’il doit faire.» 

 

John Ging appelle également à combattre la corruption, cause de nombreux conflits dans le pays. «Dans un premier temps, il serait important de rétablir la sécurité et une certaine stabilité, et aussi essayer de réduire la corruption», poursuit le directeur de l'Unocha, qui demande aux Centrafricains d’éviter tout conflit interconfessionnel. «Et deuxièmement, pour la population, nous vous prions de ne pas répéter les mêmes erreurs du passé. N’empruntez pas le chemin de la violence. La violence va simplement détruire tout le monde. Il n’y a pas d’avenir possible avec la violence.» 

 

Construire l'avenir 


«Ce qui est important de faire, c’est de construire un avenir ensemble. Nous avons d’abord besoin que vous travailliez entre vous, et ensuite avec la Communauté internationale. Ainsi, mon message est clair : ensemble c’est mieux, ensemble nous réussirons » conclut John Ging. 


Ted Chaiban, directeur du Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), également en mission en Centrafrique depuis jeudi, a fait savoir que le nombre des enfants-soldats a considérablement augmenté ces derniers temps, avec le phénomène des groupes d’autodéfense. « Comme vous savez, l’Unicef estime qu’il y a à peu près 3 500 enfants associés avec les différents groupes militaires, et ceci ne compte pas les groupes d’autodéfense, explique Ted Chaiban. Et ces enfants n’ont aucune place au sein de ces groupes. Ces enfants devraient être chez eux, ces enfants devraient être à l’école.» 


Des enfants soldats de retour à la maison 


Depuis le début de l’année il y a eu un retour de 152 enfants, qui étaient auparavant associés avec différents groupes armées, y compris le Séléka. Ces enfants ont été relâchés et sont maintenant dans des centres de transit.» 

 

L’UNICEF compte poursuivre ce travail pour réintégrer tous les enfants associés aux groupes armés. 


«On est en train d’essayer de localiser les familles pour pouvoir les réunir avec leurs familles. Nous allons continuer ce travail, jusqu’à ce que tous les 3 500 enfants soient au sein de la famille et de retour à l’école » espère Ted Chaiban. 

 

Centrafrique : «il faut que le gouvernement prenne ses responsabilités»
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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 18:17

 

 

 

 

 

Quand je méditais la Parole de Dieu ce matin, l’Esprit de Dieu me poussait à revoir mon agenda auquel j’écrivais mes prophéties et visions, j’ai aperçu une vision que j’ai reçue en année 2002 pendant les quarante jours de prière concernant notre pays la République Centrafricaine. Voici la vision :

 

Je voyais la chaleur qui dégageait de la terre Centrafricaine et montait vers le ciel, cette chaleur englobait tout l’espace du territoire Centrafricain, et même pas une présence humaine.

 

Et le Seigneur me dit ainsi : J’ai fait le tour de cette chaleur afin de trouver quelqu’un qui peut se mettre à la brèche pour dire me voici Seigneur, mais personne !

 

Chers Compatriotes, la délivrance de la R.C.A ne viendra de nulle part, mais de Dieu.

 

Chaque nation a une destinée, et Dieu a donné des limites géographiques à chaque nation, Il l’oint afin d’entrée dans sa destinée (Actes 7 : 26) ce projet de Dieu pour les nations n’est pas un projet de malheur mais c’est un projet de paix et de bonheur (Jérémie 29:11). Par contre, nous avons empêché notre nation a entré dans sa destinée. C’est n’est pas seulement Seleka et Président BOZIZE qui ont conduit la Centrafrique dans ce chaos actuel, car nous ne sommes pas encore libérer de nos vieux démons du passé. La situation actuelle est le résultat de tout ce qui s’est passé depuis l’indépendance jusqu’à ce jour, je ne sais pas la condition dans laquelle le Président-fondateur Barthelemy BOGANDA a trouvé la mort. Nos misères augmentent, par ce que nos iniquités se multiplient ; nous devenons tous les jours plus malheureux, par ce que nous devenons tous les jours plus coupables.

 

                Notre nation était fondée sur les cinq verbes : Nourrir, Loger, Vêtir, Soigner et Instruire.

 

Quand vous voyez la multitude de coups d’état, mutineries, les sans-abris, défaut de paiement de salaire, et les épidémies de toutes sortes, etc. C’est par ce que ses cinq verbes ne sont pas respectés. On enseigne plus l’Unité, ni la Dignité et ni le Travail, mais plutôt la division et du népotisme. Imaginez-vous quelqu’un qui n’est pas fidèle dans la moindre chose et comment peut-on lui confier une grande responsabilité. Comment un irresponsable peut bien prendre le soin des choses de l’état ?  Voilà la cause de toutes ses malédictions.

