Un président nègre blanc entouré de Blancs
pour gouverner la Centrafrique noire pour
l’empêcher de penser par elle-même
de quelle nationalité est le président candidat ?
La République Centrafricaine réu-
nit toutes les ressources pour
bâtir un pays fort paisible
grâce au travail de ses fils et
filles
voici notre immense territoire
partout arrosé pour la petite agri-
culture de nos Ancêtres que les
dits civilisés découvrent maintenant
qu’il ne faut pas couper les arbres
en vain
Le Peuple Centrafricain sait qu’il
est couvert d’or et de diamants
du Soleil des eaux de sa terre
d’un bout à l’autre par sa
force debout à travers le colonialis-
me rampant nous parlons Sangho
notre Langue de développement
d’un État Bantou modèle en
Afrique et dans le monde
La crise de 2013 a montré notre
Résistance unie qui forme un
Peuple fort sur notre territoire
La Résistance est la juste ressource
de notre gouvernement
malgré leur délabrement dû à
la guerre et aux gouvernements
nègres blancs imposés, il revient
aux régions de se prendre en
mains comme gouvernement local
de toujours avec la petite agriculture
voici donc l’orientation dans
le monde entier de notre Pensée
Bantoue noire
Le colonialisme ne tolère pas
que l’Homme noir pense et
pratique lui-même sa pensée
propre
le colonialisme préfère voir les po-
pulations noires le cerveau noué
dans la misère pour voler nos
terres sciemment.
Ils viennent chez vous. Vous ani-
maux ne trouvez pas d’accueil
chez eux dehors sous les métros
sans cœur ni volonté du bien
le Colonialisme toujours aux aguets
a bondi sur la crise de 2013
principalement afin d’empê-
cher la Résistance de se réaliser
en tant Homme noir qui change
le monde par sa civilisation
brisée et aussi son espoir
de cet immense territoire afri-
cain comme le pauvre innom-
brable asiatique, le colonialisme
ne voit que son garde manger
la censure de l’esprit bâtisseur
africain avec le pillage systématique
de son patrimoine amènent au
chômage endémique au larcin
des climats d’incertitude et
de brigandages dans les mentalités
du sud au nord de l’Afrique
En République Centrafricaine, la crise
de Mars 2013 a permis au colo-
nialisme d’accourir en décembre
avec des troupes non pa-
triotiques des étrangers dont des
violeurs homosexuels de la jeunesse
innocente et des jouisseurs des bordels
dignes apport du colonialisme
à la femme centrafricaine à
l’âge de procréer
on lui ôte son armée nationale
de façon qu’elle ne se défend pas
on lui pille son or ses diamants
comme on oppose l’embargo sur les
armes de tutelle usurière
cette corruption continue avec une
transition délibérément sans pou-
voir encadrée à Bangui par ce
gouverneur et à l’ONU par des
diplomates français
le Colonialisme nous a massacré
étêté les Autorités Morales depuis
1881 jusqu’à ce jour 2015, il au-
ra encore massacré Boganda, Lumumba,
Sankara, NKru ma, main-
tenu le Peuple noir proche de la
bestialité de son intention, jamais
il n’a demandé pardon, ni ne
s’est excusé
En République Centrafricaine, par la
bouche de quelques faux-penseurs
non créateurs africanistes, on
a tenté de prétendre pour paver
la voie à la tutelle que notre Sainte
Terre sous nos pieds depuis des
millénaires n’est pas nôtre.
c’est sans compter le coup de gour
din du Peuple noir dont ils ne
connaissent pas les tréfonds de
l’âme des débuts du Monde
des pratiques
par la faute et erreur de leur faux
gouvernement de nègre blanc au
doigt et à l’œil de leur politique de
surveillance de commandement à
la Romaine, le Peuple Centrafricain s’est
fendu en deux antinomique ?
vaniteux en vain, avez-vous
nommé jamais l’arbre à pala-
bres à travers les guerres ? et
son rôle d’union de paix ?
le colonialisme nous exploite
à mort nous désorganise c’est
pour sans doute que notre
Résistance nous tienne vivant
plus nombreux aujourd’hui
en conséquence de la faute du
colonialisme, suite à ces cri-
mes graves parmi le Peuple
centrafricain la Résistance de
part et d’autre des dégats regret-
tables des combats fraticides
nous savons tous, anti-Balaka
et Séléka auraient topé là
pour la Paix au Pays de Cen-
trafrique.
A notre rôle pacificateur, le Colonia-
lisme préfère de loin le sien plus
diviseur plus dominateur, des
deux tribunaux de son cru
ils ont pour destin de briser d’a-
bord la Résistance légendaire de notre
Peuple noir en prenant leur temps
cinq ans renouvelable de tutelle
colonialiste fabrique de nègre blanc
inoffensif et psychiatrique.
