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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 14:43

 

 

Bokassa 1er

 

 

 

Par TF1 News, mis à jour le 16 décembre 2010 à 14:15

Le château que l'empereur déchu de Centrafrique possédait à Hardricourt, en banlieue parisienne, va être vendu dans moins d'un mois. Mise à prix : 735.000 euros

S'il vous reste quelques euros à dépenser après les fêtes, pourquoi ne pas vous faire un petit plaisir en achetant un petit château... par exemple, celui de Jean-Bedel Bokassa, dans les Yvelines ? Il s'agit de l'ancien château de Hardricourt, propriété de l'empereur déchu de Centrafrique, un manoir d'une vingtaine de pièces aux toits d'ardoise qui domine la vallée de la Seine. Il sera vendu aux enchères le 12 janvier à Versailles. Mise à prix : 735.000 euros, selon une annonce légale parue sur des sites spécialisés.

Si vous êtes tenté, méfiez-vous toutefois : l'avis mentionne incidemment que les "lieux semblent occupés". Et si vous espérez une bonne affaire, sachez encore que, selon des spécialistes de l'immobilier, les enchères ne devraient pas dépasser 1,2 million d'euros. Mais c'est surtout en raison du mauvais entretien de ce manoir et de l'état du parc, laissé à l'abandon...

Le fils Bokassa en appelle à Sarkozy

L'annonce précise que la vente comprend un "château d'une superficie habitable de 547,78 m2, une maison de gardien (95,49 m2), un vaste parc arboré et un double garage". Cette vente aux enchères sur licitation est organisée à la suite d'un jugement du tribunal de grande instance de Versailles.

L'ex-empereur Bokassa s'était installé en décembre 1983 à Hardricourt, l'une de ses propriétés en France, après un exil de quatre ans en Côte d'Ivoire à la suite de sa déposition le 21 septembre 1979 par des parachutistes français, précipitée par le massacre présumé d'une centaine d'écoliers par sa garde personnelle lors de troubles à Bangui. L'un des fils de Jean-Bedel Bokassa, Georges, ancien ministre de la Défense de son père, a supplié mardi le président Nicolas Sarkozy d'intervenir pour éviter ce qu'il estime être une spoliation de l'héritage de la famille Bokassa.

Par TF1 News le 16 décembre 2010 à 14:12

 

Bokassa-a-Hardricourt.jpg

Un château de Bokassa en France vendu aux enchères

PARIS 16 déc 2010 (AFP)  Un château de la banlieue parisienne qui appartenait à l'empereur déchu de Centrafrique, Jean-Bedel Bokassa décédé en 1996, sera vendu aux enchères le 12 janvier avec une mise à prix de 735.000 euros, selon une annonce légale parue sur des sites spécialisés.

Bokassa s'était installé en décembre 1983 au château de Hardricourt, l'une de ses propriétés en France.

L'annonce précise que la vente qui aura lieu à Versailles, près de Paris, comprend un "château d'une superficie habitable de 547,78 m2, une maison de gardien (95,49 m2), un vaste parc arboré et un double garage". Cette vente aux enchères est organisée à la suite d'un jugement du tribunal de grande instance de Versailles. L'avis ajoute que les "lieux semblent occupés".

Selon des spécialistes de l'immobilier interrogés par l'AFP, les enchères ne devraient pas dépasser 1,2 million d'euros, en raison du mauvais entretien de ce manoir d'une vingtaine de pièces aux toits d'ardoise qui domine la vallée de la Seine et du parc laissé à l'abandon.

Bokassa s'était installé à Hardricourt après un exil de quatre ans en Côte d'Ivoire à la suite de sa déposition le 21 septembre 1979 par des parachutistes français, précipitée par le massacre présumé d'une centaine d'écoliers par sa garde personnelle lors de troubles à Bangui.

L'un des fils de Jean-Bedel Bokassa, Georges, ancien ministre de la Défense de son père (1975-1976), a "supplié" mardi le président français Nicolas Sarkozy d'intervenir pour éviter ce qu'il estime être une spoliation de l'héritage de la famille Bokassa.

Copyright © 2010 AFP. Tous droits réservés

 

NDLR : Georges Bokassa soutient fermement que c'est lui qui est le légataire universel (il en détient les preuves) de son père et qu'il se bat seul depuis quinze pour les biens laissés par son père contrairement à ce que prétend Jean Charles Bokassa depuis Abidjan.

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