               

Chers Compatriotes, notre nation a une destinée Missionnaire et Hospitalière. Pour permettre à notre nation d’entrée dans sa destinée selon le plan de Dieu, nous devons renoncer à nos mauvaises. Voici quelques ingrédients qui nous permettent d’attirer la faveur de Dieu sur notre nation :

  1. Demandons pardon à Dieu pour nos péchés (haine, jalousie, vengeance, adultère, etc.) puis renonçons à tout cela. La main de Dieu n’est pas courte pour nous sauver, mais se sont nos péchés qui l’empêchent. Le pardon est le centre de notre relation avec Dieu, faisons-le de même aux gens qui nous offenser.
  2. Humilions-nous dans le jeûne et la prière,

 

L’humilité nous permet de reconnaître la valeur de l’autre et accepter sa complémentarité. L’unité de Dieu, Jésus-Christ et le Saint-Esprit rendent Dieu Tout-Puissant, et si nous agissons de même, notre nation ne tombera plus sous le joug de l’ennemi. Quand t’on est divisé, nous donnons l’accès à l’ennemi de nous siéger. 

 

                En conclusion, renonçons à nos crimes, déplorons nos iniquités, humilions-nous sous la main de Dieu, et baissons la main qui nous frappe : alors le ciel irrité s’apaisera, les nuages sombres qui nous annonçaient les foudres et les éclairs pour nous perdre, se résoudront en une douce rosée pour nous sanctifier. Si nous agissons ainsi, Dieu guérira notre pays, et désormais, ses yeux seront ouverts et ses oreilles attentives à la prière faite à l’égard de notre pays.

 

                Que Dieu bénisse la Centrafrique !

 

                Prophète Thierry KEMBA.

Une Nation, une Destinée.  Par Prophète Thierry KEMBA
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19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 12:41

 

 

 

 

APA - 18/10/2013 - Le général camerounais de brigade Tumenta Chomu Martin a été désigné comme commandant de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA) par le chef de l’Etat de son pays, Paul Biya. Cet acte, apprend-on, est la résultante d’une décision prise par la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEMAC) de confier au Cameroun le commandement de cette unité.

Le ministre de la Défense, Edgard Alain Mebe Ngo’o, célèbre «la considération» dont jouissent ce pays et son président, mais aussi le mérite des forces de défense qui disposent déjà d’un contingent de plus de 500 hommes à Bangui, la capitale centrafricaine.

En visite au Cameroun voici quelques jours, le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies au sein du bureau de l’institution pour la RCA (BINUCA), le général Babacar Gaye, avait souhaité que ses hôtes contribuent au relèvement des forces de maintien de la paix afin qu’elles atteignent 3500 hommes et permettent de stabiliser la situation, dans une Centrafrique en proie au chaos depuis le coup d’Etat du 22 mars dernier.

Un général camerounais est désigné commandant de la MISCA
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19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 12:33

 

 

 

 

 

 

http://presidencetchad.org

 

Coopération Tchad-France

 

Le Président de la République IDRISS DEBY ITNO a reçu ce matin, le chef d’Etat-major des armées françaises, l’amiral Edouard Guillaud. La situation sécuritaire dans la sous-région était au centre de l’entretien

 

L’amiral Edouard Guillaud est un habitué des allées du Palais présidentiel. Le Chef d’Etat-major des armées françaises est à N’Djaména après le Niger et le Mali où il a été voir les forces françaises et africaines déployées à Gao, au septentrion malien.


Accompagné de l’Ambassadrice de France au Tchad, Mme Evelyne Decorps, l’Amiral Guillaud est venu échanger avec le Président de la République IDRISS DEBY ITNO des dernières évolutions de la situation au Mali mais aussi en RCA. Le Tchad et la France travaillent étroitement sur nombre de dossiers relatifs à la sécurité dans la sous-région. 


Pendant plus de 3 quarts d’heure, le Chef de l’Etat et le Chef d’Etat-major des armées françaises ont longuement évoqué et décortiqué la situation sécuritaire dans la bande sahélienne et en RCA. La situation dans ce dernier pays constitue aujourd’hui un véritable sujet de préoccupation pour le Tchad et la France qui explorent toutes les pistes de solution afin de désamorcer la crise.


« Comme d’habitude je suis venu rendre visite au Président DEBY pour l’informer des derniers développements, aussi bien sur le terrain vu par les forces françaises au Mali et pour également échanger des points de vue sur la situation en RCA qui est au cœur de beaucoup de préoccupations en ce moment. En RCA, je pense que nous pouvons faire sans doute ce que nous avons fait d’autres fois y compris au Mali, c’est à dire coopérer sur place. Comme vous le savez, le gouvernement français a déjà fait un certain nombre d’annonces et soutient le fait que l’ONU s’occupe directement. Comme le Tchad vient d’être élu pour une période deux ans membre du Conseil de sécurité, ça va encore renforcer les capacités d’action en commun sur place. Ce sont bien sûr des actions militaires », a déclaré le Chef d’Etat -major général des armées françaises après son entretien avec le Président de la République. 