Au lieu que le Peuple panpan, arti-
san, berger soit déjà rendu au
travail dans l’ensemble de son ter-
ritoire pour leurs électrons à la fran-
çaise, la République Centrafricaine
se voit imposer des dettes de plus
de cent 100 millions de dollars
afin que le FMI, la Banque Mon-
diale d’autres créanciers cachés
endettent encore plus notre Pays
comme dans le passé depuis l’indépen-
dance en 1960
le Peuple noir devient de plus en plus
pauvre désarmé par ce travail de
sape de pillage du patrimoine
africain par la Colonialisme
prédateur des Résistances
intégrités des Bantous noirs
Demandons au Colonialisme de-
vant quel tribunal jamais et sous
quelle dénomination il a été con-
damné pour ses meurtres, ses cri-
mes de guerre, crimes contre l’Hu-
manité, contre l’esclavage, contre
l’exploitation à mort des gens des
terres, des forêts, des eaux, de l’a-
venir saboté du Continent noir
et devant quel Peuple noir, a-t-il
jamais demandé pardon en lar-
mes, lui Colonialisme, qui pré-
side d’office les tribunaux prison
pour nègre blanc colonisé sans
état d’âme. C’est payant de les juger
les nègres blancs principalement.
Sur les 100 millions de dollars
soi-disant destinés aux élections prési-
dentielles ce qui permettrait d’em-
prunter donc de nous endetter no-
tamment afin de payer les fonc-
tionnaires seulement avec l’habituel-
le corruption des détournements
des trous insondables depuis 1960
mais pour ces élections on n’a
pu s’endetter à hauteur de
25 millions de dollars, pourquoi
donc suggère un intéressé à un
poste politique de strapontin
ne pas déjà entamer les manoeu-
vres ? De corruption habituelle.
ces élections demeurent une tri-
cherie colonialiste qui d’abord
endette la majorité noire de la
population centrafricaine, laquelle
depuis des siècles nourrit en son
sein son mode d’élection par
région ce qui ne lui coûterait pas
les yeux de la tête, oblitérant l’a-
venir de l’État Centrafricain
mais le Colonialisme vaniteux
impose une opinion que son
mode de scrutin serait le meil-
leur étant des plus sucrés pour
les entreprises de Françafrique
et autres capitalistes.
Le Colonialisme s’assied sur le
mode de scrutin des Citoyens noirs
la majorité de ce Pays de Centrafri-
que, Autrement dit cette majorité des
travailleurs qui font la République
centrafricaine n’a pas la parole
cela depuis 1881 date du
partage de l’Afrique entre les
Européens à Berlin Allemagne
Vu que la Pensée noire africaine
à été emprisonnée jusqu’aujour-
d’hui en 2015
la tricherie électorale ça n’est pas
ça des élections. Lorsque l’on procla-
me déjà la victoire en se préten-
dant du côté de l’internationale
socialiste sans un programme
aucun se penchant sur les inté-
rêts prioritaires du Peuple noir
censuré, volé, méprisé, foulé
au pied colonialiste depuis 1881
de quel côté des puissances pré-
datrices est-on ? de l’Europe et
de la Chine oppresseuses. Du côté
d’abord de l’argent ruisselant
des pouvoirs des corruptions et
vite gagné (en prison le Peuple)
Le Colonialisme aura fabriqué
suffisamment les psychologiques
nègres blancs selon Frantz Fa-
non! Les élections présidentielles
n’existent pas en réalité, cette
tricherie étrangère contre leur Peu-
ple. L’essentiel ne se trouve pas
inclus dans un programme de
gouvernement relevant du Peuple
Mais la gouvernance plait aux
maîtres à qui le noir joue au
blanc caméléon pour être choisi
à la queue leuleu
À la queue de cette bête méprisée.
Les présidents africains n’entrent
pas dans l’Histoire blanche. Les
huissiers choisis parmi les gens
de la danse de la Saint-guy gardent
la porte, assassinent le Peuple dans
la boue, gardent la porte ouverte
vers l’immense garde-manger
pour étranger seulement, l’ar-
gent.
Lorsque des français de France
ouvrent des comptes en France pour
soutenir un candidat soi-di-
sant digne de représenter la Ré-
publique Centrafricaine, est-on assu-
ré de sa nationalité réelle ?
sinon que la Population noire
citoyenne a un mot Mouzou
voukou nègre blanc pour cela. Une
faune. La majorité étrangère
continue de gruger la majorité noire.
BAMBOTÉ MAKOMBO
écrivain