L’Amiral Edouard Guillaud se rendra ce vendredi à Faya Largeau pour y rencontrer les éléments de l’opération épervier stationnés dans cette partie du pays. C’est après cela qu’il mettra fin à sa visite de quelques heures au Tchad.

 

Source :

http://presidencetchad.org/affichage_news.php?id=737&titre=%20Lire%20article#sthash.1N2nxMfS.dpuf

Situation en RCA : Vers une intervention conjointe Tchad-France ?
Situation en RCA : Vers une intervention conjointe Tchad-France ?
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19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 12:04

 

 

 

 

Bangui, BBC Afrique  18 octobre, 2013 - 19:13 GMT

 

En Centrafrique, le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies, le général Babakar Gaye, lors d'une conférence de presse, a affirmé que le Bureau Intégré des Nations unies pour la consolidation de la paix en Centrafrique a reçu mandat de faciliter le processus électoral devant mettre fin à la transition.

 

Le général Gaye, chef du bureau Intégré des Nations Unies pour la consolidation de la paix en Centrafrique face à la presse a énuméré les différentes mesures et recommandations préconisées par la résolution 21 21 adoptée le 10 octobre par le Conseil de sécurité des Nations unies sur la situation en République Centrafricaine.

 

Ces mesures, recommandations et instructions du Conseil de sécurité vont du respect du respect de la transition à la future élection présidentielle en passant par le désarmement; la protection des civils et du personnel humanitaire notamment.

 

La plus importante recommandation selon le générale Gaye, concerne le rétablissement de l'ordre constitutionnel dans les délais prévus.

 

Il convient de rappeler que par la résolution 21 21 le Conseil de sécurité a promis de soutenir en moyens logistiques la Misca (mission de soutien de l'Union africaine à la République centrafricaine dont les effectifs doivent atteindre 3600 hommes d'ici la fin de l'année.

 

Le conseil prévoit également la possibilité de la reconvertir en Minusca (Mission des Nations unies en RCA dans quelques mois.

 

La mise au point du général Gaye intervient alors que des directeurs de plusieurs agences des Nations Unies en mission à Bangui se sont rendus ce jour dans deux villes de l'arrière-pays pour constater la dramatique situation humanitaire afin d'élaborer des réponses conséquentes.

RCA: l'Onu facilitera les élections
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19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 11:36

 

 

 

 

PARIS Samedi 19 octobre 2013 | 02:02 UTC (Xinhua) - La résolution de la crise en République centrafricaine est une priorité pour la France, a souligné vendredi le ministère français des Affaires étrangères

 

Lors de son déplacement à Bangui, capitale centrafricaine, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius a évoqué l'augmentation progressive du nombre de soldats français et a rappelé la priorité à accorder au processus politique et l'urgence de respecter la feuille de route, avec pour objectif des élections en janvier 2015, a rappelé le porte-parole du Quai d'Orsay, Romain Nadal.

 

"La résolution de cette crise est une priorité pour la France. Dès le mois d'août, nous avons souhaité qu'un débat se tienne au Conseil de sécurité - et il a pu se tenir. Nous avons souhaité qu'une première résolution soit adoptée pour que les Nations unies prennent toutes leurs responsabilités - et elle a été adoptée. D'autres résolutions vont suivre. Nous attendons le rapport, fin octobre, du Secrétaire général des Nations unies", a déclaré le porte-parole.

 

 "Dans cette perspective, nous soutenons les initiatives africaines, de l'Union africaine et de la Communauté économique des Etats d'Afrique centrale, qui a pris pleinement en main la gestion de cette crise, avec des troupes africaines sur place", a ajouté M. Nadal.

 

Depuis que l'ancien président centrafricain, Francois Bozizé, a fait part de sa volonté de récupérer le pouvoir en août, près de 100 personnes ont été tuées en septembre dans les combats entre les partisans de M. Bozizé et les forces loyales au président de transition Michel Djotodia.

 

Le pays d'Afrique centrale est tombé dans le chaos depuis que les rebelles de la Seleka ont pris le contrôle de la capitale, Bangui, et renversé M. Bozizé en mars. M. Djotodia, qui est monté au pouvoir à la tête de la rébellion de la Seleka, a officiellement prêté serment en tant que président du pays en août.

 

Quelque 170.000 personnes ont été forcées de fuir leur maison à cause des récents combats dans le pays, a indiqué mardi le bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires.

La Légion sera-t-elle déployée en Centrafrique dans le cadre d'une opération de maintien de la paix ?
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